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insécurité - Page 784

  • Mais quel est le problème des « migrants » envers les femmes blanches?

    Toute l’Europe parle et s’effraie –à raison- de l’ignoble chasse à la blanche qui s’est déroulée à Cologne dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Si l’ampleur de cette chasse est inégalée, il faut noter qu’elle ne fut pas la seule. Bien d’autres cas de harcèlements ou d’agressions sexuelles ont été relevés en Allemagne (Stuttgart, Munich, Hambourg et Berlin notamment), en Suisse ou en Finlande lors de cette même nuit.

    Et nous ne parlons que du nouvel an… N’oublions pas les milliers de cas que l’on recense dans tous les pays d’Europe depuis l’arrivée massive de ceux qu’on appelle bien pudiquement « migrants » ! Chaque jour, en Norvège, en Suède ou en France, des femmes se font agresser, brutaliser ou violer dans l’indifférence quasi totale des pouvoirs publics et des médias qui font tout pour étouffer ces affaires afin d’éviter les « amalgames ». Cette fois, c’en est trop et le système ne peut plus cacher l’évidence. Certains tomberont de haut. Tant mieux.

    Qui sont les coupables ? Des Norvégiens ? Des Suédois ? Des Français ? Non, des « migrants » ou, devrais-je dire, la vague la plus récente d’immigration extra-européenne sur notre sol. A Cologne, les coupables ont de suite été identifiés comme « d'apparence arabe ou nord-africaine » mais on précise maintenant que la plus grosse partie d’entre eux étaitdes Syriens. A Zurich, ce sont des « hommes à la peau sombre » qui ont œuvré tandis qu’en Finlande, on parle d’Irakiens…

    Les précédentes vagues d’immigration ont déjà contribué et continuent à contribuer grandement à l’insécurité de nos femmes. Les Européennes n’ont pas attendu ces derniers mois pour vivre dans la peur. Rappelez-vous de ce rapport de la police d’Oslo de 2011 qui démontrait que 100% des viols commis entre 2005 et 2010 avaient comme coupables des étrangers. Rappelez-vous des tournantes dans les cités qui ont défrayé la chronique il y a quelques années. On pourrait multiplier les exemples… Qui est en cause ? Les Européens ou les non-Européens ? Les races existent-elles, oui ou non ? Vous répondrez à ces questions par vous-mêmes en considérant toutefois que plusieurs pays (comme laNorvège ou la Belgique) croient bon de donner des cours de respect de la femme aux clandestins fraîchement débarqués. Ceux-ci y apprennent que violer est interdit et que porter une jupe ne veut pas dire : « je suis une prostituée »…

    Les « migrants », c’est un fait, sont en très grande majorité des hommes. Des hommes jeunes faut-il préciser. Ils arrivent en Europe sans familles et sans femmes. Voilà qui facilite déjà la chasse à la Blanche : ne pas être vu/contrôlé par sa (ou ses) femme(s), ses sœurs, sa mère, sa famille, sa communauté. L’Europe, c’est la sortie entre mecs ! Plus de contrôle social, rien. La liberté, la belle vie ! L’image de l’Occident où tout est permis ! Jouir sans entraves ! Finies les soi-disant traditions et tout le toutim, le migrant est venu ici profiter de la licence et il s’affranchit vite des anciens interdits. En témoigne parfaitement la consommation d’alcool qui est la sienne et qui a été fort remarquée à Cologne… Est-il musulman? Oui et non, comme nos racailles de cité quoi… A la mosquée le vendredi et aux putes le samedi. Son modèle ? Ces princes saoudiens du genre Majed ben Abdoullah ben Abdoulaziz Al-Saoud. Celui-ci mène « une vie complètement trash, à mille lieux des traditions islamiques saoudiennes particulièrement puritaines : il passerait en effet la plupart de son temps à se saouler et sniffer de la cocaïne, entouré de prostituées». Complètement dépravé, sa grandeur a surtout été récemment inquiétée par les autorités de Californie pour « des actes sadiques sur ses employées féminines. » Comment justifie-t-il son comportement ? «Je suis un prince et je fais ce que je veux ! ». Vous l’aurez compris, le « migrant », c’est un peu la version pauvre d’un prince saoudien…

    Pour le clandestin, l’équation est simple : Europe = terrain de jeu. Un policier allemand l’annonce clairement: lors de la nuit du nouvel an, les migrants « voulaient surtout commettre des agressions sexuelles ou, pour le dire de leur point de vue, s'amuser sexuellement ». Abu Osman, qui prend des cours de respect de la femme en Norvège, le dit lui-même : « les hommes sont faibles » et il est difficile de se contrôler. Le psychologue Per Isdal confirme que "de nombreux réfugiés viennent de cultures où il n'y a pas d'égalité hommes-femmes et où les femmes sont les propriétés des hommes." Horreur ! Ces « migrants » ne seraient-ils pas comme nous ?

    En plus de dénigrer la femme, notre migrant est prisonnier du monde qu’il s’est créé. Pour lui, les Blanches sont des filles faciles. Elles se couvrent peu (seules les prostituées font ça dans son pays) et sont toutes des salopes, il l’a vu dans les multiples pornos qu’il a regardés sur son Iphone ! En plus, la Blanche, c’est tout à la fois un rêve d’élévation, une quête, une prise de guerre mais surtout une envie de salir et de se venger de ces Européens riches et jouisseurs qui ont asservi le monde et sont les alliés du grand méchant Satan américain ! On l’a incité à venir ici… il ne s’est pas fait prier ! Il veut venir en profiter lui aussi de ces créatures intrigantes qui vivent dans des pays où on ne risque pas grand-chose à les importuner. C’est gagnant-gagnant ! Y a qu’à se servir ! La police est impuissante et débordée… En plus, le système en place fait de lui, le clandestin, une victime qui peut tout se permettre sur un sol qui n’est pas le sien… Pourquoi bien se comporter ? C’est le monde libéral du 0 barrières qui s’ouvre à lui ! Il peut insulter, salir, détruire, violer, qui l’arrêtera ? Serait-ce ces Européens qu’il considérait (à raison ?) comme sans couilles mais qui se réveillent peu à peu maintenant qu’il s’en prend de manière si flagrante à ses femmes et à ses filles ?

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2016/01/09/mais-quel-est-le-probleme-des-migrants-envers-les-femmes-bla-5742095.html

  • Agressions de masse. Que se serait-il passé hors la présence de la dissidence européenne ?

    Si les sites parallèles d’information n’existaient pas, jamais les médias européens n’auraient dit un mot – fût-il aseptisé et passé au crible du laser « vivrensembliste » – au sujet des agressions de femmes dans de nombreuses villes d’Europe. Nous pouvons être persuadés de cela sans argumenter davantage, puisque nous sommes désormais rompus au décryptage du mensonge journalistique planifié. Rien n’aurait filtré tandis que des centaines – voire des milliers – d’Européens furent les témoins de scènes inédites dans nos sociétés. Peut être, « au mieux », nous aurait-on parlé du bout des lèvres de quelques débordements inhérents aux assemblées de jours de fête.
    Cette situation doit nous conduire à diffuser plus que jamais et à relayer inlassablement les informations dont nous disposons. Certes, ces mots s’apparentent à prêcher ici auprès de convaincus. Il faut toutefois se persuader, à la vue des événements récents, que le pouvoir politico-médiatique serait prêt à occulter des agressions conjuguées à l’échelle de notre continent. Rien de moins. Ce qui nous renseigne sur une autre échelle : celle de la volonté instruite de priver les citoyens du droit à vivre libres.

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  • Finlande : Le groupe d'extrême droite «Les Soldats d'Odin» inquiète le gouvernement

    Des groupes d'autodéfense d'extrême droite ont fait leur apparition ces derniers mois dans plusieurs villes de Finlande où ils affirment patrouiller pour protéger la population de ce qu'ils nomment «des intrus islamiques», s'est inquiété jeudi le gouvernement finlandais. 
    «Organiser des patrouilles de rue relève d'un comportement extrémiste. Cela ne permet pas d'augmenter la sécurité» de la population, a déclaré le ministre finlandais de l'Intérieur Petteri Orpo à la télévision YLE. Ces milices «n'ont pas le droit d'utiliser la force», a-t-il souligné. 
    Les «Soldats d'Odin» 
    Des groupes d'hommes non armés, qui se revendiquent pour la plupart «Soldats d'Odin», le dieu de la guerre dans la mythologie nordique, ont été vus ces cinq derniers mois dans différentes villes autour de centres d'accueils pour immigrants qui ont récemment ouvert. Certains d'entre eux figurent sur des photos publiées dans les médias, portant des vestes noires et des casquettes estampillées «S.O.O» pour «Soldats d'Odin». 
    Selon la police, certains membres de ces groupes ont des liens avec les mouvements d'extrême droite, dont des groupes néonazis. «Attaquer ne fait pas partie de nos principes. C'est seulement de la défense. Et tout le monde a le droit de se défendre lorsqu'il est attaqué. Nous nous défendons et nous appelons la police», ont assuré trois membres d'une patrouille de la ville de Joensuu dans un récent entretien au journal local Karjalan Heili. Ils ont revendiqué 20 membres à Joensuu et jusqu'à 500 dans le pays. 
    Sur son site internet, le groupe dénonce «les intrus islamiques» qui, selon lui, augmentent l'insécurité en Finlande, appelant «les patriotes et ceux qui critiquent l'immigration» à le rejoindre. En 2015, la Finlande, pays de 5,4 millions d'habitants, a accueilli plus de 32.000 demandeurs d'asile, soit 10 fois plus qu'en 2014. Elle se place proportionnellement au quatrième rang des pays d'accueil d'immigrants en Europe.

  • L'assaillant du commissariat parisien vivait dans un foyer de réfugiés en Allemagne

    L'homme tué jeudi après avoir tenté d'attaquer un commissariat parisien vivait «dans un foyer de demandeurs d'asile» dans l'ouest de l'Allemagne, que la police a perquisitionné samedi, ont indiqué les forces de l'ordre allemandes. «Aucun indice de possibles autres attaques» n'a été trouvé lors de cette perquisition dans ce foyer situé à Recklinghausen en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (ouest), précise dans un communiqué la police, ajoutant travailler en étroite coopération avec les autorités françaises.

    En France, le nom de Tarek Belgacem a été avancé vendredi par des sources proches de l'enquête. L'homme a été tué alors qu'il forçait les barrières placées devant un commissariat de police du XVIIIème arrondissement de Paris en brandissant un hachoir de boucher, au cri de «Allah Akbar (Dieu est grand)». Il portait sur lui un texte de revendication indiquant «Je suis Abou Jihad Tounsi, Tarek Belgacem». L'attaque est survenue quelques minutes après un discours du président François Hollande demandant aux services de sécurité de mieux coopérer face au risque «terroriste» à la suite des attentats meurtriers de Paris en janvier et novembre 2015.

    Des Tunisiens se présentant comme des proches de l'auteur de l'attaque de jeudi contre le commissariat parisien ont rejeté samedi auprès de médias tout lien entre cet homme et des groupes extrémistes et aussi exprimé leur colère envers les autorités françaises.

    «Pourquoi ont-ils tué mon fils? Il est allé (au commissariat) pour son passeport. Mon fils n'a rien (fait), c'est moi qui lui ai dit de rentrer. Je lui ai dit je vais être opérée à la main et je veux te voir», a réagi une femme, présentée comme la mère, dans une vidéo diffusée par la radio privée Sabra FM. «Il m'a demandé de lui envoyer des extraits de naissance, il était alors en Allemagne», a-t-elle ajouté, avant de laisser éclater sa colère. «Ils l'ont suspecté parce qu'il avait un sac banane pour mettre son téléphone? C'est pour ça qu'ils ont tué mon fils ! La France a tué mon fils, je veux les droits de mon fils et rien d'autre», a-t-elle clamé, effondrée.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVkukplpuvChXPPuG.shtml

  • La guerre civile ethnique est-elle évitable ? Probablement pas – par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    La guerre civile ethnique, comme un serpenteau de vipère qui brise la coquille de son œuf, n’en est qu’à ses très modestes débuts. « Nous sommes en guerre » aiment à rabâcher certains politiciens et journalistes. Ils entendent par là, après les attentats de janvier et de novembre : en guerre contre Daesh et contre une poignée d’islamistes fanatiques. Non, c’est bien plus grave ; il s’agit, sur le territoire français, d’un affrontement ethnique qui commence entre populations extra-européennes sous la bannière de l’islam et la nation française. (1) Les « attentats » et tentatives déjouées ne sont que la partie émergée de l’iceberg. La responsabilité de cette guerre civile ethnique dont les flammèches sont allumées incombera à une classe politique et intello-médiatique et à un appareil d’État qui, de manière criminelle, ont laissé depuis quarante ans se déverser une immigration invasive de peuplement inassimilable. Qui sème le vent récolte la tempête.

    Événements d’Ajaccio : laboratoire du futur

    Événement très symbolique et défi provocateur : quelques jours après la victoire aux élections régionales des nationalistes et indépendantistes en Corse, de jeunes Maghrébins passent pour la première fois à l’action violente. Ils allument des incendies dans une « cité » aux portes d’Ajaccio et y attirent les pompiers dans un guet-apens, les agressent et en blessent gravement plusieurs. Ils les traitent de « sales Corses ! » (Les médias nationaux ont censuré ce dernier point). Le lendemain, des centaines de manifestants corses investissent la cité, criant des slogans comme « Arabi, fora ! » (Arabes, dehors), dévastent un restaurant hallal et commencent à saccager une salle de prière musulmane dont ils brûlent plusieurs Corans, en guise de représailles. Jusqu’à présent, les « autochtones » faisaient le dos rond, se calfeutraient chez eux ou déménageaient. Ce scénario action/réaction, agression/représailles, critère sociologique d’un déclencheur de guerre civile, est le premier du genre en France et il fera date.

    Tout d’abord, c’est la première fois que les « jeunes » des cités de Corse tendent un guet-apens aux pompiers – symboles, comme la police, des autorités françaises détestées – pratique pourtant courante sur le continent où 1 600 pompiers (!) ont été agressés en 2015. C’est aussi la première fois en France qu’on assiste à des représailles des populations de souche exaspérées, tant par le comportement des jeunes musulmans que par le laxisme d’un État qui ne les protège pas.

    Et c’est là le marqueur de toute guerre civile : quand une partie de la population, se sentant abandonnée par l’État, s’y substitue, récuse son monopole de la force publique, se fait justice elle-même et assure sa défense, le désordre de la bellum civile est initialisé. En sociologie politique, le signal très concret du passage de l’émeute classique à la guerre civile est le fait que l’affrontement n’a plus lieu entre une population émeutière A et les forces de l’ordre, mais entre une population A et une population B, « par-dessus » les forces de l’ordre. L’État est désapproprié de sa fonction de pacification.

    Dans l’émission C dans l’Air (France 5), un des intellectuels invités se félicitait naïvement de ce qu’il n’y ait « pas de représailles, pas de ratonnades » après, disait-il « tout ce qui s’est passé ». Il mettait ça sur le compte (« pas d’amalgame ! ») d’une sublime retenue, d’une haute moralité des Français. Eh, bien, ça vient de changer, et cela peut faire tache d’huile.

    L’installation de la guérilla

    Les attentats et attaques militaires coordonnées et planifiées (par Daesh ou d’autres) des djihadistes ne sont donc que la partie émergée de l’iceberg. En réalité, une fraction notable de la jeunesse arabo-africaine qui se place – ethniquement – sous la bannière de l’islam, mène des actions multiformes de guérilla, de harcèlements, qui, bien que souvent liées à une criminalité endémique, vont bien au-delà.

    À Valence, le 1er janvier, un certain Raouf El Ayeb, inconnu de la police, a lancé sa voiture contre des militaires gardant une mosquée – ces dernières étant pourtant peu menacées… Un des soldats a été blessé et l’agresseur touché par les tirs. Fin décembre, au Louvre, un scénario semblable s’était produit, dissimulé par les médias : un automobiliste de même origine a tenté d’écraser les militaires qui gardaient l’entrée de la Cour carrée du Louvre.

    10v500 militaires (!) sont déployés en patrouilles et gardes statiques dans le cadre de l’opération Sentinelle – avec un coût considérable – pour prévenir les attaques de qui l’on sait. Comme l’« état d’urgence », cette mobilisation est inscrite dans la durée. Jamais, dans toute l’histoire moderne de la France, on n’a vu l’armée patrouiller en permanence dans les rues. Si ce n’est pas le signe d’une guerre civile qui commence, on se demande bien ce que c’est. (2) En 2015, on a dénombré 200 agressions contre ces militaires de l’opération Sentinelle dont les auteurs sont tous de même origine. Impulsives ou calculées, ces agressions, dont les auteurs savent qu’elles resteront largement impunies, relèvent d’une volonté d’en découdre, d’amorcer une guérilla endémique.

    Les voitures incendiées font partie de cette pulsion de guérilla urbaine ethnique qui vise à intimider, à apeurer la population de souche. M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, s’est félicité que « seulement » 804 incendies d’automobiles aient été à déplorer pendant la nuit de la Saint Sylvestre. Mais c’est uniquement à cause de la présence massive de 110 000 (!) policiers et gendarmes déployés cette nuit-là. En revanche, pour la première fois, des voitures ont été incendiées dans le sanctuaire du XVIe nord de Paris, lieu symbolique où réside une bonne partie de l’oligarchie. Le fait a été soigneusement masqué, les carcasses calcinées promptement enlevées au petit matin, les médias priés de se taire. Les habitants du quartier, parlant sur les réseaux sociaux, ont parfaitement repéré l’origine des incendiaires…

    Et puis il y a aussi l’innombrable et quotidienne litanie des exactions et agressions qui pourrissent la vie des Français, dont les auteurs sont toujours les mêmes. La corrélation entre criminalité crapuleuse et subversion islamique est partout attestée. Récemment, par exemple, à Millau, l’alimentation électrique de l’hôpital a été sabotée ; les auteurs obéissaient à la logique du « micro-terrorisme ». Beaucoup d’exactions, classées dans la rubrique des faits divers, relèvent en réalité de cette guérilla de harcèlement permanente, dont la nature profonde est ethnique. Bien entendu, pour l’idéologie dominante, une telle analyse est scandaleuse et abominable. La vérité est presque toujours scandaleuse.

    Les collabos s’organisent

    L’État français, par la bouche de M. Valls, a décidé de traiter les contre-manifestants corses de « racistes et xénophobes ». Ils se défendent, donc ils sont racistes, ce sont eux les agresseurs. Tous les médias officiels ont suivi. Néanmoins, Natacha Polony remarque : « On explique à l’opinion que le drame, c’est le racisme, l’islamophobie. C’est ça, l’info principale. Il ne faudrait surtout pas affronter le véritable problème, la constitution de ghettos dans lesquels des jeunes abêtis par l’inculture et l’absence de perspective haïssent la société qui les nourrit ». (Le Figaro, 04/01/2016).

    Le mouvement allemand PEGIDA qui proteste « contre l’islamisation de l’Occident », uniquement par des manifestations pacifiques, est traité de « xénophobe » par Le Figaro sous la plume de son correspondant à Berlin, Nicolas Barotte (2– 3/01/2015). Le ver est dans le fruit. Les autres, les envahisseurs, les agresseurs, les terroristes musulmans ne sont ni racistes ni xénophobes, bien entendu… La nuit de la Saint-Sylvestre, dans la gare de Cologne, mais ailleurs aussi en Allemagne, des centaines d’individus « de type moyen-oriental et maghrébin » selon les témoins interrogés par la presse allemande citée par Le Figaro (06/01/2016) se sont livrés à des agressions en groupe, de nature à la fois crapuleuse et sexuelle, contre des cibles principalement féminines. Absente, la police n’a arrêté personne.

    Éric Zemmour a été condamné le 17 décembre à 3 000 € d’amende pour « provocation à la haine envers les musulmans » pour avoir déclaré au Corriere della Sera en octobre 2014 : « cette situation de peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile ». L’historien Georges Bensoussan qui a dit à peu près la même chose, affronte de graves ennuis. Les imams des mosquées salafistes qui prêchent le djihad contre les Français, les innombrables blogueurs qui en appellent aux agressions armées en France « au nom de l’islam », qui déversent des tombereaux d’injures contre les juifs et les chrétiens ne sont jamais poursuivis ni jamais traités de « racistes » ou de « xénophobes ». Situation hallucinante. L’État français, avec une subtile lâcheté, choisit le camp de la collaboration. Remarquez, ce n’est pas une nouveauté, mais plutôt une répétition.

    Il est peut-être trop tard

    Les rappeurs à succès, aussi nuls que vindicatifs, qui ne sont jamais poursuivis pour haine raciale (seuls les Français de souche sont supposés atteints du virus raciste) déversent des appels à la guerre civile ethnique qui sont écoutés dans toutes les banlieues en parallèle avec les appels islamiques au meurtre sur Internet.

    • Salif : « Poitiers brûle et cette fois-ci, pas de Charles Martel. On vous élimine puisque c’est trop tard. La France pète, j’espère que t’as capté le concept ».
    • Ministère Amer : « J’aimerais voir brûler Paname au napalm sous les flammes, façon Vietnam… J’ai envie de dégainer sur des faces de craie » (3)
    • Monsieur R : « La France est une garce, n’oublie pas de la baiser jusqu’à l’épuiser, comme une salope il faut la traiter, mec ».
    • Booba : « Quand j’vois la France les jambes écartées, j’l’encule sans huile ».
    Parlant des banlieues qui boivent ces charmants propos, Alain Finkielkraut nous explique : « pour éviter la guerre civile, il revient à l’État de reconquérir ces territoires ». C’est trop tard, mon cher : car même si l’État voulait (et pouvait) les reconquérir, ce ne pourrait être qu’au prix… de la guerre civile elle-même. Assez d’angélisme. Il est trop tard.

    La logique de la soumission

    À Lens et dans le sud-est de la France – mais aussi chez nos voisins belges –, des messes de Noël ont été protégées par ce qu’il fait bien appeler des milices musulmanes. Comme si la police et l’armée française n’étaient pas suffisantes. Ce fait est extrêmement grave et humiliant. Il s’agit, bien entendu d’une ruse islamique (takiya) d’envahisseur : on vous protège à condition que vous vous soumettiez. Robert Ménard, maire de Béziers, a révélé que certains de ces « protecteurs » étaient en fait des islamistes radicaux repérés. C’est le retour de la « dhimmitude » médiévale. Protection moyennant soumission des juifs et chrétiens.
    Ils cherchent à nous inspirer une « reconnaissance vassale » selon l’expression de G–W. Goldnadel. Les médias abrutis s’extasient : qu’ils sont gentils, ces musulmans, de nous protéger contre leurs coreligionnaires extrémistes ! M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a félicité les milices musulmanes ! Imaginons des groupes d’autodéfense catholiques : ils seraient promptement matraqués et incarcérés, pire que les « veilleurs » proches de la Manif pour tous…

    Conclusion réaliste

    Mais l’avenir n’est inscrit nulle part. La probabilité d’une guerre civile ethnique en France – et chez nos voisins, je pense notamment à la Belgique – augmente au fil des ans. Si elle a lieu, elle redistribuera les cartes, toutes les cartes. De manière inimaginable. Et la « révolution de l’économie numérique » passera au second plan. On évoque souvent le risque d’une nouvelle crise économique internationale liée à un système financier mondialisé qui dérape de nouveau, notamment par les mécanismes d’endettement privés et souverains. Fort bien. Mais ce ne serait qu’un petit orage face au cyclone – aux répercussions mondiales – qui se prépare si la France et une partie de l’Europe de l’Ouest s’embrasent dans la guerre civile.

    1. Les agresseurs se prétendant évidemment victimes et agressés.
    2. D’ailleurs, il n’y a pas de patrouilles dans les banlieues, en général zones de non-droit, évacuées par l’État…
    3. Autrement dit : « j’aimerais descendre des Blancs à l’arme à feu ». Ces paroles ont été chantées avant les attentats de 2015, où les souhaits du rappeur ont été exaucés.

    http://fr.novopress.info/196797/guerre-civile-ethnique-evitable-probablement-pas-guillaume-faye/#more-196797

  • 2015 : année du drame identitaire et de l’autisme gouvernemental

    Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com

    Les mots-clé de 2015 en France, c’est « Charlie », « Bataclan », « Front National » et « Corse ». Le mot-clé de 2015 en Europe, c’est la crise migratoire. Tous ces mots illustrent à eux seuls l’effondrement du système politique en place depuis 1945, et depuis 1990 pour ce qui concerne l’Europe centrale et orientale. A l’affrontement entre un bloc atlantiste et un bloc soviétique a suivi la domination sans partage du mondialisme né de la victoire finale du premier camp sur le second. Ce mondialisme d’essence totalitaire, reposant sur un certain nombre de mythes et de (non-)valeurs, et notamment sur le caractère positif des phénomènes migratoires contemporains, a engendré en conséquence des réactions identitaires, certaines légitimes et d’autres qui le sont moins.

    Les dirigeants d’Europe occidentale l’ont tous à un moment ou à un autre reconnu. Le modèle multiculturaliste (« multikulti ») a échoué sur toute la ligne. Il ne pouvait en être autrement. Promu uniquement par une classe politique sans cervelle, ou corrompue moralement, il n’a jamais reçu l’assentiment des peuples, bien au contraire. Cette idéologie de l’hyper-classe est même totalement déconnectée du réel.

    Jusqu’à présent, le système en place taisait ses méfaits ou les présentait même contre tout bon sens comme des vertus. Malgré les émeutes de 2005 en France et celles de 2010 au Royaume-Uni, et malgré les évènements tragiques de l’année 2015, il maintient ses postulats de principe. Il ne veut pas reconnaître son impact en matière de criminalité, préférant cacher le nom des coupables alors qu’il n’a pas d’état d’âme à afficher le visage des victimes. Tout l’appareil étatique et tous les media, dont la veulerie quotidienne montre qu’ils sont à sa botte, ce qui est indigne dans une prétendue démocratie, assènent les « vérités » d’une caste protégée dans ses tours d’ivoire ou du moins qui se croit protégée. Quant aux victimes de cette barbarie d’importation, qu’on ose nous présenter comme endogène, elles ne comptent pas, une fois qu’a eu lieu l’instrumentalisation de leur mort par un pouvoir en berne dans les sondages mais sans scrupule.

    Il suffit de songer à la façon dont les migrations clandestines massives que l’Europe subit, et de manière démultipliée en 2015, sont traitées par le pouvoir politico-médiatique. Au lieu de se prémunir contre des flux migratoires non désirées, de mettre en place des dispositifs dissuasifs, nos gouvernants ne font rien. Ils déplorent parfois le phénomène, tout en prônant un fatalisme démoralisateur, mais préfèrent culpabiliser les Européens, leur faisant porter le poids d’une responsabilité qui n’est pas la leur. Angela Merkel (CDU) a même tenu un discours suicidaire en évoquant un devoir moral justifiant d’accueillir concrètement n’importe qui sur le sol allemand pour peu qu’il se présente comme un « réfugié ». Alors qu’une extrême minorité parmi les personnes concernées, et notamment les chrétiens de Syrie et d’Irak, pourrait concrètement être considérée comme menacée au point de devoir tout abandonner, et ce sont ceux d’ailleurs qui n’ont reçu aucune aide, les autres profitent du laxisme de nos dirigeants pour s’engouffrer dans la brêche. Leur motif est purement économique et d’ailleurs l’appel du patronat allemand en leur faveur ne doit pas tromper.

    En outre, au nom de quoi il serait le devoir de l’Europe de payer le prix des égarements coupables du Moyen-Orient. Pourquoi les richissimes pétro-monarchies du Golfe Persique ont-elles le droit de les refuser, et d’ailleurs ceux-ci ne cherchent même pas à se présenter à leur porte, mais que les Européens n’auraient pas le droit en revanche de leur indiquer la leur ? Mais ce droit, on leur refuse, on nous le refuse. Nous devons subir et avec le sourire ce que nous sommes en droit et que nous devrions même être en devoir de refuser. Et pour nous contraindre à accepter cette injustice, des images extraites de la propagande turque sont exploitées pour nous culpabiliser davantage. Voilà Hollande et Merkel contraints par leur lâcheté de « négocier » en position de soumission avec le tyranneau d’Ankara pour que celui-ci veuille bien garder sur son territoire plusieurs millions de migrants. Pourtant ce n’est pas Poutine, qu’on sanctionne économiquement, qui encourage bien au contraire les fous d’Allah de l’Etat Islamique, mais bien Erdogan. Mais c’est avec ce dernier qu’on pactise à coups de milliards d’euros pourtant durement gagnés par les travailleurs européens. Et on ose même relancer le processus d’adhésion de ce pays asiatique et musulman à une construction européenne en panne.

    Les conséquences de cette folie collective qui atteint nos dirigeants ne se sont pas faits attendre. Elles se sont manifestées en premier lieu dans les urnes. Le Front National a été le premier bénéficiaire de cette crise identitaire. A tort ou à raison, il est présenté par les partis du système en place comme son adversaire principal, voire même unique, et donc comme sa seule alternative sérieuse. Avec près de 28% des voix aux élections régionales de décembre 2015, le FN a fait retentir un véritable coup de tonnerre dans un ciel calme. Au premier tour il était même en mesure sur le papier d’emporter plusieurs régions.

    A coups d’amalgames fallacieux, de manipulations médiatiques attisant des peurs irrationnelles et d’un matraquage quotidien pendant une semaine, le pouvoir en place a empêché le FN de gagner la moindre région. Alors que la menace qu’il représente est fictive, et qu’il est bien loin lui-même de remettre en cause tous les paradigmes qui ont amené la France et l’Europe à la situation actuelle que nous connaissons, et notamment ces principes universalistes qu’on ose mensongèrement présenter comme « républicains », nous avons eu droit à « Hitler ad portas ». Si le programme du FN sur l’Europe est mauvais et repose sur une mythologie souverainiste, ce n’est pas sur ça que la critique a porté. Le FN a été présenté comme le « parti de la remigration », ce qu’il n’est plus depuis les années 1990, à supposer qu’il l’ait jamais été, et c’est aussi l’une des raisons de son succès. On lui prête donc un crypto-programme qui n’est pas le sien mais qui correspond  en revanche à celui de ses partisans.

    Les évènements récents de Corse illustrent également ce décalage entre la théorie multiculturaliste et la réalité identitaire. Alors que les régionalistes corses ont connu un beau succès électoral, des citoyens de Corse ont décidé de mettre fin à la zone de non-droit d’Ajaccio, suite à l’agression dont des pompiers furent victimes par des bandes organisées « issues de la diversité ». Ce sont bien sûr eux qui sont mis en accusation par les pouvoirs publics, alors que les coupables de la lâche attaque initiale courent toujours. Et les figures régionalistes corses font profil bas, admettant les poncifs universalistes d’un régime qu’ils prétendent combattre. Difficile en effet d’émanciper la Corse de la tutelle « jacobine » en reprenant tous les dogmes de cette dernière. Encore une fois, les « élites » politiques donnent tort au peuple dont ils président aux destinées alors que c’est lui qui, en démocratie, est normalement le seul souverain.

    Elites mondialisées contre peuples identitaires. Voilà la vraie opposition en Europe. Et à un moment donné, le peuple finit toujours par se faire entendre et à se doter des chefs que le système en place lui refuse. Si les réactions identitaires actuelles sont légitimes mais débouchent sur des impasses politiques, électorales ou non d’ailleurs, cela ne durera qu’un temps.

    Les leçons tragiques de 2015 n’ont pas été retenues ni même apprises par les dirigeants de la France et de l’Union Européenne. En conséquence elles sont amenées à se répéter en s’aggravant et ce seront là encore les Européens qui en seront les premières victimes. Mais nous ne pouvons pas attendre de salut de la part de ceux-là même qui nous ont mis dans cette situation. Les maux du système en place disparaîtront avec ceux qui l’ont installé.

    Thomas FERRIER (PSUNE/LBTF)

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/01/08/2015-annee-du-drame-identitaire-et-de-l-autisme-gouvernemental.html

  • Un ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne, Mme Taubira !

    En continuant à affirmer son désaccord avec la réforme constitutionnelle, Taubira ne fait que souligner l’incurie du gouvernement qui la tolère et son propre manque d’honneur.

    Elle avait affirmé à Alger que la déchéance des binationaux nés français ne se ferait pas, avant d’être démentie dès le lendemain en Conseil des Ministres. Comme si de rien n’était, comme si elle n’avait rien dit, même pas le plus petit rappel à l’ordre. Une bonne claque à la crédibilité de ce gouvernement. Il faut dire que l’on est habitué aux dérapages plus ou moins contrôlés et jamais sanctionnés du Garde (?) des Sceaux.
    Alors, tant qu’elle gagne, elle joue. Elle a donc remis ça jeudi, réaffirmant sa conviction que “la déchéance de nationalité n’est pas souhaitable” pour les Français binationaux, critiquant une mesure à l’efficacité “absolument dérisoire”. Mais c’est bien elle qui devra défendre ce projet qu’elle estime contraire à ses valeurs.

    Elle a beau se cacher derrière une supposée loyauté au président de la République en réaffirmant que sa parole était “la première et la dernière”, on ne peut s’empêcher de se dire que si elle était loyale, elle fermerait sa gueule ou que si elle avait des convictions, elle démissionnerait. Jean-Pierre Chevènement avait pour lui cette droiture et ce sens de l’État, que l’on est bien en peine de trouver dans l’actuel ministre de la Justice (?).

    Quant au gouvernement de fantoches qui tolère toutes ses frasques, au « président » qui lui conserve une place près de lui pour ne pas l’avoir contre lui aux prochaines élections, ils font preuve -mais en était-il besoin ?- de leur lâcheté et de leur sens navrant des priorités. Le calcul politicien avant les convictions et les convictions contre l’intérêt de la France…
    On n’y croit pas, bien sûr, mais ce serait tellement bien qu’elle se taise… ou démissionne !

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/

     

  • PEGIDA manifeste contre les abus sexuels de la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne

  • Agressions du Réveillon à Cologne : témoignage exclusif d’une Française présente sur place

    NOVOpress a pu recueillir le témoignage d’une Française présente à Cologne lors du réveillon. À lire Marie*, la situatiub était déjà très tendue avant le réveillon, rendant d’autant plus coupables l’inaction de la police et le silence des médias. Elle exprime de plus une légitime inquiétude pour la suite des événements.

    À partir de quelle heure il y a-t-il eu des débordements ?
    C’est assez difficile de dire à partir de quelle heure ça a commencé. Nous nous sommes dirigées dans le centre de Cologne aux environs de 21 h/21 h 30. Nous sommes passées par Schildergrasse, l’une des rues les plus commerçantes et animée de la ville. Nous allions en direction de la cathédrale puis des docks, près du Rhin, pour assister au feu d’artifice.
    Déjà à ce niveau il y avait une ambiance assez particulière. Un mélange de festivités (des groupes d’amis, des familles chantant, rigolant) et des petits groupes ayant d’autres intentions (nous nous faisions très régulièrement siffler voir aborder de façon plutôt désagréable). Mais nous y avons très peu porté attention. Ce qui nous a marqué, ça a été cette impression de mouvement de foule, beaucoup de groupes faisant demi-tour à l’approche de la cathédrale. Nous n’avons pas bien compris pourquoi. En atteignant la place, des pétards explosaient de nulle part, au milieu de la foule, on a vu pas mal de policier arriver. Il est difficile de dire comment et quand cela a commencé.

    Quelle était la réaction des Allemands et celle des touristes ?
    La propriétaire de l’appartement que nous avions loué nous avait mises en garde à notre arrivée en nous expliquant qu’en ce moment il fallait être très vigilant dehors et qu’il le faudra être encore plus le soir du 31. Durant la soirée nous avons discuté avec quelques Allemands, des jeunes de 20/25 ans. Les hommes semblaient malheureusement quelque peu lassés et à la fois sur la défensive, sachant qu’il devait surveiller tout ce qu’il se passait autour d’eux voyant des petits groupes roder à l’affût des affaires ou simplement des sacs.

    Mais les réactions les plus marquantes ont été celles d’Allemandes. Malgré tous leurs projets planifiés avec leurs amis, le simple fait d’avoir dû se rendre jusqu’au docks à pied les a totalement découragées et était assez effrayées de ce qui pouvait leur arriver. Ce n’est qu’une fois à l’intérieur d’un pub que nous les avons senties un peu plus sérieuses. Elles n’avaient pas vraiment assisté à ça avant. Une sorte de résignation quand elles en parlait.
    Quant aux touristes, de ceux avec qui nous avons parlé, ils étaient assez surpris également et encore une fois faisait la fête tout en restant tout de même sur leur garde.

    Que t-est-il arrivé ?
    Quant à moi, j’ai d’abord eu le droit à des jets de feu d’artifice dans les pieds, évités de justesse, mais semblant suffisamment satisfaire ceux dont le jeu était de viser les femmes en général. Je me suis fait voler mon porte-monnaie. Bien que vigilante, je pense ne pas avoir pu gérer le fait de surveiller mes affaires et celui d’éloigner ces « hommes » nous encerclant et exprimant clairement leurs intentions pour leur soirée.
    Nous avions l’impression parfois d’être de simples bêtes, à se faire siffler, aborder avec insistance. Certains propos adressés dans un français irréprochable sont le parfait reflet de ce que beaucoup d’Allemandes ont malheureusement vécu ce soir-là.
    Ils sont probablement ce qui m’aura le plus marqué de ces événements. C’est pour cela que la perte de mes affaires est quelque peu dérisoire au vu des événements. Nous n’avons pas pu profiter de notre soirée comme elle était prévue, du moins nous avons dû l’adapter et donc nous n’avons passé que très peu de temps dehors. Nous avons favorisé l’ambiance des pubs traditionnels à l’ambiance assez dérangeante de l’extérieur.
    Et lorsque nous étions à l’extérieur, nous sélectionnions l’endroit où nous arrêter en fonction de qui nous entourait. Nous avons tenté d’avoir le réflexe de ne pas prendre trop de risque et de savoir anticiper.

    Veux-tu porter plainte ?
    L’idée de porter plainte ne m’est simplement pas venue à l’idée, je dois l’avouer.

    Ta vision de Française ?
    En tant que Française, ce n’est selon moi malheureusement que le début. En tant que fille ayant été élevée en banlieue, ces agissements ne me sont pas inconnus et j’ai appris à savoir comment plus ou moins réagir, à l’inverse des Allemandes, qui pour la plupart découvre ce triste phénomène.
    Cette foule de racailles dans cette ville qu’est Cologne est je dois l’admettre une chose qui m’a totalement surprise. Consciente avant de la situation de l’Allemagne et de la position du gouvernement sur le sujet des migrants, le voir en tant que touriste dans un pays voisin confirme que l’Europe dans sa globalité est touchée par ce flux de migrants et la délinquance (forte et avec de lourdes conséquences) qui va avec et que les premières victimes sont bien la population et encore une fois les jeunes.

    Les agresseurs, qui étaient-ils (langues habillements, âge)
    Encore une fois les perturbateurs/agresseurs que j’ai pu rencontrer, voir autour de moi parlaient pour beaucoup le français, l’arabe, ou un anglais et très approximatif ou l’allemand. Habillés en survêtement pour la plupart ou Jean et sweat. Âgés de 20 et 35 ans, d’origine maghrébine ou moyen-orientale.

    La police ?
    Nous avons vu passer deux ou trois fourgons de police, certains étaient postés, mais la présence policière n’était pas flagrante.

    Retourneras-tu là-bas ?
    Ce qu’il s’est passé là-bas m’a quelque peu perturbé, me disant que cela aurait pu nous arriver à nous, que cela se passait près de nous. Mais ce ne sont pas les erreurs de politique, ni même de cultures, à des années-lumière de la nôtre, qui m’empêcheront de voyager comme bon me semble. Je suis partie avec une vieille amie avec qui je voyage régulièrement en l’Europe et nous ne sommes pas prêtes à vivre dans la peur de ce qu’il peut nous arriver, au contraire.
    Donc oui je retournerai sans doute visiter l’Allemagne.

    Quel avenir pour la condition de la femme européenne ?
    Si nous laissons ces migrants et cette culture arabe où la femme n’en est réduite qu’à peu de chose, l’Europe court à sa perte. Savoir que les médias n’ont pas réagi tout de suite sur les événements survenus à Cologne par peur de « l’amalgame » est pour moi déjà une atteinte à la population et aux femmes, quelles sont vraiment les priorités ? Toute cette peur de placer des mots sur les faits ou, ne serait-ce que d’agir, ne fera qu’empirer la situation déjà très précaire de l’Europe en général.

    *le prénom a été changé à la demande de l’intéressée.

    http://fr.novopress.info/196784/agressions-du-reveillon-cologne-temoignage-exclusif-dune-francaise-presente-place/#more-196784

  • L’Allemagne déjà incapable de gérer les migrants

    Les violences insupportables subies par des dizaines de femmes allemandes, le 31 décembre dernier, posent le problème de l’accueil d’un million de migrants par l’Allemagne. Elles renvoient surtout Angela Merkel à ses responsabilités... 
    C’est une drôle de fin d’année qu’ont connue les Allemands, dans quelques unes des principales villes de leur pays. A Stuttgart, lors de la nuit de la Saint-Sylvestre des jeunes femmes ont été agressées sexuellement et dépouillées par 15 hommes dont la police sait seulement qu’ils sont originaires de la région méditerranéenne. A Hambourg, d’après le Bild, de jeunes étrangers, également originaires d’Afrique du Nord se sont mis en bandes pour agresser des jeunes femmes. D’abord seulement verbalement. Puis les victimes ont été encerclées et dévalisées. Avant que les hommes s’attaquent à elles physiquement. Ce n’est pas tout. A Cologne, des douzaines de femmes qui souhaitaient fêter le nouvel an ont été victimes d’une nuée d’agresseurs devant la gare de Cologne. Les policiers ont réussi à attraper et appréhender huit suspects parmi la masse. Ils ont expliqué à la presse que les fauteurs de trouble avaient tous des cartes de séjour pour demandeurs d’asile. 
    En fait il a fallu plusieurs jours pour que l’Allemagne accepte de regarder en face ce qui venait de se passer. Comme si tout cela relevait de l’inimaginable. Comme si une chape de plomb médiatique empêchait de faire le moindre amalgame entre une poignée de migrants et des agressions sexuelles ignobles. Comme si, à l’instar du gouvernement allemand qui a pris les devants, il fallait se refuser à toute instrumentalisation visant les réfugiés. Quant au Ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière il a même été jusqu’à déclarer que l'apparence des agresseurs «ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous».  
    Même si Angela Merkel a pris soin de rester à l’écart de cette polémique, c’est elle qui va devoir rendre des comptes à sa nation et au peuple allemand. Car c’est elle et elle seule qui a ouvert grande la porte aux réfugiés, sans concertation avec les autres pays européens et avec les différents politiques. C’est elle qui a souhaité, par ce geste, humanitaire, effacer les crimes imputés à l’Allemagne il y a plus de soixante-dix ans. C’est elle qui a cru que ces migrants allaient pouvoir s’intégrer aussi facilement que l’Allemagne de l’Ouest et celle de l’Est se sont réunies il y a 25 ans. Elle a juste oublié que ces migrants sont porteurs d’une autre culture, d’un autre rapport à la femme (qu’ils voilent la plupart du temps) et que leur désir n’est pas de s’assimiler mais d’importer leurs mœurs et leur mode de vie en communauté.  
    Ce faisant la Chancelière n’a pas seulement ouvert ses frontières de manière aveugle, elle a aussi ouvert la Boite de Pandore, celle qui dans la mythologie grecque laisse s’échapper des quantités de catastrophes. Elle a pris le risque de faire éclater l’Europe de Schengen, comme on l’a encore vu ces jours-ci avec la fermeture des frontières décrétée par le Danemark. Elle a fragilisé la coalition gouvernementale au pouvoir et créé un malaise profond au sein d’une classe politique placée devant le fait accompli. Surtout elle a semé les germes d’une réaction violente des «Allemands de souche» attachés à leur identité, à leurs frontières, à leur culture et à leur prospérité, qui n’ont pas envie de voir leurs efforts de plusieurs décennies mis à sac par un million de migrants. Angela Merkel qui s’était posée en grande donneuse de leçons sur l’Ukraine et la Crimée se retrouve désormais en grandes difficultés sur son territoire. Ce qui confirme qu’il vaut mieux s’occuper de la poutre qui obstrue son regard que de la paille qu’elle visait dans le regard des dirigeants russes.