Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 583

  • Alexandre Del Valle. Le géopolitiste qui bat en brèche l’islamiquement correct depuis 25 ans [2]

    Alexandre Del Valle sur France 5, le 30 janvier 2015, face au grimaçant Jean-Luc Mélenchon 

    Par Péroncel Hugoz 

    Ancien correspondant du Monde en Algérie puis en Egypte, grand-reporter, auteur d’une dizaine de volumes sur les pays du Sud (notamment Le Radeau de Mahomet, 1983, et 2000 ans d’histoires marocaines, 2014) éditeur en France ou au Maroc de 60 ouvrages orientalistes, chroniqueur sur lafautearousseau depuis 2016, Péroncel-Hugoz, ce qui est moins connu, a joué un rôle au début de la carrière du géopolitiste et essayiste Alexandre Del Valle, pied-noir franco-italien, né en 1968 à Marseille, dont la dizaine de consistants essais tend à dévoiler la vraie nature de l’offensive panislamiste sur les cinq continents,  le dernier de ces ouvrages étant, en mars 2018, La stratégie de l’intimidation, véritable bréviaire de ce mal qui ronge nos sociétés: l’islamiquement correct. Un mal, sorti certes de l’Islam mais où les Etats-Unis d’Amérique ont joué, et continuent de jouer un rôle trouble, équivoque et plus que jamais inquiétant à l’heure du trumpisme. 

    Nous laissons donc la parole à Péroncel-Hugoz, sur la genèse de ses relations avec Alexandre Del Valle avant de publier deux des textes qu’il a écrits pour soutenir le géopolitiste : ISLAMERIQUE, préface en 1997 d’Islamisme et Etats-Unis. Une alliance contre l’Europe (l’Age d’homme, 330 p.) puis Travailler pour le roi de Turquie…, préface en 2004 de La Turquie dans l’Europe. Un cheval de Troie islamiste ? (Edition des Syrtes, 2004, 460 p.)  Lafautearousseau 

    ... En deux occasions, je fournis au jeune homme sur sa requête, des textes mettant en valeur ses découvertes factuelles car ma ligne de conduite professionnelle a toujours été: des faits, des faits, rien que des faits. 

    LES PREMICES DE L’ISLAMO-GAUCHISME 

    Ces faits gênants, que justement des militants tiers-mondialistes comme feu Bruno Etienne, avaient tout fait pour enjoliver voire dissimuler, à propos des méfaits islamistes, en Algérie et en France notamment. J’avais pu observer le travail désinformatif d’Etienne quand, vers 1965-1970, nous étions tous deux coopérants en Algérie, après l’indépendance, survenue en 1962. Quoique marié à une pied-noir lucide et franche, Etienne, travailleur, actif, érudit mais rongé par cette idéologie pernicieuse qu’on appellerait plus tard « islamo-gauchisme », ne pouvait tolérer, comme ses pareils, de voir sa folle propagande déguisée par lui en science politique, bloquée par le grain de sable D’Anna - Del Valle. Bruno Etienne, revenu d’Algérie est mort beaucoup plus tard - que Dieu ait son âme bien que celle-ci se soit réclamée surtout de la maçonnerie, du laïcisme, voire du protestantisme !… 

    Tariq_Ramadan_Hani_Ramadan-660x330.jpg

    Ont succédé au défunt des idéologues en chambre, tous peu ou prou imprégnés de marxisme et parmi lesquels, soulignons-le, les musulmans de souche (oui, ça existe, comme les Français de souche) ont toujours été rarissimes, à de brillantes exceptions près comme les frères égyptiens, de nationalité helvétique, Tarik et Hani Ramadan ; il y a eu également des militants nouveaux, plus jeunes, plus redoutables, plus radicaux, comme certains Verts immigrationnistes, plus culottés, plus retors, mieux organisés et qui ont remplacé les étiennistes comme adversaires inlassables de Del Valle mais celui-ci, toujours calme, poli et concret, quoique ferme, leur a tenu jusqu’ici la dragée haute, ainsi sur France 5, le 30 janvier 2015, face au grimaçant Jean-Luc Mélenchon. 

    « LES IDIOTS UTILES »

    Del Valle, bien sûr, a toujours eu à subir aussi le harcèlement des éternels «idiots utiles», hier agents soviétiques sans le savoir ou «porteurs de valise» des tueurs nationalistes algériens. Le géopolitiste, avec pugnacité et argumentation n’a jamais cessé de tenir tête à l’immense troupeau « politiquement correct » de ceux qui voudraient nous faire croire aujourd’hui que le plus grand danger est la soi-disant «islamophobie» des Français et également que notre «vieille amitié» avec les Américains est une garantie de loyauté de ces derniers dans notre lutte contre les djihadistes. En réalité, les dirigeants qui se succèdent à Washington depuis Nixon non compris, se fichent comme de Colin-Tampon des ravages de l’islamisme en Europe, Russie comprise, comptant sur un djihad endémique chez nous pour faire du Vieux Continent un vaste Liban, un continent à la puissance paralysée par un méli-mélo de guerres de religion, de terrorisme, de migrations invasives, le tout sous l’invocation du Coran , parole d’Allah transmise à Mahomet et réputée être, pour ses fidèles, d’une « fraîcheur éternelle »… 

    Les musulmans ont la chance d’avoir conservé la foi et des gens comme Del Valle ou moi-même, comme Rémi Brague ou Anaïs Laurent, comme le couple orientaliste Urvoy, comme l’intrépide écrivain algérien d’Algérie Boualem Sansal, n’ont pas, n’ont jamais eu l’idée de séparer les mahométans de leurs certitudes mais ils réclament simplement, par précaution, que les djihadistes soient renvoyés dans leurs terres d’origine.  Chacun chez soi et les dangers qui pèsent sur nos têtes en ce moment, iront en diminuant, Inchallah, si Dieu veut… •  (A suivre ...)

    Illustration ci-dessus : Tarik et Hani Ramadan

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Cruauté du gouvernement anglais : le patriote dissident Tommy Robinson transféré dans une prison pleine d'islamistes

    hhjkl.jpg

    Source Breizh info cliquez là

    Le journaliste dissident Tommy Robinson – qui a fait de l’alerte sur l’immigration et l’islamisation du Royaume-Uni son cheval de bataille, se trouve en prison depuis le 25 mai dernier.

    Pire encore, il vient d’être déplacé dans une prison peuplée majoritairement de musulmans alors que de nombreuses voix s’élèvent pour demander sa libération.

    Désormais, c’est sa sécurité, et sa vie, qui sont mises en danger en raison des décisions de la justice anglaise.

    Lors de son transfert dans la nouvelle prison, un de ses proches explique que les prisonniers ont tapé au mur toute la nuit, hurlant le nom de « Tommy Robinson », le menaçant de mort. Un contrat a été placé sur sa tête, avec une récompense pour quiconque parmi les prisonniers le tuera.

    Sa famille et son entourage ont depuis fait savoir qu’ils travaillaient activement, avec des avocats, pour tenter de changer la situation qu’ils décrivent comme « vraiment inquiétante ».

    Des parlementaires américains ont écrit aux autorités britanniques, tandis qu’au parlement européen, c’est  la député britannique – anciennement proche de l’UKIP et désormais indépendante - Janice Atkinson  qui a tenté d’évoquer la situation de cet activiste, avant que son micro ne soit tout simplement coupé au moment où elle évoquait la forte présence musulmane dans la prison.

    Des interventions diplomatiques seraient en cours. En attendant, une manifestation se déroulera à Londres, le 14 juillet, pour exiger sa libération, dans un contexte particulièrement tendu. Ses soutiens dans toute l’Angleterre commencent en effet à ne plus supporter l’autoritarisme des autorités concernant le cas Tommy Robinson.

    Lire aussi cliquez ici 

  • Comment les « Grooming Gangs » humilient le Royaume-Uni – Anthony Grange (Les Identitaires)

    rochdale-1021x580-600x341.jpg

    Pour quiconque sait ce qu’il s’y est passé, le nom de Telford, au Royaume-Uni, apparaît comme synonyme d’horreur. De Telford, mais aussi de Rotherham, de Rochdale, de Derby, d’Oxford, de Banbury, de Bristol, d’Aylesbury, d’Halifax, de Newcastle ou Peterborough.

    Ces villes anglaises ont connu, pendant des dizaines d’années, des viols de masses sur des adolescentes. On parle d’un total de 4 000 victimes sur toute l’Angleterre.

    Vous n’en avez pas, ou peu, entendu parler ? Ce n’est guère surprenant. Car les médias français se sont montrés d’une prudence de Sioux sur ces affaires. Eux, si prompts à dénoncer la moindre blague sexiste, évitent à tout prix d’aborder le cas de ces milliers d’adolescentes violées.

    La raison de cette prudence est simple : c’est parce que ces viols ne cadrent pas avec la grille de lecture des féministes progressistes. Car dans ces viols collectifs, les agresseurs sont des hommes issus de l’immigration (notamment pakistanaise), et leurs victimes des jeunes filles de la classe ouvrière blanche.

    Les actes commis à Telford, Rotherham ou Rochdale correspondent à ce que les Anglais appellent des « Grooming Gangs ». En français, cela correspond à des viols collectifs, ou à des tournantes, mais avec une dimension supplémentaire.

    Comment se passent un grooming ? Prenez une jeune fille de onze ou douze ans. Elle est blanche, issue d’une famille ouvrière prolétarisée par la crise des années 1980. Elle évolue dans un environnement où le chômage, l’alcoolisme, la toxicomanie se développe.

    Cette jeune fille va traîner dans la rue. S’initier à la cigarette, peut-être même frayer avec la délinquance juvénile. Et elle va entrer en contact avec un jeune homme, majeur, d’origine pakistanaise. Il va la traiter comme une grande. Lui donner des cigarettes, la faire sortir tard le soir. Lui payer un repas à McDo, lui offrir des petits cadeaux. Lui faire boire de l’alcool. La présenter à ses amis, du même âge.

    Et il va la violer.

    Et ses amis vont la violer.

    La jeune fille va rentrer chez elle, mais le lendemain, elle croisera à nouveau son violeur. Qui l’emmènera encore pour la violer. Il va la battre, pendant des heures. Lui donner de la drogue et la rendre accro au crack. La prostituer.

    Elle connaîtra les coups, l’humiliation. Elle n’est qu’une blanche, une salope, une Anglaise. Une « white cunt ». Elle mérite ce qui lui arrive, à cause de son comportement, de la façon dont elle s’habille, de sa couleur de peau.

    Elle n’est pas musulmane, elle n’est pas digne de considération. Elle n’est que de la viande. Parfois, on récite des versets du Coran en la violant.

    On la menace. « Si tu parles, je violerai ta mère devant toi. » On la force à ramener ses amies, ses sœurs, qui entreront dans le même engrenage infernal.

    Les viols se font par plusieurs hommes en même temps, pendant des heures. Les victimes subissent morsures, brûlures, étranglements. On leur urine dessus. Elles sont torturées à coups de couteau, de hachoir, de batte de base-ball, de marteaux.

     

    Une victime a eu les fesses marquées des initiales de son bourreau. Une autre a eu la langue clouée à une table.

    Une victime a été poignardée quarante fois et son cadavre jeté dans un canal. Une autre brûlée vive dans sa maison avec sa sœur et sa mère.

    Comment des faits aussi horribles ont-ils pu se produire pendant des dizaines d’années et dans tant de villes différentes sans que les autorités britanniques réagissent ? Cela paraît sidérant… et pourtant c’est arrivé. Pour deux raisons.

    Déjà, les victimes. Issues de la classe ouvrière, elles sont ignorées, méprisées par les pouvoirs publics. Elles sont perçues comme des citoyennes de seconde classe. Elles ne sont défendues ni par les élites anglaises, ni par une quelconque organisation communautaire, ni par les associations antiracistes.

    Personne ne s’occupe d’elles.

    Et puis il y a les bourreaux. Dans leur immense majorité, ils sont issus de l’immigration. Ils sont membres d’une communauté solide, soudée, qui a ses entrées au conseil municipal et au commissariat.

    S’en prendre à cette communauté, c’est être raciste.

    Entre risquer de ruiner sa carrière pour aider leurs victimes et ne rien faire, le choix a été vite fait.

    La police n’a rien fait. Des policiers qui sont tombés sur une gamine de douze ans ivre au milieu d’adultes pakistanais ont poursuivis la fille pour ivresse publique sans même relever les identités des hommes. Des adultes pris en flagrant délit de relation sexuelle avec des mineurs, qui avaient des photos d’autres actes sexuels avec d’autres mineurs sur eux, ont été relâchés. Des policiers qui ont voulu enquêter en ont été dissuadés par leur hiérarchie. Une policière qui a relevé l’origine ethnique des agresseurs a été contrainte de suivre un cours de sensibilisation antiraciste.

    Les professeurs n’ont rien fait. Leurs élèves vivaient l’enfer, et ils sont restés les bras croisés.

    Les services sociaux et de santé n’ont rien fait. Des filles allaient chercher une pilule du lendemain plusieurs fois par mois, avortaient à répétition, présentaient des traces de torture et de viols, et ils n’ont rien fait.

    Les municipalités n’ont rien fait. Certaines ont même délibérément entravé les enquêtes.

    Ils avaient peur de paraître raciste. Ils avaient peur de nuire au vivre-ensemble. Ils avaient peur de créer des tensions communautaires.

    Ils avaient peur pour leur carrière, pour le qu’en dira-t-on.

    Les viols collectifs de Telford, Rotherham, Rochdale, et de toutes ces autres villes, ont été permis par la lâcheté des institutions qui ne voulaient pas être accusées de racisme.

    Et ils ont été permis par la haine. La haine contre les Anglais, la haine contre les Européens, la haine contre les Blancs. La haine de ces populations venues d’ailleurs qui se comportent en conquérants.

    La haine qui harcèle, qui agresse, qui tabasse, qui viole, qui tue.

    La haine de la racaille, la haine des islamistes, la haine des violeurs.

    Cette même haine, que l’on retrouve partout en Europe.

    Nous avons récemment appris qu’aux Pays-Bas, 1 400 adolescentes néerlandaises étaient, tous les ans, victimes de proxénètes immigrés.

    Et en France ?

    Anthony Grange

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/211250/comment-les-grooming-gangs-humilient-le-royaume-uni-anthony-grange-les-identitaires/#more-211250

  • L’AQUARIUS : UN MODERNE NÉGRIER

    Capture-8.png

    L’information passe inaperçue, tant elle est banale. La moitié des 630 migrants de l’Aquarius veulent s’établir en France. C’est l’annonce faite par le gouvernement espagnol le 18 juin après qu’il a accueilli le navire dans le port de Valence, conformément à l’annonce qu’il avait faite quelques jours plus tôt.

    N’en déplaise aux bonnes âmes et autres bien-pensants, professionnels de la compassion, internationaux de la pleurnicherie et spécialistes de l’accueil par les autres, l’Aquariusest un « négrier ». Un navire en provenance des côtes africaines, où il est allé chercher ces personnes qui n’étaient pas en péril au milieu des eaux internationales, mais à proximité immédiate des côtes libyennes. Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas, à moins qu’ils aient gagé leurs hypothétiques revenus futurs pour rembourser leurs passeurs. Un navire qui a mené jusqu’en Europe de gens qui n’ont rien à y faire, qui ne parlent pas nos langues et qui finiront au mieux assistés sociaux, au pire semi-esclaves au profit d’entrepreneurs sans scrupules.

    C’est d’une véritable traite qu’il s’agit. Cette traite justement dénoncée de nos jours, grâce à laquelle des armateurs peu regardants se sont enrichis, il y a quelques siècles, sur le commerce du bois d’ébène. Ces « migrants » sont le bois d’ébène moderne. Et notre société n’en a pas encore conscience.

    Monsieur Macron a fustigé l’attitude de l’Italie dans cette affaire. En refusant d’accueillir ce bateau dans ses ports, la péninsule a justement rappelé que les associations pro-migrants ne se contentaient pas de secourir les naufragés en passe de se noyer. Elles vont les chercher en Afrique et les transportent en Europe. Les Italiens ont également rappelé que les secours en mer relevaient de la responsabilité des États, et que ces derniers avaient la capacité de les organiser sans avoir recours à des ONG dont les motivations sont beaucoup moins charitables. En réalité, ces navires de passeurs sont les complices des mafias qui organisent, des deux côtés de la Méditerranée, un odieux trafic d’êtres humains.

    Un trafic d’autant plus odieux que ces personnes, qui viennent et resteront en Europe, n’ont rien à y faire. Certaines passeront en France, d’autres en Grande-Bretagne. Là, elles seront alimentées par notre système de solidarité, sans aucune possibilité de travailler, faute de maîtrise de la langue et des compétences élémentaires requises. Parmi elles, quelques islamistes qu’on nous dira modérés s’égailleront dans la nature pour y préparer la subversion de nos nations, ou un attentat qui tirera de nos bon samaritains incrédules quelques larmes de crocodile et une nouvelle extinction de la tour Eiffel.

    La presse unanime a salué la décision espagnole. En réalité, dans cette affaire, tout est communication. Dès lors que nos dirigeants libéraux et démocrates peuvent pointer du doigt l’attitude « scandaleuse » de l’Italie et de son gouvernement « populo-fasciste », pourquoi se priver d’une publicité à bon compte, quitte à piétiner allègrement la volonté des peuples qui n’en peuvent plus ? Et puis, qui se soucie de la volonté des peuples ? Ni les socialistes espagnols, ni le gouvernement français.

    Dans quelques jours personne n’en parlera plus. Et d’autres Aquarius accosteront sur les quais européens, dans l’indifférence la plus totale. Anesthésiés par le foot et la société de consommation, nos compatriotes ont le sommeil lourd. Jusqu’au jour du réveil, qui tarde à venir, mais qu’il faut craindre brutal. Hélas.

    http://www.bvoltaire.fr/laquarius-moderne-negrier/

  • 80 KM/HEURE : C’EST FAIT. TOI, ÉDOUARD PHILIPPE, ON PEUT DIRE, TU ES UN VRAI CHEF !

    Capture-26.png

    C’est fait. Le décret est paru au Journal de la République française : la vitesse sera donc limitée à 80 kilomètres/heure sur 400.000 kilomètres – excusez du peu – de routes secondaires à partir du 1er juillet. À titre de comparaison, le réseau autoroutier avoisine les 12.000 kilomètres. C’est bien, le 1er juillet. Ça tombe un dimanche, cette année, et même si l’école ne sera pas finie, il y aura du monde, beaucoup de monde, sur la route. Impeccable pour mettre d’emblée dans l’ambiance. Les radars en frémissent par avance de bonheur. Espérons que ça ne bouchonnera pas trop au centre de traitement des procès verbaux.

    Pompidou, qui adorait la bagnole – c’était la mode, à l’époque, pour un politique -, comme la cigarette – tout aussi à la mode à la même époque -, du fond de son tombeau fermé, peut bien s’exclamer « Arrêtez d’emmerder les Français », Édouard Philippe, pourtant issu d’une formation politique très lointaine héritière du vieux parti gaulliste, n’en a eu cure. Je le veux, je l’ordonne, je l’exige : les Françaises et Français rouleront à 80 km/h. Point barre. Un homme d’autorité, cet Édouard Philippe. C’est un peu le Raoul Volfoni des Tontons flingueurs qui aurait fait l’ENA. Celui qui en impose et qui impressionne pas qu’un peu son monde. La France, cette Madame Mado un peu défraîchie, ne s’y est d’ailleurs pas trompée.
    « Toi, Raoul, on peut dire que tu en es un.
    – Un quoi ?
    – Un vrai chef. »

    C’est vrai, ça, imposer une mesure si impopulaire en si peu de temps, faut le faire. Regardez, par exemple, toute cette kyrielle de Premiers ministres qui se sont succédé durant et sous les lustres de Matignon : incapables d’endiguer la délinquance et la criminalité dans ce pays, de réduire les zones de non-droit qui se développent plus rapidement que les grandes surfaces dans une ville gérée par la gauche. Des bras cassés, vous dis-je. Eh bien, lui, Édouard Philippe, il l’a fait. Du moins sur les routes. Car il a compris un truc, Édouard Philippe : la loi est faite pour ceux qui obéissent à la loi. Il fallait y penser.

    Hier encore, comme chante Aznavour, les Français – à part Médine et les Havrais, pour faire court – ne connaissaient pas Édouard Philippe. Il en était bien conscient, Édouard Philippe. Alors, un matin, il a montré les muscles. C’est vrai qu’il fait de la boxe, Édouard Philippe. Et il a déclaré, tout de go, paraphrasant ce cher Raoul Volfoni : « Mais, ils connaissent pas Édouard, ces mecs. Ils vont avoir un réveil pénible… Je vais les travailler en férocité. Les faire marcher à coups de latte. » Effectivement, pour beaucoup, un an après, et pas qu’avec le 80 kilomètres/heure, le réveil est pénible. Modulons quand même nos propos : disons qu’Édouard Philippe a le travail en férocité sélectif et ses coups de latte ne vont pas forcément là où l’on souhaiterait qu’ils aillent. Mais bon, c’est Raoul. Pas Monsieur Fernand, cet homme de la pampa, parfois rude mais néanmoins toujours courtois.

    Il paraît que cette mesure devrait permettre de réduire le nombre de morts sur la route. Parfait. On espère la même rigueur pour réduire les risques de croiser sur notre route des terroristes islamistes.

    http://www.bvoltaire.fr/80-km-heure-cest-toi-edouard-philippe-on-dire-es-vrai-chef/

  • Affaire Médine : l’acte de décès du « en même temps » d’Emmanuel Macron ? – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

    gibataclanmedine-1021x580-600x341.jpg

    Une nouvelle fois, les identitaires ont joué leur rôle de lanceurs d’alerte.

    Au début du mois de juin, des militants ont révélé sur les réseaux sociaux que le rappeur islamiste « Médine » doit se produire les 19 et 20 octobre prochains au Bataclan, cette fameuse salle de concert du XIème arrondissement parisien où 90 personnes ont été froidement abattues par un commando djihadiste le 13 novembre 2015.

    Rapidement, de nombreux acteurs politiques de droite – du Front National à Laurent Wauquiez – ont protesté contre la tenue de ce concert. Ils ont été suivis par certaines associations de victimes qui ont réclamé à leur tour l’annulation du spectacle, et même par certains députés LREM.

    L’objet de la polémique est évident. Le rappeur Médine Zaouiche, qui porte le prénom d’une des villes saintes de l’islam où fut enterré Mahomet, a longtemps affiché une barbe imposante, à l’instar des compagnons du prophète.

    Le titre de son premier album évoque les attentats du 11 septembre 2001 qui avaient fait plus de 3 000 morts. Le deuxième album, sorti en 2005 et sobrement intitulé « Jihad », joue avec tous les codes de l’islam guerrier. La pochette est notamment barrée d’un imposant sabre vertical constituant le « J » de « Jihad ». On frissonne à l’idée de l’imaginer prononcer les paroles de sa chanson « Grand Médine » où il se compare à un combattant de l’Etat Islamique : « J’arrive sur tous les sites comme un djihadiste de Daesh ».

    Dans ce contexte, la programmation d’un spectacle de Médine sur une scène ensanglantée par des terroristes islamistes constitue une provocation inacceptable.

    Face à la controverse qui a pris une ampleur nationale, le gouvernement d’Emmanuel Macron se retrouve dans une posture délicate. Comme souvent dès que l’on aborde les thématiques identitaires, le pouvoir macroniste est très ennuyé. Il y a une limite à la conciliation des contraires. S’agissant du rappeur islamiste Médine et de son concert au Bataclan, il ne peut y avoir de « en même temps ».

    Ou bien ce spectacle est autorisé, ou bien il est interdit. Il faut prendre parti et trancher radicalement.

    Impossible de biaiser, de réconcilier les parties adverses, de ménager les uns et les autres.

    Mais le dilemme est sérieux.

    Faut-il interdire à Médine de se produire au Bataclan et donner raison à la « fachosphère », ou laisser faire et donner le sentiment de céder face à l’islamisme ?

    Différents signaux nous indiquent d’ores et déjà l’option privilégiée par l’exécutif.

    Sur Cnews, le porte-parole du gouvernement a adopté une position de principe : « La liberté de l’artiste est totale. » Avec ce relativisme irresponsable, le gouvernement accepterait donc que le « Djihad » soit revendiqué sur les lieux de l’attentat islamiste le plus meurtrier de l’Histoire de France.

    Ce serait profaner la mémoire des victimes et humilier notre pays au nom de « droits » extensibles à l’infini.

    Le Premier ministre Edouard Philippe, quant à lui, « assume pleinement » la subvention de la ville du Havre (attribuée lorsqu’il en était maire) au club de boxe de Médine.

    On comprend dès lors de quel côté penchent le Président et ses ministres.

    Cette fois il n’y aura pas de « en même temps ». Ou plutôt si. Avec Macron, nous aurons l’islamisation et en même temps, la soumission.

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • L’ ALLEMAGNE DEVIENT UN ENFER POUR LES FEMMES, VICTIMES SEXUELLES DE MIGRANTS

    vergewaltigung.jpg

    L’Allemagne, qui était autrefois un pays réputé pour la sécurité et l’ordre qui y régnait, devient, à la suite de l’ouverture des frontières aux migrants par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel au cours de l’été 2015, un enfer au sein duquel les viols, agressions sexuelles et attaques au couteau se multiplient, souvent durant la journée et en pleine rue.

    Le samedi 9 juin 2018, à Plauen en Saxe, deux hommes à la peau sombre et parlant une langue étrangère non identifiée ont abordé et agressé sexuellement une femme de 25 ans. La victime a pu s’échapper et est légèrement blessée.

    Le dimanche 10 juin, à 4 h 40 du matin, à Heidelberg au Bade-Wurtemberg, une dame de 36 ans, qui revenait d’une discothèque accompagnée d’un individu qu’elle y avait rencontré, a été violée par celui-ci en pleine rue après avoir fumé une cigarette avec lui. L’auteur des faits a des cheveux noirs et la peau sombre.

    Le mercredi 13 juin, dans le quartier d’Ottensen à Hambourg, une adolescente de 16 ans a été agressée par derrière et tirée sur le sol. Elle a crié et l’assaillant a pris la fuite après avoir tenté de la violer. La police recherche l’auteur des faits. Il est de type méditerranéen, âgé de 15 à 17 ans, a des cheveux sombres et une stature mince.

    Ce jeudi 14 juin, un demandeur d’asile d’Afrique de l’Est a frappé massivement et violé, à Ottrau en Hesse, une femme de 39 ans qui l’avait pris en autostop. L’auteur des faits a été arrêté quelques heures plus tard, après des recherches organisées par les forces de l’ordre.

    Au cours de la nuit du 14 au 15 juin, à Fribourg-en-Brisgau au Bade-Wurtemberg, une dame a été suivie par un inconnu qui l’a abordée, puis poursuivie et finalement attrapée et a tenté de l’agresser sexuellement. La victime s’est défendue et échappée. L’assaillant parle un allemand saccadé, a les cheveux sombres et un physique de type arabe.

    Ce samedi 16 juin, à Hanovre en Basse-Saxe, une dame de 37 ans a été poignardée en rue par le Turc Bulent Içel. La victime a été transportée à l’hôpital, où elle est décédée.

    Pendant ce temps, la Justice s’occupe de divers auteurs de faits graves. À Berlin, Mohammad S., 17 ans, et Wael L., 27 ans, ont été condamnés pour deux affaires de viol. Mohammad S. avait rencontré une fille de 14 ans sur Facebook et avait eu avec elle une relation sexuelle consentie. Il avait alors pris des photos, réalisé des vidéos et fait chanter la victime en la menaçant de publier ces éléments sur Internet. Cette dernière avait alors été contrainte d’avoir des relations sexuelles avec des amis de Mohammad S.

    Un an plus tard, Mohammad S. avait saoulé une fille de 16 ans dans un appartement du quartier de Neukölln puis violée pendant que Wael L. filmait à l’aide de son portable. La victime, enfermée dans l’appartement, avait pu attirer l’attention d’un voisin qui avait appelé la police et être ainsi libérée.

    Notons également, en Saxe, le procès, à Dresde, d’un demandeur d’asile pakistanais qui avait violé une handicapée mentale, et à Zwickau celui d’un Libyen qui escaladait, durant la nuit, les balcons afin de pénétrer dans les appartements par les fenêtres ou portes ouvertes et d’attaquer des femmes avant d’éjaculer sur elles. L’auteur était déjà connu des services de police pour avoir éjaculé sur des pare-brise et des portes de balcon.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Du Jihad à la bombe démographique, le compte à rebours

    europe-vue-du-ciel-300x225.jpgNous ne sommes pas de ceux qui pensent que la direction  de la FNSEA, premier syndicat agricole français, se batte toujours pleinement et efficacement pour la défense de notre monde  rural,  mais elle a raison d’appuyer les agriculteurs qui protestent actuellement en bloquant des raffineries contre  la concurrence de (l’écologiquement très destructrice) huile de palme dans les biocarburants face à la filière colza française. Pareillement,  même s’il ne sont pas de notre paroisse, nous nous félicitons  que des  figures du Système  (le député et porte-parole LREM Aurore Bergé, le premier secrétaire  du PS Olivier Faure,  les élus LR Roger Karoutchi, Jean-François Copé,  l’association  printemps républicain...)  aient rejoint  Marine, les personnalités de l'opposition  nationale, les Identitaires,   pour s’indigner de la programmation en octobre  du rappeur prénommé Médine dans la salle du Bataclan, lieu   de la tuerie  de masse islamiste du 13 novembre 2015. Marianne le rapporte,  « au cœur de cette levée de boucliers, certaines paroles chantées par le rappeur ainsi que le titre de l’un de ses albums. (…) , intitulé Jihad, le plus grand combat est contre soi-même. En 2015, Médine avait déjà suscité l’indignation peu après l’attentat contre Charlie Hebdo, avec les paroles de sa chanson Don’t Laïk dans laquelle il chantait notamment crucifions les laïcards comme à Golgotha

    « S’il n’a pas encore réagi à cette nouvelle polémique, Médine s’était déjà exprimé sur ses écrits controversés. J’ai intitulé mon album Jihad, d’abord avec un sous-titre Le plus grand combat est contre soi-même, et ensuite c’était en 2005, dans un autre contexte (…) Mon message à ce moment-là s’adressait à ceux qui seraient tentés de partir combattre et à ceux qui ont une définition de ce terme complètement galvaudée, déclarait-il dans l’émission Clique TV en février 2017. Sur la chanson Don’t Laïk (…) , il avait toutefois reconnu avoir la sensation d’être allé trop loin (…).  La provocation n’a d’utilité que quand elle suscite un débat, pas quand elle déclenche un rideau de fer.  Avec Dont Laïk, c’était inaudible, et le clip a accentué la polémique. J’ai eu la sensation d’être allé trop loin, expliquait-il. Dans L’Obs, il déclarait également que le morceau était une caricature tendue aux fondamentalismes. En novembre 2015, Médine figurait parmi les signataires de la tribune Nous sommes unis, publiée dans Libération et qui dénonçait la folie meurtrière motivée par une idéologie mortifère et inhumaine. »  Idéologie religieuse, notons-le au passage  qui proscrit d’ailleurs l’écoute et la pratique de la musique ( et donc  du  rap) laquelle  est formellement interdite chez les musulmans les plus rigoristes, car  considérée comme haram,  notamment  dans les fiefs de l’Etat islamique.

    Un autre article de Marianne relaie les propos du président de l’Observatoire de la laïcité,  le socialiste Jean-Louis Bianco,  sur France Culture,  signataire comme le  rappeur  Médine de la  tribune  nous sommes unis évoquée plus haut. M Bianco affirme avoir  été choqué par cet appel à la crucifixion mais qu’il ne croyait pas qu’il  était un appel à la haine.  Médine a précisé peu après, ce qui peut s’entendre et se défendre,   qu’il ne fallait pas confondre laïcité et et laïcisme: « Le Laïcisme est une version dévoyée de la laïcité. » M. Bianco a aussi établi un parallèle,  jugé très discutable    par Marianne,   en expliquant   que « Charlie Hebdo dit bien pire (que Médine) , Charlie Hebdo  dit bien pire pour les catholiques, pour les musulmans, pour les intégristes et ils ont bien le droit de le dire, on est dans un régime de libertés. »

    Dans un régime de libertés  il est normal que ce rappeur puisse se produire devant son public.  Bruno Gollnisch  est favorable à la liberté d’expression et celle-ci en toute logique doit aussi bénéficier à ceux qui ne pensent pas comme vous, professent des idées jugées choquantes par d’autres.  Mais il apparaît  au bas mot totalement de mauvais goût, choquant pour les familles des victimes, leur mémoire et plus largement  encore  pour l’ensemble de  communauté nationale,  que le Bataclan accueille ce personnage.

    Enfin, il est aussi légitime de s’interroger sur la nature du rétropédalage de Médine:   est-il sincère ou s’apparente-t-il à un  double langage, à  une  technique  de dissimulation (taqiya)  que beaucoup constatent  chez les islamistes ? L’inénarrable  Mathieu Kassovitz, des figures  de La France Insoumise comme Danièle  Obono ont en tout cas apporté leur soutien à ce rappeur  proche deTariq Ramadan, qui fait appel dans son album incriminé  au concept de jihad qu’il s’agit  de préciser pour éclairer  l’ambiguïté du propos.

    Julius Evola l’écrivait dans Révolte contre le monde Moderne, « deux guerres saintes  sont distinguées dans la tradition islamique : l’une est la  grande guerre sainte , -al-jihâdul-akbar– l’autre la  petite guerre sainte –al-jihâdul-açghar. Cette distinction se fonde sur une  parole du prophète, qui déclara au retour d’une expédition guerrière :  nous voici revenus de la petite guerre sainte à la grande guerre sainte ». La grande guerre  est d’ordre intérieur et  spirituel ; l’autre est la guerre matérielle, celle que l’on mène à l’extérieur contre un peuple ennemi, en particulier dans le but de ramener des peuples infidèles  dans l’espace où  la  loi de Dieu  -dar al-islâm– est en vigueur . Toutefois, la  grande guerre sainte  est à la  petite guerre sainte  ce que l’âme est au corps  (…) il est  fondamental de saisir la situation ou les deux choses  n’en font qu’une, la  petite guerre sainte  étant alors le moyen par lequel on pratique une  grande guerre sainte  et vice versa : la  petite guerre sainte  -la guerre extérieure- se faisant action rituelle qui exprime et atteste la réalité de la première. En effet, à l’origine l’islam orthodoxe ne conçut qu’une seule forme d’ascèse : celle se rattachant précisément au jihâd, à la  guerre sainte. » 

    Les frères en religion  de Médine et de ses amis, tous djihadistes en puissance si on en croit le prophète des Mahométans, sont  en tout cas nombreux à se presser  vers l‘Europe,   dar al-harb, le domaine de la guerre, comprendre les pays ou l’islam ne s’applique pas  encore et reste à apporter... Mais il faut croire que nos dirigeants n’ont pas pris la mesure des risques  puisque le transfert de population se poursuit. Jean-Yves Le Gallou  indique sur Twitter qu’  « En 2017 l’Etat a recensé 412 000 étrangers supplémentaires : 262 000 nouveaux titres de séjour + 100 000 demandeurs d’asile + 50 000  mineurs isolés  (…) chiffres qui ne comprennent pas les clandestins !!! »

    Le co-président  du groupe ENL au parlement européen et membre du Bureau National  du RN , Nicolas Bay,  s’est félicité  a contrario  de ce que le ministre de l’ Intérieur italien Matteo Salvini  ait  fait preuve d’un « volontarisme exemplaire face aux flux migratoires anarchiques» ,  en refusant d’accueillir  le bateau Aquarius de l’ ONG française SOS Méditerranée qui aide  les immigrés clandestins à débarquer en Europe.  « Nous devons arraisonner les bateaux d’ONG complices des mafias de passeurs en Méditerranée et les ramener dans leur pays d’origine !»

    Si l’Italie (et Malte) ont refusé d’ouvrir leurs ports , le nouveau gouvernement  de gauche de Pedro Sanchez en   Espagne  a déclaré vouloir les accueillir, battant de vitesse le « nationaliste » (sic) Jean-Guy Talamoni.  Le   président de l’Assemblée de Corse  a  déclaré que  « l’Europe doit traiter de façon solidaire la question humanitaire. Compte tenu de la localisation du navire et de l’urgence, mon avis est qu’il serait naturel d’ouvrir un port corse pour porter secours à ces personnes en détresse. » Un avis qui n’est pas partagé , à l’évidence,  par l’écrasante  majorité du peuple corse

    Michel Drac le précisait dans une récente vidéo, il existe un problème migratoire  majeure en provenance de pays musulmans  mais ce n’est pas le seul problème ni le problème principal.L’Europe doit aussi compter avec  deux blocs démographiques aussi grand l’un et l’autre que  le monde musulman: celui de l’Afrique subsaharienne (un  peu moins d’un milliard d’habitants) et celui de  l’Union indienne (plus d’un milliard d’habitants ). Ce dernier bloc est en voie de stabilisation, la transition démographique est en cours, la bombe démographique est gérée  et sauf catastrophe imprévu le scénario du camp des saints ne se réalisera pas.

    En revanche poursuit M. Drac,  l’Afrique subsaharienne pose un défi majeur:  à chaque génération la population double et elle devrait atteindre deux milliards dans trente ans; à titre d’exemple, le  seulNigéria devrait être un pays plus peuplé que l’UE  vers 2050! Une explosion démographique qui empêche tout décollage économique, la croissance africaine tant vantée ces dernières années relevant du mythe et ne s’expliquant que par les investissements chinois. Aussi,  il est urgentissime que l’Europe se dote  de la même politique de fermeté implacable que  l‘Australie qui a jugulé l’immigration sauvage en  refoulant impitoyablement  les bateaux chargés de clandestins désireux de gagner ses ports.  Ce signal d’intransigeance doit être envoyé  aux candidats au départ vers l’eldorado européen.  C’est pourquoi tous les Français lucides doivent  apporter leur soutien à Matteo Salvini, dénoncer les ONG complices de réseaux de passeurs. Ce combat vital pour la survie des peuples européens peut  encore être gagné, mais le compte à rebours est lancé.

    https://gollnisch.com/2018/06/12/du-jihad-a-la-bombe-demographique-le-compte-a-rebours/

  • Médine au Bataclan, la faille se creuse

    Par Gabrielle Cluzel

    Redisons-le : les excellentes chroniques qu'elle publie régulièrement dans Boulevard Voltaire - telle celle-ci qui date d'hier, font décidément de Gabrielle Cluzel l'un des excellents auteurs et journalistes de sa génération. Il faudra suivre ses publications avec attention comme nous en suivons et reprenons quelques autres avec cet esprit d'ouverture et de dialogue que Lafautearousseau pratique avec profit. 

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel participe - d'ailleurs toujours brillamment - à certains de nos colloques et conférences, dont quelques unes sont les siennes propres.   LFAR

    L’affaire « Médine » ressemble à s’y méprendre, dans son déroulé, à toutes celles du même registre qui l’ont précédée – qu’elles aient nom de Black M, Mehdi Meklat, Mennel, Maryam Pougetoux…

    Une fois de plus, la presse dite « mainstream » est à la remorque de la presse alternative. Elle court derrière, essoufflée, tente de raccrocher le wagon, en notable installé et ventripotent qui peine à rattraper la jeunesse – certes sans le sou mais svelte et rapide comme une gazelle. Au bon vieux temps de l’entre-soi, un 11 juin comme celui-ci, on se serait exclusivement concentré sur le nième succès de Nadal à Roland-Garros en dissertant à l’infini sur la beauté de son revers. Mais voilà, o tempora, o mores, il faut à présent compter avec les braconneurs de l’information, les manants du Web qui ont l’outrecuidance de venir chasser sur les prés carrés et, en plus, d’y lever des lièvres. Puisqu’il n’y a pas moyen d’y couper, on évoque donc, en ce lundi matin, la vague d’indignation suscitée par « Médine au Bataclan » qui monte sur les réseaux sociaux depuis 48 heures.

    Non contents d’avoir pris le train en marche, d’aucuns voudraient bien aussi ralentir la locomotive, voire couper le moteur. Ainsi lit-on ici (actu.orange) que le rappeur Médine « avait tenu par le passé des propos engagés et polémiques » (sic). Certes. « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », c’est assez « engagé et polémique ». Comme il est plutôt peu consensuel d’exhiber sur son torse l’inscription « Jihad », en couverture d’un album du même nom, avec – détail raffiné – un sabre étincelant en lieu et place du J.

    Après l’euphémisation vient la justification : Le Huffington Post a exhumé un entretien des Inrocks de 2015 censé river leur clou aux protestataires, ces benêts qui prennent tout au pied de la lettre : « J’ai toujours utilisé la provocation comme un piège positif. L’idée est d’amener les gens par la provocation », confie celui qui chante aussi « J’mets des fatwas sur la tête des cons ». Et voilà, tout est clair. Cette théorie du « piège positif » est extrêmement limpide. C’est d’ailleurs, sans doute, la méthode de Dieudonné pour lutter contre l’antisémitisme, une cause qui, comme chacun sait, lui tient à cœur. Il suffit de savoir lire au 24e degré. De plus, rapporte Le Huffington Post, le rappeur « a mis de l’eau dans son vin ». À quoi peut donc ressembler une crucifixion diluée ? Et puis L’Obs a trouvé la cerise sur le gâteau, un rescapé du Bataclan qui soutient le rappeur et « tance Wauquiez, vent debout contre un concert de Médine ». Gros plan sur le monsieur, s’il vous plaît. Les autres, la multitude des indignés, ne compte plus.

    Une fois de plus, du côté des politiques, il en est pour ouvrir de grands yeux candides, comme Danièle Obono, et faire mine de ne pas voir le problème ou, plus culotté, comme Yassine Belattar (récemment nommé par Emmanuel Macron au Conseil présidentiel des villes) pour tenter, vite fait, la reductio ad hitlerum bon marché : « Désormais, vous vous attaquez à la programmation des salles ? Mais ça ne vous rappelle pas une époque ? » Étant entendu que sur l’île d’Utøya, on accueillerait sûrement à bras ouverts un chanteur qui prônerait, comme Breivik, l’exécution des marxistes (dans un esprit de provocation positive, hein).

    Mais surtout, une fois de plus aussi, et c’est là le plus intéressant, se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.

    Sur la même rive, on vient en effet de voir – attelage improbable – Marine Le Pen, Virginie Calmels et Laurent Wauquiez, mais aussi Olivier Faure (PS), Laurent Saint-Martin (LREM). Et c’est ce mouvement de tectonique des plaques qu’il va être intéressant d’observer car, à chaque fois, le grand écart devient un peu plus douloureux. Et le sera encore plus quand viendront des échéances électorales.  

    Ecrivain, journaliste

    Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Edouard Philippe et sa “pudeur glaçante”

    hypocrites.jpgLe Parisien apprenait ce matin  à ses lecteurs que « Plusieurs membres de la famille de Théo (Luhaka)  et lui-même ont été interpellés ce mardi matin au domicile familial par les enquêteurs du SDPJ 93 et placés en garde à vue ( …)  L’enquête de la PJ porte sur le fonctionnement trouble de trois associations et sur l’utilisation de plusieurs centaines de milliers d’euros de fonds publics par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi (emplois aidés). À chaque fois, les salariés étaient recrutés sous contrat d’avenir par Michaël Luhaka mais n’étaient jamais payés et l’Urssaf ne percevait pas les cotisations. Sauf quand il s’agissait de proches. »Théo avait accusé des policiers de l’avoir délibérément violé avec une matraque le 2 février 2017  lors d’un contrôle d’identité   à Aulnay-sous-Bois,  alors qu’il  refusait de se faire passer les menottes… Un  rapport de la  police des polices, l’IGPN,  et une  vidéo publiée  avaient exonéré les agents  des accusations portées contre eux. Nous l’avions rapporté, François Hollande, s’était rendu  au chevet de Théo,  tressant des louanges à la famille Luhaka mais oubliant de se rendre à ceux des policiers blessés dans les manifs d’extrême gauche au même moment. Le FN  fut   alors bien  seul à apporter son soutien aux forces de l’ordre et à faire état des soupçons d’escroquerie  sur Théo Luhaka et ses proches, victimes duracisme ordinaire à en croire les bien-pensants…

    Les banlieues (plurielles) c’est pas rose, les banlieues (plurielles)  c’est morose… Une dépêche de l’AFP  relatait  la célébration lundi soir à Paris du 210e anniversaire du Consistoire israélite  en présence du  Premier ministre Edouard Philippe. Les représentants (plus ou moins autoproclamés) de la communauté juive ont multiplié ces dernières années les déclarations inquiètes sur la montée des tensions et des violences ayant pour cause première la radicalisation croissante d’une frange non négligeable de l’immigration afro-maghrébine.

    En 2012 déjà, quelques mois après l’équipée  sanglante de Mohammed Merah contre des militaires français et  les enfants d’une école juive à Toulouse,    le président du Consistoire, Joël Mergui, alors  reçu par  François Hollande,  avait déclaré  que «l’existence de milieux délinquants convertis à l’islam radical (constituait),  pour la communauté juive et nationale, une vraie menace dont la gravité et l’enjeu doivent être mesurés par tous, y compris la communauté musulmane de France. » « (Depuis 10 ans)  nous avons eu à vivre le malaise des juifs de France.  Mais nous avons choisi de ne pas céder à un nouveau mal, le mal djihadiste, déclarait hier soir M. Mergui. Quant à  « l’Agence juive, (elle)  a estimé à 45.000 – un dixième de la communauté – le nombre de juifs de France ayant fait leur aliyah l’émigration vers Israël, en une décennie, même si un recul a été constaté ces deux dernières années. Ces chiffres ne prennent pas en compte les départs vers d’autres pays, comme le Canada ou les Etats-Unis. »

    Lors de son allocution, Edouard Philippe a relayé le  manifeste contre le nouvel antisémitisme  publié  sous l’égide du neocon Philippe Val  dans Le Parisien   fin avril. Après avoir défendu  pendant des années l’immigration massive et prôné l’interdiction d’un Front National coupable à ses yeux de défendre l’identité française, M.  Val  alertait  de « l’épuration ethnique à bas bruit »  des Juifs vivant en banlieue  du fait des agressions  « de leurs concitoyens musulmans. » «  10 % des citoyens juifs d’Ile-de-France – c’est-à-dire environ 50 000 personnes – ont récemment été contraints de déménager. »

     Ainsi, le Premier ministre a-t-il également évoqué hier soir  le départ « de milliers de familles, souvent de l’est vers l’ouest de Paris, en quête de quartiers plus sûrs. Il y a un terme pudique et qui à vrai dire me glace, c’est celui d‘aliyah intérieure pour désigner ces juifs qui changent de quartiers parce qu’ils ne se sentent plus en sécurité là où ils vivaient depuis des années. »  Mais en fait  de pudeur glaçante,  M. Philippe  n’est finalement pas en reste  en taisant le lien entre la politique d’immigration à  haut débit  maintenue par la majorité présidentielle qui refuse de couper les pompes aspirantes de l’immigration et  ce grand remplacement – regroupement  familial, droit du sol, aides financières  diverses et  variées, régularisations-naturalisations massives,  laxisme dans l’attribution des visas, faible taux d’expulsion des clandestins…  Les juifs quittent ces quartiers pour les mêmes raisons que les gaulois qui fuient quand ils en ont l’occasion et les moyens  devant la transformation  de leurs quartiers en enclaves étrangères, au-delà-même des problèmes d’insécurités physiques. Est-ce donc si dur à avouer pour un chef de gouvernement de la République française? 

    En avril dernier, dans  un dossier consacré  à l’implantation salafiste sur notre sol, Valeurs actuelles faisait état d’une note (du 22 juin 2016) du Service central de renseignement territorial  (SCRT) qui  pointait une augmentations du nombre de mosquées salafistes  de 170% entre  2010 et 2016et citait l’universitaire spécialiste du djihadisme  Romain Caillet.  « Un musulman qui  vit seul au milieu de Français de souche, disait-il,  va s’adapter naturellement. Quand il  vit dans un quartier  où il appartient à la majorité, il n’y a a plus aucun intérêt. » Une évidence, note Bruno Gollnisch,  qui peut s’appliquer à d’autres communautés étrangères extra-européennes (et pas forcément musulmanes),  mais   qui ne doit pas conduire les tartufe au pouvoir depuis des décennies à disperser l’immigration  sur l’ensemble du territoire pour la rendre (provisoirement) plus indolore mais à inverser  drastiquement les flux migratoires. Dans l’intérêt  de TOUS les Français.

    https://gollnisch.com/2018/06/05/edouard-philippe-et-sa-pudeur-glacante/