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Il y a quelques jours, souvenez-vous, un jeune homme de 17 ans est entré dans une école de danse de Southport avec un couteau et a massacré trois petites filles et une femme. Plusieurs autres personnes ont été gravement blessées. L'auteur a été arrêté et l'affaire aurait pu en rester là. Peut-être les autorités considéraient-elles d'ailleurs que l'affaire aurait dû en rester là. C'était un fait divers, voilà, c'était bien triste, mais on n'y pouvait rien. Dormez, bonnes gens : l'origine rwandaise du meurtrier et l'utilisation d'un couteau n'avaient rien de significatif.
Il y a tout juste un an, le 4 août, à Cherbourg, Mégane était sauvagement violée par Oumar M., 18 ans, brute multirédiciviste. Aucun regret, aucune excuse. Un mois de coma artificiel pour Megane et une vie pour s’en remettre. Cette affaire atroce pose une fois de plus la question de la nature des « faits divers » tant ils sont devenus aujourd’hui des faits de société.
Elle, c’est Mégane, une petite Blanche de vingt-neuf ans violée en rentrant de soirée, sodomisée par soixante-quinze centimètres de balai, les entrailles déchirées et les côtes fracturées. La vie, pour elle, désormais, c’est l’intermède d’un coma artificiel, l’immensité insondable d’un traumatisme plongée en dormance, des cauchemars sans fin sous sédatifs, des organes en lambeaux et un corps meurtri en proie à une septicémie généralisée. Son hypothétique réveil, c’est la mort en elle que les médecins ne pourront jamais guérir, un immense cri de terreur venu du fond des âges, des yeux hallucinés sortant de leur orbite pour fuir la conscience d’une âme profanée, physiquement, moralement et psychologiquement à jamais anéantie.
L'aggravation de la situation à la frontière libano-israélienne, l'assassinat du leader du Hamas Ismaïl Haniyeh et de commandants militaires du Hezbollah ont sérieusement inquiété le monde entier. Les évènements au Moyen-Orient attirent de nouveau l'attention générale. Cette "escalade contrôlée" avec des menaces incessantes va-t-elle devenir incontrôlable ?
Le soir du 30 juillet, Israël a de nouveau attaqué le Liban. Des frappes ont touché les banlieues sud densément peuplées de Beyrouth, près de l'hôpital Bahman, à 100 mètres du quartier général du Hezbollah. Il y a des victimes et des blessés parmi la population civile, y compris des femmes et des enfants.
Un homme de 30 ans au profil particulièrement inquiétant a été arrêté mardi, à la suite de trois viols et agressions sexuelles commis en quelques jours dans les 8e et 15e arrondissements. Mais la liste pourrait encore s’allonger.Les victimes sont trois femmes âgées de 20, 44 et 52 ans.
En Angleterre, plusieurs manifestations ont tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre, notamment dans la ville de Sunderland. Ces manifestations font suite au massacre perpétré à Southport par Axel Rudakubana, un jeune homme de 17 ans d’origine rwandaise.
L’Angleterre est en train de devenir le laboratoire de la souffrance des populations européennes, confrontées à la progression des populations de confession musulmane en leur sein. L’étincelle aura été le meurtre de trois fillettes en début de semaine, par, très probablement, un jeune issu de l’immigration. Ce pays on se souvient, a déjà fait face à de très nombreux actes sordides perpétrés par des hommes issus de l’immigration et de confession musulmane, comme, il y a quelques années, le gang des pakistanais qui avait réduit en esclavage sexuel des dizaines de jeunes femmes. Egalement, de très nombreuses grandes villes sont dirigées par des maires musulmans et statistiquement, la population d’origine est en minorité numérique dans plusieurs endroits du territoire désormais et, au niveau global, la religion musulmane est devenue la première en nombre de fidèles, devant la religion chrétienne de la population d’origine. Le tout sur fond de délinquance galopante : coups de couteaux, attaques à l’acide, violences sur la voie publique, cambriolages, qui rendent la vie des Anglais insupportable. S’en est suivi un phénomène de migration interne appelé White-Flight, qui a consisté en une fuite de la population blanche depuis certains quartiers de Londres devenus investis majoritairement par des populations rapportées. Ces phénomènes devancent en intensité, en Angleterre, des phénomènes de moindre ampleur, mais tout aussi comparables en France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas et plus globalement dans l’ensemble des pays européens.
Une jeune femme a été séquestrée toute une nuit par l’agresseur dans un des logements du Campus, une ancienne résidence étudiante des quartiers nord de Marseille squattée par un très grand nombre de sans-papiers depuis plusieurs années. «Un agent de sécurité a été déployé le soir et nous avons installé des caméras, mais elles ont été dégradées. Rien ne bouge», se désespère un propriétaire joint par Le Figaro.
Le village olympique (en Seine-Saint-Denis!) est, curieusement, l'objet de nombreux vols et les crimes et délits continuent de prospérer dans le reste de la France. Les régions sont d'autant plus fragilisées qu'une bonne partie des forces de l'ordre ont été déplacées en région parisienne pour sécuriser les Jeux olympiques. Quelques heures avant la cérémonie d'ouverture, d'ailleurs, trois policiers finistériens ont été visés par des tirs alors qu'ils circulaient porte de la Chapelle, à Paris, en mission sécuritaire. Sans conséquences, heureusement. Tandis que l'essentiel des médias chantent la paix et la concorde advenues miraculeusement en France, les faits sont têtus et l'insécurité reste. La preuve ?
Une jeune femme a été séquestrée toute une nuit par l’agresseur dans un des logements du Campus, une ancienne résidence étudiante des quartiers nord de Marseille squattée par un très grand nombre de sans-papiers depuis plusieurs années. «Un agent de sécurité a été déployé le soir et nous avons installé des caméras, mais elles ont été dégradées. Rien ne bouge», se désespère un propriétaire joint par Le Figaro.
A Calais la nuit a été rythmée par des rixes entre une centaine de migrants et l’incendie d’un hangar rue Clément Ader. De très nombreux sapeurs-pompiers ont été mobilisés ainsi que les forces de l’ordre. La sous-préfète a passé la nuit sur place. Au total 8 migrants ont été blessés après avoir reçu des coups de bâton. (…)