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insécurité - Page 590

  • La guerre entre la Russie et Israël en Syrie a été évitée de justesse grâce à cette simple technologie

    Moshe Yaalon, ex-ministre israélien de la Défense, a confié à Sputnik que l’établissement d’une ligne directe entre les militaires israéliens et leurs homologues russes en Syrie servait à éviter les affrontements non souhaités lors des opérations dans ce pays.

    Dans une interview accordée à Sputnik Moshe Yaalon, ex-ministre israélien de la Défense, a raconté que la ligne directe établie entre les militaires israéliens et russes depuis près de trois ans avait dès le début permis d’éviter un grave incident quand un avion des forces aérospatiales russes avait failli entrer dans l’espace aérien de l’État hébreu.

    «Elle (la ligne directe, ndlr) sauve des vies parce qu’elle permet d’éviter les malentendus. Au début de la présence russe, il y a eu une situation dans laquelle un pilote russe était à deux doigts de franchir notre frontière dans le Golan. L’avion aurait été abattu s’il avait été syrien. Mais nous avons compris que c’était un avion russe et nous avons recouru à la ligne directe pour contacter Hmeimim (une base militaire russe en Syrie, ndlr): « Votre avion va pénétrer dans notre espace aérien. Faites attention! »», a raconté M.Yaalon, un des créateurs de cette ligne directe à l’automne 2015. 

    «Le problème a été réglé en un clin d’œil. Si un avion syrien avait été à sa place, il aurait été évidemment abattu», a-t-il ajouté.

    Environ un an avant et dans des circonstances similaires, les militaires israéliens avaient abattu un bombardier syrien Su-24 au-dessus de la zone du Golan sous leur contrôle.

    Une ligne directe entre la base de Hmeimim et le centre de commandement de l’armée israélienne à Tel Aviv a été établie aussitôt après le déploiement en Syrie du groupe aérien russe. Les deux parties sont très satisfaites de l’efficacité de ce «mécanisme de « déconfliction »» et sont intéressées par son fonctionnement continu. 

    https://fr.sputniknews.com/international/201805051036228836-syrie-ligne-directe-israel-russie/

  • Israël fait pression pour que Trump dénonce l'accord sur le nucléaire iranien

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    D'Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    "C’est le grand feuilleton que Donald Trump savoure depuis longtemps. Déjà, pendant sa campagne électorale, le futur président n’avait pas de mots assez durs pour dénoncer cet accord, « le pire » que l’Amérique ait signé. Il est vrai qu’avec lui, le pire est souvent atteint. Depuis son élection, le discours a certes connu des variations, mais la tendance générale est à la dénonciation et donc au retrait américain de ce traité qui fut signé par les cinq membres du Conseil de sécurité de l’ONU, plus l’Allemagne et l’Iran.

    Appelé JCPOA (Joint Comprehensive Plan of Action), il avait été très complexe à mettre en œuvre. La France y était opposée malgré les pressions des milieux d’affaires qui rêvaient de s’implanter en Iran. Laurent Fabius, fit tout pour faire capoter les négociations. Israël également. Mais l’habileté de Lavrov, la détermination d’Obama et les concessions iraniennes aboutirent à une signature en juillet 2015.

    Les fréquentes envolées de Trump sur le sujet laissaient penser que l’affaire était entendue et que le retrait américain était certain, comme pour le traité sur le climat. Mais la détermination européenne (on croit rêver en accolant ces mots) a fini par peser sur l’obstination de Trump. La France et l’Allemagne lui ont rappelé qu’un accord, même imparfait, était préférable à l’absence d’accord. Macron a donc proposé de le renégocier pour y inclure des discussions sur les missiles balistiques et sur la présence iranienne en Syrie.

    Les Russes ont doctement rappelé que l’accord était signé et qu’il n’y avait pas de raisons de revenir dessus. Quant aux Iraniens, furieux, ils déclarent qu’aucune nouvelle négociation n’aura lieu. Mais, en réalité, ils sont très inquiets et voient s’éloigner les levées définitives des sanctions qui empêchent le décollage économique du pays.

    Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves. Mais, comme pour l’attaque chimique en Syrie, on les attend toujours. Personne ne l’a cru, et son mensonge a été finalement contre-productif.

    C’est le 12 mai que Trump annoncera sa décision. En attendant, il jubile : « Personne ne sait ce que je vais faire le 12 mai. Je pense que nous aurons une super occasion de faire un bien plus gros accord, peut-être. » Voilà qui n’est pas limpide, mais rappelons-nous que Trump a ses propres règles du jeu. En attendant le 12 mai, l’Iran ne se fait guère d’illusions et le Président Rohani s’est permis une sortie étonnante. A la télévision iranienne, il a ainsi interpellé Trump: « Vous n’avez aucune expérience en matière de traités internationaux. Comment un marchand, un constructeur de tours, peut-il émettre des jugements sur les affaires internationales ? ». Espérons que la raison l’emportera chez Trump et que l’on évitera le saut vers l’inconnu."

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  • Suède : militant pour l’accueil des migrants, elle se fait violer par 2 d’entre eux

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    Rappelons que la Suède – l’un des pays les plus ouverts à l’immigration – a désormais le 2e plus haut nombre de viols par an (derrière l’Afrique du Sud libérée de l’apartheid).

    D’après les statistiques officielles, une Suédoise sur 4 sera violée.

    Une Suédoise « d’une quarantaine d’années a été brutalement violée par un adolescent afghan, tandis qu’un autre migrant la molestait », a-t-il été expliqué dans un tribunal du pays.

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  • Déjà 7 blacks bocs ayant participé au saccage du 1er mai remis en liberté ! Bravo la justice !

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    1er Mai : 7 suspects d’extrême gauche mis en examen, mais remis en liberté

    Intox : l’AFP et le service public veulent faire croire à la sanction des anti-républicains
    Les groupes d’extrême gauche ne sont pas dissous

    « Sept personnes - sur 1.200 – soupçonnées d’avoir commis des dégradations après la manifestation du 1er-Mai à Paris ont été mises en examen et remises en liberté sous contrôle judiciaire, contre l’avis du Parquet qui avait demandé leur détention provisoire, a-t-on appris samedi de source judiciaire.

    La justice se rend coupable d’une inexactitude visant à masquer l’intention révolutionnaire des « suspects ». « Présentés à un juge d’instruction dans la soirée de vendredi, rapporte l’AFP, les suspects ont été mis en examen pour « dégradations en réunion » et « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences aux personnes ou des atteintes aux biens« , a détaillé la source judiciaire. En vérité, le groupement est pré-existant aux faits de violence.

    Lire la suite sur La Gauche m'a tuer

  • Agression contre Robert Ménard : le portrait d'une gauche agonisante dont le seul argument est la violence

    De Jean-Jacques Edard, président du mouvement "Pour la France", qui avait invité Robert Ménard à St André :

    "Quand il n'y a plus rien à prouver, qu'il n'y a plus d'intelligence, alors surgissent l'insulte, le mensonge, la violence et la brutalité, de véritables animaux sauvages en meute hurlante pour s'attaquer à un homme petit par sa taille mais grand par son parcours, son charisme et ses analyses.

    A St André de Cubzac c'est avec une grande tristesse que j'ai vu des élus et non des moindres haranguer quelques excités venus d'on ne sait d'où... Elu local moi-même, je pensais que notre rôle était avant tout de rechercher l'apaisement , la conciliation, la qualité de vie dans cette mosaïque que composent nos villages, nos hameaux, notre territoire. Nous ne pensons pas tous pareil mais nous sommes voisins et vivons côte à côte.

    Ce samedi 5 mai à 14h, quelle stupéfaction de voir un directeur de CFM (centre de formation multimétiers) participer physiquement à l'agression de Robert Ménard. Je pensais que cet homme chargé d'accompagner la formation de nombreux adolescents avait un devoir d'exemplarité... que nenni... il était parmi les plus virulents, les plus violents promoteurs de haine. Que doit-on penser de son rôle dans cet établissement ?

    Un ancien député... contesté par ses anciens amis... était-il là par amertume de voir que son parti se déchire et perd pied... peut être pensait-il que cette violence referait l'union qu'il n'a pas su préserver... ? Des maires et des adjoints restés passifs devant la violence sans comprendre que ces actes ne pourraient que noircir l'image qu'ils ont dans ce territoire. Heureusement, ils ne portaient pas l'écharpe tricolore... ils l'auraient déshonorée. Voilà le portrait d'une gauche agonisante dont les seuls arguments aujourd'hui sont, la violence et le coup de poing mais surtout en meute contre un homme seul... quel courage... ! Quel avilissement … ! Sont-ils seulement venu écouter Robert Ménard une fois... ? non..., ils l'ont désigné comme ennemi à abattre pour focaliser l'attention des quelques sympathisants qui leur restent afin de ne pas exposer le vide sidéral de leur programme.

    Ce 5 mai Robert Ménard n'était pas accompagné de gardes du corps, contrairement à ce qu'écrit une certaine presse, car parmi nous, personne n'imaginait que malgré quelques articles de journaux agressifs, les responsables locaux, élus et forces de l'ordre pouvaient laisser une telle situation dégénérer ainsi. Ancien militant LCR, (Ligue Communiste Révolutionnaire) et P.S. (Parti Socialiste), Président de Reporter sans Frontières, Robert Ménard nous confiait alors que c'était la première fois qu'il subissait une telle agression physique … triste spectacle d'un lynchage..., quelle image accueillante de la Haute Gironde, quelle promotion pour notre territoire à ajouter maintenant au tableau avec les évènements de Tolbiac, du premier mai, de la zad de n.d.l., etc..., magnifique promotion...

    DSA (Demain St André) avait invité ses sympathisants dont nombres de retraités bien loin d'arriver en treillis mais seulement venus pour écouter et débattre démocratiquement de sujets d'actualité. Ce fut une superbe conférence. Robert Ménard nous a confirmé qu'il reviendrait quand nous l'inviterons car c'est avant tout la démocratie qui doit dominer et non la sauvagerie, la dictature de gauche comme elle a déjà existé dans de nombreux pays. D'autres intervenants viendront en haute Gironde dans les semaines et les mois à venir car l'expérience initiée localement redonne aux électeurs le pouvoir de s'exprimer au delà des partis et montre qu'elle suscite beaucoup d'intérêt, il est de notre devoir de ne pas laisser cette gauche sectaire et violente étouffer la libre expression de chacune et chacun d'entre nous."

    Michel Janva

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  • Un CRS qui a témoigné contre le Système serait interné administrativement d’office dans un hôpital psychiatrique ?

    Ce qui justifie principalement la présentation de ces vidéos sur MPI, c’est l’internement de M. Granié. S’agit-il réellement d’un internement politique et donc abusif ainsi que l’annonce M. Fiorile ? l’hôpital psychiatrique où il est détenu est-il bouclé et pourquoi ? S’il s’avérait qu’un homme se retrouvait interné par mesure administrative à la soviétique, cela serait très grave et confirmerait la dérive autoritaire du régime d’Emmanuel Macron… Même si tout est possible dans cette République issue de la Révolution de 1789, cela ne signifie pas que cela ne soit pas plus complexe qu’il n’y paraît au premier abord, cette information n’est donc transmise qu’à titre de renseignement, ne pouvant être corroborée, en l’état. En effet, nous ne disposons pas d’autres renseignements que ceux transmis par le Conseil National de Transition et par Eric Fiorile (ci-dessus à côté du CRS Marc Granié), son chef de file, qui se définit comme son porte-parole. Celui-ci dit citer des articles qui seraient parus dans la plupart des pays du monde à propos de la manifestation du CNT d’hier à Paris, -qui n’a, semble-t-il, été mentionnée nulle part dans les gros médias- mais il ne présente aucun document concret pour établir la réalité de tels articles. Néanmoins, il y a matière à s’interroger alors qu’une dérive de la liberté d’opinion semble s’accentuer. Voir également les deux vidéos de la manifestation du 5 mai 2018 ci-après.

    Le témoignage de ce CRS est toujours en ligne sur youtube, alors que son auteur aurait été interné brutalement à la soviétique, tel qu’expliqué par Eric Fiorile qui s’exprime dans la vidéo ci-dessus.

    Ce qui ne manque pas de donner à réfléchir ce sont les tentatives de museler de puissants médias comme  Russia Today et Sputnik, ces médias russes qui ne versent pas dans la Macrolâtrie propre aux autres médias du Système. On sait par ailleurs que certains médias français ou américains ont été écartés pour n’avoir pas voulu modifier des interviews d’Emmanuel Macron à la demande de son cabinet, on sait aussi que les autorités françaises ont décidé de s’attaquer aux « fake news » (fausses nouvelles) par voie législative,  mais si on en juge par les faits, seules les nouvelles qui ne font pas l’affaire du gouvernement seraient pourchassées, tandis que les gros médias n’ont jamais autant menti en toute impunité ainsi que le dénonçait il y a quelques jours seulement Marine Le Pen… L’affaire du bombardement de la Syrie sous prétexte d’attaques chimiques sans attendre les résultats de l’enquête de l’IOAC (ONU) est éloquente à ce sujet.

    Étrangement, le site du Conseil National de Transitionne s’ouvre plus ce matin sur Google ? Ce dont la capture d’écran ci-dessous témoigne. Voire plus bas les deux vidéos de la manifestation du 5 mai.

    Voici, pour compléter le peu d’informations contradictoires que j’ai pu trouver sur le sujet, comment en juillet 2015, ce mouvement était présenté par un article du Figaro. Le Monde fait écho au Figaro en ce mois de juillet 2015 avec pour titre: Le 14 juillet, nouveau grand soir des complotistes.

    Depuis ce 14 juillet 2015, je n’ai trouvé aucun article de gros médias, dédié à ce mouvement qui, semble-t-il, n’a pourtant cessé de grossir.

    Ci-dessous deux vidéos enregistrées au cours de la manifestation du CNT du 5 mai 2018, une manifestation qui, apparemment, n’a été couverte par aucun gros médias, alors que celle de la Fête à Macron de Mélenchon était dans toutes les télévisions mainstream et répercutée à grand renfort d’annonces télévisuelles et autres, le franc-maçon Mélenchon qui bénéficie de toute l’attention des médias de grand chemin, étant intronisé comme l’opposant principal à Emmanuel Macron alors que les sondages le placent loin derrière Marine Le Pen …

    La manifestation était-elle non autorisée ainsi qu’il a été dit ? Mais les zadistes ne se gênent pas pour manifester et tout casser, y compris du policier, et cela n’a jamais arrêté la presse… Des positions carrément insurrectionnelles ont été tenues par les blak blocks, avec menaces de mort contre les autorités, sans qu’à notre connaissance personne n’ait été interné d’office en hôpital psychiatrique… Une manifestation de personnes courageusement non masquées, contrairement à d’autres…

    Cette affaire est donc soumise à votre sagacité, telle qu’elle, sans prétendre faire le tour de la question qui est impossible à vérifier en l’état, n’ayant pas d’autres renseignements que ceux transmis par le CNT lui-même. Dans l’attente de plus amples données, cette information n’est donc transmise qu’à titre de renseignement et n’engage qu’Éric Fiorile [et le CNT] qui prend la parole dans les deux vidéos ci-dessous. La seule information parfaitement établie est la manifestation du 5 mai du CNT qui a rassemblé quand même pas mal de monde au vue des vidéos (quelques centaines ? Voire quelques milliers?) et qui a mobilisé beaucoup de policiers.

    Cela ne signifie pas non plus que MPI s’associe aux opinions exprimées, ni d’ailleurs qu’elle les réfute.

    Ainsi que l’a fait Marc Granié, je m’étais interrogée en janvier 2015 sur Le curieux suicide d’un commissaire chargé de l’affaire Charlie Hebdo (Attentat islamique du Bataclan)– Dossier classé et inaccessible à sa famille !

    http://www.medias-presse.info/un-crs-qui-a-temoigne-publiquement-serait-interne-administrativement-doffice-dans-un-hopital-psychiatrique/91350/

  • Robert Ménard agressé par des gauchistes dans la Gironde

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  • L'agression de Robert Ménard, passée sous silence

    Les médias militants avaient été plus larmoyants avec NKM l'an dernier :

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    Ne pas évoquer l'agression contre le maire de Béziers, c'est finalement inciter la gauche fasciste à commettre des violences contre les patriotes...

    A Angers, les tenanciers du bar associatif l'Alvarium ont été agressés par une vingtaine de personnes. L'un d'eux est à l'hôpital. Auparavant, le Courrier de l'Ouest avait fait un reportage sur cet établissement :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Black Blocs, Antifas, No Borders… L’extrême-gauche violente au service du Système

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦

    Black Blocs, Antifas , Zadistes et No Borders rythment désormais notre quotidien. Ils sont partout : dans les rues, dans les facs, à Notre-Dame-des-Landes ou à Calais. A Paris à Rome ou à Berlin. Dans les manifs aussi. Le 1er mai dernier, Paris a ainsi été le théâtre de violents affrontements à l’initiative des Black Blocs. Des incidents à replacer dans la longue cohorte des violences et intimidations en tous genres auxquelles se livrent ces individus depuis des années au su et au vu de tout le monde et qui ne semblent guère émouvoir les pouvoirs publics.
    Pourquoi donc ? Parce que ces violents groupuscules servent la Davocratie triomphante, tout simplement.

    Pour ce qui est contre

    Les revendications et prises de position de ces extrémistes sont des plus floues, d’autant que leur production intellectuelle se réduit à quasiment rien.

    Héritiers des autonomes et de ceux qui prônaient l’action directe et immédiate dans les années 60, ils semblent a priori contre tout : contre le capitalisme, le fâââchisme, le racisme, le nucléaire, les Mac Dos, les Forums internationaux, les voitures Mercedes, les abribus, les frontières ou contre les aéroports. Et surtout contre la police qu’ils appellent à affronter partout et si possible violemment.

    Leur mode d’action repose principalement sur l’utilisation des réseaux sociaux transfrontières qui permettent de mobiliser très rapidement les individus tentés par la castagne partout en Europe. Tentés aussi par la constitution de zones autonomes où ils peuvent se rassembler pour essayer de donner un contenu à leurs rêveries.

    Une masse de manœuvre pour le Système

    L’absence de ligne politique et d’organisation qui les caractérise constitue évidemment une incitation pour tous les services spéciaux à les manipuler à des fins très différentes de celles qu’affichent ces mouvances.
    Car, si on quitte la morale des intentions pour celle des résultats, force est de constater que toutes ces mouvances roulent avant tout pour l’oligarchie.

    Historiquement d’ailleurs, l’extrême-gauche fut encouragée par la classe politique occidentale à partir des années 60, comme moyen de réduire l’influence des partis communistes en Europe principalement auprès de la jeunesse. Car tous ces « gauchistes » imprégnés de trotskisme libertaire, vomissaient les partis communistes autant et sinon plus que le capitalisme. Aujourd’hui que le communisme a disparu, ils continuent de servir l’oligarchie, mais de façon différente.

    Les Blacks Blocs et les Antifas constituent en effet le « service action » de l’oligarchie. Ils roulent pour elle et non pas pour la cause de la révolution anticapitaliste. Au contraire, ils servent en France la cause du néo-capitalisme mondialiste.

    Les chiens de garde de l’antiracisme

    Les Antifas sont avant tout les chiens de garde de l’antiracisme officiel c’est-à-dire qu’ils luttent en priorité et souvent violemment contre tous ceux qui refusent le Grand Remplacement européen, le sans-frontiérisme de nos élites et la déconstruction de notre civilisation. Leur cible principale reste par un heureux hasard chez nous le Front national, c’est-à-dire le seul parti politique paraissant en mesure de menacer l’hégémonie de la Davocratie jusqu’en 2017.

    Les techniques d’action des Antifas sont variées mais reposent en général sur la violence et l’intimidation vis-à-vis des militants et sympathisants des mouvement identitaires et nationaux. Leur arme préférée est la menace de contre-manifestation violente qui sert alors de prétexte aux autorités préfectorales, afin de prévenir des « troubles à l’ordre public », pour interdire ou tout le moins restreindre fortement la liberté de réunion.
    On a d’ailleurs vu lors des violences du 1er mai à Paris des manifestants arborer ironiquement un calicot sur lequel on pouvait lire « risque de trouble à l’ordre public », écrit en lettres d’or sur fond noir !

    Les chasseurs de dissidents

    Les Antifas aiment aussi beaucoup la chasse à l’homme dissident : le dénoncer et le harceler sur les réseaux sociaux ou jusque chez lui, voire essayer d’obtenir à son encontre une mesure de licenciement, comme cela se pratique déjà aux Etats-Unis ou en Allemagne [1].
    Les Antifas jouent donc le rôle des rabatteurs dans la chasse au gibier patriote, identitaire et européen qu’organise de plus en plus la Davocratie en Europe. Ils désignent les nouvelles sorcières avant de les remettre dans les mains du pouvoir temporel.

    Le but de ces opérations est bien sûr d’intimider et si possible de casser la dynamique de la dissidence identitaire et nationale en Europe et notamment dans notre pays, qui reste la clef de l’Europe pour la Davocratie.

    Diaboliser l’opposition de Gauche

    L’action des Blacks Blocs vise une manœuvre différente mais symétrique dans sa finalité : il s’agit cette fois de diaboliser l’opposition de gauche aux projets macroniens de déconstruction néo-libérale.

    Par un heureux hasard, les autonomes se sont mis à saccager les universités qu’ils occupaient au moment où s’engageait la réforme de la SNCF. Et par ce même hasard fait décidément bien les choses, voilà que des « incidents » se mettent à émailler les manifestations des syndicats contre la réforme, incidents culminant avec les violences Black Bloc du traditionnel défilé du 1er mai. Sans oublier le fait que le gouvernement décide justement d’évacuer au même moment les zadistes de Notre Dame des Landes.

    Tout cela n’est peut-être qu’un pur hasard.

    Divertir et contaminer

    Il semble pourtant difficile de ne pas voir que ces violences remplissent une double fonction au profit du Pouvoir :

    • Une fonction de divertissement de l’opinion d’abord,  puisque la mise en scène des violences permet de masquer en partie la grogne sociale qui s’installe dans notre pays. Pendant que les médias s’étendent à l’envi sur les Blacks Blocs , ils parlent moins des syndicats et de leurs revendications.
    • Ensuite ces violences ont une fonction de contamination : elles visent à assimiler l’opposition sociale et syndicale aux projets du gouvernement, à l’agitation violente de l’extrême gauche radicale par un effet d’amalgame. Vous êtes contre la réforme de la SNCF ? N’êtes-vous finalement pas du côté des casseurs ?

    Certains sondages semblent montrer que cette manœuvre remplit son office pour une partie de la vieille droite [2] : Macron doit avoir raison puisque les Blacks Blocs cassent contre lui !

    Une étonnante passivité des pouvoirs publics vis-à-vis des casseurs autonomes

    Il est également frappant de constater combien ces casseurs antifas, blackblocs ou autres noms d’oiseaux exotiques, bénéficient d’une étonnante passivité des pouvoirs publics, pour ne pas dire plus.

    A la différence de ce qui s’est passé lors des Manifs pour Tous par exemple, on n’a pas connaissance d’interpellations préalables de jeunes casseurs par les services de police.

    Ce qui est d’autant plus curieux que ces agitateurs, dont beaucoup utilisent les réseaux sociaux pour communiquer entre eux, ont souvent déjà eu maille à partir avec les forces de l’ordre de différents pays et que la perspective d’une action des Black Blocs semblait connue des services de renseignement [3]. Et qu’ils sont souvent reconnaissables à leur accoutrement.

    Les arrestations et garde à vue restent aussi en nombre limité et de toute façon elles ne se traduisent pas forcément par l’ouverture de procédures judiciaires. Un traitement par conséquent très différent de celui qui est infligé par exemple aux militants de Génération Identitaire dont les actions n’ont en outre rien de violent la plupart du temps.

    La voix de son maître

    Ces mêmes casseurs bénéficient en outre de la complaisance des médias mainstream qui ne voient en eux la plupart du temps que des « militants » de la noble cause « antiraciste », « antifasciste », « écolo », « altermondialiste » ou « antinucléaire ». On ne les traite pas de hooligans ! Non on réserve ce terme aux manifestants identitaires…

    Une complaisance pour le moins significative puisque ces mêmes médias sont la voix de la super classe mondiale.

    Des « révolutionnaires »… financés par les oligarques

    Non seulement il ne semble pas que ces extrémistes violents soient particulièrement pourchassés par les forces de l’ordre, y compris à l’heure de la menace terroriste, mais ils sont en outre souvent financés et aidés par certains oligarques. Ce qui n’est certainement pas innocent.

    On sait par exemple depuis les « sorosleaks », que les fondations mondialistes de George Soros financent par exemple les No Borders. Le député Bernard Carayon a pour sa part relevé des financements par l’Union Européenne via le relais d’ONG immigrationnistes [4].

    Certaines collectivités locales ne sont pas en reste. On apprend ainsi par exemple que la ville d’Angers louerait un local à une association qui répond au doux nom de « L’Etincelle » et qui correspond en réalité à des antifas. Des « révolutionnaires » financés… par le contribuable en quelque sorte. Il est probable que cette initiative étrange n’est pas la seule de son genre et un examen attentif des subventions publiques révélerait sans doute bien des surprises.

    Il se peut bien sûr que certains adolescents des Blacks Blocs ou des Antifas qui jettent des pavés contre la police croient œuvrer ainsi pour l’avènement prochain de la société sans classe et du bonheur libertaire. Mais cela ne change rien au fond.

    La Davocratie sait aussi se servir des idiots utiles pour faire avancer son projet mondialiste.

    Michel Geoffroy 06/05/2018

    [1] Voir par exemple l’action conduite récemment contre Romain Espino, de Génération Identitaire auprès de son employeur , le Crédit Agricole

    [2] Voir sur ce plan  lebaromètre Kantar Sofres OnePoint du mois de mai pour Le Figaro Magazine.

    [3] Cf article du Figaro.fr du 2 mai 2018 :« 1er Mai : les services de renseignement avaient anticipé la venue des Black blocs »

    [4] Atlantico du 12 mai 2016

    Crédit photo : FEDRA Studio [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/black-blocs-antifas-no-borders-extreme-gauche-violente-systeme/

  • Robert Ménard a été agressé en présence d'élus locaux

    Suite à son agression, Robert Ménard a été interrogé sur Boulevard Voltaire.

    "J’arrivais à cette réunion un quart d’heure avant pour préparer mon intervention. Il y avait quelques dizaines de ces personnes qui se définissent comme des antifas. Ce sont en réalité des fascistes de gauche. Ils ont commencé à m’insulter, à me donner des coups, des coups à la tête, me faire tomber, continuer à me taper dessus et taper sur les gens qui m’accompagnaient. Il s’agit de véritables comportements de voyous. De surcroît, tout cela s’est passé en présence d’élus locaux. Ils n’ont pas bronché. Ni eux, ni même les forces de l’ordre ne sont intervenus. Je suis pourtant un élu de la République. Au final, cet incident montre qu’un élu de la République peut se faire taper dessus, renverser, se faire rouer de coups sur la tête sans que ni les élus locaux, de la majorité locale, ni même les forces de l’ordre considèrent qu’il faut intervenir immédiatement. Qu’est-ce que ça veut dire ?

    Avez-vous l’impression d’être un élu de seconde zone ?

    Je ne sais pas. Je ne veux pas porter d’accusations, mais je constate les faits. Avant même ma venue, certaines personnes du PS local, du MoDem, des écologistes et de la République en marche avaient appelé à manifester. Ils avaient fait des déclarations prétendant que j’avais développé des milices à Béziers. Vous m’entendez, on me reproche d’avoir monté des milices ! Quelle folie ! Il n’y a évidemment rien de tout cela à Béziers. Ces gens-là portent aussi la responsabilité de ces actes de violence. J’espère que ces partis se rendront compte de la responsabilité qu’ils prennent en tenant des propos inadmissibles sur d’autres élus quand bien même ce sont des adversaires politiques. Nous sommes en République, en démocratie. On peut s’engueuler, mais pas se taper dessus. Or, c’est pourtant bien ce qui s’est passé.

    Avez-vous été blessé et qu’avez-vous fait ?

    Je sors à l’instant de la gendarmerie où j’ai déposé plainte, comme l’on fait d’ailleurs les élus qui m’accompagnaient et qui ont été tabassés. Évidemment, je vais de ce pas à la clinique voir ce qu’il en est des douleurs que je ressens. Quand vous êtes tapé et jeté à terre, ça laisse des traces. C’est ce que je vais faire constater par un médecin.

    Vous sembliez accuser les gendarmes de passivité. Qu’en est-il exactement de leur réaction ?

    Je constate qu’ils n’étaient pas là au moment où ils devaient y être. Quand on sait que des antifas vont manifester, avec la violence qui les caractérise, contre un élu qui vient faire une intervention, il me semble que leur devoir est de protéger cet élu. On m’a demandé si j’avais des gardes du corps. Évidemment que non ! J’attends que les forces de l’ordre me protègent en qualité d’élu, comme ils doivent protéger chaque citoyen.

    Cela vous est-il arrivé depuis que vous êtes maire de Béziers ?

    Jamais dans ma ville, quelqu’un ne m’a agressé. Jamais, lorsque je me promène dans une ville, qui que ce soit ne m’a agressé. C’est la première fois. C’est le fait de gens d’une violence extrême, par ailleurs encouragés de fait par une classe politique qui explique que telle ou telle personne ne serait pas le bienvenu dans tel ou tel endroit. Qu’est-ce que c’est que cette conception de la démocratie ?

    Michel Janva

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