
A Lyon. Voici l’image :
Et les sous-titres :
https://www.lesalonbeige.fr/il-tente-dattaquer-un-commissariat-a-la-hache/
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A Lyon. Voici l’image :
Et les sous-titres :
https://www.lesalonbeige.fr/il-tente-dattaquer-un-commissariat-a-la-hache/
De Marseille à Lille, les Identitaires sont partout. Génération Identitaire occupe actuellement le toit de la salle de spectacle l’Aeronef à Lille pour s’opposer au concert du rappeur islamiste Médine ! Voici leur communiqué :
Voilà une nouvelle décision de justice qui ne risque pas de participer à l’amélioration des relations entre l’institution judiciaire et les forces de l’ordre.
Ainsi que le rapporte L’Essor, le journal de la gendarmerie nationale, un gendarme de 53 ans a été condamné, ce mercredi 3 octobre, à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer sa profession et inscription de ladite condamnation au bulletin n° 2 de son casier judiciaire. L’adjudant-chef dont il est question comparaissait, en effet, devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières pour avoir giflé un mineur qui s’en était pris son épouse. À noter que les représentants de « la victime » n’ont pas estimé nécessaire de se porter partie civile à l’occasion de ce procès. C’est dire l’importance qu’eux-mêmes attachent à ce fait divers qui, pourtant, est tout a fait révélateur de la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui.
À une époque où, plus que jamais, notre jeunesse est en perte de repères, et où même le président de la République estime utile et pertinent de s’afficher aux yeux du monde avec des racailles, des hommes et des femmes font le choix de s’exposer jours et nuits, dimanches et jours fériés, afin de tenter de maintenir un ordre public minimum pour que notre pays ne sombre pas dans le chaos. Ces serviteurs de la République, qu’ils soient gendarmes, policiers, pompiers ou appartenant aux services de secours, paient, chaque année, un lourd tribut. Le nombre de tués et de blessés dans leurs rangs se comptant par centaines. Ce travail, ils le font avec dévouement. Ils sacrifient souvent leur propre vie de famille pour répondre aux exigences de missions de plus en plus difficiles et dangereuses. Mais, parfois aussi, sous l’emprise de la colère, de la fatigue, du stress ou de la peur, ils peuvent se fourvoyer et sortir du cadre légal qui leur est assigné. Mais pour eux, qui ne sont ni président de la République, ni ministre, ni élu, ni caïd médiatique, ni star du show-business, il n’y aura pas de pardon. Pas de tolérance. Et, pour cela, on pourra toujours compter sur quelques magistrats qui, du fond de leur fauteuil, sauront exiger une sanction exemplaire à l’encontre du fautif.
La décision du tribunal correctionnel de Charleville-Mézières est tout à fait symptomatique du décalage qui existe, désormais, entre la Justice et les forces de l’ordre. Elle est également révélatrice de ce même décalage qui s’est installé dans notre société, et du renversement total des valeurs qui affecte maintenant les relations interindividuelles dans notre pays.
Aurait-on pu imaginer, il n’y a pas si longtemps, un gendarme être mis au ban de la société pour avoir voulu défendre son épouse des agissements d’un gamin dont l’éducation laisse manifestement à désirer ? Aurait-on envisagé de créer, au sein des écoles, des unités d’intervention, tant les enseignants sont complètement dépassés par une violence qui devient endémique ? Aurait-on vu, au plus haut niveau, une classe politique se donner en spectacle et fouler aux pieds les valeurs de la République dont le peuple lui a donné la garde ?
Alors, continuons comme ça. Condamnons les gendarmes et les policiers pour des vétilles. Sanctionnons les quelques enseignants et agents de l’État qui assument encore leurs responsabilités. Encourageons, en les élisant et les réélisant, les politiques dans la voie de la médiocrité et du déshonneur. Et, sous peu, notre pays sera à ramasser dans la fange. Reste à espérer que, d’ici là, ceux qui ont notre sécurité entre leurs mains n’auront pas définitivement baissé les bras.
Dimanche, l’AFP a annoncé que les sauveteurs en mer espagnole avaient secouru 675 migrants entre le Maroc et l’Espagne.
Il y a tout d’abord eu une première vague de 405 clandestins récupérée samedi, puis 270 dimanche. La moitié d’eux est originaire d’Afrique subsaharienne et l’autre moitié du Maghreb.
Contrairement à ce que racontent les médias dominants, il n’y avait que très peu de familles : seulement 7 enfants ou bébés.
Rappelons que l’Espagne est devenue cette année la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe, après que l’Italie a largement fermé ses frontières.
Esteban et Samuel ont été condamnés il y a quinze jours à des peines énormes (11 et 7 ans de prison) alors que les charges qui pesaient contre eux se sont, tout au long du procès, effondrées les unes après les autres... J'ai exprimé, juste après le verdict inique, mon sentiment sur celui-ci cliquez ici. Face à une telle injustice, ceux-ci se sont pourvus en appel.
Pour les aider, une cagnotte a été alors créée par les proches d'Esteban. Nous avons invité nos lecteurs à y participer cliquez là et nous savons qu'ils ont été nombreux à répondre à cet appel et nous les en remercions pour ce bel élan de solidarité patriotique. Mais l'inquisition fanatique menée par les idiots utiles du Système que sont les antifas a obligé nos amis à fermer cette cagnotte. Soyez cependant rassurés, les fonds récoltés en quelques jours, soit plus de 10 000 euros, ont été reversés à la famille d'Esteban.
Depuis, vous êtes nombreux à nous demander comment aider nos camarades. Nous vous donnons donc les informations suivantes :
- Aujourd'hui, une nouvelle cagnotte vient d'être ouverte par Madame Colette Morillo, la mère d'Esteban - cliquez ici N'hésitez-pas, dans la mesure du possible, à y contribuer.
- Pour écrire à Esteban ou à Samuel, vous pouvez adresser vos lettres à Synthèse nationale (9, rue Parrot, CS 72809, 75012 Paris) en mentionnant au dos de l'enveloppe STB ou SM. Les courriers seront réexpédiés aux familles. Pour soutenir Esteban, si vous désirez joindre un chèque, établissez-le à l'ordre de Esteban Morillo.
- dimanche 14 octobre, lors de la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici, avec Aristide Leucate, journaliste à Présent qui a couvert le procès, et Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, nous reviendrons sur cette odieuse provocation dont furent victimes les jeunes patriotes en juin 2013 et sur les conséquences dramatiques de celle-ci.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour Emmanuel Macron. Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire à tous ces événements qui signent, selon elle, une rentrée catastrophique pour le gouvernement.
Aujourd’hui à l’Assemblée nationale, deux nouvelles sont tombées. Le départ officiel de Manuel Valls et la démission de Gérard Collomb.
Que pensez-vous de la décision de l’actuel ministre de l’Intérieur ?
C’est un désaveu assez profond de la politique menée par monsieur Macron. Monsieur Collomb était l’incarnation du fidèle parmi les fidèles du Président de la République. Il présente sa démission, elle est refusée et il l’a maintient. Aujourd’hui, il annonce très clairement et officiellement qu’il se fiche complètement de monsieur Macron et que ce n’est plus son problème.
Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de voir ce repli vers des territoires locaux, alors que monsieur Macron est l’incarnation du mondialisme. Il est donc exactement l’inverse.
Manuel Valls a décidé de revenir à ses terres d’origine en se présentant à la mairie de Barcelone.
Selon vous, les désertions se multiplient-elles autour du Président de la République ?
Je ne les mettrais pas forcément dans le même registre. Je pense que dans le cas de monsieur Valls, c’est vraiment de l’opportunisme politique.
Ce n’était un secret pour personne qu’il ne se sentait pas très bien et n’était pas très intégré au sein de cette majorité. Il était apparenté au groupe la République En Marche. Les députés de la République En Marche lui battaient souvent froid. Il n’a jamais vraiment trouvé sa place. Il a dû se dire qu’il n’avait plus d’avenir au sein de cette majorité et comme c’est quelqu’un qui a une forte et haute opinion de lui même, il a préféré vivre sa vie. C’est vraiment de l’opportunisme, car si on lui avait proposé une place de ministre, il serait resté en France. C’est de l’opportunisme politique, c’est l’incarnation de la girouette politique.
Au vu des différents événements de ces derniers temps, pensez-vous qu’Emmanuel Macron vie un début d’année catastrophique ?
C’est une rentrée catastrophique avec des signaux qui partent dans tous les sens. Encore une fois, c’est l’incarnation de la politique du « en même temps ». C’est « je suis le Président des riches, mais en même temps, je veux faire croire que je m’occupe des pauvres », « je suis le Président des grandes sociétés multinationales, mais en même temps, j’essaie de rassurer un peu les retraités, car il ne faut pas oublier que beaucoup d’entre eux m’ont élu ». Avec monsieur Macron, c’est cela en permanence. C’est tellement visible et criant.
En regardant à nouveau ces photos prises aux Antilles, je trouve profondément choquant de voir un Président de la République en chemise à côté d’hommes torse nu où ils se serrent dans les bras les uns les autres. Il n’y a plus de fonction présidentielle.
Dans La France interdite, Laurent Obertone étudie la population issue de l’immigration en s’appuyant sur des études chiffrées, et dresse le constat d’une France dans 30 ans, en proie au communautarisme.
Pour Boulevard Voltaire , il dénonce « le mythe du vivre ensemble » et les menaces qui pèsent sur le débat autour de l’immigration.
Extrait d’un article de L’Homme Nouveau sur la contraception :
En tant que psychiatre catholique ayant travaillé quarante ans avec des milliers de couples mariés, de familles et de jeunes,Rick Fitzgibbons, directeur de l’Institut de thérapie conjugale à l’extérieur de Philadelphie, rejoint aussi à son niveau scientifique Marianne Durano et Paul VI dans Humanæ Vitæ, lorsqu’il avertit :
« De nombreuses épouses se plaignent que l’usage de la contraception a conduit leurs époux à les traiter comme des objets sexuels. (…) La maltraitance silencieuse des épouses a contribué, selon le résultat des recherches [d’une importante étude de l’Université de Minnesota], à ce que 70 % des divorces soient initiés par des épouses, et de façon surprenante, dans des mariages présentant un faible niveau de conflits ouverts… ».
Le prétendu « sexe sûr », par le moyen de la contraception, est un cheval de Troie dans la citadelle civilisationnelle du mariage et de la famille. Il aboutit à la perte de la vérité sur soi-même, sur le couple et sur la famille, et par conséquent à la perte de l’amour lui-même.
Le plus sécuritaire des Français aurait applaudi des deux mains aux propos tenus sur le thème de la sécurité par Valérie Pécresse, lors de son passage au « Grand Jury » de RTL, dimanche dernier. En effet, tout y était. Minorité pénale à 16 ans, construction de 15.000 places de prison, développement de la vidéo-sécurité, effectivité des peines de prison prononcées par la justice, armement obligatoire des polices municipales dans les grandes villes.
Bref, toute une série de mesures de bon sens, et aujourd’hui indispensables pour notre sécurité, que les amis LR de la présidente de la région Île-de-France, se sont pourtant bien gardés de mettre en place lorsqu’ils étaient au pouvoir. Et pour compléter ces dispositions, l’élue francilienne y est allée de quelques propositions destinées à crédibiliser sa démarche. Ainsi, a t-elle a formulé l’idée de la création d’une brigade de sécurité mobile, destinée à intervenir dans les lycées de son ressort. Il est vrai que la violence et l’insécurité sont depuis de nombreuses années présentes dans nos établissements d’enseignement. Du primaire au supérieur, il n’est pas de jour sans que soient rapportées par la presse les multiples exactions commises par des individus de plus en plus jeunes, et de plus en plus violents. Il y a quelques jours à peine, à Garges-lès-Gonesse, un jeune de 17 ans était violemment agressé et sérieusement blessé par une dizaine d’individus, dont certains étaient armés de bâtons et de barres de fer. Quelques jours auparavant, dans le Val d’Oise, c’était un policier municipal qui était roué de coups en pleine rue, par un groupe de personnes. Et la liste pourrait être longue de ces événements qui empoisonnent la vie quotidienne des Français, et qui attestent bien de ce que le niveau de violence est devenu insupportable dans notre pays.
Car aujourd’hui, plus une catégorie de citoyens n’est épargnée. Les sapeurs-pompiers, depuis plusieurs mois tirent le signal d’alarme. Les agents des transports, confrontés à une violence qui ne cesse de monter – 15 % d’augmentation en ce qui concerne les agents de la RATP -, les services d’urgence dans les hôpitaux, où la violence se déchaîne de façon récurrente, les policiers nationaux et municipaux, les gendarmes…, tous sont confrontés à un phénomène auquel le gouvernement se trouve dans l’incapacité, souvent par pure idéologie, d’apporter une solution.
Face à cette plaie purulente que constitue la violence pour notre société, Valérie Pécresse annonce donc une nouvelle initiative, la mise en place d’une unité de sécurité qui aura pour mission de sécuriser les lycées dont elle a la charge. Malheureusement, cette nouvelle formation, composée d’une quinzaine d’agents recrutés, notamment, parmi les anciens policiers et gendarmes, risque fort de se trouver bien démunie face à des bandes de délinquants déterminés et souvent armés. Par ailleurs, si c’est au rectorat qu’il appartiendra de gérer cette entité, rien n’est dit sur ses compétences réelles. Quelles seront ses prérogatives judiciaires. En aura t-elle seulement ? À quelles autorités publiques de police, de gendarmerie, de justice, devra t-elle rendre compte ? Quels seront ses moyens, sachant qu’a priori, ses membres ne seront pas armés ? Autant de questions actuellement sans réponses, mais qui laissent augurer d’une nouvelle et énième initiative, davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales, qu’à traiter véritablement du cœur de la question fondamentale que constitue l’ancrage de la violence et de la criminalité au cœur de notre société.
Pour toute une intelligentsia bien-pensante, il n’est qu’une opinion acceptable sur les attentats islamistes, et en particulier celui du Bataclan. Et cette doxa a été rapidement et définitivement érigée en dogme avec l’opuscule d’Antoine Leiris, qui a perdu sa femme au Bataclan : Vous n’aurez pas ma haine.
Leur article commence donc par là, par le dogme, histoire de montrer toute l’hétérodoxie de Patrick Jardin : « Il est l’anti-Antoine Leiris. » Et, à partir de là, la cause est entendue, l’enquête est close, le jugement est fixé, définitif dès la première phrase et peut donner son titre à l’article du Monde, cet Osservatore parisiano du dogme : « Après le Bataclan un père sur le chemin de la haine. » Ce père, c’est Patrick Jardin.
Ce père a emprunté un parcours différent, n’a pas immédiatement crié son pardon et son amour des assassins islamistes, ce père a voulu enquêter, démêler l’écheveau des causes et des responsabilités qui ont amené ces centaines de crimes, les ont rendus possibles en France. Ce père s’est mobilisé, avec d’autres victimes, pour que Médine ne chante pas au Bataclan. Et il a obtenu gain de cause, preuve qu’il y avait là une indécence et un irrespect sacrilèges qui auraient peut-être mérité une enquête du Monde, non ? Une chose est sûre : quand votre enfant est tombé, avec des dizaines d’autres, sous les coups d’une idéologie et d’individus animés par la haine, il y a des choses qui ne se font pas, des mots qui ne s’emploient pas. On ne met pas dans le même sac de la « haine » les barbares islamistes et les victimes. C’est indécent. Écœurant.
Mais qui sont-elles donc, ces deux journalistes, pour avoir la prétention d’assener une telle sentence ?
On est sidéré qu’elles ne soient même pas capables de reconnaître ce qu’il y a de résilient (pour employer les mots qu’aime d’ordinairement Le Monde, mais seulement quand la résilience va dans le sens attendu) dans les combats que mène Patrick Jardin : recherche de la vérité, enquête, écriture d’un livre, recherche de soutiens et d’engagement auprès de personnalités et de mouvements politiques. Faut-il leur rappeler, à nos deux journalistes péremptoires, que c’est cela, un chemin de deuil et de vie, aussi ? Et qu’elles n’ont le droit de porter aucun jugement ? Qu’elles se discréditent en réduisant la démarche de Patrick Jardin à ce seul affect ? Comme il est facile d’apposer le mot « haine » sur ce parcours… Comme c’est bien commode, car cela empêche aussi d’écouter ce qui, dans son discours, relève de la raison, du questionnement légitime, de l’analyse d’une situation historique qui dépasse son drame personnel. Et tout cela est à son honneur.
Ne peut-on pas leur suggérer, enfin, que ce qui est le plus suspect, dans de tels drames, c’est bien plutôt – tous les psychologues le savent bien – le pardon immédiat et précipité ?
On aurait aimé un peu plus de respect, de pudeur devant ce père qui, en perdant sa fille, a tout perdu. Il faut vraiment ne pas avoir eu, dans son entourage, des parents ayant subi de tels drames pour oser écrire ce qu’elles ont écrit. Ou être aveuglé par ses préjugés, son idéologie. Patrick Jardin est sur le chemin de la vérité et de la reconstruction. Le Monde sur celui de l’indécence et de la confusion.