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insécurité - Page 707

  • Émeutes ethniques : Du racisme anti-blanc à la guerre de colonisation raciale

    Drancy, Trappes, Argenteuil, Clichy-sous-Bois, Mantes-le-Jolie, Corbeil-Essonnes, Dammarie-Les-Lys, les Ulis, Chantilly, Nantes, Sartrouville, Torcy, la liste des villes où des enclaves ethniques se trouvent en état d’insurrection ouverte s’allonge depuis plusieurs jours. Traduction évidente – et soigneusement occultée – d’une solidarité entre des populations qui, pourtant, ne se connaissent pas.

    Solidarité raciale

    Cette solidarité n’est pas “sociale” comme les ahuris du gauchisme en fin de parcours tentent de le faire croire. Elle est exclusivement raciale. C’est la formation d’une entité de plus en plus “homogène” quant à ses réactions et ses représentations : celle de l’immigration afro-orientale qui s’agglutine inexorablement dans les métropoles et villes de France.

    Les réseaux sociaux sont les moyens de mobilisation privilégiés par ces masses essentiellement régies par des réflexes grégaires. Le point de déclenchement de cette vague d’émeutes raciales – voire religieuses au vu des slogans lancés aux policiers tel que “allahou akbar” – est le faux viol monté de toutes pièces par un subsaharien de Bobigny, Théo Luhaka.

    La population française, psychologiquement neutralisée par un incessant travail de rééducation médiatique et politique, reste passive. Elle vit dans un état de déni permanent, oubliant ou feignant d’oublier que la France est dans un état chronique de guerre interethnique de basse intensité, avec près de 40 000 véhicules détruits chaque année par les allogènes. Dont près de mille pour la seule Saint Sylvestre (voir ici). Ceci pour ne rappeler que le volet des destructions matérielles générées par les attaques systématiques de l’envahisseur.

    La presse d’état, qui a dressé le bûcher des quatre policiers de Bobigny, se fait désormais silencieuse. L’artifice conçu pour mobiliser l’électorat immigré – avec l’aval d’un François Hollande posant au pied de la “victime” imaginaire – a dépassé de beaucoup les attentes des tacticiens de l’Élysée et de la gauche socialiste. Les masses afro-musulmanes réclament “justice”, c’est-à-dire des représailles aveugles, guidées par une haine raciale inextinguible envers les Français de souche et tout ce qui représente leur pays et son ordre social.

    Quand la racaille use de l’excuse morale pour mener sa guerre de colonisation raciale

    Les bandes afro-musulmanes de Bobigny, pourtant coutumières des viols collectifs, prétendent se découvrir une nouvelle moralité et s’insurgent au sujet du faux “viol” de Luhaka. En réalité, les masses maghrébines et africaines n’ont cure des faits.

    La question n’est pas morale mais purement politique : il s’agit de contester la domination et la légitimité des Blancs sur leur terre et de tout ce qui peut l’incarner ou la défendre. La culpabilité de l’homme blanc repose, à leurs yeux, sur sa seule existence. La police française constitue, depuis des décennies, le “phallus symbolique” de l’autorité blanche en France. Elle incarne une domination autochtone de plus en plus intolérable aux yeux d’extra-européens qui s’estiment “chez eux”.

    Rappelons le fameux “Sacrifice de poulets” de “Minister AMER” :

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  • « Dans les banlieues, cessons de reculer »

    Malika Sorel-Sutter, essayiste. Ancien membre du Collège du Haut Conseil à l’Intégration. Ingénieur de l’Ecole Polytechnique d’Alger. Troisième cycle de gestion de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (Major de promotion).

    FIGAROVOX – Après le viol présumé de Théo à Aulnay-sous-Bois, des émeutes urbaines ont éclaté en Seine-Saint-Denis. Dans quelle mesure peut-on dire que cette dégradation du climat sécuritaire est l’illustration d’une crise sociale et politique ?

    Ce qui est frappant, c’est le climat d’hystérie qui s’empare de plus en plus souvent de notre société. Chacun, ou presque, a son mot à dire sur ce qui s’est produit et voudrait imposer aux enquêteurs et même à la Justice la qualification des faits ainsi que la sentence. Les juges sont placés sous une pression inacceptable dans une démocratie.


    Alors sommes-nous dans la traduction d’une crise sociale et politique ? Une crise politique, assurément car c’est bien l’ordre établi et tous ceux qui l’incarnent de près ou de loin qui se trouvent un jour ou l’autre contestés, et parfois placés dans l’incapacité d’exercer leur mission. Des guet-apens sont tendus à des pompiers. Des policiers tombent dans des embuscades ou sont attaqués car leur surveillance dérange. Un nombre croissant d’enseignants refusent d’exercer leur mission en certains lieux. De même en va-t-il pour des médecins et bien d’autres professions.

    Quant à la crise sociale, tout dépend de ce que vous mettez dans le terme “social. Si vous l’entendez au sens qui a cours depuis le début des années quatre-vingt, alors non, nous ne sommes pas dans la simple traduction d’une crise sociale. Le problème est beaucoup plus profond, et surtout multidimensionnel. L’État, qu’il ait été piloté par la droite ou par la gauche, a consenti de lourdes dépenses dont le contenu n’a pas été suffisamment porté à la connaissance de l’opinion publique. L’État devrait communiquer davantage afin que l’on cesse de l’accuser de n’avoir pas assez investi. Ces accusations répétées – de toutes parts – nourrissent le ressentiment et parfois même la haine à l’égard des institutions et de leurs représentants.

    N’y a-t-il pas aussi une dimension culturelle voire religieuse à cette crise des banlieues ?

    C’était le cas en 2005. Pourtant les médias ont persisté à répéter que tout ce qui se produisait était lié à la mort effroyable des deux jeunes dans un transformateur. Gilles Kepel a mis en évidence que l’embrasement des banlieues avait eu pour origine le lancement non intentionnel d’une grenade à proximité d’un lieu qui présentait l’aspect extérieur d’un entrepôt. Les policiers ignoraient que ce bâtiment était utilisé comme lieu de culte. Sur place, l’information a été aussitôt propagée que la mosquée avait été visée délibérément, et qu’il s’agissait d’une attaque de l’État contre l’islam et les musulmans. Il convient de s’interroger sur les groupes de pression et d’influence qui trouvent intérêt à diviser la société selon la croyance, l’ethnie ou la “race”.
    Il est prématuré de tirer des conclusions sur ce qui se produit aujourd’hui et qui se propage à travers un nombre croissant de territoires. Nous sommes en présence d’une population sous le choc de ce qui vient d’arriver et qui se retrouve très vraisemblablement instrumentalisée. Il appartient à nos services de renseignement d’identifier au plus vite quelles sont les forces qui s’activent en sous-main et qui ont intérêt à ce que la police ne puisse plus pénétrer certains quartiers, ou même que la situation échappe à tout contrôle.

    Peut-on comparer la situation actuelle aux émeutes de banlieue en 2005 ?

    Depuis 2005, la situation s’est fortement dégradée. Le niveau de violence a considérablement augmenté. Cela était prévisible puisque le fond du sujet n’a jamais été véritablement abordé. On a persisté dans le déni du réel et dans la manipulation des masses. Pourtant, comme le montrent ses propos consignés dans Un président ne devrait pas dire ça, François Hollande n’ignore rien de la gravité de la situation. Évoquant la marche pour Charlie, il fait état de “ces trois France qui semblent parfaitement irréconciliables” et s’interroge : “comment on peut éviter la partition ? … Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition”. En 2005, il n’aurait pas employé le terme de “partition” qui est extrêmement lourd. Quel est le bilan de François Hollande dans ce registre ? C’est celui de sa tentative de refondation des politiques d’intégration, que j’ai contribué à torpiller car elle menait tout droit à la disparition à terme de l’identité française. Nul n’a le droit de créer les conditions de l’enterrement de l’identité du peuple français. Chaque peuple a droit au respect de son identité, a fortiori sur son propre territoire. J’ai eu l’occasion d’analyser longuement les différents rapports pour Le Figaro.

    Malheureusement, les choses n’en sont pas restées là, puisque nous avons eu droit ensuite à un certain nombre de réformes scolaires ainsi qu’à l’adoption de la loi “Égalité et Citoyenneté” qui partent toujours de la même approche et qui recèlent un degré non négligeable de toxicité pour notre avenir à tous. Et l’on en arrive à présent à ce qu’un postulant à la fonction suprême ose asséner qu’ «il n’y a pas de culture française» !

    Comment jugez-vous la réaction des autorités politiques à ce nouvel accès de violence ?

    Il y a eu de bonnes et de mauvaises réactions. Lorsqu’une enquête est en cours, on ne doit pas tenter d’interférer. Chacun se doit de laisser la Justice suivre son cours. Aussi, la visite du président de la République à l’hôpital n’aurait pas dû se produire car non seulement elle jette du sel sur les plaies, mais elle est de surcroît perçue comme un parti pris. Il avait lui-même reproché au président Nicolas Sarkozy de réagir trop souvent, et lui, que fait-il ? Ensuite, certains politiques de premier plan se sont mis à relayer l’appel au calme lancé par la famille. On croit rêver ! Ce faisant, le politique se démet lui-même de son autorité.

    Autre point : qu’une première manifestation ait été autorisée, car il est naturel que des citoyens éprouvent le besoin de marcher ensemble, on peut le comprendre. Mais nous n’en sommes plus là. D’autant que nous sommes en état d’urgence. Comment expliquer que le pouvoir expose ainsi son incapacité à faire appliquer la loi ? C’est préjudiciable pour tous, car toute faiblesse de l’État peut être interprétée comme une invitation à défier encore davantage les institutions. Or, la population a besoin d’être protégée. La sécurité est le premier des besoins.
    Le refus réitéré par le gouvernement de la délivrance d’un récépissé de contrôle d’identité est une très bonne décision. Cette demande part du principe que nos policiers sont suspects. Cette mise en cause récurrente de la police nationale est catastrophique. Il ne faut pas venir ensuite s’étonner de la dégradation de la situation de la sécurité en France.

    Que faire ?

    Cesser de démissionner et de reculer en pensant que c’est la meilleure façon d’acheter la paix. Nous le voyons, c’est l’inverse qui se produit. Il faut retrouver le chemin de la raison. En revenir au traitement des individus, et des individus seuls. Considérer chaque être humain sur la base de ce qu’il est en tant qu’être humain, et donc tourner le dos à l’approche communautaire qui pourrait conduire à terme à la partition évoquée par le Président François Hollande. Travailler à retisser le lien de confiance entre notre société, l’école et le corps enseignant. Le chantier est exigeant, mais il est décisif pour l’avenir de notre société. Beaucoup peut encore être fait dans ce domaine. L’espoir est de mise. Responsabiliser les parents, mais aussi les accompagner dans leur mission car l’éducation n’est pas toujours tâche aisée, loin s’en faut ! Dans mes écrits, j’émets un grand nombre de propositions et recommandations. Simplement, il faut être bien conscient que rien ne sera possible sans prendre en compte le fait que la France n’est plus en capacité d’accueillir de nouveaux flux migratoires. Et ce n’est pas qu’une simple question d’ordre socio-économique.

    Malika Sorel-Sutter Paru sur Figarovox, 14 février 2017

    Source : Magistro.fr

    https://www.polemia.com/dans-les-banlieues-cessons-de-reculer/

  • Terrorisme musulman : l’irresponsabilité politique de Macron

    Dans le numéro 41 de sa revue de propagande Al Masra, Al-Qaïda dans la péninsule arabique évoque la prise de position d’Emmanuel Macron sur la colonisation“crime contre l’humanité”. Christophe Billan, le président de Sens commun, réagit dans Valeurs Actuelles :

    6a00d83451619c69e201b8d26dbf15970c-250wi.png"Cet organe de propagande se contente de rapporter les faits évoquant le profil et les propos d’Emmanuel Macron ainsi que ceux de François Fillon du reste. Toutefois, cette évocation met en lumière deux points fondamentaux : l’irresponsabilité politique de Macron et ses véritables motivations. Irresponsabilité car l’outrance de ses propos entretient des fantasmes qui contribuent d’une part à fragiliser l’unité du pays d’autre part à mettre en danger nos ressortissants et nos intérêts. Irresponsabilité également car les perpétuelles contorsions démagogiques du leader « d’en marche » atteignent aujourd’hui un paroxysme en alimentant une propagande terroriste qui menace la France mais aussi la stabilité des pays arabes. Irresponsabilité enfin parce que l’histoire est une discipline sérieuse. La colonisation est un processus complexe qui recouvre des réalités non homogènes.

    Mettre sur un même plan l’action du Maréchal Lyautey au Maroc et les crimes de la shoah est immoral. Faire référence à un projet génocidaire sans considérer l’évolution démographique des pays du Maghreb durant cette période est indécent. Cette absurdité révoltante transparait aujourd’hui dans un organe de propagande terroriste qui pointe du reste la véritable motivation d’Emmanuel Macron : la présence en France d’une communauté d’origine algérienne estimée à plus d’un million d’individus.

    Ce clientélisme électoral fondé sur des caricatures est simplement abject. Sa démagogie devient propagande et j’observe qu’elle alimente celle des terroristes qui menacent notre pays. Macron c’est un peu le portrait de Dorian Gray : au-delà des apparences, on perçoit peu à peu son vrai visage et il est inquiétant. [...]

    Lors de son discours à Berlin, Emmanuel Macron a félicité Mme Merkel pour son courage. Il estimait en effet que l’accueil d’un million de migrants était une véritable « aubaine économique ». Ce déni de réalité au profit de considérations économiques étroites, parfaitement résumées par Christophe Guilluy, pose un vrai problème pour l’avenir. On voit apparaitre progressivement le libéralisme hors sol de Macron qui repose sur l’émergence d’un marché global toujours plus dérégulé. Cette vision considère les Etats, les peuples et la politique comme des vestiges encombrants. [...]

    [S]a tribune dans le Figaro met en lumières les contours d’une société qui fait froid dans le dos. Il y assume désormais la notion de « multiculturalisme » et très vite il revendiquera celle de « communautarisme ». Une fois encore Macron s’inscrit dans une logique de séduction destinée à abuser les Français. Il faut être très clair avec les termes employés. Le multiculturalisme dont il se réclame ce n’est pas l’unité dans la diversité mais l’agrégation de communautés repliées sur leurs avantages et leur identité dans un espace donné. Ce processus est en total contradiction avec les notions de Peuples et de Nation. La nation parvient, au terme d’un processus historique de plusieurs siècles, à fédérer des singularités autour de principes assumés et d’une vision commune. Le multiculturalisme qu’Emmanuel Macron appelle de ses vœux est une déconstruction de notre héritage et un véritable danger pour l’avenir puisque l’unité dans la diversité devient impossible.

    Le repli d’une communauté sur ses avantages la conduit inexorablement à considérer les autres groupes comme un concurrent voire comme un adversaire. L’Etat s’épuise alors à réguler des intérêts toujours plus contradictoires. Voilà à la fois la réalité et l’impasse du multiculturalisme vanté par certains. J’observe d’ailleurs que Thierry Tuot, le conseiller d’Etat à l’origine du rapport sur une nouvelle intégration, qui assume pleinement les contours d’une société bâtie sur le communautarisme, évolue dans le premier cercle d’Emmanuel Macron. En 2012, Terra Nova conseillait à la gauche de remplacer son socle électoral populaire par le vote communautaire. Son directeur est également un proche d’Emmanuel Macron. Nous sommes loin de la rupture annoncée mais bien dans une continuité délétère avec le quinquennat en cours. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Londres, Bruxelles, Paris, Berlin : Européens, chassons les islamistes !

    Une fois encore une grande ville européenne a été frappée par le terrorisme islamiste. Le mode opératoire n’a pas changé, des innocents sont tués au hasard, par haine de ce que nous sommes, par haine de notre identité et de notre civilisation.

    Depuis plusieurs mois, à travers notre campagne « Chassons les islamistes », nous appelons les politiques européens à prendre à bras le corps la menace de l’islamisme qui a fait de trop nombreux morts en Europe depuis 2015.

    La seule question qui doit animer la réflexion de chacun est de savoir comment les Européens vont pouvoir se débarrasser de cette menace qui a grandi dans nos pays, alimentée par une immigration massive et continue.

    De grands bouleversements se profilent si des choix politiques courageux et forts ne sont pas faits dans les prochains mois. Génération Identitaire appelle tous les Français et tous les Européens fiers de leur identité à s’engager politiquement et à se dresser face aux islamistes.

    Communiqué de Génération Identitaire

    http://fr.novopress.info/204524/londres-bruxelles-paris-berlin-europeens-chassons-les-islamistes/

  • Dramatique vidéo de l'attentat terroriste musulman à Londres (22 mars 2017)

  • Theo Luhaka reconnaît devant un juge qu’il a menti

    C’est officiel, il vient de l’avouer devant un juge, Théo Luhaka a menti lors du premier interrogatoire pour charger les flics. Comme pour la grotesque affaire Léonarda, les Français peuvent remercier leur président de s’être aplati devant cette racaille notoire. Merci président !

    Lors de sa première audition, Théo avait expliqué s’être fait « enfoncé » un « baton dans les fesses » par des policiers à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis) en février dernier suite à un contrôle d’identité qui avait mal tourné. L’un d’eux aurait ainsi « écarté (son) caleçon sur le côté », pendant que le deuxième lui « tenait les jambes » et que le dernier le maintenait « légèrement incliné debout ». Mais comme le révèle Le Parisien dans son édition du 21 mars, le jeune homme a été mis face à ses contradictions lors d’une nouvelle audition.

    La juge qui l’interrogeait a notamment mis en doute ses propos en s’appuyant sur les images de vidéosurveillance et sur les constatations faites sur le caleçon du garçon, retrouvé troué. « Comme je vous l’ai dit, la première audition, je n’étais pas en état », lui a répondu Théo, reconnaissant ne pas se souvenir des mots qu’il avait prononcés ce jour-là.

    Un pantalon taille basse, qui « descend tout seul »

    Interrogé également sur le jogging qu’il portait au moment des faits, le jeune homme a concédé que ce n’était pas forcément « volontaire » s’il descendait, même si selon lui, les policiers tiraient tout de même dessus lorsqu’ils l’ont « attrapé ». 

    La magistrate lui a fait remarquer que sur la vidéo, on le voit arriver en portant le vêtement large taille basse. « Si tu ne serres pas ton pantalon avec le cordon, logiquement, il descend tout seul. Et puis je prends mes pantalons en XL, ce n’est pas ma vraie taille », lui a-t-il indiqué.

    Néanmoins, Théo continue de maintenir que la matraque a bien été enfoncée de manière volontaire. Une version que l’IGPN, la police des polices n’a pas retenu, qui explique dans son rapport que le geste « visait la cuisse pour faire plier la jambe de l’intéressé », et que donc sa « finalité », ainsi que « ses conséquences » n’étaient « pas intentionnelles ».

    Source
    http://www.contre-info.com/theo-luhaka-reconnait-devant-un-juge-quil-a-menti |

  • Du pizzagate au pédogate ?

    Le pizzagate  ne fait que commencer mais déjà s'affole le Système, du moins sa croûte d'élites moribondes. Nous savons de quel procédé principal ces dernières se servent afin de contenir au maximum la diffusion de la vérité qu'elles appellent confortablement « théories du complot ». En effet, dès qu'une parcelle de réalité est soumise à la lumière qui éclaire leur culpabilité, les élites parlent automatiquement, comme des robots, de « théories du complot ». Pour que ce procédé perdure, garde une partie importante de son efficacité, de son efficience, il faut cependant qu'il désigne encore et toujours un magma indéfini d'idées, de croyances, de fantasmes, d'inventions, d'absurdités diverses ou de choses indémontrables mélangés avec des faits indubitables, circonstanciés, prouvés, illustrés. La technique consiste à mettre sur le même plan les délires (souvent créés par le Système) et la terrible réalité qui incrimine d'une façon implacable un nombre considérable de Zélés au pouvoir. Les faits les plus dangereux (pour les élites) sont actuellement diffusés de plus en plus intensément sur Internet (mais l’information qui circule repose sur des faits véritables, des arrestations, des déclarations officielles, des photos authentiques, des viols, des toitures, des décès inquiétants et des disparitions mystérieuses notamment). Nous avons évoqué à maintes reprises cette façon d'amalgamer volontairement tout et n'importe quoi pour discréditer l’information véritable, la démonétiser en la mettant de force en contact avec des imbécillités créées de toutes pièces.

    La raillerie du "conspirationnisme"

    Et quand une partie de la population commence à faire le tri entre le bon grain et l'ivraie, à mettre de côté d'un revers de main les crétineries sur les aliens et les fantômes, pour se saisir en adultes des vrais sujets, des vraies questions, des vrais enjeux, pour s'intéresser honnêtement et calmement aux affaires qui concernent la vie de milliers d'enfants et de millions d'âmes, les élites rances macérant dans ce qui désormais saute aux yeux (de ceux qui veulent voir) interviennent pour railler les conspirationnistes. Ironie de l'histoire, parfois les plus grands conspirationnistes, non perçus comme tels grâce à un cachet de sérieux, sont, en fins stratèges, les conspirateurs eux-mêmes et les plus noirs d'entre eux. C'est le cas de l'épouvantable John Podesta (ancien chef de campagne de Hillary Clinton lors des dernières présidentielles américaines) qui passait pour un spécialiste des aliens aux États-Unis avant de travailler en première ligne pour le Parti démocrate. Aujourd'hui confondu dans son milieu de tarés, soupçonné d'avoir perpétré des horreurs, Podesta se débat dans tous les sens et, comme par hasard, reparle des petits hommes verts sur son Twitter à l'occasion de la découverte des planètes qui seraient potententiellement "habitables" du fait de la présence d'eau sur leur sol (ils nous prennent vraiment pour des buses avec leur odyssée de l'espace). Pour une foi, le petit démon aimerait bien que l’on ne regarde pas son doigt (tordu) mais la lune.

    Etrangement, alors que les chercheurs de vérité se fichent actuellement comme de leur première souris, de leur espace intersidéral, de leurs fusées et même du côté invisible de l'astre mort, le spationaute français qui parle de mots croisés du haut de sa cabine ou carrément de football en se filmant, vient de se moquer des conspirationnistes du haut de son ISS. Du grand spectacle à la Patrick Sébastien, mais dans l'espace ! Dernière facétie de Thomas Pesquet en train de flotter dans son néant ? Un selfie pour dire na ! Aux complotistes. À tous les complotistes, écrivent les journaux, complotistes qui seraient tous des fous paranoïaques comme le démontrerait sa photo de lui, dans son scaphandre qui lui sied à ravir. Qui est le plus ridicule dans cette affaire ? L'internaute derrière son ordinateur ou un astronaute coûtant des milliards d'euros à la France et qui se fiche du pauvre premier dans son ISS rutilant ? Il faut vraiment que les élites putréfiées soient aux abois pour profiter de l'espace et d'un cosmonaute (véritable gabegie) qui fait des coucous de débile mental dans le noir de son univers pour faire la nique aux "jaloux". Après Bergoglio, Pesquet ! Bientôt ils feront parler l'hologramme de Mélenchon, ou l'esprit tout-puissant de Nelson Mandela par l'entremise de Paco Rabane qui signerait par là son retour. Soyons sérieux. Encore un effort et leur homme de l'espace dont on se moque éperdument lancera une fatwa contre les chercheurs de vérité qui s'intéressent à autre chose qu'à sa pomme de gros fayot.

    Les enquêteurs se moquent des railleries

    Pour l'instant, la nouvelle présidence américaine, le FBI et les services de sécurité intérieure ne perdent pas de temps avec l'anticonspirationnisme , ils travaillent et sauvent des enfants sans faire beaucoup de seines, il est vrai. Podesta a, lui aussi, fini par le comprendre et s'est résolu à accepter une interview politique. Jamais, nonobstant, il ne put expliquer le nombre invraisemblable d'anomalies, les photos, les courriels très étranges, les liens avec des pédocriminels notoires mis en avant pas Wikileaks et les internautes. Tout cela, il n'en parle pas mais préfère axer sa défense sur le rôle supposé de « quelques éléments du FBI » dans cette affaire qui n'aurait servi qu'à ruiner la campagne de Hillary Clinton. Un fou furieux imaginant échapper à son sort en mettant en exergue les intentions du FBI en faisant mine d'oublier que les moyens pour les battre, lui et toute son équipe, sa patronne et ses proches, ne sont pas immoraux mais bien au contraire immensément salvateurs. Les moyens et la fin ne peuvent être opposés ici.

    Le dévoilement progressif de l’immonde est un bien, et un moyen de tendre davantage vers le Sien, Podesta proteste : c'est, de la triche ! Ses adversaires ont parié de cruautés mais les règles du jeu l'interdisaient, et il enrage ! Que cette engeance, ou plutôt cette génération de sadiques soit sacrifiée, qui s'en plaindra pourtant ? D'aucuns pensent cependant que tous ces démons vont s'en sortir et poursuivront leurs activités criminelles en renforçant leurs protections et après avoir colmaté les brèches. L'argent et les réseaux prendront le dessus sur la justice. Cette hypothèse semble, heureusement, de plus en plus hasardeuse, quelques faits récents témoignant objectivement de l'abandon des plus importants soutiens qui portaient Podesta et ses sbires.

    Des vedettes écoeurrées

    Nous ne parlons pas du célèbre acteur hollywoodien, James Woods, qui s'en est pris sans gant à ce vampire de Podesta (quelques jours après avoir fait scandale au Bataclan, mais c’est une autre histoire) en lui promettant l'enfer « Mets de la sauce à la noix sur ta pizza et ferme-la ! Tu as de la chance de ne pas être encore en prison ! J'ai dit encore... ». Nous ne voulons pas non plus parler du jeune acteur Ashton Kutcher qui dénonce depuis des mois, à l'instar d'Elijah Wood du Seigneur des anneaux, l'horreur pédomane au sein d'Hollywood après avoir mentionné le Pizzagate.

    Depuis quelques années, de nombreux acteurs, plus ou moins à succès, dénoncent les viols, les humiliations et les tortures non seulement dans le monde du cinéma mais aussi dans celui des riches et des puissants d'une manière générale. L'observateur aura repéré cette pression croissante exercée par la cohorte toujours plus nombreuse des artistes encore debout sur les pouvoirs publics pour qu'elles enquêtent véritablement. Face à cette rébellion, le clan richissime des pourris a opéré ces derniers temps une véritable fuite en avant, multipliant les outrances, les provocations sataniques et précisément (cela est démontré) pédosataniques. On ne compte plus les clips subversifs des K. Perry, des Miley Cyrus, des Lady Gaga, qui s'amusent avec les symboles phalliques et s'habillent avec des parts de pizza. Avant le déclenchement du Pizzagate, on n'y comprenait rien, on ne saisissait pas le message derrière cette esthétique douteuse.

    Demain, ces pourritures feigneront de ne rien y comprendre, évoqueront la mode du moment pour sortir du bourbier, répondre aux accusations que les Américains formuleront à leur encontre. Ça va chauffer dans le foyer de l'Oncle Sam dans les mois et les années qui viennent. L'un des plus gros indices du changement de "climat" est la prise de distance brutale de la milliardaire Lynn de Rothschild à l'égard de la clique de Washington. Elle qui fut un soutien de Podesta déclara la semaine dernière qu'il n'était qu'un perdant, un minable, un "loser" (le pire adjectif qui peut sortir de la bouche d'un Rothschild), bref, qu'elle ne voulait plus en entendre parler. Même la famille Rothschild prend désormais ses précautions en se désolidarisant de celui qui pourrait peut-être servir de bouc émissaire aux autres tarés, protagonistes de ce qu'il faut désormais appeler le Pédogate. Les Rothschild lâchaient publiquement Podesta le 22 février.

    Donald Trump parle publiquement des trafics humains

    Le 23 février, le lendemain, Donald Trump faisait une déclaration formidable (la vidéo est sur Youtube) sur les nouvelles enquêtes qui ont débuté sur les trafics d'êtres humains. Sur le volet pédosatanique, il a annoncé une enquête fédérale sur les réseaux pédomanes et il a promis d'aider à mettre fin « aux horribles, vraiment horribles crimes qui se produisent ». Aussi a-t-il ordonné « au Département de la Justice, au Département de la Sécurité intérieure et à d'autres organismes fédéraux d'affecter plus de ressources et de personnel à l'enquête ». L'enquête, a-t-il déclaré devant un parterre de journalistes, « s'est largement intensifiée au cours des quatre dernières semaines », depuis le début de sa présidence. Il est évident que de tels propos annoncent une nouvelle vague d'arrestations. Une nouvelle vague, disons-nous, car, déjà, plusieurs centaines d'arrestations ont été accomplies aux États-Unis depuis la prise de fonction de Donald Trump. Il n'est pas facile de connaître ces informations, ici, les gros média préférant informer les Français sur la guerre des toilettes transgenres aux États-Unis plutôt que des enquêtes concernant les trafics d'êtres humains. Certainement une position éditoriale relevant d'une grande pudeur... Des enfants sont libérés, des enfants sont sauvés, d'autres sont découverts ravagés par les sévices, mais la pudeur de Libération, du Monde, de Canal+, de L'Obs oblige les journalistes sensibles et si professionnels à ne pas parler de ces horreurs. C'est du grand, du très grand professionnalisme, on n'a jamais vu plus pros.

    Dévoilement aux États-Unis et ailleurs

    Alors qu'en 2015, les soupçons de pédocriminalité à propos de l'ancien Premier ministre Edward Heath (1970-1974) étaient relayés par le journal de référence, les nouvelles révélations sur l'énergumène (plus monstrueuses encore) mort en 2005 n'ont pas fait l'objet d'articles particulier dans le quotidien de Pierre Bergé… Les autorités anglaises évoquent pourtant la mort d'au moins 16 enfants. Toujours, en Angleterre (en plein pédogate), après les révélations officielles faites sur le comédien ami de tous les puissants Jimmy Savile (qui fournissait, en chair fraîche Edward Heath), l'ancien Grand maître franc-maçon Alan Wright a, été pris, la semaine dernière, en flagrant délit « de corruption de mineur ». Nous n'en savons pas davantage sur ce dernier point.

    D'autres énormes enquêtes sont menées actuellement en Australie, au Canada, au Japon, dans les pays Scandinaves... Mais l'épicentre de cette guerre contre tous ces tarés est bel et bien l'Amérique, même si les secousses sont ressenties partout dans le monde. Et d'aucuns se demandent si les arrestations des frères Katsiantonis ne sont pas en rapport avec cette guerre.

    À Détroit, 22 personnes ont été arrêtées et deux enfants sauvés. En Californie, 474 personnes ont été arrêtées ! À Memphis, 46 personnes ont été arrêtées. En Virginie, 11; dans l’Illinois 108; en Pennsylvanie 5. À Haïti, un énorme réseau a été démantelé. Il y a moins de trois semaines, le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a publié un nouveau spot pour une campagne sur la lutte contre le trafic d'êtres humains avec des références évidentes avec ce que l'on appelle le Pizzagate (les officiels n'utilisent pas ce terme). La vidéo pédagogique présente un grand nombre de symboles utilisés par les pédosatanistes et les trafiquants, comme ces pizzerias décorées de spirales bleues, comme la combinaison des cœurs bleu et rose, comme le dessin d'un papillon formé de deux cœurs rose et bleu, et d'autres. Le message du DHS est limpide : il exhorte les citoyens à mener l'enquête partout. Four qu'un jour cessent ces cruautés perpétrées en quantité industrielle.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 2 mars 2017

  • Orly : nouvelle preuve d’inefficacité - Journal du lundi 20 mars 2017