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insécurité - Page 586

  • Ensauvagement de la société : Chantal Delsol demande où sont les pères

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    La mort d’un adolescent roué de coups par d’autres mineurs et l’affaire du lycéen braquant un pistolet à bille sur son professeur conduisent à s’interroger sur l’effacement des pères, analyse la philosophe Chantal Delsol dans une tribune publiée par Le Figaro.

    La stupeur domine à voir un garçon de 13 ans tué à coups de barres de fer par des adolescents de son âge aux Lilas (Seine-Saint-Denis). On a le sentiment – le souvenir ? – que «cela n’arrivait pas avant». Les rixes et les règlements de comptes existent dans toutes les zones urbaines, et certaines en sont coutumières. Mais un jeune ado, presque un enfant! Puis, on nous informait que, à Créteil, un lycéen a braqué un pistolet à bille sur son professeur afin d’être marqué présent pendant qu’un de ses camarades filmait la scène et la diffusait sur les réseaux sociaux…

    L’enfant n’est pas le bon sauvage de Rousseau. Il attend son humanisation. Si on ne l’humanise pas d’une manière ou de l’autre il se hâte de demeurer au chaud dans la barbarie primitive. (…)

    https://www.medias-presse.info/ensauvagement-de-la-societe-chantal-delsol-demande-ou-sont-les-peres/99845/

  • Quel avenir pour le militantisme blanc ? par Thierry DUROLLE

     

    Dans la nuit du 2 au 3 octobre 2018, le local du Bastion social clermontois fut à nouveau la cible des nervis du Système. Les militants antifascistes de la CARA (Cellule antifasciste révolutionnaire d’Auvergne) ont vandalisé une seconde fois l’Oppidum, ce local qui secoue malgré lui la vie de la cité arverne, suivi d’une tentative d’incendie dans la nuit du 3 au 4 octobre.

    Une grande campagne fut menée contre l’arrivée des militants en juillet dernier avec l’appui d’Olivier Bianchi, le ventripotent maire de Clermont-Ferrand, qui a visiblement pardonné le casse de sa voiture par les militants de la CARA. Le torchon local, La Montagne, a fait ses choux gras de toutes ses histoires en relatant le moindre fait divers en rapport, de près ou de loin, au Bastion social.

    Avant ce nouveau saccage, des militants furent mis en cause dans une rixe suite à une énième provocation. Ces derniers, au nombre de trois, ont été mis en prison en préventive suite à un séjour en Alsace pour deux d’entre-eux. Le troisième qui, d’après nos informations, n’a pas porté de coups fut lui aussi embastillé. Soulignons pour une fois l’efficacité, dans un effort commun, de la police et de la justice française… Des peines de sursis et de prison ferme ont été prononcées à l’encontre des deux militants et du troisième comparse. Finalement, la section clermontoise du Bastion s’est dissoute le 16 octobre dernier.

    À l’instar de l’« affaire Méric », la réaction du Système est sans aucune pitié envers ses ennemis. Les militants du Bastion social le savaient. Quoiqu’il en soit, nous nous devons de saluer une initiative courageuse qui, comme a pu faire le MAS, a pour but d’agir dans le réel et pour le pays réel. Cela est aussi le cas pour les actions de la Dissidence Française et de Génération Identitaire.

    L’encrage du Bastion social et des mouvements militants en général se situe en ville, grande ou moyenne. Points névralgiques de la société liquide actuelle, ces endroits sont devenus des tumeurs cancéreuses. Il fut un temps où les villes drainaient les campagnes de leurs habitants pour les transformer en ouvriers. Maintenant les villes regroupent d’un côté les adhérents à la mondialisation, les bobos, les hipsters, les cadres dynamiques et l’homo festivus en général; de l’autre, elles concentrent les travailleurs précaires, les chômeurs, les SDF, les clandestins et les pauvres de toutes sortes. Elles offrent sur un plateau d’argent le fameux « jouir sans entraves » de mai 68 aux moutons producteurs-consommateurs. Ces Megalopolis peuvent se résumer de nos jours au triptyque UberTinderBurger.

    Bastion GUD

    Lorsque nous observons les photographies postées par des militants de droite radicale, nous constatons que ceux-ci sont de parfaits urbains. Sauf exception, ils n’ont rien à envier à leurs congénères hipsters. Le portrait type du jeune militant est celui d’un Homo festivus dans l’âme, consommateur de vêtements de marque aux prix exorbitants, parfois aussi de junkfood, et surtout d’alcool – quand ce n’est pas tout simplement de la drogue. L’alcoolisation des masses est un fléau, particulièrement dans notre mouvance. Promouvoir un mode de vie sain dans un monde en déréliction totale, voilà un projet subversif et révolutionnaire : boire modérément (et de l’alcool de qualité, pas de la bière pour lycéens) ou pas du tout, manger bio et de façon équilibrée, avoir une ou plusieurs activités physiques, arrêter la cigarette, etc., nous semblent être le b.a – ba. Face aux laxistes soyons ortho-rexistes !

    Se croyant révolutionnaire, le militant de la droite radicale fait figure d’adolescent bourgeois face à certains militants d’extrême gauche réellement révolutionnaires dans l’âme et en actes. Il est temps pour les militants soucieux de préserver le meilleur des Albo-Européens de déserter les villes et d’adopter un mode de vie différent.

    Il fut un temps où l’idée de « retour à la terre » était en vogue. Le terrain fut déblayé par les contestataires de 68 partis s’installer dans le Larzac, en Lozère ou en Ardèche. Ces expériences furent pour la plupart des échecs puisque beaucoup de ces bourgeois étaient en réalité des incapables. Pourtant ces expériences inspirèrent de futures générations de gauchistes qui se débrouillèrent par la suite mieux que leurs aînés.

    Notre idée du « retour à la terre » s’inspire plutôt du courant Völkisch et de son Heimatschutz, de certains mouvements de jeunesse allemands comme le Bünd des Artamanen, de l’idéologie Blut und Boden du Reichsbauernführer Walther Darré. N’oublions pas notre beau pays avec ses écrivains enracinés : Mistral, Giono, Vincenot et aussi Henri Pourrat. Ce dernier magnifia la paysannerie de son terroir du Livradois-Forez dans des ouvrages comme L’Homme à la bêche ou Le paysan français. Robert Dun demeure une source d’inspiration de premier plan du fait de son écologisme, de son racialisme et de son paganisme dionysiaque. Enfin, sur un plan plus politique, remémorons-nous le discours de Barrès sur la terre et les morts ou encore le mouvement paysan des « Chemises vertes » d’Henry Dorgères. Voilà des sources d’inspiration pour un « retour à la terre » bien de chez nous. Mais est-ce suffisant ?

    En fait, le concept de « retour à la terre » ne nous convient guère. Nous lui préférons celui d’enracinement ou plutôt de ré-enracinement. Les campagnes françaises se désertifient. Lorsque le géographe Christophe Guilluy évoque une France périphérique, il n’exagère pas. Alors, plutôt que de remplir nos terroirs par des clandestins, pourquoi ne pas les remplir avec d’affreux « suprémacistes blancs » ? Contrairement à ce que pense Arthur Kemp, pas besoin de partir en Russie pour bâtir un foyer blanc ! À ce titre, un exode des Français albo-européens à l’Est engendrerait inévitablement, sur les futures générations, un métissage avec les peuples autochtones. Métissage biologique et culturel : devons-nous rappeler que les colons européens irlandais ou allemands partis en Amérique ne sont plus des Européens d’esprit ?Abandonner la terre de nos pères pour une terre « étrangère » représenterait une terrible défaite et ne doit être envisager uniquement comme ultime recours.

    Néanmoins, tout le monde n’est pas apte à aller au bout d’une telle démarche, surtout si elle s’accompagne d’un changement de mode de vie radical. Mais, à l’évidence, nos paroles doivent être authentifiées par des actes comme le rappelait Dominique Venner. Notre ennemi est le Système ? Alors nous devons nous glisser dans ses fissures pour retrouver des espaces de liberté.

    Nous avons conscience du parti pris de nos propositions. Cet voie ne plaira pas à tout le monde. Beaucoup préféreront « militer » au chaud au bistrot. Pour les véritables révolutionnaires, le combat continue mais loin des villes. Ce qui fut autrefois symbole de Haute-Culture a été retourné pour devenir un agent dissolvant des peuples blancs. Pour autant, ne nous méprenons pas sur l’état de la ruralité : elle est bien mal en point. Il ne faut pas l’idéaliser mais envisager sa potentialité dans le combat qui est le nôtre. Un chef français prononça un jour ces mots. « La terre, elle, ne ment pas. Elle demeure votre recours. Elle est la patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de France qui renaît. »

    Oui, la terre ne ment pas… pour autant qu’on la traite avec respect ! Cette glèbe nourrie du sang de nos ancêtres doit être réinvestie sérieusement par la Droite radicale. Le ré-enracinement des hommes différenciés de notre camp relève de l’obligation.

    Thierry Durolle

    http://www.europemaxima.com/quel-avenir-pour-le-militantisme-blanc-par-thierry-durolle/

  • Afrique du Sud : lorsque le roi des Zoulous vient au secours des fermiers blancs

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    Chers amis de Boulevard Voltaire,
    Je vous écris d’une ferme viticole de la vallée d’Elgin, dans la province du Cap, là où les premiers Hollandais ont débarqué en 1652 pour fonder la communauté des Afrikaners, les Africains blancs de cet immense pays. Si cette vallée, située à environ quatre-vingts kilomètres de Cape Town, regorge aujourd’hui de fruits de toutes sortes et de vins qui font le bonheur des locaux mais aussi des exportateurs, c’est à ces premiers pionniers qu’elle le doit…

    Ce pays de 54 millions d’habitants doit, en effet, dans une large mesure son succès économique aux neuf pour cent de Blancs qui ont mis en valeur l’immense potentiel agricole et industriel réparti sur les 1.300.000 kilomètres carrés qui vont de l’océan Indien à l’Atlantique.

    Vingt-cinq ans après la fin de l’apartheid, la démocratie qui a accouché du One man, one vote a donné à ce pays l’illusion que le nouveau pouvoir allait porter cette nation arc-en-ciel vers de nouveaux sommets, Noirs et Blancs la main dans la main. Tandis que la discrimination positive destinée à amener plus de Noirs aux postes de responsabilité a largement contribué à baisser le niveau d’efficacité dans les principales industries, l’agriculture, toujours aussi efficiente que par le passé, commence à souffrir des attaques de fermes appartenant aux Blancs et des massacres de fermiers (trois cent quarante-six attaques, rien que cette année, et 46 fermiers et membres de leurs familles assassinés de façon violente).

    Un allié de marque et de poids s’est récemment rangé du côté des Afrikaners, le roi Goodwill Zwelithini, chef des Zoulous, qui a prévenu le pouvoir central que la redistribution des terres zoulous (37.000 kilomètres carrés) dans le Kwazulu/Natal par le gouvernement n’était pas d’actualité. Dans le même souffle, le roi des Zoulous a fait savoir qu’il était contre la saisie des terres appartenant aux Blancs.

    Le nouveau président sud africain, Cyril Ramaphosa, prisonnier des extrémistes de Julius Malema (EFF, Economic Freedom Fighters) qui a pour slogan « Un fermier, une balle », a réitéré son intention de modifier la Constitution afin de pouvoir récupérer ces terres sans compensation pour les fermiers.

    Pour faire face à cette menace, les Afrikaners ont mis sur pied AfriForum, une organisation chargée de défendre leurs intérêts dans ce pays dont ils revendiquent une large part de son développement et de son succès économique. Devant l’indifférence des autorités qui minorent les attaques de fermes et les meurtres des fermiers, AfriForum a envoyé aux États-Unis et en Australie, notamment, des émissaires chargés d’alerter l’opinion publique sur ce qui se passe dans ce pays. Jusqu’ici, le président Trump a été le seul chef d’État à réagir à ces meurtres en demandant à son secrétaire d’État Mike Pompeo de se pencher sur la question.

    Cette situation ne cesse d’inquiéter ici, non seulement les fermiers, mais aussi les banques qui ont prêté d’importantes sommes à ces derniers pour développer leurs fermes. Une inquiétude qui commence à poindre du côté des organismes financiers internationaux peu soucieux d’injecter de l’argent dans un pays qui risquerait, demain, de ressembler au Zimbabwe d’aujourd’hui.

    Jean-Pierre Lenoir

    http://www.bvoltaire.fr/afrique-du-sud-lorsque-le-roi-des-zoulous-vient-au-secours-des-fermiers-blancs/

  • Créteil : le corps enseignant se réveillerait-il enfin ?

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    Le monolithe pourrait se fissurer, et, dans la brèche, s’engouffrer le vrai débat. Sur le fond.

    Mieux vaut tard que jamais ! Mais ne crions pas trop vite, comment dire ? « C’est parti. » Non, les personnels de l’Éducation nationale n’en sont pas encore là. Les idéaux républicains à restaurer, toujours lointaine perspective. Mais le simple fait d’écorner enfin le mammouth va dans le bon sens. Le monolithe pourrait se fissurer, et, dans la brèche, s’engouffrer le vrai débat. Sur le fond.

    Le drame de la violence au quotidien de Créteil s’inscrit comme un déclencheur. M. Blanquer, une vedette gouvernementale, a dû admettre l’extrême gravité des conditions de travail imposées aux enseignants. C’est fondamental. Et contraint de donner un signe fort, il… mais je laisse la parole à la FCPE : « Quel triste aveu d’impuissance que d’annoncer pour toute action l’interdiction du téléphone portable dans les lycées. » C’est révélateur. D’autant plus dérisoire qu’au cas présent, c’est par un portable que l’alerte a été déclenchée. On en rirait si ce n’était dramatique.

    C’est bien clair : ce n’est pas du ministère que viendra la solution. Ni de son administration. Ni de ses syndicats. Ils ne sont toujours pas « dans le coup ». Ne veulent toujours pas comprendre. Mais des personnels eux-mêmes. Et de la société.
    Car l’important, dans ce « pasdevague » est, d’une part, que le corps professoral commence à s’exprimer et, d’autre part, l’aveu du ministre et de la hiérarchie des errements coupables. Maintenant, il ne faut pas se focaliser sur cette violence, qui n’est qu’un des symptômes du naufrage, certes des plus nauséabonds, pour décrypter comment le système en est arrivé là. Afin de redresser le mammouth. Pour refaire de l’Éducation nationale le moteur efficace et performant de l’ascenseur social. Un ciment de la société.

    Comment est-il admissible que toutes les évaluations mondiales des performances scolaires (IEA, PISA, TIMSS, PIRLS… généralement agréées par la France) nous placent en queue de peloton en lettres, en maths. Alors que caracolent en tête les pays asiatiques et… la méchante Russie. Pas de leçons à prendre ?

    Le système réduit à amuser la galerie. Faire croire que… presque tous les élèves sont reçus au bac, les parents applaudissent. Les meilleurs culminent à 21/20 – génial. Et la « presse » de faire mousser l’entourloupe : palmarès, hit-parades… Bientôt, 100 % de réussite au bac : preuve qu’on est bon… Mais les facultés sont engorgées d’étudiants qui ne passent pas la première année.

    L’Éducation nationale continue de titulariser à 7/20 (pour 40 ans de carrière…) des capésiens qu’elle sait inaptes.

    Bien loin de nous l’idée d’accabler une institution qui nous est chère et dont nombre d’entre nous ont bénéficié des performances passées. Mais, justement, il est grand temps qu’à travers ses composantes, elle fasse le bilan de dizaines d’années de ténèbres politiquement correctes, sous la férule de syndicats désaxés et non représentatifs, et d’une hiérarchie politico-administrative complice, lâche hélas, et désorientée ?

    Peut-on espérer qu’avec l’électro-choc de Créteil, la parole redevienne libre et n’élude aucun des terrains qui ont miné cette deuxième « grande muette » ? Et, soyons fous, que l’Université se remette à penser ?

    Quelques signes sont encourageants. On peut y croire. Et y contribuer !

    Gérard Bailliet

    http://www.bvoltaire.fr/creteil-le-corps-enseignant-se-reveillerait-il-enfin/

  • Violences scolaires : Marine Le Pen propose 10 mesures contre «l’ensauvagement en milieu scolaire»

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    La présidente du Rassemblement national a tenu jeudi matin une conférence de presse depuis l’Assemblée nationale. Elle en a profité pour présenter dix mesures pour « agir contre l’ensauvagement en milieu scolaire ».

    Selon Marine Le Pen, la polémique de l’enseignante braquée par un élève à Créteil « a révélé une vérité que les lecteurs attentifs des faits-divers connaissent mais que le monde de l’Éducation veut occulter par les mensonges d’État, la culpabilisation de la communauté éducative, l’abandon des enseignants, la culture de l’excuse ».

    Parmi les mesures proposées : rétablissement des peines planchers et suppression des remises automatiques de peine, suppression du versement des aides sociales « aux parents de mineurs récidivistes en cas de carence éducative manifeste », plan de désarmement des banlieues, « injonction civile d’éloignement » pour les délinquants dangereux ou récidivistes.

  • #PasDeVague : la révolte des profs – Journal du mercredi 24 octobre 2018

    Société / #PasDeVague : la révolte des profs
    Quelques jours après la diffusion d’une vidéo d’un élève braquant son professeur à Créteil, le monde scolaire est sorti de sa torpeur en lançant le hashtag PasdeVague. Un Me too à la sauce enseignante sans effet sur le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer.

    Politique / Assurance chômage : encore une réforme pour rien ?

    Union Européenne / L’Italie dans le collimateur de l’UE
    Bruxelles sort le bâton contre l’Italie. Mardi, la commission européenne a rejeté le budget du gouvernement de coalition de Matteo Salvini. Du jamais vu qui pourrait lancer une nouvelle crise.

    International / Pékin, nid d’espion
    La Chine à l’assaut du monde professionnel et administratif français. Les renseignements s’inquiètent des tentatives massives de soustractions d’informations mais aussi de brevets…

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • L’ex-n°1 d’un groupe jihadiste déchu de sa nationalité belge : à quand la même mesure en France ?

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    Mardi 23 octobre 2018, l’ancien numéro un du groupe jihadiste Sharia4Belgium, le Belgo-Marocain Fouad Belkacem, a été déchu de sa nationalité belge par la justice. Il était un proche du mouvement islamiste Forsane Alizza, dont plusieurs membres avaient projeté d’assassiner Fabrice Robert, le président du Bloc Identitaire en 2012. Le groupe Sharia4Belgium, qui avait annoncé sa dissolution en octobre 2012, est considéré comme le précurseur en Belgique du recrutement de combattants jihadistes pour la Syrie.

    Son leader Fouad Belkacem, un Anversois d’origine marocaine, a été condamné début 2015 à 12 ans de prison pour avoir dirigé une « organisation terroriste », une peine confirmée en appel un an plus tard. Mardi, la cour d’appel d’Anvers a décidé de le déchoir de sa nationalité belge, conformément au vœu du ministère public. Celui-ci a estimé que Fouad Belkacem (36 ans) avait « gravement manqué à ses obligations de citoyen belge et constituait une menace permanente pour la sécurité publique ».

    Les identitaires saluent cette décision et encouragent sa mise en œuvre dans tous les pays européens et en particulier en France. En effet, de nombreux djihadistes francophones disposent de la double nationalité. Cette mesure avait été proposée en premier lieu par les identitaires et avait même été portée par le président Hollande et le Premier ministre Manuel Valls avant d’être abandonnée sous pression de l’aile gauche du Parti socialiste. Les identitaires avaient été une nouvelle fois en première ligne pour la défense de notre peuple, les Français s’étant prononcés massivement en faveur d’une telle disposition : plus de 92 % d’entre eux avaient déclaré y être favorables dans un sondage BVA en 2015 !

    Avec le retour incessant de djihadistes depuis des zones de guerres où ils ont pu apprendre le maniement des armes et la confection d’engins explosifs, cette mesure devient de plus en plus urgente et indispensable. Les nôtres doivent être protégés et les islamistes expulsés !

    Un communiqué des Identitaires

    https://fr.novopress.info/212400/lex-n1-dun-groupe-jihadiste-dechu-de-sa-nationalite-belge-a-quand-la-meme-mesure-en-france/

  • Le nombre de blessés graves par arme blanche en forte hausse aux Royaume-Uni

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis deux ans, le nombre de victimes de coups de couteau avec des blessures mortelles a augmenté de 34%, selon les chiffres du National Health Service. Les médecins signalent en outre une augmentation de la gravité des agressions, les victimes arrivant de plus en plus souvent à l’hôpital avec de multiples plaies perforantes.

    Le Dr Ross Davenport, chirurgien à l’hôpital Royal London de Whitechapel, a déclaré au Guardian, « Auparavant, on voyait une ou deux plaies par victime. Aujourd’hui, nous voyons fréquemment de multiples blessures, cinq ou parfois dix coups de couteau sur un seul patient ».

    Sur la période allant de 2017 à 2018, 9 des 11 principaux hôpitaux britanniques ont indiqué avoir traité 2 278 blessures graves au couteau, soit une augmentation de plus d’un tiers par rapport à la période 2015-2016.

    https://fr.novopress.info/212392/le-nombre-de-blesses-graves-par-arme-blanche-en-forte-hausse-aux-royaume-uni/

  • Mais qui agresse les homosexuels en France ? – Le mensonge sur l’homophobie, par Caroline Parmentier

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    Selon Joël Deumier, président de SOS Homophobie qui avait appelé à manifester samedi à Paris contre la recrudescence des violences homophobes, c’est « le pape, la Manif pour tous et Marcel Campion » dont « il faut condamner d’urgence les paroles LGBTphobes »… A la nuit tombée, c’est bien connu, ils se mettent tous en bandes et ils se livrent à des ratonnades de gays.

    De qui se moque-t-on avec cette énorme hypocrisie, cette nouvelle omerta ? On sait très bien qui aujourd’hui en France agresse les femmes, les Juifs et les homosexuels. Dans les écoles, dans certaines rues, dans les quartiers. Dans les pays appliquant la charia, l’homosexualité est un crime qui peut être puni par la lapidation. Plusieurs hadiths du Coran attribués à Mahomet condamnent l’homosexualité et prescrivent parfois également la peine de mort comme sanction. Les salafistes préconisent de jeter les sodomites du haut d’une tour.

    Selon l’étude allemande conduite par le Centre scientifique pour la recherche sociale de Berlin (WZB) en 2015, et menée par 160 scientifiques allemands dans 6 pays européens sur 9 000 personnes, « 85 % des musulmans sont homophobes ». Selon une autre étude belge, celle de la KUL (l’université de Louvain) « un jeune musulman sur cinq évite le contact avec les homos » : « Les personnes de confession musulmane, et principalement les jeunes garçons, se montrent clairement plus homophobes que les autres groupes de population », selon le professeur Hooghe, « ils deviennent même de plus en plus intolérants à l’égard des homos ». Cette étude-là remonte à 2012, car depuis, on a préféré casser le thermomètre.

    Réclamons une étude auprès des catholiques, des musulmans et des juifs

    « Un problème connu qu’il faut relativiser », minimisait déjà Edouard Delruelle, directeur adjoint du Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme : « Attention à ne pas stigmatiser les jeunes musulmans, à ne pas stigmatiser toute une communauté, on doit se battre tous ensemble contre toutes sortes de discriminations. » Mais ça, c’est le monde multiculturaliste, pluriethnique et plurisexuel qu’ils voudraient et dont ils rêvent. Ce n’est pas la réalité.

    A Paris samedi, le nouveau ministre de la Culture, Franck Riester, était à la manifestation. Il a rendu publique son homosexualité en 2011, tout comme le secrétaire d’Etat en charge du numérique, Mounir Mahjoubi, également présent au rassemblement, aux côtés du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. Ils ont défilé en scandant « stop aux LGBTphobies » et pour le droit d’« aimer librement ». Qu’ils en parlent donc à leurs chers musulmans, accueillis toujours plus nombreux depuis des années sans rien avoir à renier de l’islam.

    « Ils osent enfin parler », nous dit-on au 20 heures. Qu’ils disent l’entière vérité alors. Et réclamons une étude sur l’homophobie réalisée dans un échantillon de Français issus des principales religions de France et publions les résultats !

    Caroline Parmentier

    Article paru danPrésent daté du 22 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212397/mais-qui-agresse-les-homosexuels-en-france-le-mensonge-sur-lhomophobie-par-caroline-parmentier/

  • Vous avez dit racaille scolaire ?

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde savait depuis les années 1980 qu’il existait d’énormes problèmes de discipline dans les écoles publiques - celle de la République laïque, tellement pure et dure qu’un nombre effarant de jeunes mahométanes y exhibent un voile islamique, fort peu usité au Maroc pour prendre un contre-exemple simple.

    Il a fallu que deux mineurs d’âge, issus de l’immigration noire africaine, menacent une enseignante, l’un étant armé d’un pistolet (à plomb ou à amorce : les informations sont volontairement imprécises du côté du ministère de l’Intérieur), pour que l’on porte à la connaissance du public l’énorme scandale de l’insécurité à l’école, reflet de la pourriture du régime.

    Dès la fin des années 1980, diverses publications d’auteurs réputés de « droite extrême » dénonçaient les violences physiques (entre élèves ou par agression d’enseignants), le racket, le trafic de drogues... et certains parents de rejetons pourris n’hésitaient pas à en « remettre une couche », en insultant, voire en frappant les enseignants. On rappelle que chaque année quelques élèves se font poignarder dans les écoles de la Ripoublique ou sur le chemin menant au domicile parental.

    L’on a admiré que dans l’immigration exotique – d’origine africaine ou moyen-orientale –, l’on n’hésitait pas, quand on était un grand et gros homme, à frapper une femme, pourvu qu’elle ne soit pas mahométane (Oumma oblige). La condition féminine n’a pas été améliorée, en France, par l’importation des « chances pour la France », qui généra, d’abord et avant tout, un surcroît de violence, dans les rues et les immeubles d’habitation, mais aussi dans les écoles, dans les hôpitaux et dans les transports en commun.

    Or, les bonnes questions ne sont jamais posées.

    Pourquoi s’acharner à scolariser des sous-doués violents, éléments perturbateurs des élèves calmes et souhaitant apprendre ? Pourquoi continuer à distribuer des allocations diverses à des familles de voyous ?

    Pourquoi ne pas appliquer les lois déjà existantes ? Ses parents sont responsables des crimes et délits commis par un mineur d’âge. Frapper la famille d’amendes ou la menacer d’expulsion si elle n’est pas titulaire de la nationalité française sont des mesures conformes à la loi.

    Pourquoi ne pas créer des lois adaptées à l’actuelle situation explosive ? Le délinquant récidiviste doit être exclu de l’école, interné en centre de détention-rééducation (illusoire, en fait), ou mieux, réexpédié dans son pays originel, l’expulsion devant toucher l’ensemble de la famille si plusieurs de ses rejetons s’avèrent criminels ou délinquants inassimilables.

    Car, c’est une évidence : la canaille violente, racketteuse, trafiquante, incendiaire, rebelle à l’autorité légitime (à ses authentiques dépositaires, soit autre chose qu’un Benalla !), la crapule violeuse, l’adolescent porteur d’une arme, sont les fruits pourris d’une éducation ratée. Les parents portent l’écrasante responsabilité de cette situation, de ce ratage, de cette moisissure sociale, hautement contagieuse.

    L’État a pour rôle majeur d’assurer la protection des honnêtes citoyens, dans leur intégrité physique et morale et dans leurs biens. Que nos ministres prennent enfin conscience du problème, trente-cinq ans après sa survenue, c’est une bonne chose : « Mieux vaut tard que jamais » !

    En aucun cas, cette prise (très tardive) de conscience ne doit déboucher sur des mesures à l’eau de rose ni sur de nouveaux milliards d’euros gâchés inutilement dans les cités de non-droit.

    Il faut impérativement ramener l’ordre et commencer une politique d’expulsion des sujets inutilement arrivés et inassimilables : délinquants récidivistes, criminels, apologistes du terrorisme djihadiste.

    Mais aussi, les enseignants doivent quelque peu balayer devant leur porte. Ils ont, durant trente-cinq ans, beuglé sur tous les tons que les lanceurs d’alerte étaient des « fâââchistes ». Il est grand temps de comprendre que le Barbare n’est pas « devant notre porte », mais qu’il est déjà très largement implanté dans notre pays et que des mesures draconiennes s’imposent.

    La plus urgente est d’organiser un référendum sur l’opportunité de fermer définitivement les frontières à l’immigration extra-européenne (ou de n’admettre que des migrants sélectionnés au cas par cas) et sur celle d’instaurer un retour à l’envoyeur des sujets inutilement importés.

    Après tout, l’unique souverain de l’État français n’est ni son Président de la République ni les roitelets de la Communauté européenne, mais la Nation française.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/22/vous-avez-dit-racaille-scolaire-6099107.html