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insécurité - Page 673

  • Fettah Malki, l’armurier de Mohamed Merah

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    8975-20171027.jpgNous avons eu la mère, nous avons eu le frère, voici maintenant un complice. Bien entendu il y a la présomption d’innocence. Mais quelle brochette de sinistres individus ! D’ailleurs Fettah Malki, l’armurier du tueur Merah, ne prétend pas être innocent. Son système de défense consiste simplement à soutenir qu’il est certes un malfrat et un trafiquant d’armes, mais pas un terroriste, et qu’il pensait que les armes serviraient à un braquage, un règlement de comptes, une fusillade laïque, en quelque sorte, pas à une tuerie islamiste.

    Fettah Malki se présente simplement comme une « chance pour la France », selon la formule de 1985 du pas regretté du tout Bernard Stasi.

    Malki débarque dans notre pays en 1993. L’intéressant individu va vivre, dans ce pays de cocagne, de « trafics plus ou moins légaux », pour parler comme un journaliste duMonde. Drogue, voitures volées, armes, attaque de passants et de touristes…

    Il connaît bien les frères Merah, Mohamed et Abdelkader, même s’il compte quelques années de plus. Ils habitent tous les trois le quartier des Izards, une zone de non-droit située à Toulouse. C’est donc lui qui procure à Mohamed Merah l’arme de fabrication israélienne Uzi, et aussi le gilet pare-balles. Ce pistolet-mitrailleur est une arme courte et remarquable de maniabilité, qui peut être utilisée en arme de poing ou pour des tirs à l’épaule ou à la hanche. Même s’il existe dix millions de pistolets-mitrailleurs Uzi dans le monde, tous les Toulousains ne sont pas capables de s’en procurer. Fettah Malki, si.

    C’est cette arme qui tuera les trois petites filles de l’école juive, ainsi qu’un professeur. Et c’est avec le gilet pare-balles de Fettah Malki sur le dos, que Merah affrontera les hommes du Raid.

    Comme pour le « logeur » des terroristes de novembre 2015, la punition des complices est un enjeu capital, si l’on veut que les tueurs ne soient pas comme des poissons dans l’eau.

    Malki risque au pire vingt ans de prison, dont il ne fera que dix, voire beaucoup moins, et il sortira alors libre, malgré ces cadavres de petites filles entre lui et nous.

    Lors de son interrogatoire, Malki a lâché : « Je ne m’intéresse pas à la vie des gens. » C’est bien ce qu’on lui reproche. Grâce à Malki, Merah a donné en quelque sorte, en mars 2012, le signal du massacre des innocents, sur le territoire français.

    Francis Bergeron

    Extrait d’un article paru dans Présent daté du 26 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/208150/fettah-malki-larmurier-de-mohamed-merah/

  • Patrick Gofman remet Hystery Clinton en place sur l'affaire des prédateurs hollywoodiens

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le harcèlement commence à être harcelant, par Laurence Maugest

    Étrange, très étrange ce brouhaha autour du harcèlement sexuel en quelques jours seulement ! Ne sommes-nous pas encore une fois dans la société du spectacle où a pris souche d’ailleurs le phénomène Harvey Weinstein ? Évidemment, il y a des hommes dépravés et capables de sauter sur tout ce qui bouge, et susceptibles aussi de faire du mal. Évidemment, il y a des femmes traumatisées à vie par des agissements de la sorte.

    Mais, si l’on réfléchit un peu, depuis combien de décennies les publicités jettent-elles en pâture les corps de la femme et de l’homme sur les murs des villes, du métro et en appâts dans les kiosques à journaux juste à hauteur du nez des enfants ? Depuis combien d’années cultive-t-on le « jouir sans entrave » et « le plaisir immédiat » ?

    L’égalitarisme qui caractérise notre époque impose que tout le monde ait le droit à son plaisir. Il faut savoir repérer et analyser les conséquences de nos folies. Cohn-Bendit et Mitterrand n’ont pas été inquiétés et il s’agissait d’enfants.

    Et puis, enfin, le sexe est désacralisé depuis belle lurette, cela n’a rien d’étonnant que certains ne le respectent pas.

    Nier les différences entre les hommes et les femmes, c’est retirer à la femme et à l’homme ce qu’ils ont de singulier et donc de précieux qui oblige au respect.L’idéologie du genre, les « Gay Pride » risquent de mettre à mal les virilités maladives, les « états limites » et nous pouvons redouter que les hommes soient de plus en plus nombreux à passer aux actes vulgaires et parfois dangereux.

    Cette affaire Harvey Weinstein témoigne, encore une fois, des maux qui désintègrent notre société de façon de plus en plus alarmante. Déconstruction des notions de collectivité, de famille, de groupe humain d’appartenance et d’enracinement

    La « collectivité », mise à mal par le rejet de toute histoire, de traditions, de coutumes et de souvenirs communs, ne peut plus jouer, au quotidien, son rôle de régulateur des comportements déviants et des « choses de la vie ».

    L’individu qui n’a plus de place dans un groupe humain se retrouve seul, sans repère et peut, selon le cas, laisser libre cours à ses pulsions comme être profondément perdu lorsqu’il subit celles des autres.

    C’est toute la société qui se trouve démunie et se réduit à mettre en place des « réponses » de substitution artificielles :

    Les plateformes Internet apparaissent comme un palliatif à l’absence de présence et de limites organiques de la société. Mais que constatons-nous ? Des témoignages qui se juxtaposent, qui signent le relativisme habituel où le geste déplacé côtoie le viol.

    En tout cas, cette initiative de délation qui traite les hommes de porcs fera, je le redoute, beaucoup plus de mal que de bien. « Parler » ne suffit pas ; c’est la qualité de l’oreille qui entend les confidences qui est primordiale.La répétition de la formule entendue sur les médias jusqu’à l’épuisement (« Il faut que la parole se libère ») trouve là ses limites. En effet, une « parole » ne sera « libérée » que si elle est comprise, en profondeur, par un autre. Mais où est l’autre ? Les familles décomposées, les médecins généralistes, les gendarmeries et les tribunaux débordés, tout cela est le signe d’une solitude énorme, d’une atomisation de la société, d’une confusion constante entre la sphère privée et l’espace public.

    Le caractère public et anonyme de ces réseaux favorise davantage les abus et l’exhibitionnisme qu’une relation de confiance humaine où la honte illégitime de la femme attaquée peut être dépassée sans se transformer en règlement de compte.

    Nous constatons que la liberté sexuelle revendiquée depuis les années 1960 nous enferme dans une relation homme/femme de plus en plus tendue qui va jusqu’à se judiciariser. Le gouvernement prévoit de renforcer une police de rue afin de pouvoir verbaliser sur le fait les dragueurs plus ou moins agressifs.

    Des questions sur la faisabilité d’un tel projet ne peuvent pas être évitées. Les policiers sont déjà submergés, et souvent absents de zones interdites sur notre territoire aux représentants de la loi française.

    Ce besoin de faire appel à des structures extérieures de tutelle – de la police au ministère improbable de « l’égalité homme/femme » – signe combien notre société s’est éloignée des relations humaines naturelles, de leurs régulations quotidiennes et du sens et du bon sens qui les accompagnaient. Nous souffrons d’un manque de confiance en l’autre certainement dû aux stéréotypes relationnels que l’on nous impose et au repli égotiste qui les accompagne et sera conforté, encore une fois, par cette plateforme immonde « ue balance mon porc ! ».

    Laurence Maugest
    philosophe, essayiste

    Texte repris du site de Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • Syrie :Des mercenaires de Blackwater à Raqqa

    Blackwater! Cette société de brigades de mort qui s’est fait une mauvaise réputation en Irak de par ces crimes

    Des sources d’information ont diffusé des images montrant les éléments de la compagnie euro-américaine Blackwater dans les rangs des paramilitaires kurdes dans la ville de Raqqa en Syrie.

    Certaines sources confirment la présence d’au moins 2 000 mercenaires internationaux à Raqqa et dans la province homonyme dans le nord de la Syrie.

    Pas mal d’observateurs ou personnalités politiques avaient déjà dénoncé d’autres aspects étonnants voire effroyables des opérations de libération de Raqqa, menées par les Forces démocratiques syriennes, soutenues par les Américains. Le bilan lourd des pertes civiles en fait partie.

    parstoday.com

    2012 – BlackWater bientôt en Syrie!

    Blackwater! Cette société de brigades de mort qui s’est fait  une mauvaise réputation en Irak de par ces crimes. Selon le site internet Algeria,  l’entreprise Blackwater, a non seulement signé un contrat avec la CIA en Afghanistan, mais  lors des évenements qui ont provoqué la chute du colonel Kadhafi alterinfo.net

    https://infosdanyfr.wordpress.com/2017/10/25/syrie-des-mercenaires-de-blackwater-a-raqqa/#more-11266

  • Civitas assure la protection d’un élu municipal menacé par les antifas

    A Fontaine, en Isère, des militants de Civitas conduits par Alexandre Gabriac, ont été soutenir le conseiller municipal Franck Sinisi lors d’une réunion houleuse du conseil municipal à laquelle s’étaient invités les antifas.

    Rappelons que Franck Sinisi avait été exclu du Front National au motif d’avoir participé à une manifestation de Civitas contre la gay pride locale.

  • L'Action française va poursuivre Europe 1 pour diffamation

    Nos journalistes sont habituellement des professionnels du pas d'amalgame. Lorsqu'un terroriste musulman égorge une jeune fille, ils ne vont pas accuser toutes les mosquées qu'il a pu brièvement fréquenter pour en faire des foyers de terrorisme. Parce que ce ne serait pas bienPas gentil.

    En revanche, si un déséquilibré (qui ne sera pas qualifié ainsi, c'est une maladie exclusivement musulmane...) de droite envisage un instant de commencer à penser à une éventuel attentat (contre Mélenchon ou Castaner par exemple), alors tous les lieux qu'il a pu fréquenter sont suspects. 

    C'est ainsi que, tranquillement, Europe 1 a accusé l'Action Française de terrorisme :

    Capture d’écran 2017-10-24 à 07.44.11

    Et Jean-Luc Mélenchon a demandé tout simplement la dissolution de l'Action française. Souvenez-vous en pour, au prochain égorgement, demander la dissolution de l'islam en France...

    Sur L'Incorrect, François Marcilhac dénonce :

    "[...] Manifestement, la déontologie journalistique n’étouffe ni Céline Kallmann ni Nathalie Chevance. Profitant de l’arrestation, mardi 17 octobre, de quelques pieds-nickelés réputés d’ultra-droite à la suite de celle de Logan Nisin, en juin dernier, qui, en errance idéologique, et après de multiples autres tentatives de militantisme politique, avait eu l’idée malencontreuse de fréquenter les royalistes de l’AF Provence, où, pour reprendre les mots de l’article d’Elise Vincent, paru le 18 octobre dans Le Monde, il « trouve refuge » pour quelques mois, elles se sont livrées à un exercice particulièrement nauséabond de désinformation, quand leur consœur du Monde — mais font-elles vraiment le même métier ? —, elle, a enquêté. 

    Le reportage de Nathalie Chevance, censé reposer sur des témoignages de « riverains » — qui n’oseraient pas les présenter sous serment devant un tribunal —, est à ce point mensonger qu’il en deviendrait risible s’il n’oubliait pas l’essentiel : à savoir que ce sont nos militants qui, à Marseille, mais aussi à Lyon ou à Paris, partout où l’AF progresse de façon visible, se font régulièrement agresser. A Marseille, notamment, pour leur simple présence rue Navarin, et par des « antifas » dont le seul moyen d’expression, voire la seule raison d’être, est l’action violente. Jusqu’à l’explosion, cet été, d’une bombe artisanale devant nos locaux, qui aurait pu tuer. Mais à la matinale d’Europe 1, on a sans doute les oreilles trop mélomanes pour en avoir entendu le bruit.

    Maurras disait mettre « la violence au service de la raison ». C’est pourquoi, en plus d’un siècle d’existence, l’Action française se flatte de n’avoir aucun mort sur la conscience. La violence pour la violence, le terrorisme n’ont jamais pas partie de son ADN. On ne peut pas en dire autant de ses adversaires politiques qui, eux, n’hésitèrent pas, à de nombreuses reprises, à faire couler le sang des camelots du Roi et des ligueurs d’AF. Et pourtant, celle-ci s’interdit toujours de les venger. Comment prendrait-elle l’initiative, alors même que tuer des compatriotes est insupportable aux yeux de ceux qui définissent la nation comme une amitié ? Comme le rappela un jour Pierre Boutang, le successeur de Maurras : « La haine n’est pas notre fait, à nous, gens de village et de paroisse ; la sagesse ancienne qui veut qu’on ne haïsse jamais qu’en sachant que l’homme haï pourra demain être un ami, nous l’avons dans notre héritage. En l’amitié, nous voyons même le moteur quasi divin de notre nationalisme, et l’image terrestre des hommes réunis en la cité de Dieu. »"

    François Bel-Ker, secrétaire général de l’Action française, annonce au micro de Boulevard Voltaire que des avocats vont entamer une procédure contre plusieurs médias, et contre Europe 1 en particulier.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Syrie : les prémices de la victoire

    Sur la Syrie, lire:

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    Le commander en ligne cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Retour sur le procès des militants identitaires de Poitiers

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    Il y a cinq ans, 73 militants du mouvement “Génération identitaire” avaient occupé le toit de la mosquée de Poitiers - alors en chantier - pour dénoncer “l'islamisation du pays”. Cinq d'entre eux étaient ce vendredi au tribunal : un an avec sursis a été requis contre eux.

    Damien Rieu, vous aviez décidé de dénoncer l'islamisme en montant sur le toit d'une mosquée. Regrettez-vous la manière dont vous avez agi ce jour-là ?

    Ce 20 octobre 2012, nous avons réclamé un référendum sur les constructions de mosquées et l'immigration en France. Nous l'avons fait, en effet, en occupant pacifiquement le toit du chantier d'une mosquée dirigée par un islamiste. C'est une méthode un peu cavalière, mais c'était nécessaire pour médiatiser notre message. Quand on voit ce qui se passe aujourd'hui, les 250 morts du terrorisme islamiste et la submersion migratoire, notre seul regret peut être celui d'avoir eut raison trop tôt... et de ne pas avoir été suffisamment écoutés.

    Quelle était l'ambiance à ce procès ?

    Le procès a débuté avec nos déclarations. Nous avons fait des révélations explosives sur l'imam de la mosquée qui dirige un institut faisant la promotion du cheick Youssef-Al Qaradawi, un dangereux prédicateur islamiste recherché par INTERPOL et désormais interdit de séjour aux USA, au Royaume Uni et en France. Très concrètement, cet homme légitime les attentats suicides, la mise à mort des juifs et des homosexuels, la violence contre les femmes et a participé au financement d'Al-Qaïda. Aujourd'hui encore, quand on se rend sur le site internet de l'institut présidé par l'imam de la grande mosquée de Poitiers (Iesh.org), on trouve son nom inscrit en référence dans l'onglet "Conseils et fatwas"... L'imam a du se justifier devant le Tribunal, mais sa défense était désastreuse. Nous sommes ensuite passés à la question du jour, et la plus importante de ce procès : peut-on encore dénoncer l'islamisme en France ?

    Et quelle a été la teneur de ce débat ?

    Après avoir dévoilé le vrai visage de l'imam de Poitiers, nous avons donc eu un débat intéressant sur le droit de la liberté d'expression, en rappelant par exemple que Valeurs Actuelles avait été totalement relaxé en 2013 pour une Une bien plus dure que les slogans qui nous étaient reprochés. Nos avocats ont ensuite ridiculisé une à une les accusations grotesques de dégradations. À la fin, il ne restait plus rien... Si ce n'est peut être le sentiment que ce vendredi, c'étaient l'imam, l'UOIF et l'IESH qui auraient dû être sur le banc des prévenus.

    Ce procès était-il finalement pour vous une façon de militer ?

    Le CCIF et l'UOIF, parties civiles, ont voulu utiliser la justice pour faire interdire la critique de l'islamisme en brandissant notamment l'accusation d'islamophobie. Il n'y a pas de raison de se laisser faire, surtout quand on connaît leur vraie nature. Alors oui nous en avons profité pour rendre les coups un par un. Ce sont les islamistes qui tient en France, certainement pas ceux qui les dénoncent et dont nous faisons partie jusque dans ce tribunal.

    Un an de prison avec sursis, espérez vous un tribunal moins sévère que le ministère public ?

    Si le tribunal décide de nous condamner, il offrira une victoire symbolique à ceux qui veulent imposer la chariah dans notre pays. Il enverra également un signal terrible à toutes les victimes du terrorisme islamiste et à tous ceux qui risquent leur vie pour dénoncer cette menace dans notre pays. Je n'ose l'imaginer, d'autant que le dossier est complètement vide.

    Source Valeurs actuelles via Thomas Joly cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Société • Tariq Ramadan visé par une plainte pour viol et agressions sexuelles

    Le sujet est à la mode. Repris en boucle, incessamment, par tous les médias, sur un mode unique et ad nauseam. Quant aux militantes féministes et laïques, elles ne sont pas notre tasse de thé. Ces saintes-là ne sont pas de notre paroisse. Il n'empêche ! Que l'une d'entre elles ait déposé une plainte contre Tarek Ramadan pour viol et agressions sexuelles (au pluriel) a quelque chose de savoureux. Au moins pour l'instant, en attendant mieux. Que vaudra cette plainte, tiendra-t-elle ? En tout cas, Match a diffusé l'information hier en fin de soirée dans les termes qu'on va lire. Ah ! les bienfaits de « la libération de la parole » ! A suivre.   LFAR

    Vendredi, une femme a déposé plainte à l’encontre de Tariq Ramadan pour viol et agressions sexuelles.

    Une plainte a été déposée vendredi à l'encontre de l'islamologue et théologien suisse Tariq Ramadan, notamment pour viol et agressions sexuelles, a-t-on appris auprès d'un des avocats de son accusatrice Henda Ayari, ancienne salafiste devenue militante féministe et laïque. Cette plainte a été déposée auprès du parquet de Rouen, dont relève le domicile de la plaignante, pour « des faits criminels de viol, agressions sexuelles, violences volontaires, harcèlement, intimidation », selon le document consulté par l'AFP. 

    Une révélation cachée dans son livre 

    Henda Ayari, 40 ans, présidente de l'association Libératrices, a indiqué vendredi sur sa page Facebook avoir été « victime de quelque chose de très grave il y a plusieurs années » mais n'avoir pas alors voulu révéler le nom de son agresseur en raison de « menaces de sa part ». Dans son livre « J'ai choisi d'être libre », paru en novembre 2016 chez Flammarion, elle a décrit cet homme sous le nom de Zoubeyr, narrant un rendez-vous dans sa chambre d'hôtel à Paris où cet intellectuel musulman venait de donner une conférence. 

    Il l’a « insultée », « giflée » et  « violentée » 

    « Par pudeur, je ne donnerai pas ici de détails précis sur les actes qu'il m'a fait subir. Il suffit de savoir qu'il a très largement profité de ma faiblesse », avait écrit Henda Ayari, assurant que quand elle s'est « rebellée », qu'elle lui a « crié d'arrêter », il l'a « insultée », « giflée » et « violentée ». « Je le confirme aujourd'hui, le fameux Zoubeyr, c'est bien Tariq Ramadan », écrit Henda Ayari sur Facebook. Selon Maître Jonas Haddad, l'un de ses conseils, « Henda Ayari n'avait pas envie de communiquer sur ce sujet, par peur ». 

    Aucune réaction de sa part 

    « Avec la libération de la parole à laquelle on assiste depuis quelques jours, elle a décidé de dire ce qu'elle a subi et d'en tirer les conséquences judiciaires », a-t-il poursuivi, interrogé par l'AFP. Tariq Ramadan n'avait pu être joint par l'AFP et n'avait pas réagi sur les réseaux sociaux en fin d'après-midi. Relativement populaire auprès d'une partie des fidèles musulmans, il est aussi très contesté, notamment dans les milieux laïques, qui voient en lui le tenant d'un islam politique. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Provocation de haine islamo-raciste dans Le Monde

    De Bernard Antony :

    6a00d83451619c69e201bb09cf255c970d-800wi.jpg"Le journal « Le Monde » a publié hier l’article d’un musulman subsaharien, Hamidou Anne, proclamant : « La France blanche, chrétienne, au risque de terroriser certains petits esprits, est finie. Terminée. »

    On est là dans le droit fil de la continuité de l’idéologie raciste anti-blanche d’Houria Bouteldja, présidente du PIR et de son « intellectuel » Saïd Bouamama, auteur principal du brûlot raciste « Nique la France ».

    Depuis des années, l’AGRIF, seule dans l’indifférence de la classe politique ou la complicité de certains, a porté plusieurs de leurs déclarations d’incitation caractérisée à la haine devant les tribunaux de Toulouse et de Paris.

    Elle a été en cette dernière affaire scandaleusement déboutée par la Cour d’appel de Paris. Mais la Cour de cassation vient de casser ce jugement de la cour d’appel de Paris et de renvoyer le procès devant la Cour d’appel de Lyon le 10 novembre.

    Pour ce qui est du camarade islamo-gauchiste Hamidou Anne, il est à observer que, tout comme Houria Bouteldja, il est un raciste non seulement anti-blanc mais également « anti-noirs chrétiens », dans le mépris des centaines de millions d’Africains chrétiens de plus en plus persécutés par l’islam jihâdiste. Aussi inculte ou négationniste qu’Houria Bouteldja ou que madame Obono, il se garde bien de considérer que le plus grand système de mise en esclavage de peuples noirs perpétué jusqu’à nos jours est le système arabo-musulman. La vérité, c’est que les racistes que sont Houria Bouteldja et Hamidou Anne veulent de l’éradication simultanée des blancs et des noirs chrétiens. L’AGRIF continuera à leur opposer la totale détermination du véritable antiracisme."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html