Que faisait l’assaillant en liberté ? Ce lundi 15 juillet, aux alentours de 22 heures, dans l’enceinte de la gare de l’Est à Paris, un homme de 40 ans sort un couteau et poignarde entre les omoplates un soldat de l’opération Sentinelle. Sérieusement blessé à l’épaule, le militaire a été évacué vers l’hôpital militaire Percy (Clamart). Son pronostic vital n’est pas engagé. L’auteur présumé du coup de couteau est rapidement interpellé et interné en unité psychiatrique. Selon les premières informations de l’enquête, cet homme, originaire du Congo et naturalisé en 2006, aurait visé délibérément un soldat « parce que les militaires tuent des gens dans son pays ».
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Gare de l’Est : le suspect déclaré « irresponsable » dans un précédent meurtre
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L’Europe, c’est la guerre
Combat royaliste 13
Par Philippe Germain
Après la parenthèse du vocabulaire néo-droitiste d’ethno-différentialisme, identité, indo-européens, voici le temps du retour au politique où le conservateur Éric Zemmour a largement et facilement diffusé les termes de Grand Remplacement, assimilation et choc des civilisations.
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14 juillet 2016 : l’attentat de Nice, c’est le mythe du « village mondial » en train de crever !
Le 14 juillet 2016 à Nice, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, au volant d’un camion poids lourd prend pour cible une foule de civils, sur la promenade sur près de deux kilomètres, à l’issue du feu d’artifice donné pour la fête nationale. L’attaque terroriste cause la mort de 86 personnes, fait 458 blessés et prend fin quand le terroriste est abattu par la police. L’attentat est revendiqué le 16 juillet par l’organisation terroriste État islamique (dite « Daech »).Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, tunisien né à M’saken le
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Trump : un affolement palpable…
La tentative d’assassinat sur l’ex-président Trump laisserait-elle entrevoir une modification de l’arrière plan géopolitique ? Le tireur est issu de l’extrême gauche américaine et une première balle bute sur le gilet de Trump… signe que le tireur n’était pas au courant de la couche de protection de sa cible. Signe aussi que la balle était d’un calibre relativement modeste, sinon, un gilet pare balle ne l’aurait pas arrêtée. Il tire une seconde cartouche, dans la tête cette fois ci. S’il avait su, il aurait donc directement visé la tête. A moins de 150 mètres, pour un bon tireur, avec une arme longue, ça reste très gérable. Mais mieux, un tireur de la protection officielle, cette fois ci, raconte sur les réseaux sociaux, comment il a eu le visuel sur le meurtrier et l’a signalé, sans recevoir l’ordre de le neutraliser immédiatement.
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"La vie de Trump a été sauvée par un miracle, pas par son service de sécurité"
C'est ce qu'a affirmé à Sputnik Alexeï Filatov, vétéran du Service fédéral de sécurité russe.Il semble que les personnes responsables de la sécurité de Trump aient mis les pieds dans le plat, à en juger par les circonstances de la récente tentative d’assassinat, a-t-il déclaré.La sécurité de Trump lors du rassemblement ait été assurée par 3 groupes: -
Valence (26) : un directeur d’école remet un paquet de drogue à un jeune après l’avoir découvert au lieu d’alerter la police. Il est poursuivi et a été suspendu de ses fonctions
Le directeur de l’école Pierre-Brossolette, à Valence, est poursuivi pour détention et complicité de trafic de stupéfiants après avoir omis d’avertir la police que de la drogue avait été trouvée au sein de l’établissement, a confirmé vendredi 12 juillet le procureur de la République auprès de France Bleu Drôme Ardèche.
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Poker menteur ou déclin nord-américain ?
Bernard Plouvier
L’attentat contre le candidat à la Présidentielle américaine Donald Trump est-il le reflet d’un déclin de la puissance de ce pays ou la conséquence des mensonges médiatiques qui occupent une place indéniable dans l’attentat lui-même.
À l’évidence, les sbires du Secret Service – soit le service de protection des grands élus des États-Unis et des Présidents retraités – se sont avérés aussi lamentables que sous Lincoln (c’est d’ailleurs ce brave « Aby » qui avait créé ce service, craignant beaucoup un attentat… il avait raison), Garfield, McKinley, FD Roosevelt (qui échappa à toute blessure), JFK ou Reagan (grièvement blessé).
Non seulement, les agents du SS – on a les SS qu’on mérite - n’ont rien vu venir, mais il a fallu 4 tirs pour qu’ils se rendent compte de ce qui arrivait : le bilan est de 3 blessés (dont Trump, manifestement visé à la tête et dont une balle n’a fait que blesser une oreille) et d’un mort. Le Secret Service actuel semble assez peu performant… à moins que l’enquête du FBI apprenne aux citoyens du futur des précisions qui feront la joie des complotistes, mais si ces détails existent, il faudra des années pour qu’une information véridique circule - remembre The case JFK !
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L’Etat profond – “The Deep State” – a-t-il essayé de tuer Donald Trump lors de l’attentat d’avant-hier soir ?
Le candidat à la Maison-Blanche a été la cible d’un coup de feu alors qu’il venait de commencer son discours. Il a été touché à l’oreille. Le visage en sang, il s’est relevé et a levé le poing sous les acclamations de ses partisans.
Trump venait de commencer son discours de campagne à Butler, dans l’ouest de la Pennsylvanie lorsque plusieurs coups de feu ont retenti vers 18h15. L’ancien président, coiffé d’une casquette rouge MAGA porte soudain la main à son oreille droite, l’air surpris, alors que les agents du Service Secret se ruent sur scène. D’autres coups de feu résonnent, alors que Trump est au sol, entouré de ses gardes du corps.
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Amaury Brelet : « A la prison de Toulouse-Seysses, ~50% des détenus sont étrangers, presque tous Algériens et clandestins »
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Le Hamas forme ses combattants dès leur plus jeune âge
À Saïda, l’antique Sidon, le Hamas est implanté pour former ses troupes et maintenir la lutte contre Israël. La rédaction de Conflits y a rencontré Abu Said, commandant militaire du Hamas pour la région de Saïda au Liban :
Le Liban est une des rares bases arrière où l’on peut rencontrer des cadres du Hamas alors que les combats font rage à Gaza, toujours inaccessible aux journalistes. J’ai réussi à rencontrer « Abu Said », le responsable militaire du Hamas au Sud Liban. Pour Conflits, il a accepté de revenir sur son enfance et son parcours initiatique où dès le plus jeune âge, son mouvement, le Hamas, l’a plongé dans l’apprentissage de la foi islamique et l’a militairement formé.
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