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insécurité - Page 710

  • Pendant les assassinats, l’invasion continue

    Que nous disent les rapports de l’OFPRA et de la CNDA pour l’année 2015 ?

    ♦ André Posokhow, consultant Polémia, nous en donne l’analyse.

    L’actualité est dévastatrice : attentats meurtriers, invasion de l’Europe, progression de l’islamisation dans notre pays, guerre au Moyen-Orient, réactivation du front en Libye, discrédit de gouvernants accrochés à leur poste comme des moules à leur rocher. On pourrait penser que ces événements perturberaient la marche ronronnante de nos administrations en charge de l’immigration et de la gestion du droit d’asile.

    Tel n’est pas le cas.

    Développement de l’activité, accroissement des moyens, complicité affective avec l’invasion allogène et autosatisfaction ressortent de la lecture des rapports pour l’année 2015 de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).

    L’année 2015 a vu une forte poussée des demandes d’asile et une hausse du taux de décisions favorables

    Alors que le niveau de la demande d’asile s’était stabilisé, l’année 2015 a connu une reprise : 80.075 demandes d’asile (mineurs inclus) ont été déposées, soit une hausse de 23,6%. Celle-ci résulte pour l’essentiel du contexte de crise de l’asile que connaît l’Europe depuis la mi-2015.

    Elle correspond pour une bonne part à une démarche en faveur de l’asile à Calais (près de 2.500 demandes enregistrées pendant l’année à l’Ofpra) et en faveur des personnes mises à l’abri depuis les campements parisiens (plus de 5.000 personnes). On constate ainsi une soumission de cette administration à la politique du fait accompli et de l’occupation spontanée, pratiquée par les migrants et les associations qui les conseillent.

    De même la CNDA a connu, en 2015, une période d’intense activité avec 38.674 recours enregistrés.

    L’Ofpra se targue d’un taux de « protection », c’est-à-dire du nombre de décisions favorables (nous sommes en pleine novlangue), passé de 12,8% en 2013 à 22,9% en 2015.

    Au final, 26.818 personnes ont été « protégées » en 2015 et ce sont 206.172 personnes (à peu près l’équivalent de la ville de Rennes) qui sont estimées être sous « protection » de l’Ofpra (hors mineurs accompagnants) au 31/12/ 2015. Rassurez-vous il ne s’agit pas des Français que l’on massacre.

    La clientèle : des réfugiés ou des migrants ?

    Toute personne qui sollicite l’asile en France peut obtenir l’une ou l’autre des deux formes de protection, la seconde étant une extension de la première.

    – le statut de réfugié reconnu, conformément à l’article L. 711-1 du CESEDA :

    • en application de la Convention de Genève du 28 juillet 1951 qui définit le réfugié comme « toute personne (…) craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques,…  » ;
    • en application du préambule de la Constitution, « à toute personne persécutée en raison de son action en faveur de la liberté » ;

    – la protection subsidiaire conformément à l’article L.712-1 du CESEDA est octroyée à la personne qui ne remplit pas les critères ci-dessus mais qui établit « qu’elle est exposée dans son pays à la peine de mort, à la torture ou à des peines ou traitements inhumains ou dégradants, ou, s’agissant d’un civil, à une menace grave, directe et individuelle contre sa vie ou sa personne en raison d’une violence généralisée résultant d’une situation de conflit armé interne ou international ».

    On assiste ainsi à un élargissement voire une dérive illimitée de l’ouverture du droit d’asile. Quelques exemples de profil trouvés dans le rapport de l’Ofpra le montrent aisément :

    – SOUDAN : 5.115 dossiers. La demande soudanaise est devenue pour la première fois le premier flux des demandes déposées en France en 2015. Elle s’exprime dans sa grande majorité par des personnes d’origine africaine du Darfour, qui fondent leur demande de protection sur leur origine ethnique. Peu de personnes invoquent un engagement personnel au sein de mouvements rebelles ;

    – PAKISTAN : 1.842 dossiers. L’actualité n’a que peu d’incidence sur les motifs des demandes : problématiques concernant des unions contrariées ayant pour origine la différence de confession ou une mésentente entre familles, auxquelles se greffe fréquemment un fond de divergence politique ; conflits fonciers, parfois en lien avec l’appartenance confessionnelle ; tentatives de recrutement forcé de la part de mouvances fondamentalistes ;
    – SÉNÉGAL : 393 dossiers. Les problématiques sociétales représentent l’essentiel de la demande d’asile. De nombreuses demandes sont fondées sur un risque de mutilation génitale féminine, d’un mariage forcé ou des craintes liées à l’orientation sexuelle du demandeur d’asile.

    Cet élargissement va plus loin avec la prise en compte des Mineurs isolés étrangers (MIE) dont Polémia (*) a déjà rendu compte et qui prend une extension inquiétante, et surtout de l’orientation sexuelle, motif le plus fréquemment invoqué dans le cas du Cameroun, qui constitue pour la CNDA, organisme très proche du Conseil d’Etat, un thème de prédilection.

    Comme disait le président Pompidou : « Lorsque les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites ». C’est le cas aujourd’hui et nous voyons s’immiscer et s’imposer les concepts de réfugié économique et surtout de réfugié climatique et environnemental particulièrement prôné par François Gemenne qui se présente comme un géopoliticien du changement climatique et est surtout un propagandiste de l’invasion migratoire dans les pays civilisés.

    L’Ofpra et la CNDA représentent un ensemble juridico-administratif considérable

    Les deux organismes regroupent plus de 1.000 personnes sur plusieurs sites, effectif en constante augmentation : 575 agents pour l’Ofpra, 363 agents, 15 magistrats et 246 vacataires ou assesseurs pour la CNDA. Celle-ci s’enorgueillit d’être la première juridiction administrative de France en nombre de décisions rendues.

    Le budget global des deux organismes s’élève à environ 57M€. Il faut souligner que la CNDA est rattachée administrativement et budgétairement au Conseil d’Etat dont Jean Louis Harouel dit qu’il a trahi le peuple français au nom de la religion des droits de l’homme en revenant à une «  prêtrise judiciaire » et qui vient de se distinguer dans l’affaire du burkini.

    Le bureau d’aide juridictionnelle de la CNDA a enregistré 29.181 demandes d’aide juridictionnelle. Ce nombre est en hausse constante et importante depuis plusieurs années.

    La loi sur le droit d’asile a institué, devant la CNDA, une aide juridictionnelle de plein droit, sauf si le recours est manifestement irrecevable.

    Le taux d’assistance des requérants par un avocat est en augmentation constante et c’est un millier d’avocats qui se constituent annuellement devant la Cour dans des conditions particulièrement profitables.

    Une particularité de la Cour est de mettre gratuitement à la disposition du requérant, pour l’assister à l’audience, un interprète. Les requérants étant essentiellement non francophones, plus de 320 interprètes assermentés, extérieurs à la Cour, sont intervenus cette année. Ils ont assuré 12.500 vacations dans 120 langues avec des variantes régionales. Les langues lingala, albanaise, bengalie, tamoule, arménienne et peule ont été principalement demandées. Il en va de même à l’Ofpra où 83% des auditions, soit 40.000 auditions des demandeurs, ont été réalisées à l’aide d’interprètes.

    Cette situation est démente. Au nom de principes de l’asile bafoués de manière permanente par des « réfugiés » qui sont pour la plupart des demandeurs économiques, on immobilise plus de 1.000 agents de statuts divers et des sommes importantes sont engagées pour maintenir en permanence ouverte une porte aux flots de l’invasion.

    L’Ofpra et la CNDA ont en charge la préparation et la mise en œuvre de la loi sur le droit d’asile du 29 juillet 2015

    La loi asile de juillet 2015 confère de nouveaux droits aux demandeurs d’asile :

    -systématisation de l’entretien dans le cadre de l’instruction de la première demande ;
    -faculté pour le demandeur d’être accompagné par un avocat ou un représentant d’association. La liste de celles-ci figure sur le site de l’Office ;
    -enregistrement sonore de l’entretien ;
    -communication de la transcription de l’entretien ;
    -identification des vulnérabilités ;
    -possibilité de l’utilisation de la vidéoconférence.

    Que de droits supplémentaires et de moyens offerts au demandeur qui est plus considéré comme un créancier au moins moral que comme le quémandeur d’un séjour dans un pays qui n’est pas le sien ! On n’est pas certain que les identitaires arrêtés lors de manifestations aient eu droit à autant d’égards.

    Mieux : la préfecture peut décider du placement en procédure accélérée lorsque le demandeur :

    -refuse de se conformer à la prise des empreintes digitales ;
    -a présenté de faux documents ou a dissimulé des informations relatives à son identité, sa nationalité ou ses modalités d’entrée en France ;
    -s’est présenté à la préfecture en vue de faire enregistrer une demande d’asile plus de 120 jours après la date de son entrée en France ;
    -la demande d’asile n’est présentée qu’en vue de faire échec à une mesure d’éloignement ;
    -la présence en France du demandeur constitue une menace grave pour l’ordre public, la sécurité publique ou la sûreté de l’Etat.

    Non mais on rêve, on cauchemarde ! Voilà des allogènes qui ont la chance de pouvoir entrer dans le pays d’une des plus grandes civilisations du globe, qui mentent, trichent, se rebellent ou constituent une menace et la seule sanction pourrait être une procédure accélérée ! Mais ce que nous proposons à Polémia, et nous ne sommes pas les seuls, c’est de les reconduire aux frontières de leur interdire à jamais l’accès au dispositif de l’asile et, si nécessaire, de les sanctionner voire les incarcérer, dans l’attente d’une expulsion !

    La durée moyenne de traitement des premières demandes a un peu baissé et est de 265 jours en moyenne, soit près de 9 mois. Les demandes peuvent faire l’objet de contentieux devant la CNDA, le Conseil d’Etat, la Cour de justice de l’UE, la Cour européenne des droits de l’homme. Le délai moyen des jugements de la CNDA est d’environ 7 mois.

    Tout cela est long, dispendieux et ne peut que contribuer à encombrer un dispositif déjà engorgé et souvent dénoncé par Eric Ciotti. Tout le système est à réformer et changer de fond en comble. Il ne s’agit pas ici de préparer des textes de loi mais il n’est pas interdit de formuler quelques propositions de base :

    -abolir la loi socialo-gauchiste sur l’asile du 29 juillet 2015 ;
    -considérer que les demandeurs d’asile se doivent d’être modestes, respectueux de nos lois et de nos usages et en cas de « protection » présents sur notre sol d’une manière temporaire ;
    -instruire les demandes dans nos consulats installés dans le pays d’origine du demandeur ;
    -supprimer les pompes aspirantes sociales accordées aux demandeurs d’asile ;
    -suppression de la CNDA et déjudiciarisation de la procédure ;
    -modification profonde de la composition de l’Ofpra.

    L’Ofpra et la CNDA sont-ils des organismes administratifs français ou des officines immigrationnistes ?

    Affirmer que l’Ofpra et la CNDA ne sont que des officines immigrationnistes ne correspondrait pas complètement à la réalité. Ces organismes effectuent un travail considérable et difficile en application de lois qu’ils ne font pas, même s’il leur arrive de les inspirer quelque peu. Le taux d’admission est de moins du quart des demandes. Ils n’ouvrent pas la porte grande ouverte.

    Cependant, cette porte, ils se gardent bien de la fermer malgré le raz-de-marée migratoire. C’est surtout l’état d’esprit de ces deux maisons, fortement influencées par le Conseil d’Etat et leur action en dehors de la routine des instructions individuelles qui montrent que la protection du sol et des citoyens français n’est pas leur souci majeur.

    Donnons quelques exemples parmi d’autres :

    • L’Ofpra a, en 2015, effectué 5 missions au Liban, en Egypte et en Jordanie pour protéger 1.000 personnes signalées par le HCR comme se trouvant en particulière vulnérabilité. Ce dispositif leur permet de gagner l’Europe sans perdre la vie. En l’occurrence l’Ofpra n’agit pas comme une barrière sévère et néanmoins bienveillante, mais va chercher les migrants outre-mer. Ce n’est plus la même chose !
    • Selon le rapport de l’Ofpra, celui-ci a contribué, avec ses partenaires institutionnels et associatifs, à installer durablement une culture de l’asile à Calais et également à la Grande-Synthe et dans les campements parisiens. En d’autres termes, allié des associations immigrationnistes, l’Ofpra, organisme administratif français, se place du côté de clandestins pour pérenniser une intrusion.
    • Toutes les opérations de communication, et elles sont nombreuses, sont menées dans un état d’esprit favorable aux migrants et à l’immigration.

    En définitive, les rapports de l’Ofpra et de la CNDA montrent que, si ces deux organismes administratifs ne se veulent pas complètement étrangers à la protection des frontières de notre pays et la protection de nos concitoyens, ils placent ces objectifs loin derrière les intérêts des demandeurs d’asile et l’idéologie multiculturaliste du globalisme.

     A ce titre et par leur état d’esprit que reflètent leurs actions de communication, ils constituent un vecteur efficace de l’immigrationnisme bien au-delà de leur mission juridico-administrative.

     Le directeur général de l’Ofpra dans la conclusion du rapport de 2015 a souhaité affirmer que : « L’Ofpra entend rester plus que jamais mobilisé en 2016 au service des demandeurs d’asile et des réfugiés, au côté de ses partenaires et dans le plus absolu respect de son indépendance de décision désormais consacrée par la loi ».

     Cette affirmation d’indépendance de la part d’un organisme administratif apparaît particulièrement choquante et, pour le coup, contraire, non pas aux valeurs de la République dont on nous rebat les oreilles, mais à ses principes fondamentaux de subordination de l’administration au politique et surtout au peuple français qui est bien oublié dans cette affaire.

     André Posokhow Consultant Polémia 9/09/2016

    Note : La rumeur du 9-3 : la preuve par les mineurs isolés étrangers (17/04/2014)

    http://www.polemia.com/pendant-les-assassinats-linvasion-continue/

  • « Ils » ont la gueule de bois? 2016-2017, la période de tous les possibles!

    Un  document de la commission des affaires étrangères du Parlement britannique, rendu public hier,  pointe les conséquences de l’intervention militaire contre la Libye en 2011, voulue en France  par Nicolas Sarkozy,  soutenue par son ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, et à laquelle se rallia David Cameron. Le rapport note Le Monde, « met en cause le processus de décision qui a transformé une intervention censée venir en aide à des civils, à Benghazi, menacés par la répression du colonel Mouammar Kadhafi – une menace surestimée, affirment les députés –, en une opération visant le régime. » Il est fait état  également de  « la pression  des Libyens exilés en France disposant d’alliés au sein de l’establishment intellectuel français »…comment ne pas penser en effet  au  rôle très nocif joué dans cette tragédie par le « philosophe » pipo(le)  BHL. Le rapport de 49 pages conclut très sévèrement mais très justement  que « le résultat de l’intervention des Français, des Britanniques et des Américains (fut)  un effondrement politique et économique, des affrontements entre milices et tribus, des crises humanitaires et migratoires, des violations des droits de l’homme à grande échelle, la dissémination des armes du régime de Kadhafi dans toute la région et l’expansion de l’Etat islamique en Afrique du Nord. »

    Les pontes de l’Europe bruxelloise seront eux aussi très sévèrement jugés par l’Histoire au regard de leur aveuglement coupable, de leur dogmatisme , de leur incapacité si ce n’est  à comprendre, du moins  à entendre les peuples dont ils entendent guider les destinées vers le paradis supranational…

    « Bien fol qui ne s’enivre jamais » disait Rabelais…qui ne s’enivre jamais à grand coup de doxa européiste pourrait affirmer Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, qui  tenait hier son second discours sur « L’état de l’Union« . Dans  une sorte d’inventaire à la Prévert,  il a  annoncé le déploiement, de la 5 G en 2025, le doublement (bien hypothétique…) du « plan Juncker » pour soutenir les investissements des entreprises, sa volonté de permettrre aux commissaires européns de cumuler les mandats en se présentant aux élections…Il ne s’est pas arrêté en si » bon chemin » en militant pour la création d’ un « corps européen de solidarité »  qui rémunérerait 100 000 jeunes (qui paiera?) et qui serait activé en cas de crise; il appelé aussi de ses vœux « un quartier général militaitre commun » aux pays de l’UE car celle-ci « ne peut plus se permettre de dépendre des capacités de défense de pays individuels »; la création imminente d’un « fonds européen de la défense » , mais aussi la mise en place d’un « véritable ministre européenne des Affaires extérieures », qui parlerait au nom de tous les Etats membres…

    Sans surprise,  M. Juncker a appelé à dépasser la « crise existentielle » générée par le Brexit,  n’a pas remis en cause l’accueil de l’immigration massive,  et  a exhorté  les gouvernements à résister aux aspirations souverainistes, identitaires de leurs citoyens, aux « populismes. »

    Comme le notait récemment un article paru sur slate.fr, « l’Union européenne a tout pour être une cible préférentielle du FN, qui peut la désigner avec crédibilité comme un artefact supranational, postdémocratique, technocratique, turbocapitaliste. » Bref, « Jamais Marine Le Pen, Florian Philippot ne pourront faire mieux que José Manuel Barroso et Jean-Claude Juncker pour écœurer l’opinion publique de la construction européenne »!

    Cette fébrilité des euromondialistes s’explique  aussi par le calendrier  électoral dans les mois à venir,  lourd de menaces pour les tenants du Système bruxellois. Au délà du cas de l’Espagne qui verra sans doute se dérouler des législatives avant la fin de l’année, se tiendra  cet automne   en Italie   un référendum constitutionnel. Le chef du gouvernement Matteo Renzi (élu par ses pairs et non  par les urnes),  a déclaré qu’en cas de vote négatif il remettrait sa démission. Ce qui aurait pour effet  de déclencher  des élections législatives au printemps 2017, dans un contexte, comme l’ont prouvé les  municipales de juin dernier,  de regain de forme de la formation eurosceptique et anti euro  Mouvement cinq étoiles, (Movimento 5 Stelle) et avec une Ligue du Nord qui continue de peser dans ses bastions.

    Sur décision de la cour suprême autrichienne, octobre verra le peuple autrichien revoter pour désigner son président de la République, suite aux fraudes qui avaient entaché le deuxième tour au détriment du sympathique  candidat des nationaux du Fpö, Norbert Hofer. Une victoire possible qui consoliderait la naissance, au sein de la Mitteleuropa,  d’un bloc de nations ( Pologne, Autriche, Hongrie, Tchéquie) qui se réclament et entendent défendre avec fierté les racines helléno-chrétiennes de l’Europe,   dirigées par des patriotes souverainistes,  des nationaux-conservateurs…  des « réactionnaires » selon la terminologie des grands prêtres du clergé progressiste européiste. Un véritable  cauchemar pour certains!

    En mars 2017,   les Néerlandais désigneront leurs députés, élections législatives que  le PVV antibruxellois et anti-immigration   de Geert Wilders  peut gagner.   Rappelons qu’une pétition rassemblant au moins  300.000 Néerlandais rendrait possible la tenue d’un référendum (certes consultatif)  sur l’adhésion des Pays-Bas à l’UE.  Un nouveau gouvernement Wilders l’écarterait-il, a fortiori après le précédent britannique?  Cela donnerait en tout cas  des ailes aux eurosceptiquesDanois et Suédois

    En avril et en  juin de l’année prochaine,  Marine et le FN porteront bien évidemment en France tous  les espoirs du camp patriotique à la présidentielle et aux législatives.  L’Allemagne bouclera  en septembre 2017 ce cycle électoral  avec les législatives (die Bundeswahlen). Le parti souverainiste et identitaire  de Frauke Petry, l’AFD,  peut confirmer  à cette occasion sa spectaculaire percée de ces derniers mois, nos cousins germains imitant alors  en cela leurs cousins Autrichiens…

    Il va sans dire également que le score qui sera celui de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine de novembre, face à la candidate chouchou de la Commission européenne,  de Goldman Sachs   et de Davos,  participera au climat général des mois à venir, que Bruno Gollnisch espère riches en rebondissements  et  en heureux évènements! L’Europe des patries n’a pas dit son dernier mot!

    http://gollnisch.com/2016/09/15/ont-gueule-de-bois-2016-2017-periode-de-possibles/

  • Chronique de livre : Alexandre Mendel "La France Djihadiste"

    410697156.jpgAlexandre Mendel, La France Djihadiste

    (Editions RING, 2016)

    Impossible d'échapper à l'actualité, ou plus exactement à la réalité, en ce qui fut la période estivale de 2016. Après l'attentat du 14 juillet, il n'y eut quasiment pas un seul jour en Europe sans une attaque ou un attentat... L'Allemagne et la France commençaient à payer lourdement le prix d'une immigration-invasion de masse qui, en plus de nous remplacer, apporte avec elle l'islamisation de notre continent (des rayons halals dans les supermarchés aux terroristes islamiques en passant par le « fameux » burkini). Tout ceci n'est cependant qu'un début, et ce n'est pasLa France Djihadiste d'Alexandre Mendel qui nous contredira…

    Alexandre Mendel est journaliste, sa plume, il l'a notamment exercée dans Valeurs Actuelles. Sa spécialité est le travail de terrain, ce qu'on a coutume d'appeler le journalisme d'investigation. Etant donné le sujet abordé ici c'est un réel plus, bien que l’entreprise soit risquée. Ce dernier s'est d'abord intéressé aux départs pour la Syrie et son vivier français, la ville de Lunel dans l’Hérault. Sans doute, ses attaches régionales et familiales y sont pour quelque chose.... Au fur et à mesure de ses recherches se dessine un portrait sans concessions, mais réaliste, d'une France que certains ne veulent tout simplement pas voir (ou n'en soupçonnent qu'à peine l'existence).

    Alors, quelle est telle cette France djihadiste ? A première vue, et sans minimiser la dangerosité des célèbres « déséquilibrés », elle ne se compose pas de moudjahidines féroces, n’en déplaise aux « néo-croisés ». En effet, il ne faut pas regarder du côté du prophète – dans tout ce qu’il a de belliqueux – mais plutôt du côté de la CAF et du CCAS du coin. Cas-sociaux, petits trafiquants ré-islamisés et paumés constituent le gros des départs pour la Syrie. Leur point commun ? Etre, pour la grande majorité, des enfants d’immigrés. Profils de déracinés nourris à l’occidentalisme plus qu’avec les versets du Coran, ces joyeux drilles rendent désormais la monnaie de leur pièce à tous ces bisounours droit-de-l’hommiste qui les ont traités en victimes pendant tant d’années… Ce n’est donc pas tant le coran qui est à l’origine des nombreuses conversions à l’islam radical -et aux départs pour la Syrie- mais plutôt le monde moderne. Déracinement identitaire, manque de verticalité et crise du sens ont fait beaucoup de mal. Sur ce dernier sujet, ce sont souvent des imams autoproclamés ou des organismes politico-religieux comme les Frères Musulmans qui l’exploitent, voire parfois des services de renseignements…

    La France Djihadiste mérite d’être lu et médité. C’est une enquête très bien ficelée qui, au final, dresse un bilan plutôt inquiétant du rapport entre la France et l’islam radical. Car ce n’est pas tellement le message des prêches ou même les attentats qui, en soi, sont préoccupants ; c'est avant tout l’ampleur du phénomène, le nombre de candidats au Djihad, de terroristes, de loups solitaires etc. Mais est-ce si surprenant quand on sait que les gouvernements successifs ont laissé s’installer des enclaves ethnico-religieuses, ces fameuses No go-zones, si bien que l’on peut dorénavant parler d’un maillage territorial conséquent ? Et puis qu’en est-il de tous les musulmans qui ne se reconnaissent ni dans l’islam radical, ni dans les « valeurs de la République » ? Où étaient-ils lors des manifestations pour Charlie Hebdo ? Sont-ils descendus dans la rue après le 13 novembre ? Poser la question c’est déjà y répondre et, dans la perspective d’une « guerre civile » ethnico-religieuse, un tel silence est pesant. Mais dans un pays (de) soumis, est-ce si surprenant ?

    Donatien / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Journal du Mercredi 14 septembre 2016 - Société / Déradicalisation : la désintoxication impossible ?

  • Encore des réfugiés arrêtés

    La police allemande ne croit pas à la propagande de notre presse libre que le monde nous envie :

    R

    Trois porteurs de papiers syriens ont été arrêtés, mardi 13 septembre, en Allemagne. Selon le ministre allemand de l'Intérieur, "l'état actuel des investigations de la police criminelle fédérale indique des liens avec les assaillants de Paris de novembre 2015".

    Ces trois suspects, arrivés l'an dernier dans le pays lors de l'afflux de demandeurs d'asile, avaient obtenu leurs papiers d'identité auprès de la "même organisation de passeurs que les assaillants de Paris"

    Mahir Al-H., 27 ans, Mohamed A., 26 ans, et Ibrahim M. 18 ans (Padamalgam svp) ont été interpellés dans le Schleswig-Holstein (nord).

    Quand on pense que 12 000 "réfugiés" vont être dispersés sur le territoire national...

    Michel Janva

  • Unités dédiées aux djihadistes ou Dame Guillotine ?

    Bernard Plouvier

    La nouvelle idée à la mode, en France hollando-vallso-cazeneuvienne ravagée par l’islam djihadiste, est de créer des « Unités dédiées à la cure de la radicalisation des musulmans »… c’est toujours mieux que la sottise cazeneuvienne : « Prôner le djihâd n’est pas un délit » !

    Certes, dans un pays à l’économie florissante, où les impôts rentreraient à foison et où le budget de l’État serait largement excédentaire, l’on pourrait, plutôt que de multiplier les écoles techniques et les centres de soins spécialisés (dont on a pourtant un urgent besoin), ouvrir de nouveaux centres pénitentiaires pour les candidats-assassins de l’islam. L’ennui est que l’État français est plus endetté qu’un psychopathe hédoniste et que la fraude fiscale est le jeu fort lucratif des multinationales et des « riches » en France.

    En outre, nos brillants « chefs » pourraient se documenter auprès des éthologues - les spécialistes du comportement animal - et auprès des comportementalistes criminologues. Ils apprendraient que les comportements humains sont génétiquement induits, donc exceptionnellement rééducables, et ce grâce à l’appel à la faculté humaine de transcendance… l’ennui est que, chez les mahométans, le livre réputé contenir « tout ce qui est utile aux hommes », puisque censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à un halluciné illettré du VIIe siècle, exige la pratique du djihâd par tout fidèle d’allah (muslim) en bonne santé.

    Certes, pour les esthètes du soufisme, le djihâd représente en principe le combat de l’homme contre ses bas instincts. L’ennui est que les soufis ont très souvent été persécutés par les émirs et sultans, un peu comme l’étaient les pauvres volontaires et les prédicateurs pacifistes chrétiens du Moyen Âge. Surtout, la lecture du coran contredit cette interprétation irénique : c’est bien l’extermination physique des « infidèles » qui est exigée par une dizaine de sourates.

    Bref, comment rééduquer des fanatiques religieux, criminels par enthousiasme ? L’Europe a connu des monarques de « droit divin ». Elle connaît désormais des criminels de masse d’ordre divin. On n’arrête pas le progrès, même dans l’absurdité.

    Le meilleur exemple de l’inefficacité de cette « rééducation » nous vient d’Irak. Les autorités d’occupation US y ont arrêté, en 2004, Ibrahim Awad (en photo ci-dessus - NDLR), le théologien de la mouvance salafiste, né en 1971. Détenu quelques mois, il a été relâché après avoir promis de se calmer. En mai 2010, ce soi-disant « rééduqué » a succédé au premier émir du tout jeune État Islamique du Kurdistan irakien (ou Daesh), ordonnant de multiplier les attentats, à la fois contre les chrétiens et les Yézidis, lançant l’offensive qui a permis à l’État Islamique d’Irak et du Levant de contrôler le Nord de l’Irak, l’Est de la Syrie et la très riche zone pétrolifère de Mossoul.

    Le 29 juin 2014, Awad s’est proclamé calife sous le nom d’Abou Bakr II. Il a été intronisé le 5 juillet 2014, autorisant des femmes et des enfants à tuer au nom d’allah le miséricordieux. Comme « rééducation », on est servi !

    Pour revenir à l’État français, officiellement riche de 6 à 7 millions de musulmans immigrés (mais il faut également comptabiliser leurs rejetons nés en France et devenus citoyens français par l’effet du grotesque « Droit du sol », ce qui double ce chiffre), plutôt que de rééduquer, on pourrait renvoyer en terre d’islam, en pays de charî’a, tous les fidèles du prophète, en n’oubliant surtout pas de pratiquer le « regroupement familial ». Hélas, nos frontières européennes sont des passoires et les preneurs de décision n’osent utiliser les rares informations transmises par les services de renseignements français ou européens… sans « service action », un SR ne sert à rien (de Gaulle le savait bien, qui en a d’ailleurs abusé).

    Pour protéger efficacement les citoyens français, ce qui devrait être l’occupation primordiale de nos merveilleux « chefs », si dévoués à la Nation française, il reste la bonne vieille méthode : on tue le fou dangereux avant qu’il ne nous tue.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/09/12/unites-dediees-aux-djihadistes-ou-dame-guillotine-5846949.html

  • Ivan Rioufol : "Nous sommes en guerre. Il faut donc se préparer à la guerre"

    Ivan Rioufol était vendredi 10 septembre en conférence à La Baule afin de présenter son livre « la guerre civile qui vient ». Breizh-info l’a interrogé. Extrait :

    "[...] Je n’ai plus confiance en la classe politique en général. Elle est responsable de cinquante ans de déconstructions de la nation, de son peuple, de son unité. Je vois que le FN développe une approche plus réaliste, qui lui donne des ailes. Mais je crois davantage au réveil, à la lucidité et à la sagesse de la société civile. Le peuple raisonnable sait qui est l’ennemi.

    Les citoyens, de plus en plus réactifs, ont un rôle important d’aiguillon à jouer. En fait l’ennemi est double : il est bien sûr cet islam totalitaire et conquérant, qui a déjà ses < collabos > chez tous ceux qui croient reconnaître le nouveau prolétaire dans le musulman minoritaire. Mais l’ennemi est aussi au coeur de la caste politique qui persiste à s’aveugler et à vouloir jouer l’apaisement devant ce que j’appelle le nazislamisme.

    N’oublions pas que les collaborateurs de Vichy venaient majoritairement de la gauche pacifiste et antiraciste. L’histoire bégaie.

    Pour mener une guerre, il faut être deux, et avoir désigné un ennemi. Les Islamistes ont désigné l’Europe mécréante. Mais avons nous désigné l’ennemi ? 

    Le premier ennemi, c’est nous-mêmes, qui avons cautionné ce monde politique. François hollande a aussi mis beaucoup de temps avant de parler de < terrorisme islamiste >. Mais il faut aller plus loin et désigner l’islam comme le problème à résoudre, sans pour autant désigner tous les musulmans comme boucs émissaires. Il n’est plus possible de soutenir que le Coran serait tombé du ciel, dicté par Dieu. [...]

    Quelles solutions pour redonner espoir aux Français ? La « dictature du droit » (pour reprendre l’expression d’E. Zemmour) couplée à « l’idéal républicain » et à la « religion des droits de l’homme » ne sont ils pas les meilleurs moyens de perdre cette guerre civile ? Fait on la guerre avec des bougies, des stylos et des incantations ?

    Ivan Rioufol :  Nous sommes en guerre. Il faut donc se préparer à la guerre et être plus brutal que l’ennemi, qui ne comprend que la force. Ce rôle doit revenir à l’Etat, dans le respect du droit mais aussi s’il le faut avec le recours à l’armée. Si l’Etat devait se coucher, beaucoup de Français risqueraient de se faire justice eux-mêmes. Les Corses ont déjà lancé l’alerte. [...]"

    Michel Janva

  • Toute la vérité?

    Nouvelle incarnation médiatique de ce djihadisme  qui frappe notre pays, la main du « Français » Rachid Kassim, membre de l’Etat islamique, apparait de nouveau derrière les menaces d’attentats révélées au grand public ces derniers jours. Selon les enquêteurs il aurait déjà piloté depuis la Syrie le meurtre commis par Larossi Abballa d’un policier et de sa compagne le 13 juin dernier à Magnanville (Yvelines), l’assasinat du prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) par Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean le 26 juillet. il serait aussi derrière la cellule de  femmes jihadistes qui prévoyaient unn attentat près de Notre-Dame de Paris (?), arrêtées la semaine dernière par la police dans l’Essonne. Kassim serait également en contact avec le mineur de quinze ans, assigné en résidence depuis avril, soupçonné de pouvoir « passer à l’acte », et arrêté ce  samedi. Invité dimanche du «Grand rendez-vous» Europe 1/iTELE/Les Echos, Manuel Valls a évoqué une « menace (terroriste) maximale (…). Tous les jours, les services de renseignement, la police, la gendarmerie, tous les jours, déjouent des attentats, démantèlent des filières irako-syriennes. »

    Changement de tactique, ou impossibilité de dissimuler plus longtemps la réalité, le Premier ministre a  fait état non pas de 10 000 islamistes radicalisés présents sur notre sol, chiffre auquel s’accrochait jusqu’alors  le gouvernement, mais  d’ environ 15.000 djihadistes potentiels vivant chez eux chez nous, auxquels il faut ajouter « 700 djihadistes français et résidents en France, qui combattent actuellement en Irak et en Syrie.  » Il est aussi loisible de s’interroger sur les possibles infiltrés qui se mêlent aux  immigrés qui veulent gagner l’Europe pour des raisons économiques.  Cette seule fin  de semaine, 3 400 migrants ont été secourus  et  débarqués vers l’Italie samedi  ont annoncé les gardes-côtes italiens.  Les chiffres du  ministère de l’intérieur transalpin font état  de l’arrivée   de 125 000 immigrés sur ses côtes depuis le début de l’année ( 122 000 durant la même période   en 2015).

    Manuel Valls l’a répété hier  « le premier enjeu » de  cette élection présidentielle   » c’est le danger du Front National ». Non!  le premier enjeu de  2017  pour les Français ce n’est pas la menace que font peser Marine et  le FN sur les partis dits républicains qui se partagent les fromages du Système.  Nos compatriotes eux,  attendent   certes une politique permettant à la France de stopper  le déclin  économique,  d’enrayer le chômage,  mais veulent aussi  un Etat fort, assumant ses fonctions régaliennes, capable de protéger leur sécurité, notre identité et notre  souveraineté.

    Outre-Atlantique, le résultat de l’élection présidentielle de novembre ne sera pas non plus sans conséquence sur nos vies,  selon que le « populiste » isolationniste  Donald Trump ou la calamiteusepasionaria  Hillary Clinton  succèdent à Barack Obama. Pour la première fois un sondage national(CNN/ORC), mais il sont réputés peu fiables aux Etats-Unis,   publié mardi,   donne  Donald Trump gagant d’une courte tête.  Le site du Nouvel Obs rappelait aussi très justement que « l’avance de deux points de Trump est située dans la marge d’erreur (plus ou moins 3,5 points) et le sondage est national. Or, l’élection américaine se jouant dans les Etats-clés (swing states), il est plus pertinent de s’intéresser aux sondages Etat par Etat. »

    Au delà de l’antipathie que sa personne  suscite dans une large frange de la population  américaine, même si celle-ci est largement  tue ou minorée dans « nos » médias conquis quasi unaniment  par leprogressisme  de Mme  Clinton, celle-ci est toujours en butte à de forts soupçons sur son honnêteté. Un  récent sondage ABC/Washington Post, indique que seuls 35% des électeurs Américains  disent lui faire confiance. Il y a eu   l’affaire  des courriels lorsqu’elle était à la tête du Département d’Etat  qui a déclenché une enquête du FBI, les révélations sur ses liens financiers  très troubles avec Goldman Sachs, ses   rencontres avec de très généreux donateurs de la Fondation Clinton quand elle était responsable de la diplomatie américaine…

    Autre doute, Mme Clinton,  comme François Mitterrand en son temps, et comme l’affirme depuis des mois  M. Trump, ment-elle sciemment sur son état de santé, elle qui refuse toujours de publier son bilan médical?  Lors des commémorations du quinzième anniversaire des attentats du 11-Septembre à New-York, auxquelles ils étaient tous deux présents, Mme Clinton a été victime d’une malaise. Non pas « un coup de chaud » comme elle l’a d’abord  dit mais les effets d’ une pneumonie comme a fini par le révéler son médecin. « Chaque fois que je pense à Trump, je deviens allergique » , expliquait-elle  jusqu’alors  à ses fans sans ses réunions pour expliquer  ses quintes de toux…

    Pour dire les choses gentiment,   nous pourrions dire de  Mme Clinton qu’à l’instar de Jules Renardelle aime « la vérité et les mensonges qu’elle autorise ». Jugement qui s’applique aussi aux événements qui ont suivi et entourent la tragédie du 11 septembre 2001.  Dans un tweet , Bruno Gollnisch a rappelé hier sa « sympathie totale pour ces victimes civiles » de cet attentat , » comme pour celles de l’US Air Force (1 million ?) Requiescant omnes in pace. »

    11 septembre  au nom duquel bien des mensonges ont été proférés par les gouvernements américains pour légitimer  des interventions militaires   qui ont déstabilisé le Proche et le Moyen-Orient,  une partie de l’Afrique,  avec les effets dramatiques que nous voyons à l’œuvre aujourd’hui;   de la même façon que les pseudo  armes de destructions massives de Saddam Hussein ont justifié en 2003 une guerre d’agression contre l’Irak avec les mêmes conséquences dévastatrices, pour les Arabes musulmans, les Chrétiens d’Orient, les Africains, les Européens…

    Il n’est d’ailleurs  pas nécessaire d’adhérer aux  » théories du complot » les plus obscures  pour en être convaincu. Bruno Gollnisch le rappelait dans un entretien accordé en janvier 2015 au siteplanet.fr: « Il faut savoir aussi que quelquefois l’invraisemblable est vrai et ce qui prouve d’ailleurs que c’est vrai c’est que c’est invraisemblable (…). Le seul complot c’est sur la sureté intérieure et extérieure de l’Etat qui est l’appel à une immigration massive de personnes qui se trouvent en dehors de notre civilisation depuis 40 ans. C’est un complot contre la France. Je suis complotiste au sens zemmourien du terme : dénatalité, immigration massive, ouverture des frontières, libre échangisme, destruction de l’identité française, etc. » Brisons ce complot là en 2017!

    http://gollnisch.com/2016/09/12/toute-la-verite/