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insécurité - Page 582

  • Les projets secrets de Daech pour semer la terreur en France

    Pendant que le ministère de l'Intérieur interpelle des pères de famille qui se préparent visiblement à se défendre, l'Etat islamique se prépare à envoyer des adolescents-soldats ayant grandi en Syrie commettre des attentats en France. Ces "Lionceaux du Califat" ont grandi en Syrie, ont été recrutés par l'Etat islamique et ils seraient au coeur d'un projet secret mené par l'organisation terroriste. Ce projet serait même entré en phase opérationnelle. Les détails font froid dans le dos :

    • Recruter des enfants ayant grandi en Syrie.
    • Attendre qu'ils grandissent pour qu'ils deviennent "méconnaissables", "pour pas qu'il y ait de reconnaissance faciale".
    • Une fois passée l'adolescence, les envoyer en France commettre des attentats.

    L'Etat islamique envisagerait aussi de commettre des attaques dans les campagnes françaises.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Esclavage en Libye : ce que cache l’Afrique du Nord

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    Le trafic d’êtres humains est un sujet sensible mais peu discuté. Il est difficile à croire que cette pratique barbare n’a pas disparu. Le cas des réfugiés libyens a pour autant soulevé de nouveau cette question.
    Le 7 juin, le Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies a sanctionné six chefs de réseaux de trafiquants de migrants en Libye. Mais ce n’est qu’une goutte dans l’océan.

    Une plaque tournante de trafic humain

    Le réseau des trafiquants est composé de groupes armés, qui contrôlent les frontières sud et une partie de la côte du pays. Les marchés illicites se trouvent principalement à proximité de Tripoli. Des migrants, essentiellement des jeunes hommes, y sont vendus comme esclaves pour une somme allant de 300 à 500 dollars. Originaires surtout du Nigeria, du Sénégal et de Gambie, les migrants sont capturés alors qu’ils font route vers le nord de la Libye, d’où ils comptent gagner l’Europe en traversant la Méditerranée. Tout au long de ce voyage, ils sont capturés par de différentes milices opérant dans le pays. Les autorités libyennes, dont beaucoup tirent profit du trafic, font semblent de ne pas le savoir.

    Un contexte politique très instable

    En effet, le gouvernement de transition n’est pas capable d’arrêter ce business scandaleux et lucratif. La Libye est meurtrie par les luttes d’influence et les violences entre groupes armés rivaux depuis la chute du régime de Kadhafi en 2011.

    La disparition de l’esclavage dans la deuxième moitié du XXe siècle fut liée à l’urbanisation et le développement industriel. Néanmoins, une reconfiguration économique après l’assassinat de Kadhafi, l’émergence des groupes armés contrôlant l’industrie pétrolière et le déclin des conditions de vie, tout cela a favorisé de nouveau ce commerce illicite.

    Il est évident que pour régler le problème, il faut s’attaquer à ses racines. Le pays a besoin d’un ensemble des dispositions visant à mettre fin à l’instabilité et au chaos politique. Certains croient que la crise, à laquelle France a contribué à l’époque, devrait se résoudre avec le temps. Contrairement à tous les espoirs, elle risque de s’aggraver.

    Les dirigeants libyens ne sont pas pour autant pressés à l’idée de stabiliser le pays alors que les leaders étrangers semblent ne pas pouvoir comprendre que le seul moyen d’arrêter l’afflux de migrants consiste au retour de la paix en Libye.

    Gabriella Lima 25/06/2018

    Source : Metamag

    Crédit photo : Antoine Taveneaux [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/esclavage-libye-afrique-du-nord/

  • 80 km/h : une forme de racket au détriment de la Sécurité Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com

    Intéressants propos de l’avocat Eric de Caumont : « Le 80 km/h est une forme de racket au détriment de la sécurité des automobilistes. Le gouvernement s’attend l’an prochain à une rentrée de 230 millions découlant de cette mesure. Je redoute que ce soit une des premières mesures qui augmente la mortalité. Beaucoup de conducteurs vont connaître le Salaire de la Peur. La privatisation des voitures #radars simultanée n’est certainement pas une coïncidence. » 

    Voir la video

  • Is fecit cui prodest

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    Bernard Plouvier

    Cela fait plus de deux millénaires que magistrats et policiers appliquent – même ceux qui ignorent la langue latine – ce proverbe, qui n’est qu’un truisme. Lorsqu’on cherche un coupable, il est bon de réfléchir à cette simple question : À qui profite le crime ?

    En fouillant bien, on peut toujours trouver et monter en épingle une histoire d’abrutis amateurs de scandale et, cerise sur le gâteau, ça permet de détourner le bon peuple des vrais problèmes (le chômage & l’insécurité), des vrais fléaux (la corruption et l’effarante nullité intellectuelle et physique de la jeunesse autochtone) et des vrais dangers publics (les djihadistes ou les nervis gauchistes).

    À partir de 1990, il parut opportun de faire mousser durant des années une enquête sur la profanation d’un cimetière juif – alors même que l’organisateur avait été arrêté le lendemain, puis relâché, ce qui permit de faire durer six années la campagne médiatique de diabolisation d’un Front National en plein essor et sans la moindre relation avec l’affaire.

    On accoucha d’une souris : 4 « néo-nazis », qui ignoraient probablement que les cimetières juifs avaient fonctionné normalement durant le IIIe Reich, même à Berlin jusqu’en avril 1945, et que seuls les bombardements de terreur alliés avaient déterré des cadavres, confondant juifs et goyim dans la même horreur. À force d’écrire des insanités historiques, il arrive qu’on transforme des esprits faibles en satanistes de pacotille et en violateurs de sépultures.

    De nos jours, après cinq années d’attentats terroristes mahométans, dont certains furent très sanglants, et alors que partout en Europe occidentale les populations autochtones, pourtant si molles et si longues à émouvoir, commencent à grogner (oh ! très discrètement) contre l’invasion du continent  par des cohues de gens qui n’ont rien à y faire (d’autant moins qu’il y règne un chômage structural énorme), on lance un gram tam-tam médiatique sur un « vaste complot anti-mahométan »…chacun sait l’amour de nos excellences pour le vacarme africain.

    Il y aurait de quoi rire s’il ne fallait s’attendre à une nouvelle vague d’attentats meurtriers des fous d’allah, par mesure de rétorsion. Car la « pensée-poubelle », chère à nos preux chevaliers de l’antiracisme, est plutôt une spécialité de nos merveilleux envahisseurs. Après tout, qui viole et qui tue de parfaits innocents en énormes quantités en Europe occidentale : les rarissimes excités de « l’ultra-droite » ou les fous d’allah ? Qui saccage depuis des mois, en France, écoles et universités : les nervis fils-à-papa de l’ultragauche trotskiste ou les jeunes de la mouvance populiste ?

    L’on veut bien admettre qu’il existe des Européens n’ayant pas encore compris qu’une Libération, ça se prépare et ça n’a de chance de triompher qu’au bon moment. Mais l’unique réalité sanglante depuis 2014, ce sont les tueries organisées par les mahométans djihadistes.

    N’inversons pas les rôles dans la comédie politico-médiatique. Il est évident que la Nation française commence à trouver un peu trop cynique la politique « jeune et dynamique » du Président, largement acquis aux charmes de l’économie globale et de l’invasion migratoire. C’est en informant constamment l’électorat que pour l’instant, l’on doit agir. Et la triste réalité de notre Europe occidentale est telle que le simple exposé des faits suffit à ébranler une partie de plus en plus grande des citoyens.

    C’est d’ailleurs ce qui effraie les hommes et les femmes implantés à la direction des États européens pour y faire passer la pilule de l’invasion et du brassage des races et des pensées. Si le slogan : « Tous métis », métis culturels ou métis raciaux, pouvait devenir la réalité de l’Europe occidentale et scandinave, cela enchanterait les tireurs de ficelles des pantins qui font semblant de nous gouverner.

    Ne leur donnons pas la joie, à ces joueurs de flûte et à ces richards qui veulent jouer aux démiurges, de gagner trop facilement leur partie de Monopoly vicieux. Informer et préparer en toute légalité les conditions de la Libération sont les seuls objectifs utiles pour le moment. Ce ne sera pas facile et l’on peut faire confiance à nos ennemis pour multiplier les coups bas.

    L’essentiel est d’obtenir en tout pays européen meurtri, avili, envahi, une majorité d’électeurs qui se prononcent pour une solution politique favorable à la Nation autochtone. D’abord s’unir contre la folle arrogance des maîtres du fric, s’unir contre l’envahisseur non désiré. Ensuite, quand la majorité de chaque Nation sera éveillée, on agira en établissant de nouvelles lois, l’on organisera méthodiquement la nécessaire re-migration des non-Européens vers leurs terres d’origine, et l’on en reviendra, logiquement, aux valeurs fondamentales : Honneur, Travail, Famille, Patrie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Scandale sexuel chez MSF, échange de médicaments contre du sexe

    Des travailleurs humanitaires de l’ONG auraient eu recours à de jeunes prostituées et auraient soutiré des relations sexuelles contre des médicaments.

    Ce sont d’anciennes employées de l’ONG Médecins sans frontières qui ont lancé l’alerte. L’une d’entre elles rapporte qu’un collègue lui a confié qu’il était possible lors de leurs missions en Afrique de troquer des médicaments en échange de relations sexuelles. Des prestations avec de jeunes prostituées sont également dénoncées, selon des témoignages réunis par la BBC.

    Ces accusations concerneraient le personnel logistique et non les médecins ou les infirmiers en poste au Kenya, au Liberia et en Afrique centrale. A la suite de ces révélations, MSF a publié un communiqué dans lequel ils assurent ne pas tolérer « l’abus, le harcèlement ou l’exploitation ». Le règlement de l’ONG interdit d’ailleurs le recours à la prostitution.

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  • Avorter, oui. Aider les maternités, non

    L'Etat ne cesse de déverser de l'argent pour la contraception, l'avortement remboursé à 100%. Et en même temps, comme dirait l'adepte de la culture de mort qui nous gouverne, il manque de l'argent pour les maternités. Samedi 23 juin, une manifestation est organisée à Paris pour lutter contre la fermeture des maternités de proximité. Récemment, à l'hôpital de Vierzon, les salariés ont engagé des actions coups de poing afin d'éviter la fermeture pressentie de la maternité. Des groupes de soutien se multiplient pour le sauvetage d'établissements à Bar-le-Duc (Meuse), Remiremont (Vosges), Vire (Calvados), Noyon (Oise), Le Blanc (Indre) ou encore Falaise (Calvados). C'est dans la maternité de cette dernière commune que Christelle, 38 ans, aurait dû accoucher en 2015.

    "J'ai failli y passer" :

     

    "Quand ils ont annoncé [sa] fermeture, j'étais à six mois de grossesse". "J'étais au départ suivie par ma maternité. Quand j'ai appris qu'ils n'allaient pas s'occuper de moi, c'est devenu un énorme flou. Il fallait trouver une autre maternité. Il y en avait une à Caen mais ça n'avait rien à voir avec mon petit [établissement] chaleureux". "Si la maternité avait été juste à côté, aux premières contractions on serait partis tout de suite. Mais là, elles étaient trop rapprochées. Je ne voulais pas être sur la grande route, à 110 km/h, quand ça arriverait".

    Le 28 octobre, à 4 heures du matin, elle a dû accoucher sur son canapé.

    "La maternité était beaucoup trop loin. Je sentais très bien que c'était impossible."

    Son mari a appelé le Samu. 

    "Ils sont arrivés en quatre minutes. Ils étaient six. Ils n'avaient jamais fait d'accouchement". "Ils ne savaient pas comment s'y prendre. C'était pas courant [puisqu'avant] il y avait une maternité à côté." "La position n'était pas celle que je voulais. Le canapé était abîmé, c'était pire qu'une table". "C'était violent, très violent. Mon état de santé, l'état de santé du petit, toutes les complications... Je ne le sentais pas comme [faisant partie] d'un événement heureux. J'avais du mal. Maintenant, avec du recul, j'ai mon petit, il va bien. Je vais bien aussi". "Par contre, quand on me demande une petite sœur…"

    Dans Le Maine libre, Charlène retrace la naissance de son enfant, elle aussi dans son salon. Sur le site de Sud Ouest, Cécile raconte son accouchement... dans une voiture.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Allemagne : les mensonges de Mélenchon, les vérités de Trump

    Il y a des collisions cocasses dans les déclarations des uns et des autres. Prenons par exemple l’Allemagne ou l’usurpatrice Merkel, ancienne agent de la Stasi et pas plus chrétienne qu’allemande, a suscité ces dernières heures deux déclarations qui ont été répercutées dans les médias.

    L’une vient du petit tyran gauchiste Jean-Luc Mélenchon, spécialiste de la fake-news ou plutôt de « la vérité vraie du Parti » : « Les migrants syriens sont des gens formés, des médecins, des ingénieurs et le reste ! Ils se sont mis au boulot aussitôt ». A part s’il considère les agressions et les viols comme se mettre au boulot, la vérité est ailleurs comme on dit au FBI… Notons d’ailleurs que l’ami du tiers-monde est totalement d’accord pour dépouiller un pays de ses élites.

    Non seulement les délires du Méchancon sont faux, mais c’est même l’inverse, car l’Allemagne, contrairement à la France, s’informant du niveau de qualification des personnes qu’elle accueille, il est facile de vérifier. La statistique est imparfaite (seuls trois quarts des demandeurs d’asile décrivent leurs compétences, et on ne vérifie pas la réalité de ce qu’ils disent), mais éclairante si on en croit Europe 1 :

    « Sur les 1,3 million de demandeurs d’asile enregistrés en Allemagne depuis 2015, seuls 17% déclarent avoir fréquenté un établissement d’enseignement supérieur (donc moins d’un sur cinq), et la majorité, en réalité, n’a pas dépassé le collège. Les médecins, les ingénieurs, sont très minoritaires, moins de 2% du total. Les migrants syriens, souvent plus diplômés, c’est vrai, ne trouvent pas davantage de travail : selon les derniers chiffres des autorités allemandes, 69.300 Syriens occupent un vrai travail en Allemagne (soumis à cotisations), donc un syrien sur 7. 85% d’entre eux, pour vivre, dépendent de l’aide sociale. Et c’est la réalité que découvrent les Allemands : l’intégration est particulièrement difficile pour les réfugiés, en dépit des programmes de formation, des aides mises en place. Seuls 150.000 réfugiés originaires des huit principaux pays producteurs d’asile ont trouvé un emploi stable depuis 2015. Cela ne veut pas dire que les réfugiés ne travaillent pas : 20% environ travaillent en intérim, dans la restauration, le nettoyage. Mais ce sont de petits jobs, sous-payés, sans avenir. Jean-Luc Mélenchon a raison de souligner qu’un nombre croissant d’entreprises allemandes en profitent, mais ils sont loin de répondre à la pénurie de main d’œuvre. 1,6 million d’emplois ne trouvent pas preneurs aujourd’hui outre-Rhin, mais les réfugiés n’y correspondent pas. Il y a la barrière de la langue, des qualifications bien sûr, mais cela va plus loin. Par exemple, 1,5% des réfugiés en Allemagne, ont une formation médicale. Mais pour travailler outre-Rhin, il faut repasser des diplômes, c’est très long. Un mécanicien qui travaillait dans l’automobile en Irak, par exemple, ne connaît rien, à la mécatronique, or c’est de cela dont l’industrie allemande a besoin. Même dans la construction, les niveaux d’exigence, les pratiques, sont sans comparaison. Résultat les réfugiés doivent tout reprendre à zéro (cours de langue, puis de mathématique, puis de physique, etc…), avant même d’accéder à la formation. Si l’Allemagne manque d’apprentis, seuls 13 000 réfugiés ont achevé un parcours en alternance ces deux dernières années, et il n’y a cette année que 28.000 inscrits. C’est peu, et cela montre à quel point le défi est énorme, pour l’Allemagne, qui prévoit de consacrer 13 milliards d’euros à des cours de langues et des formations pour les migrants d’ici 2022. »

    L’autre nous vient du chef d’Etat américain, Donald John Trump. « Le peuple allemand se rebelle contre ses gouvernants alors que l’immigration secoue une coalition déjà fragile, la criminalité augmente en Allemagne. Une grosse erreur a été commise partout en Europe : laisser rentrer des millions de personnes qui ont fortement et violemment changé sa culture. ». Bien entendu, hurlement des bien-pensants accusant le Président américain de mentir. Or, l’hebdomadaire Valeurs Actuelles prouve (comme nous l’avions fait auparavant dans plusieurs de nos articles) que le tenancier de la Maison Blanche a parfaitement respecté la réalité…

    La vague migratoire a entraînée 10% de crimes violents en plus, sur les années 2015 et 2016, 90% de cette augmentation étant due aux jeunes hommes clandestins fraîchement accueillis, âgés de 14 à 30 ans selon une étude parue en janvier 2018. En 2016, les étrangers étaient 3,5 fois plus impliqués dans des crimes que les Allemands, les clandestins 7 fois plus. La même année, la proportion d’étrangers parmi les personnes suspectées d’actes criminels était passée de de 28,7% en 2014 à 40,4% en 2016 avant de se tasser à 35% en 2017 (ce qui reste plus important qu’en 2014).  Des chiffres encore plus élevés dans le domaine des crimes violents (5 fois plus élevés chez les étrangers, 15 fois chez les clandestins) ou dans celui des viols en réunion (10 fois plus chez les étrangers, 42 fois chez les clandestins !). On comprend mieux le silence des féminazes : les victimes ne sont pas intéressantes car n’étant pas attribuables aux hommes blancs chrétiens. Même silence chez la secte conciliaire : on ne peut pas faire de campagne contre le clergé, donc victimes sans intérêts… Il est des silences qui hurlent aux crimes.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/

  • Justice : 7 trafiquants de drogue remis en liberté, faute de magistrat pour les juger

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    Libérés… faute de juge ! Le tribunal correctionnel de Pontoise (Val-d’Oise) a été contraint de libérer sept prévenus qui comparaissaient mardi 19 juin pour trafic de stupéfiants, faute d’avoir trouvé un magistrat pour les juger, a appris franceinfo auprès du parquet de Pontoise, jeudi, confirmant une information d’Europe 1.

    « La juge qui devait à l’origine présider l’audience était dans l’impossibilité d’assurer cette charge pour des raisons médicales », explique le procureur. Problème : aucun magistrat du siège n’a été en mesure de la remplacer. « En plus des quatre postes de magistrats déjà vacants au sein de l’institution, certains fonctionnaires sont en arrêt maladie et d’autres à temps partiel », détaille Europe 1. La radio précise que l’affaire était « trop complexe » pour être reprise au pied levé par d’autres magistrats. Le parquet a donc dû solliciter un renvoi, afin que les prévenus soient jugés ultérieurement.

    Placés sous contrôle judiciaire

    Mais la nouvelle audience n’est prévue qu’en mars 2019. Or le délai légal de détention provisoire autorisé entre la signature d’une ordonnance de renvoi et le jugement ne doit pas dépasser six mois. Les prévenus ont donc dû être relâchés (sauf un, qui reste détenu dans une autre affaire). Le parquet précise néanmoins qu’ils ont tous été placés sous contrôle judiciaire avec obligation de pointer une fois par semaine au commissariat.

    Douze hommes comparaissent au total dans ce dossier portant sur un trafic international de stupéfiants (cannabis, cocaïne, héroïne, kétamine, ecstasy). Les produits étaient importés depuis les Pays-Bas, transitaient par Montigny-lès-Cormeilles (Val-d’Oise), avant d’être acheminés à Talence (Gironde) pour être vendus dans le milieu festif de la région bordelaise.

    Source : France Info
    http://www.contre-info.com/justice-7-trafiquants-de-drogue-remis-en-liberte-faute-de-magistrat-pour-les-juger#more-52490

  • Frères Ramadan : la gauche n’a pas honte, par Caroline Parmentier

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    On mesure aujourd’hui notre chance d’avoir hérité des frères Ramadan. L’un est en prison pour viol, l’autre est soupçonné de soutien au terrorisme islamiste.

    L’étau se resserre autour des frères Ramadan qui ont eu pignon sur rue en France et que les islamo-gauchistes, du Monde à Mediapart, nous ont si longtemps vendus comme des personnalités intéressantes, couvertes de titres honorifiques, docteurs ès sciences islamiques, phares de la pensée d’un islam progressiste, prédicateurs charismatiques et saints hommes.

    Le ministère de l’Intérieur et le ministère de l’Economie et des Finances ont pris 17 arrêtés le 15 juin dernier pour geler les avoirs de personnes liées au terrorisme, parmi lesquels Hani Ramadan, dans le cadre d’un article du Code monétaire et financier visant « les personnes physiques ou morales, ou toute autre entité qui commettent, tentent de commettre, facilitent ou financent des actes de terrorisme, y incitent ou y participent ».

    Le Monde et Edgar Morin

    En septembre 2002, Le Monde publiait une tribune signée Hani Ramadan, défendant l’application de la charia et la lapidation des femmes adultères. Le Monde n’en a rien perdu de sa superbe, personne ne lui rappelle ce haut fait de gloire. Le prédicateur et imam avait ensuite été licencié de son poste d’enseignant de français par le gouvernement genevois après la publication d’un livre où il faisait l’apologie de la lapidation et où il affirmait que le sida était une punition divine. Hani Ramadan a été expulsé de France vers la Suisse en avril 2017, après avoir fait l’objet d’une interdiction administrative. Voici comment le présentait alors le ministère de l’Intérieur : « Il a dans le passé adopté un comportement et tenu des propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public sur le sol français. »

    On n’entend plus cette vieille crapule marxiste d’Edgar Morin, coauteur de livres avec Tariq Ramadan, qui avait tenté une tribune de soutien dans Mediapart juste après l’arrestation de son ami. Il s’est gravement compromis avec une famille de prédateurs dangereux. Curieusement, dans les réseaux sociaux la proximité entre l’islamiste violeur et celui qui a toujours combattu les valeurs occidentales sous couvert de communisme et aujourd’hui d’islamo-progressisme, s’estompe. A l’évidence on travaille actuellement à sauver la e-réputation d’Edgar Morin, belle figure d’intellectuel de la gauche extrême.

    L’affaire Tariq Ramadan, outre la tartufferie du « porc » et le lien entre ses positions religieuses et son mode de fonctionnement avec les femmes, est révélatrice de l’antisémitisme haineux des Ramadan et de leurs soutiens, qui déferle à gros bouillons sur les réseaux sociaux sans qu’aucune autorité politique et morale ne s’en émeuve. On y parle alternativement « des juifs » ou « des sionistes », cela ne fait aucune différence. Les victimes de Tariq Ramadan sont des « putes juives » et « l’instrument du mal et du complot sioniste ».

    Sur sa note de blog publiée mardi soir, Hani Ramadan, égal à lui-même, estime que c’est le Premier ministre israélien « Benjamin Netanyahu qui devrait être interdit de séjour en France, et que ce sont les comptes de l’Etat d’Israël qui devraient être bloqués ».

    Edgar le frotteur

    Extrait du livre d’Edgar Morin, Mon Paris, ma mémoire : « J’empruntais donc le métro matin et soir. Je prenais le matin le métro à la station Ménilmontant, direction Porte-Dauphine, pour me rendre au lycée, et rentrais le soir par la station Anvers, direction Nation. A l’aube, les wagons étaient bondés. Il fallait souvent pousser et savoir s’infiltrer pour y pénétrer. On y était serrés comme des sardines. Parfois, le hasard, que je provoquais quelque peu, me plaquait tout contre une croupe émouvante. C’est plus tard, quand j’eus dix-sept-dix-huit ans, que j’osais parfois caresser un bel oméga qui provoquait en moi le frisson cosmique. Si la croupe ne se rebellait pas, nous restions, le temps de quelques stations, en communion sidérale, jusqu’à ce que l’un des deux corps s’arrache à l’autre, arrivé à destination. »

    Décidément, il avait plus d’un point commun avec Ramadan.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 21 juin 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Guerre et médiamensonges, “ainsi nos gouvernements ont manipulé les attentats”

    Republicans guards stand beside a wreath of flowers placed by Paris' mayor and the French president at the foot of the Statue of Marianne during a remembrance rally attended by the President of France at Place de la Republique (Republic square) on January 10, 2016 to mark a year since 1.6 million people thronged the French capital in a show of unity after attacks on the Charlie Hebdo newspaper and a Jewish supermarket. Just as it was last year, the vast Place de la Republique will be the focus of the gathering as people reiterate their support for freedom of expression and remember the other victims of what would become a year of jihadist outrages in France, culminating in the November 13 coordinated shootings and suicide bombings that killed 130 people and were claimed by the Islamic State (IS) group. / AFP / POOL / YOAN VALAT

    “Une guerre d’agression ne peut qu’être fondée que sur des mensonges (Irak, Syrie, ndlr), l’objectif principal des gouvernements est de provoquer la désinformation pour obtenir ce consensus qui autrement n’existerait pas dans l’opinion publique”, affirme Michel Collon à Il Manifesto. Cette interview porte sur le livre “Je suis ou je ne suis pas Charlie?” traduit en italien avec le titre “Effetto boomerang (éditeur Zambon)”

     Que pensez-vous de la liberté d’information en Europe et en France aujourd’hui, on a eu des changements après l’attaque de Charlie Hebdo en 2015?

    Pour ce que je connais bien, à savoir la France et la Belgique, je pense que les attentats de janvier (Charlie) et novembre (Bataclan) ont malheureusement été récupérés et manipulés par les élites. Il aurait fallu lancer un grand débat pour comprendre les causes profondes. Analyser la responsabilité des Etats-Unis, de la France et de leurs alliés dans l’explosion de ce terrorisme, par exemple avec le livre Jihad made in USA de mon jeune collègue d’Investig’Action Grégoire Lalieu ou avec mon Je suis ou je ne suis pas Charlie ? d’avril 2015. Au lieu de cela, les élites ont préféré cacher leurs responsabilités en intimidant la population, en la désinformant pour qu’elle soutienne la guerre en Libye et en Syrie, en interdisant les débats à la télé (des émissions critiques ont été purement et simplement supprimées), en sommant les musulmans de « désavouer » les attentats comme si c’étaient eux les responsables, et pas Washington et Paris.

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