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Le suicide de Marleix, qui y croit ? Personne. Il se trouve que le député en était à finaliser un livre dans lequel il évoquait l’affaire Alstom et le financement de la campagne présidentielle de 2017. Avant lui, s’étaient suicidés un médecin et une journaliste, qui allaient peut-être faire des révélations sur Brigitte. Il y eut aussi un général, des agents de la DGSE, à ce point que ça commence à faire beaucoup. Mais c’est le hasard évidemment.
Voici un exemple très concret de ce qu’implique la petite délinquance.
Ici pas d’enlèvement crapuleux pour une rançons en Bitcoin.
Ici, pas de prise d’otage spectaculaire.
C’est nettement plus modeste.
C’est une histoire de racaille (dont on se fiche bien de la palette de couleur ou d’origine) et de sales gosses mal dégrossis qui descendent dans une base nautique et cassent tout, détruisent tout, frappent tout le monde à commencer par le personnel. Là où on pouvait avoir des « activités » il n’y a que des entreprises qui ferment et font faillite.
Les LR et les RN veulent faire passer une loi qui sanctionnerait les propos anti-républicains. Avant de tenter de comprendre les motivations, il faut déjà analyser le fond de ce texte. La première chose qui frappe l’esprit, c’est que la définition même du sacrilège n’est pas définie. Ce sera donc l’arbitraire, le vecteur qui conduira à qualifier les dires d’un individu comme contraire à la république. Cette loi fleure bon le totalitarisme ! Ah, nous les entendons d’ici les défenseurs de ce projet de loi, comment peut-on juger totalitaire un texte qui vise à protéger la République ? Justement parce qu’on ne peut pas garantir une liberté en faisant de l’objet à défendre un sanctuaire, sauf à verser dans le mystique et à transformer la république en une nouvelle théocratie où Dieu serait remplacé par les députés, les juges et le pouvoir en général. La république n’est qu’un régime parmi d’autres, on ne peut pas le sacraliser à ce point, aller jusqu’à prétendre qu’il détient un universalisme qui ne saurait être remis en question sur des fondements purement subjectifs, plus proches d’une idéologie théologique du pouvoir qu’animés par un souci de représentation démocratique.
« La société ne le punira pas assez… » Dix mois après la violente collision qui a coûté la vie à Quentin, son fils, Philippe Gobet, ne cache pas sa colère. Fin juin, il a appris que l’homme qui a pris la fuite après avoir foncé dans la voiture de son fils cadet sera jugé le 16 juillet prochain par le tribunal de Niort. À quelques jours de l’audience, le père de famille ne se fait pas d’illusions. Le chauffard « encourt au maximum dix ans de prison et 150.000 euros d’amende. On sait comment ça marche… Dans cinq ou six ans, il sera à nouveau dehors. » Philippe Gobet entend donc faire entendre sa voix, celle d’un « Français honnête et travailleur qui n’intéresse personne ».
Les faits reprochés à cet Algérien sans-papier implique essentiellement des étrangers. Puisque le 24 mai dernier, alors qu’il rodait sur les pentes de la Croix-Rousse, il avait, avec deux complices, attaqué un groupe de touristes anglais pour voler une montre. Un autre clandestin, assistant à la scène, avait tenté de s’interposer. En retour, il avait été poignardé par l’Algérien.
Sept sur vingt. Ce n’est pas une note du baccalauréat ou du brevet des collèges, mais le nombre de villes françaises citées dans le classement Numbeo des « vingt villes les plus criminelles d'Europe à la mi-2025 ». Un score effrayant.
Le grand remplacement n’existe pas. Mais TF1 découvre que la France ressemble de plus en plus à Bagdad.
Le même groupe de 50 jeunes, qui s’est incrusté sans payer, donc sans gilet de sauvetage. Ils ont poursuivi l’agent qui s’était réfugié dans un bungalow. Ils voulaient sa peau ! Il est traumatisé. Je ne peux pas assurer la sécurité de mes salariés. C’était Bagdad !”