
Ce groupe ferait venir clandestinement des ressortissants marocains en région parisienne en toute discrétion. Pour près de 7 000 euros, ils rejoignent la France avec un visa avant d’être pris en charge pour les démarches de régularisation devant la préfecture. Un rabatteur présumé, mis en examen en mars, s’est vu notifier son maintien en détention.