Fini le jeu d’ombres. C’est maintenant au grand jour. Tous les coups sont permis.
Pièce 1 : vendredi 22 mars 2024. C’est la guerre. Le Kremlin, par l’intermédiaire de Peskov, l’admet enfin, officiellement.
La citation :
«La Russie ne peut pas permettre l’existence à ses frontières d’un État qui a l’intention documentée d’utiliser toutes les méthodes pour lui prendre la Crimée, sans parler du territoire des nouvelles régions».
Traduction : le mongrel de Kiev fabriqué par l’Hégémon est condamné, d’une manière ou d’une autre. Le signal du Kremlin : «Nous n’avons pas encore commencé» commence maintenant.
Pièce 2 : Vendredi après-midi, quelques heures après Peskov. Confirmé par une source européenne sérieuse – non russe. Le premier contre-signal.
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