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insécurité - Page 662

  • Les terroristes de Marseille visaient bien Marine Le Pen

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    Au plus fort de la campagne présidentielle, la police a annoncé l’arrestation à Marseille de terroristes alors qu’ils étaient sur le point de commettre un attentat. Les journaux ont complaisamment affirmé que M. Fillon était visé (soi-disant que son programme de fermeté faisait peur aux islamistes !). Cette annonce, que le camp républicain a essayé de mettre en avant pour booster leur candidat (c’était de bonne guerre !) n’a pas suffi à renverser une tendance qui était mal partie. Il n’y a pas eu de réflexe de solidarité autour de l’élu LR.

    Or, dès le départ, on évoquait une autre cible potentielle : Mme Le Pen. Selon Libération du 16 juin, c’était bien cette dernière qui était visée. En étudiant les allées et venues des terroristes, les policiers ont dû rapidement déterminer l’objectif des poseurs de bombes. Pourquoi cette information n’arrive-t-elle que maintenant dans la presse alors que tous les jeux électoraux sont faits ? A-t-on caché cette nouvelle au départ car on redoutait, chez les bien-pensants, que Mme Le Pen en profite ? Sans doute ! On a eu peur qu’elle ne grignote 1 ou 2 pourcents. 

    Tout est bon pour contrer la finaliste du second tour. Si elle affirme qu’il fait beau, on prétendra aussitôt le contraire. Pour faire taire un contradicteur, on lui assène que ses arguments sont les mêmes que ceux du Front national. Ce réflexe conditionné et stupide des médias bien-pensants a conduit le FN aussi haut. Si Marine Le Pen ne s’était pas accrochée à l’euro, si elle n’avait pas montré d’indéniables lacunes lors du débat d’entre-deux-tours, ce serait peut-être elle, actuellement, à l’Élysée, qui sait… La politique française est si bouleversée…

    Que se serait-il passé, sur le plan électoral, si les terroristes n’avaient pas été arrêtés à temps ? Rien n’est plus difficile que de mesurer l’impact d’un attentat. Les bombes déposées par les islamistes irakiens en Espagne pendant les législatives ont permis, en 2004, au PSOE de gagner les élections, mais, sans doute, la maladresse du Premier ministre conservateur qui s’est obstiné au-delà du raisonnable à attribuer l’action aux séparatistes basques et le fait que les socialistes prônaient le retrait de Mésopotamie ont détourné nos voisins du gouvernement sortant.

    De même, l’assassinat d’une députée britannique pro-européenne n’a pas empêché le Brexit de triompher dans les urnes, malgré ce que certains médias (indécents !) espéraient. Et l’attaque au couteau sur les Champs-Élysées n’a pas modifié le score des candidats.

    Néanmoins, si des islamistes avaient blessé (ou tué) un responsable politique ou si des citoyens étaient morts en faisant leur devoir civique, il est probable que les partis les plus à droite de l’échiquier en auraient bénéficié et la présidentielle aurait été bouleversée car la symbolique aurait été bien plus forte.

    Mais ne refaisons pas l’Histoire. Dieu merci, la police a réussi à neutraliser à temps ces terroristes !

    http://www.bvoltaire.fr/terroristes-de-marseille-visaient-bien-marine-pen/

  • Qui a donné aux USA le droit d’établir des bases militaires en Syrie?

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    Juste au moment où vous pensiez que notre politique en Syrie ne pouvait pas être pire, la semaine dernière, elle l’a été. L’armée américaine a attaqué à deux reprises les forces gouvernementales syriennes à partir d’une base militaire que les Etats-Unis occupent illégalement en Syrie. Selon le Pentagone, les attaques contre les forces soutenues par le gouvernement syrien étaient « défensives » parce que les combattants syriens se rapprochaient d’une zone auto-déclarée par les États – Unis « zone de de-conflit » en Syrie. Les forces syriennes poursuivaient Daech dans la région, mais les Etats-Unis les ont quand même attaquées.

    Les États-Unis sont encore en train d’entraîner un autre groupe rebelle qui combat à partir de cette base, située près de la frontière de l’Irak à al-Tanf, et ils prétendent que les forces gouvernementales syriennes constituent une menace pour la présence militaire américaine à cet endroit. Mais le Pentagone a oublié une chose: en premier lieu, il ne dispose d’aucune autorité pour être en Syrie ! Ni le Congrès américain, ni le Conseil de sécurité de l’ONU, n’a autorisé une présence militaire américaine en Syrie.

    Qui a donné à l’administration Trump le droit d’établir des bases militaires sur un territoire étranger sans l’autorisation de ce gouvernement ? Pourquoi sommes-nous en train de violer la souveraineté de la Syrie et attaquer son armée puisqu’ils se battent contre Daech ? Pourquoi Washington prétend-il que sa mission première en Syrie est de vaincre Daech alors qu’il mène des opérations militaires qui profitent à Daech?

    Le Pentagone a publié une déclaration disant que sa présence en Syrie est nécessaire parce que le gouvernement syrien n’est pas assez fort pour vaincre lui-même Daech. Mais les « zones de désescalade » convenues par les Syriens, les Russes, les Iraniens et les Turcs ont conduit à une réduction des combats et une fin possible à la guerre de six ans. Même si c’est vrai que l’armée syrienne est affaiblie, sa faiblesse est due à six ans de combats contre des « rebelles » parrainés par les États-Unis qui se battent pour renverser le gouvernement !

    De quoi s’agit-il vraiment ? Pourquoi les États-Unis occupent cette base militaire en Syrie? C’est en partie pour empêcher les Syriens et les Irakiens de travailler ensemble pour combattre l’Etat Islamique, mais je pense qu’il s’agit surtout de l’Iran. Si les Syriens et les Irakiens se rejoignent pour combattre Daech avec l’aide de l’Iran et les milices alliées chiites, les Etats-Unis croient que cela renforcera la main de l’Iran dans la région. Le Président Trump vient de rentrer de son voyage en Arabie Saoudite où il a juré qu’il ne permettrait pas que cela se produise.

    Mais cette politique est-elle vraiment dans notre intérêt, ou sommes-nous simplement en train d’exécuter l’appel d’offres de nos « alliés » du Moyen-Orient qui semblent impatients qu’on livre une guerre à l’Iran? L’Arabie Saoudite exporte sa forme radicale de l’islam dans le monde entier, y compris récemment dans les pays musulmans modérés asiatiques comme l’Indonésie. Ce que l’Iran ne fait pas. Cela ne veut pas dire que l’Iran est parfait,; mais quel sens y a-t-il à sauter dans le conflit entre sunnites et chiites quelque soit le côté où l’on se situe ? Les Syriens, ainsi que leurs alliés russes et iraniens, sont en train de vaincre Daech et al-Qaïda. Comme l’a dit le candidat Trump, quel mal y a-t-il à cela ?

    On nous a dit que si l’on permettait au gouvernement syrien de libérer Alep d’al-Qaïda, al-Assad tuerait les milliers de personnes qui y étaient piégées. Mais c’est le contraire qui s’est passé : la vie revient à la normale à Alep. La minorité chrétienne qui s’y trouve a célébré Pâques pour la première fois depuis plusieurs années. Ils sont en train de reconstruire Alep. Ne pouvons-nous pas simplement enfin laisser les Syriens en paix ?

    Quand vous en arrivez au point où vos actions aident en fait l’Etat Islamique, intentionnellement ou non, peut-être est-il temps d’arrêter. Il est plus que temps pour les Etats-Unis de renoncer à leur politique dangereuse et contre-productive en Syrie et de juste rapatrier nos troupes.

     Source

    http://www.voxnr.com/10427/qui-a-donne-aux-usa-le-droit-detablir-des-bases-militaires-en-syrie

  • Tuerie à Washington : la « résistance » passe à l’acte

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    Trump fait, depuis novembre, l’objet d’une campagne de déshumanisation. Le passage à l’acte était à attendre : celui d’un « échappement » intrinsèquement raciste. Car Trump n’est pas un homme, et ne peut en revendiquer la dignité. Il est la monstruosité réincarnée, le mal absolu. On l’attaque depuis dix mois en son essence, en sa nature, pour ce qu’il est et ce qu’il représente, et non ce qu’il fait, ou ce qu’il veut. Et, par extension, mort à ceux qui le soutiennent ! C’est la voie choisie par le militant pro-Sanders James T. Hodgkinson, incarnation et prodrome d’une ère nouvelle. Celle du génocide politiquement correct…

    Cette campagne de déshumanisation – rampante – avait été jusqu’ici ignorée, du fait de la divertissante médiatisation du coup d’État en douceur inauguré par la classe politico-bureaucratique : un changement de régime sur leur propre sol. Et là, les choses se mettent en place. Personne ne croit, bien sûr, que Trump est un agent « soviétique », ou que la main de Vladimir était dans les urnes, mais on fait semblant, espérant que le harcèlement poussera l’histrion à la faute et terrorisera suffisamment d’élus républicains pour qu’ils se dissocient et lui ôtent les moyens de faire passer son programme législatif. 

    Alors Trump démissionnera, et l’imperium reprendra son avance en Eurasie. À moins qu’il ne soit sage et fasse ce que lui disent les néocons…

    Depuis 1968, les États-Unis n’avaient pas connu autant de manifestations aussi haineuses et violentes. À force de côtoyer les fondations « philanthropiques » et de fournir du carburant aux forces militantes des communautarismes ethno-sexuels, le Parti démocrate a perdu son âme, devenant subrepticement le parti de la haine, les républicains, certes, demeurant celui de la veulerie matérialiste.

    Autres mauvaises fréquentations alimentant cette « résistance » du marécage : les morts-vivants du virtuel. Trois exemples récents, symptomatiques d’une attitude largement répandue : la mise en scène, à Broadway, d’un Jules César shakespearien où Trump est assassiné sous les applaudissements du public. La pose photos d’une actrice en déclin (Kathy Griffin) brandissant par les cheveux, « à la Daech », une tête de Trump ensanglantée. Et, enfin, un article du Huffington Post invoquant, ce week-end, la nécessaire exécution de Trump… pour trahison. L’article a été retiré à l’annonce de la fusillade de Washington… 

    James T. Hodgkinson avait un compte Facebook intéressant, haineux pour Trump et les républicains, ne reflétant que trop l’actuelle hystérie américaine, celle d’un corps en quête de raison d’être, perdu de constater que ses parasites en sont à s’incorporer ailleurs – mondialisme oblige. Victime du système, Hodgkinson aurait aussi bien pu devenir trumpien.

    Il va de soi que le pays a entamé sa phase petites bougies. Madame Pelosi, leader démocrate de la Chambre (elle avait lancé, avec Soros, la « résistance » dès le 13 novembre dernier), a affirmé, remarquée, devant le Congrès réuni qu’elle « prie pour Donald Trump et le succès de sa présidence, autant que pour sa sécurité et celle de sa famille ».

    En attendant, félicitations aux deux policiers qui, blessés, ont su prévenir le carnage… cette fois-ci.

    http://www.bvoltaire.fr/tuerie-a-washington-resistance-passe-a-lacte/

  • Allemagne, fusillade dans le métro à Munich

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    Un homme a été blessé pendant une fusillade à la station de métro de S-Bahn de Unterfoehring, à Munich en Bavière, aujourd’hui 13 juin.

    Les causes de cet acte ne sont pas encore connues. Selon la police allemande, il y aurait d’autres blessés, 5 semble-t-il, parmi lesquels un agent de police qui est dans un état grave. L’auteur de cette fusillade aurait été arrêté.

    Pour l’instant la police allemande exclut qu’il s’agisse là d’un acte terroriste… mais jusqu’à preuve du contraire cela se pourrait pourtant.

    Si la situation est maintenant sous contrôle dans le métro munichois, dixit un porte-parole de la police, ce qui est hors de contrôle ce sont bien les djihadistes qui se baladent comme bon leur semble dans les villes européennes…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/allemagne-fusillade-dans-le-metro-a-munich/75351/

  • Faux mineurs isolés, mais vraies “racaillles”

    2279644986.jpgCommuniqué de
    la Ligue du Midi
    (Section Montpellier) :
    Depuis bientôt un an, la ville de Montpellier est gangrenée par des bandes d'immigrés clandestins qui, la nuit tombée, agressent les Montpelliérains. Vols à l'arraché, passages à tabac, viols...  au centre-ville et plus particulièrement sur l'axe Esplanade-Comédie-Saint Roch.
    Renommés pudiquement « mineurs isolés » par l’État et les médias, ce sont, en réalité, de véritables prédateurs qui jouissent d'une impunité totale. A peine arrêtés par la police, ils sont immédiatement relâchés par les juges car considérés comme trop jeunes pour être pénalement responsables.
    Face à l'absence de réaction et à l'abandon du centre-ville par la préfecture et la mairie, c'est désormais aux citoyens d'assurer leur propre sécurité. C'est pour cela que la Ligue du Midi a voulu  sensibiliser les Montpelliérains à ce problème et dissuader cette « racaille » de commettre ses méfaits.
    Vêtus de coupe-vent bleu de France les membres de la Ligue, en nombre, ont distribué des tracts à divers  arrêts de tramways  et entamé des discussions avec les usagers. Cette opération s’est déroulée sans incidents.
    On pouvait lire en conclusion sur le tract :   
    Parce que la sécurité est la première des libertés la Ligue du midi exige:
    - L'abandon par la Justice et les médias de la culture de l'excuse.
    - La fin de l'hébergement gratuit par le Département de l’Hérault des mineurs isolés étrangers et leur internement dans des centres fermés.
    - L'expulsion immédiate des étrangers en situation irrégulière qui commettent des délits.
    - L'application de sanctions pour tous ceux qui les aident.

  • La presse tente de sauver le député PS Dupré : nouvelles révélations sur les sévices infligés

  • L’État islamique menace huit pays et promet d’y trancher des gorges

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    L’organisation terroriste a, par ailleurs, conseillé aux musulmans de rester à l’écart des lieux publics…

    L’État islamique vient de menacer – probablement en guise de piqûre de rappel – huit pays : la France, la Belgique, l’Italie, le Royaume-Uni, la Russie, le Canada, l’Australie et les Etats-Unis.
    L’organisation terroriste a, par ailleurs, conseillé aux musulmans de rester à l’écart des lieux publics comme les marchés, les rues et les parkings parce que « les soldats du califat s’y feront exploser, y écraseront des gens et y trancheront des gorges ».
    Nous voilà prévenus, s’il fallait encore l’être, tant la menace plane désormais en tous lieux et à chaque instant.

    Voilà, également, de quoi rappeler aux naïfs que nous sommes plongés en pleine guerre.
    Dans son message adressé via Nashir, vecteur de communication prisé par les djihadistes, l’État islamique a par ailleurs ajouté que « des milliers de lions solitaires sont préparés dans vos pays. Ils ont vendu leur cause et leur esprit à la cause d’Allah. »
    Interrogé par les députés Aldo Carcaci (Parti populaire, droite populiste) et Philippe Pivin (Mouvement réformateur, centre droit), le ministre belge de l’Intérieur Jan Jambon (Nieuw-Vlaamse Alliantie, droite nationaliste flamande) a répondu qu’il faut « rester calme et prendre les dispositions qui s’imposent », rappelant que le gouvernement belge a récemment pris trente mesures contre le terrorisme (renforcement des contrôles policiers aux frontières, emprisonnement des djihadistes partis à l’étranger, démantèlement des lieux de culte non reconnus qui prônent le djihadisme…).
    L’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM) mène l’enquête mais n’a pas jugé nécessaire de relever le niveau de la menace, celle-ci restant donc à trois sur une échelle de quatre.
    Précédemment, l’État islamique avait envoyé à Emmanuel Macron une série de huit revendications, dont la cessation des bombardements français, la libération des prisonniers pour terrorisme et la vente d’armes à l’État islamique, laissant au nouveau Président français un délai de sept jours avant que de nouvelles actions soient menées contre la France.
    « Tout cela deviendra votre quotidien jusqu’à ce que vous vous effondriez », menace Daech. Face à une telle détermination, il ne reste qu’une solution : résister.

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  • I-Média#155 : Attentats Londres, Paris : comment les médias vous ont menti