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insécurité - Page 668

  • Terrorisme : lourdes menaces sur Marine Le Pen, inconséquence mégalo de Mélenchon

    Chez Mélenchon, la solidarité a des limites. Apprenant de la bouche du ministre de l’Intérieur que les têtes d’affiche à l’élection présidentielle étaient particulièrement visées par la menace terroriste, le patron de La France insoumise a, nous dit-on de télé en radio, « affirmé sa solidarité avec ses adversaires ».

    Une solidarité très sélective, toutefois.

    À François Fillon, ce message : « Totale solidarité face à la menace. Que notre campagne en complète opposition soit le meilleur des démentis au programme totalitaire des terroristes. »

    À Emmanuel Macron, celui-ci : « Émotion et complète solidarité personnelle. Que notre campagne et notre opposition républicaine soit (sic) la démonstration de l’échec du projet des violents. »

    Oubliée, Marine Le Pen, pourtant particulièrement visée… avant de rectifier en meeting ! On apprend, en effet, en lisant Le Figaro qu’à la découverte d’une menace imminente, « le ministre de l’Intérieur en personne, Matthias Fekl, prévient François Fillon. L’Unité de coordination et de lutte antiterroriste (Uclat) prend également attache avec le candidat pour lui annoncer qu’il passe en procédure “Uclat 2”, un degré intermédiaire dans l’échelle de la menace antiterroriste définie par ces policiers spécialisés (1 étant le niveau le plus élevé ; 4 le moins).

    Marine Le Pen est au niveau “Uclat 3”, Macron et Mélenchon, “Uclat 4”. »

    Mais cette menace terroriste qui se précise met en lumière une autre facette du personnage Mélenchon, dont les nouveaux airs de « bon papa » et la veste de garde-chasse ont fait oublier un peu vite sa mégalomanie naturelle.

    En effet, pour des raisons évidentes de coût et d’image – louer une salle coûte plus cher que d’occuper l’espace public, et 10.000 personnes sur le Vieux-Port de Marseille sont plus spectaculaires que 10.000 personnes au Zénith –, le candidat Mélenchon a choisi majoritairement les réunions de plein air. Jusqu’à s’offrir, le lundi de Pâques, une descente des canaux et la traversée de Paris en « péniche insoumise ».

    Certes, cela fait de belles images ; ça en met même plein la vue des badauds qui digèrent l’agneau pascal et les chocolats en attendant le « leader charismatique » devant l’Hôtel du Nord. Mais, surtout, cela coûte infiniment plus cher aux contribuables en forces de sécurité mobilisées !

    Comme l’expliquait notamment Alain Bauer dans l’émission « C dans l’air » ce 18 avril, sécuriser des meetings en extérieur, c’est beaucoup plus compliqué et infiniment plus coûteux que des meetings en salle, et « malgré les demandes dissuasives du gouvernement », certains candidats s’en sont donné à cœur joie : essentiellement Mélenchon, qui a privilégié l’extérieur durant toute sa campagne, Hamon dans une moindre mesure, et Fillon au Trocadéro.

    Multiplication des personnels déjà exténués, tireurs d’élite sur les toits… « Je ne suis pas sûr qu’ils se rendent compte de ce que cela représente en termes d’investissement pour ceux qui assurent leur protection, dit Alain Bauer. Que ce soit les policiers ou leur propre service de sécurité, la pression qu’ils leur mettent en faisant un meeting en extérieur plutôt que dans une salle les amène de temps en temps à prendre des décisions de com’ qui prennent assez peu en compte les dures réalités de la sécurisation. »

    Reste, enfin, la question du coût, exorbitant, que semblent totalement ignorer « ceux qui mobilisent des moyens aussi considérables sans vraiment en prendre en compte la portée, comme si le service public était à leur disposition ». Mais peut-être s’en moquent-ils, tout simplement ?

    Après tout, Mélenchon nous a promis une réforme fiscale particulièrement sanglante, alors un peu plus un peu moins… tant que c’est pour sa promotion, pas besoin de compter, on est là pour banquer !

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-lourdes-menaces-marine-pen-inconsequence-megalo-de-melenchon/

  • Attentat : une élection sous haute tension - Journal du mercredi 19 avril 2017

  • Général Martinez : « le devoir de réserve doit être rompu » !

    D’anciens hauts gradés de l’armée française interviennent de plus en plus en politique. Pourquoi ? Quels dangers veulent-ils contrer ? Sputnik a interviewé le Général Martinez. Un entretien choc.

    L’expérience militaire précède-t-elle la sagesse politique ? Certains ont pu le penser mais la période récente pourrait les contredire. Nous avons en effet observé un phénomène ces derniers mois, phénomène associé à trois noms, ceux des généraux Tauzin, Picquemal et Soubelet. Ceux-ci semblent cependant avoir échoué à faire entendre leur voix.

    Le premier en essayant de se présenter à l’élection présidentielle, le deuxième en participant à des manifestations contre l’accueil de migrants et le troisième en rejoignant Emmanuel Macron avant de le lâcher, déçu devant les ralliements de personnalités du gouvernement sortant.

    Mais un quatrième haut gradé de l’armée française prend maintenant la parole : le Général Martinez vient tout juste de publier l’essai Quand la grande muette prendra la parole (publié aux éditions Apopsix). Son argument est clair : face à la crise que nous traversons, l’armée a un rôle à jouer.

    Ceci pourra faire peur à certains, alors affrontons les choses… écoutez l’entretien dans son intégralité :

    Briser le devoir de réserve

    « Les forces armées exercent un sacerdoce. Bien sûr, elles sont à la disposition d’un gouvernement, mais le sacerdoce s’exerce avant tout au service du peuple. Nous avons dû subir des drames inacceptables sur notre sol. (…)

    Je considère que le devoir de réserve à un certain moment doit être rompu, c’est le devoir d’expression qui doit avoir droit, compte tenu de la situation que nous connaissons (…)

    Quel est le rôle du politique, au sens noble du terme ? D’assurer l’unité de la Nation et la protection de la collectivité dont il a la charge. Aujourd’hui, ça ne semble plus être la priorité de nos responsables politique. (…) je les rassure : les militaires sont légalistes et légitimistes, il ne faut pas voir en arrière-plan de ce titre des velléités de coup d’État ! [Mais] le moment est venu de briser le silence pour provoquer le sursaut qui est nécessaire. »

    Le défi migratoire

    « Qui remettrait en cause l’apport de l’immigration depuis un siècle ou deux ? Personne. Le problème qui se pose aujourd’hui, c’est l’immigration massive, incontrôlée, injustifiée et qui plus est, une immigration hostile à notre civilisation, à notre culture. Certains nous parlent d’une immigration de portugais, d’espagnols, d’italiens, de polonais. Certes, mais cette immigration était européenne et donc de culture commune. L’assimilation a bien joué son rôle : dès la deuxième génération, les individus se sentaient Français. Là, le problème est différent, face à une immigration de culture totalement différente. Je parle de l’islam. Il y a un certain nombre de problèmes que l’on ne peut pas occulter (…) l’islamisme c’est l’intégralité de l’islam : la lecture du texte sacré à la lettre.  »

    La rébellion de l’État-major français

    « Les forces armées ont été réduites de 54 000 hommes entre 2008 et 2015. Le gouvernement du Président actuel prévoyait de réduire encore de 34 000 hommes. Soit près de 90 000 hommes. Or les missions n’ont pas été modifiées et depuis la fin de la guerre froide, nos forces armées n’ont jamais autant été engagées à l’extérieur. Et nous sommes aujourd’hui, compte tenu de la menace islamiste, contraints de faire intervenir celles-ci sur notre territoire. Ça pose énormément de problèmes au niveau des relèves. Arrive cette opération Serval [au Mali] (…). Le chef d’Etat-major des armées et les chefs d’Etat-major des trois armées, devant cet obstacle majeur, ont rendu compte au Ministre de la défense, en disant qu’ils étaient prêts à démissionner. Peu de citoyens le savent : s’ils avaient déposé leur démission, il y avait une bonne vingtaine de généraux prêts à suivre leurs chefs. Un précédent a été créé. (…) Il faut briser le silence pour permettre un sursaut. Le politique hésite beaucoup : s’il n’est pas mis devant des situations dramatiques, les décisions ne se prennent pas.  »

    Des djihadistes parmi les migrants ?

    « C’était une promesse de l’État islamique : il avait promis 500 000 migrants. Il faut savoir que dans le flux de ces migrants, il y a eu un certain nombre de djihadistes infiltrés : pour ceux qui ne voudraient pas le croire encore, je les renvoie aux différents attentats, notamment ceux du 13 novembre. Parmi les huit djihadistes, deux (…) avaient posé le pied sur le territoire grec le 6 octobre 2015. (…) Sur l’ensemble du territoire européen, ils ont réussi à installer un maillage. La menace non seulement est extérieure, mais aussi intérieure (…) quand on voit le nombre de djihadistes, des « enfants de la République Française » qui sont actuellement en Irak ou en Syrie sous le drapeau de l’État islamique (…) Je rappelle quelques faits qui se sont produits au cours des dernières années : une mutinerie sur le porte-avion Foch ou le cas de quatre militaires qui ont refusé d’être déployés en Afghanistan pour des raisons religieuses, ou notre ministre de la Défense, obligé de reconnaître en début d’année que nous avions d’anciens militaires français sous la bannière de l’EI. (…) Comment éviter la partition ? Les fameux ‘territoires perdus de la République’, c’est là que ça se passe. »

    Une convergence des luttes

    « Pour que nos chefs militaires, collectivement, brisent le silence pour provoquer ce sursaut, il faut qu’ils sachent qu’une bonne partie des citoyens français considèrent que l’institution militaire est l’un des rares à pouvoir un rétablissement de la situation. Comme briser ce devoir de réserve n’est pas dans la tradition, c’est aussi la responsabilité des citoyens (…) pour démontrer qu’ils sont prêts à manifester pour défendre leur identité. » 

    Source: Sputniknews

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/general-martinez-le-devoir-de-reserve-doit-etre-rompu_182966.html#more-182966

  • Conférence présidentielle n°5 : « La France face au défi terroriste » | Marine 2017

  • Marine Le Pen évoque la persécution des chrétiens

    À Perpignan :

     
     
  • L’extrême gauche va t elle continuer ses exactions en toute impunité ?

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    (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    La question est relancée par la tentative d’incendie criminelle contre le quartier général de campagne de Marine Le Pen visiblement orchestrée par un groupuscule d’extrême gauche.

    Mais qui sont ces groupuscules ?

    On peut en effet se poser la question… alors que le Front National est accusé de collusion avec les vichystes, il serait bon de rappeler ce que sont ces milices d’extrême gauche : les héritières du Parti communiste français.

    Mais cela n’a pas l’air de déranger le gouvernement

    Alors que les groupuscules d’extrême droite sont dissouts pour des raisons d’ordre public, ces milices continuent d’agir sans aucune intervention du ministère de l’Intérieur. Ces personnes, qui affrontent et provoquent presque quotidiennement la police ; qui dégradent les hôpitaux comme l’hôpital des enfants malades de Paris, ainsi que les Banques et les magasins ; qui attaquent les rassemblements du Front National, ainsi que les militants de ce parti ; perturbent les conseils municipaux comme ce fut le cas à Metz et tentent maintenant de bruler le quartier général de campagne d’une candidate à la présidentielle…
    Là en revanche, le gouvernement actuel, comme le précédent dont un certain François Fillon était le chef, ne trouve rien à redire…

    Une telle tolérance est elle justifiable ?

    Si l’on considère l’affaire d’un point de vue juridique, et que l’on se réfère aux principes fondamentaux régissant les lois de la république, force est de constater que c’est ici le principe d’égalité défini par nos gouvernants par l’article 1 de la définition des droits de l’homme et du citoyen qui est bafoué. Ce qui signifie que les règles doivent être les mêmes pour tout le monde, et que la suspicion de deux poids deux mesures ne doit pas être possible.

  • Racisme anti blanc : La Sud-Africaine Charlize Theron ne parle pas du massacre des fermiers blancs

    Depuis 1994, date de l’arrivée de l’ANC au pouvoir, 70.000 Blancs ont été tués, dont plus de 4.000 fermiers.

    Il y a une semaine, Gilles Bouleau, dans le journal de TF1, avait invité Charlize Theron, une des stars actuelles d’Hollywood, pour la sortie en France de son nouveau film : Fast and Furious 8. À cette occasion, il demanda à l’actrice ce qu’elle pensait de Trump. Sa réponse se résuma en ces quelques mots : « Le plus grand mal » et « Il me faudrait plus de temps pour en parler ».

    Charlize a, en effet, participé à la marche des femmes contre Trump la veille de son investiture. Elle est aussi un soutien indéfectible du mariage homosexuel aux USA et du mouvement « Black Lives Matter ». Vous me direz que Charlize Theron n’est qu’une vedette de plus de Hollywood qui s’oppose au président américain. Exact, sauf qu’elle n’a acquis la nationalité américaine qu’en 2008, car sa nationalité d’origine est sud-africaine. Elle est née à Benoni, une cité minière du Transvaal, située à 25 kilomètres de Johannesburg. C’est une pure Afrikaner ; elle est même apparentée au chef militaire boer Daniel Johannes Theron (son arrière-grand-oncle). Couvée par sa mère, elle est témoin d’un drame familial en 1991.

    Sa génitrice tue son père qui, ivre et armé, avait essayé de pénétrer dans sa chambre. Aucune poursuite judiciaire ne fut engagée contre celle-ci. Par la suite, sa mère l’encouragera à développer ses talents artistiques. Ceux-ci, quelque temps plus tard, furent reconnus aux États-Unis et, aujourd’hui, elle est une grande vedette incontestée.

    Si on peut se réjouir des changements qui ont transformé positivement son existence, il est douloureux de voir que Charlize n’a aucun mot pour le massacre de ses compatriotes en République sud-africaine. Elle, dont les racines familiales centenaires plongent dans cette terre du Transvaal, soutient le mouvement « Black Lives Matter » et fulmine justement chaque fois qu’un Noir est tué par la police en Amérique, mais n’a aucun mot pour le véritable génocide qui touche, dans la nation arc-en-ciel, les Afrikaners.

    Depuis 1994, date de l’arrivée de l’ANC (African National Congress/Congrès national africain) au pouvoir, 70.000 Blancs ont été tués, dont plus de 4.000 fermiers. Rien que pour l’année 2016, l’organisation de défense des droits civiques AfriForum évaluait le nombre d’attaques de fermes à 345 (soit près d’une par jour). Actuellement, le taux de meurtres sur 100.000 habitants est de 54 en RSA, il est de 138/100.000 pour les fermiers blancs (pour exemple, il est, en France, de 2,5/ 100.000). Du 1er janvier au 31 mars 2017, en trois mois, 65 ruraux blancs ont été assassinés.

    Julius Malema, le chef des Combattants pour la liberté économique de l’Afrique du Sud (mouvement communiste noir anti-blanc), clame sans pudeur : « Le fermier blanc doit être exproprié sans compensation. » Ajoutant, « magnanime » : « Nous ne demandons pas l’abattage des Blancs… au moins pour l’instant. »

    Quant au président d’Afrique du Sud Jacob Zuma, il a souhaité, il y a un mois, voir le Parlement modifier la Constitution afin de pouvoir exproprier les propriétaires blancs de leurs terres sans aucun dédommagement.

    « Nous devons reconnaître le fait que ceux qui siègent au Parlement, notamment les partis « noirs », doivent s’unir car il nous faut deux tiers des voix pour apporter des amendements à la Constitution » (propos rapportés par The Telegraph).

    Le plus choquant est que ces paroles ont été largement censurées par les médias occidentaux. Le plus choquant est que Miss Theron n’a pas mis le poids de sa notoriété pour souligner la barbarie et les menaces qui frappent le peuple boer dont elle est issue.

    Pour ces bien-pensants, les Blancs d’Afrique du Sud comme ceux du Zimbabwe doivent mourir en silence.

    http://www.bvoltaire.fr/sud-africaine-charlize-theron-ne-parle-massacre-fermiers-blancs/

  • Terres de Mission #28 : des actions face à la haine anti-chrétienne

  • Sécurité / Stade de Lyon : les supporters turcs sèment la panique

  • Caroline Parmentier : Après l’incendie du QG du FN, le journal Présent lui aussi visé ?

     

    La journaliste Caroline Parmentier explique pourquoi Présent est dans le collimateur de l’extrémiste qui a revendiqué l’incendie du QG du Front national perpétré ce matin.

    Ce quotidien, dit-elle, dont l’audience est en progression constante, est le « seul à exprimer une préférence claire pour le vote en faveur de Marine Le Pen ».

    Le journal est bien déterminé à ne pas se laisser intimider par la menace explicite qui lui a été adressée aujourd’hui. Pourtant, la police semble prendre cette affaire « très au sérieux » : la Sûreté territoriale de Paris vient même d’appeler Présent pour l’informer qu’elle reprend l’enquête.

    http://www.bvoltaire.fr/apres-lincendie-qg-fn-journal-present-lui-vise/