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insécurité - Page 823

  • Comme la théorie du genre, le terrorisme musulman, ça n'existe pas

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Dans la proposition de résolution du Parlement européen « sur la prévention de la radicalisation et du recrutement de citoyens de l'Union par des organisations terroristes », présentée hier par Rachida Dati, on peut lire ceci :

    "Le terrorisme ne peut et ne doit être associé à aucune religion, nationalité ou civilisation."

    C’est évident. Chacun peut constater qu’en Europe ces dix dernières années il y a eu autant d’attentats bouddhistes que d’attentats catholiques.

    Trêve de plaisanterie. Comment peut-on prétendre prévenir la radicalisation etc. si l'on refuse de connaître son origine ?"

    Le terrorisme est athée et apatride...

    Michel Janva

  • Communiqué : Ankara, soutien sans faille au terrorisme islamiste

    Communiqué d’Aymeric Chauprade, député français au Parlement européen

    En abattant un Su-24 russe volant en Syrie à la frontière avec la Turquie, Ankara a clairement montré son soutien sans faille au terrorisme islamiste de Daech comme d’Al-Nosra.

    Déjà obsédé par le danger irrédentiste kurde, le Président Erdogan n’a eu de cesse d’aider l’Etat islamique à liquider la résistance des Pershmergas, en fermant sa frontière aux blessés, en acceptant la vente du pétrole de l’État islamique sur son territoire, en servant de plaque tournante au recrutement des combattants étrangers venus s’enrôler sous la bannière de Daech et en distribuant aux financiers de Daech l’argent collecté dans le monde entier.

    Le MIT, le service de renseignement turc, joue également au même jeu dangereux avec l’Etat islamique que l’ISIS pakistanaise joue avec les talibans.

    Cette politique turque à tous les niveaux – politique, militaire, financière et logistique – n’est pas nouvelle ni même étonnante : MM. Erdogan et Davutoglu sont le reflet de l’idéologie des Frères musulmans.

    Jouant le pire en Syrie et en Irak, la Turquie pratique également ce jeu trouble en Libye armant les factions islamistes ralliées à l’Etat islamique. Islamiste, soutien actif du terrorisme islamiste, mauvais allié de l’OTAN et éternel plaignant contre l’Europe, pratiquant le chantage à tous les niveaux, sur tous les sujets et systématiquement, la Turquie n’a décidemment rien à faire dans l’Union européenne ; sa politique doit être activement combattue.

    http://aymericchauprade.com/ankara-soutien-sans-faille-au-terrorisme-islamiste/

  • Vaincre le terrorisme

    « L'expérience des dernières générations me convainc pleinement que, seule l'inflexibilité de l'esprit humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! », seule, cette inflexibilité de l'esprit assure la véritable défense de la paix de l'individu, la paix de tous et de toute l'humanité. » (Alexandre Soljénitsyne)

    Qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car « vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l'esprit ». Ainsi s'est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.

    Le caractère d'extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l'une de ses plaques tournantes et nous met dans l'obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d'expériences » révolutionnaires... d'autant plus que ces actions terroristes impliquent nécessairement une chaîne de connivence et d'appui logistique sur notre sol et une préparation minutieuse.

    Cependant, notre juridiction actuelle est mal adaptée à l'action répressive que la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s'adapter à l'adversaire en  retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez jamais se constituer de Vendées », mais conduire aussi à une prise de conscience populaire. À la stratégie de déstabilisation des terroristes, la Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ». Cette stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se protéger d'un terrorisme par « vases communicants » ou par osmose. La mise en œuvre du plan "Sentinelle" qui mobilise actuellement 10 000 hommes sur le territoire national (et cela pour « aussi longtemps que la situation l'exigera (sic) » a précisé le ministre de la Défense - ce qui peut se traduire, comme ce fut déjà le cas pour le plan Vigipirate, par le maintien définitif du dispositif - ) ne saurait être la solution idéale car envisager la mobilisation de nos soldats (hébergés de surcroît dans des conditions précaires alors que les « sans papiers » bénéficient de chambres d'hôtels) dans la durée n'est pas la mission des armées. Un soldat est préparé à faire la guerre ; il n'a aucune formation de police et ce n'est pas sa vocation. On ne pourra donc, indéfiniment, le maintenir dans des missions statiques en limitant sa tâche à un rôle de vigile ou de « supplétif des forces de police » sous peine de l'"user", de le démotiver et d'éroder son potentiel de combat.

    A la guerre révolutionnaire ou « guerre sainte » prônée par les islamistes, nous devons opposer la guerre populaire totale ou guerre de libération nationale. Face à une menace terroriste, il faut faire le choix majeur qui s'impose et en tirer toutes les conséquences ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l'insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu'au bout ». La France est aux yeux de l'islam une aire de guerre, « dâr al-harb », et elle se doit de traiter ce dernier de la même manière qu'il la traite.

    Nous n'arriverons probablement jamais - en dépit de toute fermeté - à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d'en limiter le nombre par l'instauration d'une juridiction et de tribunaux d'exception identiques à ceux créés par le régime gaulliste durant la guerre d'Algérie afin d'éradiquer l'OAS... et qui menèrent sans le moindre état d'âme au poteau d'exécution quatre soldats français dont deux officiers.

    Puisque cela fut accompli contre des patriotes dont le seul crime fut de vouloir conserver l'Algérie française, pourquoi cette juridiction ne serait-elle pas reconduite contre les ennemis de la France reconnus coupables d'avoir sacrifié des victimes innocentes ? Dès lors, le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort seraient prononcés à leur endroit. Qui a tué doit être tué ! L'horreur du mal est le principe même de la justice. Elle doit s'imposer comme une règle impérative, car elle est notre propre raison. « La loi, en général, est la raison humaine - disait Montesquieu - en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre »...

    Les demi-mesures, comme c'est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s'accroissent à l'infini. Mais châtier les coupables, les condamner à mort ou leur infliger une sanction à la hauteur de leurs crimes, ne ferait - dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice - que révolter les consciences de la " bien-pensance"', des associations "humanistes" et provoquer la colère des islamo-compatibles issus de la gauche bobo-caviar et de la droite capitularde et louvoyante toujours prompts à brandir le carton rouge au nom de leur angélisme républicain.

    Dostoïevski écrivait déjà, dans La légende du Grand Inquisiteur ; « Qui aime trop l'humanité en général est en grande partie incapable d'aimer l'homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c'est que nos sociétés vieillottes s'interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l'idée qu'elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois... codifier l'indulgence et la mesure, pour défendre l'homme contre lui-même. Préoccupées d'exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser ; la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel.

    Négligeant cette suprême mise en garde d'Aristote, « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain conçu à l'exacte mesure de coupables considérés comme des "égarés" ou des "déséquilibrés". Or, on ne combat pas des terroristes avec de simples lois. On doit adopter une riposte appropriée afin de les arrêter dans leur élan velléitaire et agressif. « Plus l'Etat est corrompu, plus les lois se multiplient » clamait Tacite, cet historien et sénateur de l'antique Rome.

    La France vit sous des menaces de plus en plus récurrentes que l'on ne peut contenir par la seule force de la loi. « Les Français vont devoir s'habituer non à la menace des attentats, mais à la réalité des attentats qui vont, à mes yeux, immanquablement survenir. Nous sommes désormais dans l'œil du cyclone, le pire est devant nous » a déclaré dans Ouest France, le 14 novembre 2015, le juge Marc Trévidic.

    En effet, la France est confrontée à l'un des plus graves périls de son histoire et ne doit pas s'embarrasser de préjugés pour prendre les mesures appropriées afin d'assurer sa propre survie. « Celui qui s'incline devant des règles établies par l'ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski (...)

    Aujourd'hui, empêtrée dans ses règles, ses décrets et ses scrupules, voilà la civilisation paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent, qu'elle ne peut transgresser sans se renier. Et voici les barbares - forts de cette assurance - qui répandent leur terreur en voulant tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d'un passé qu'ils haïssent parce qu'ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d'imposer leur loi par l'assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu'elles n'en imaginent plus l'éventuel retour. Voici qu'enchaînées par les règles qu'elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s'abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues... Et voici que s'écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d'égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n'ont fait autant de ravages... semé autant de morts. Jamais on n'a assassiné autant d'hommes au nom du bonheur de l'humanité. Jamais le mot de Malaparte n'a été plus juste : « Jamais on n'a couché autant de Christs dans les charniers du monde ».

    Et nous, pauvres Occidentaux, sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu'irrémédiablement condamnés à capituler... au nom de la défense de la civilisation qui n'est autre qu'un suicide devant un assaut qui en nie l'essentiel.

    Soljénitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas nous a appris qu'il existe un seul moyen de résister à la violence : c'est la fermeté ! »

    Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n'est plus important que l'application d'une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l'égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.

    José CASTANO. Rivarol du 19 novembre 2015

    « Ce qui se passe est terrible. La France ne pourra pas lutter contre le terrorisme tant qu'elle sera alliée au Qatar ou à l'Arabie séoudite » (Bachar el-Assad — Interview à Valeurs actuelles du samedi 14 novembre 2015)

  • Quand l’État Français bafoue ses propres lois en faveur des Roms (1/2)

    Contre la population et contre ses propres lois, L’État français s’obstine à vouloir favoriser l’implantation des Roms en région lyonnaise. Gérald Pichon a mené l’enquête pour NOVOpress. Découvrez aujourd’hui en quoi les Roms en sont pas inexpulsables, contrairement à ce que prétendent certains et comment l’État contourne ses lois en leur faveur. Demain, suite de l’enquête avec les faveurs à l’hébergement et comment l’État reconnaît implicitement le caractère criminogène des Roms.

    Le préfet de Rhône-Alpes, Michel Delpuech, s’obstine à imposer l’installation de cent soixante Roms à Saint-Genis-les-Ollières. Plus grave, cet acharnement découle d’un refus de l’Etat de respecter sa propre Constitution et ses propres lois, alors que la présence de plusieurs milliers de Roms dans l’agglomération lyonnaise pose déjà des problèmes majeurs, qui pourraient être résolus si la préfecture faisait preuve de volonté politique au lieu de les aggraver.

    1/Les Roms, des citoyens européens inexpulsables ?
    Avec les Roms, l’État contourne ses propres lois et n’applique même pas les directives européennes. Ainsi, la législation de l’Union européenne interdit aux ressortissants européens de vivre uniquement de prestations sociales du pays d’accueil ! Or, actuellement, des milliers de Roms de nationalités roumaine ou bulgare n’ont pour ressources officielles que les prestations sociales versées par l’État.

    Que faire pour conserver votre droit de séjour ? Comment conserver votre droit de séjour ?
    Vous et les membres de votre famille conservez le droit de séjour tant que les conditions auxquelles il est subordonné sont remplies. Vous pouvez ainsi perdre votre droit si vous ne travaillez plus, si vous n’avez plus le statut de travailleur salarié ou si vous terminez vos études et ne disposez pas de ressources suffisantes pour couvrir votre séjour.

    Devenir une charge pour le système d’assistance sociale peut compromettre votre droit de séjour.
    Si votre droit de séjour dépend du fait que vous disposiez de ressources suffisantes pour ne pas devenir une charge pour le système d’assistance sociale de l’État membre d’accueil (notamment lorsque vous n’exercez pas d’activité économique), il peut être annulé dès que vous devenez une charge déraisonnable pour le système d’assistance sociale. Ceci ne signifie pas que vous ne pouvez pas demander une assistance sociale dans cet État si vous en avez besoin.
    Vous avez le droit de bénéficier des prestations d’assistance sociale dans les mêmes conditions que les ressortissants de l’État membre d’accueil. Cependant, l’État membre d’accueil est autorisé à vérifier les circonstances de votre demande. Il peut examiner si votre besoin d’assistance résulte de difficultés temporaires. Il tiendra compte de la durée de votre séjour, de votre situation personnelle et du montant des prestations d’assistance sociale octroyées. Si l’État membre d’accueil conclut que vous êtes devenu une charge déraisonnable pour son système d’assistance sociale, il peut procéder à votre éloignement. Cependant, cette mesure d’éloignement ne peut en aucun cas être la conséquence automatique du recours au système d’assistance sociale.
    Extrait de « Circuler et séjourner librement en Europe » de la Commission européenne, Direction Générale Justice.

    La quasi-majorité des Roms est expulsable : l’exemple du squat boulevard Yves Farges
    Dans ce squat fermé en avril 2015, 70 % des adultes sont en situation irrégulière et sont donc expulsables ! Selon les propres chiffres de la préfecture, sur les 90 adultes, « 62 personnes sont en situation irrégulière dont 25 s’étaient déjà vu notifier une décision d’obligation de quitter le territoire français, trois avaient bénéficié d’une aide au retour et 34 ne se sont jamais manifesté auprès des services de la préfecture. ». (« 62 personnes en situation irrégulière selon la Préfecture », Le Progrès 16/04/2015)

    Et quand les demandeurs d’asile, le plus souvent des Roms, voient leurs demandes rejetées (75 %), sont-ils expulsés ? « La préfecture refuse là aussi de donner les chiffres. Certains se maintiennent dans les Cada et chambres d’hôtel. On sait, par ailleurs, que tous les pays ne reconnaissent pas leurs ressortissants, de sorte qu’ils peuvent se maintenir sur le territoire français. Depuis l’arrivée de François Hollande, les familles ne sont plus astreintes à résider dans les centres de rétention administrative, mais “assignées à résidence” dans leur logement. Si le jour du départ forcé, un enfant manque à l’appel, la famille n’est pas au complet, elle est inexpulsable. Des personnes, dont certaines rejoignent ensuite les squats et campements… Un peu comme si la France jouait à cache-cache avec ses candidats au séjour. Et vice-versa. » (Le Progrès, 29/05/2013)

    « On peut sans doute garder dans notre pays un certain nombre de Roms, cela demandera un énorme travail social.
    Gérard Collomb, maire de Lyon

    Gérald Pichon

    http://fr.novopress.info/195421/letat-francais-bafoue-ses-propres-lois-en-faveur-roms-12/

  • Comme la théorie du genre, le terrorisme musulman, ça n'existe pas

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Dans la proposition de résolution du Parlement européen « sur la prévention de la radicalisation et du recrutement de citoyens de l'Union par des organisations terroristes », présentée hier par Rachida Dati, on peut lire ceci :

    "Le terrorisme ne peut et ne doit être associé à aucune religion, nationalité ou civilisation."

    C’est évident. Chacun peut constater qu’en Europe ces dix dernières années il y a eu autant d’attentats bouddhistes que d’attentats catholiques.

    Trêve de plaisanterie. Comment peut-on prétendre prévenir la radicalisation etc. si l'on refuse de connaître son origine ?"

    Le terrorisme est athée et apatride...

    Michel Janva

  • Pilote survivant du SU-24 russe : la Turquie n’a à aucun moment averti l’avion (VIDEO)

    Voir aussi :
    **************
    15:26 25.11.2015 (mis à jour 16:55 25.11.2015)

    Pilote survivant du Su-24 répond aux questions des journalistes sur la base aérienne russe de Hmeimim en Syrie

    Le copilote du SU-24 interrogé par les journalistes
    Le copilote du SU-24 russe abattu par la Turquie ce mardi a exclu la possibilité d’une violation par son avion de l’espace aérien turc, affirmant qu’aucun avertissement via aucun moyen de communication n’a été reçu du côté russe.
    «Il est impossible que nous ayons violé leur espace aérien, même pour une seconde», a raconté Konstantin Murakhtine dans une interview aux médias russes. «Nous volions à une altitude de 6 000 mètres, le temps était complétement dégagé, et j’avais le plein contrôle de notre trajectoire pendant toute la durée du vol», a expliqué le pilote.
    «Nous connaissons cette région sur le bout des doigts et je peux m’y orienter sans l’aide des appareils de navigation. Il n’est pas même possible que nous soyons passés par le territoire de la Turquie», a conclu le militaire.
    Alors qu’il a réfuté les affirmations de la Turquie sur le passage de l’avion dans son espace aérien, Murakhtine a également nié les déclarations des autorités d’Ankara sur les «nombreux avertissements» qui auraient été envoyés à l’avion russe.
    «En vérité, nous n’avons reçu aucun avertissement, ni par radio, ni par moyen visuel, il n’y a eu aucun contact. S’ils avaient voulu nous prévenir, ils auraient pu se montrer en se mettant à notre hauteur», a raconté Murakhtine, qui reçoit actuellement des soins médicaux dans la base aérienne russe de Lattaquié.
    «De plus, le missile a frappé la queue de notre appareil, surgissant de nulle part. Nous n’avons même pas eu le temps d’effectuer une manœuvre d’évitement», a avoué le copilote.

    Après que l’avion a été touché par un missile tiré depuis un F-16 turc au-dessus du territoire syrien, les deux pilotes se sont éjectés. Le capitaine Sergueï Roumiantsev a été tué, un groupe rebelle turkmène affirme en effet lui avoir tiré dessus alors qu’il effectuait sa descente en parachute.
    Murakhtine, quant à lui a été secouru, au cours d’une opération conjointe des forces militaires russes et syriennes, a annoncé mercredi matin le ministre de la Défense russe Sergueï Choïgou.
    L’aviateur de 39 ans, qui a gagné en 2014 le prix Top Navigator dans les compétitions de l’aviation militaire russe, a avoué qu’il entendait demander à son commandant de revenir en service actif en Syrie le plus rapidement possible.
    «Je dois encore payer la dette de mon capitaine», a-t-il ajouté face aux journalistes.
    En savoir plus : Le meilleur pilote de Russie était aux commandes de l'avion russe abattu
    L’incident impliquant l’avion russe a abouti à des accusations de la part de Moscou de «provocation préméditée» de la Turquie, alors que la coopération militaire a été suspendue entre les deux pays. Cependant, les deux pays ont annoncé leur intention d’éviter l’escalade de tensions militaires, alors qu’une rencontre prochaine entre les chefs de la diplomatie russe et turc doit avoir lieu.

  • A semer le vent, l’atlantisme de nos dirigeants, atlantisme de conviction ou de circonstance, récolte aujourd’hui la tempête sur le sol de France.

    « L’islamisme, voilà l’ennemi ! » Cela ne vous rappelle rien ? En plein ordre moral triomphant, Gambetta, l’homme qui avait quitté en montgolfière la Commune de Paris assiégée par les Versaillais pour organiser la résistance en province, déclarait ainsi la guerre au cléricalisme. Les hommes politiques de cette trempe, ça n’a plus cours aujourd’hui. Dommage !

    Oui, aujourd’hui c’est sûr, l’islamisme est l’ennemi. Mais la question se pose de savoir si c’est l’unique ennemi.

    1991, première guerre d’Irak c’est-à-dire contre l’Irak, pays en voie de grand développement, arabe, mais laïque. Une formidable coalition conduite par Washington avec tout l’Occident, comme on dit, et les grandes démocraties d’Arabie saoudite et autres principautés richissimes et sunnites du golfe arabo-persique. La France du socialiste et humaniste Mitterrand ne manque pas à l’appel.

    L’Irak ramené à l’âge de pierre, proclame le protestant et grand démocrate James Baker en juin de la même année. L’âge de pierre pour le pays héritier d’une des plus anciennes civilisations.

    500 000 enfants irakiens morts ? Le prix à payer selon Madeleine Albright en 1995.

    2002 : L’OTAN, sous la conduite des États-Unis, fonce sur l’Afghanistan pour une guerre de dix ans et plus. La France de Chirac ne s’y presse pas. Enfin pas tout de suite mais un peu plus tard oui, en particulier avec Sarkozy. Les Soviétiques s’y étaient cassés le nez. Ce ne sera guère mieux avec l’OTAN.

    2003 : la deuxième guerre d’Irak avec les « démocraties » rassemblées sous la bannière étoilée pour mettre enfin l’Irak à l’heure du paradis occidental et démocratique. Triomphe que l’on connaît bien.

    La France de Chirac et de Villepin refuse de s’y rendre. Le monde, celui des pays du tiers et des non-alignés, dit son admiration, Le mensonge des armes de destruction massive propagé par Washington et Londres est dénoncé. Avec un groupe décidé à en faire la démonstration, nous nous rendons en Irak. À mon retour, madame Alliot-Marie, ministre de la Défense, me fait envoyer par son directeur du cabinet militaire une lettre comminatoire pour me rappeler au devoir de réserve ! Peut-être avait-elle des vues différentes de celles du Président sur ce sujet ?

    2010, Sarkozy président, Londres et Paris s’unissent pour semer le chaos en Libye et faire assassiner dans des conditions pornographiques le président Kadhafi. Belle opération militaire sous-traitée par Washington à ses deux vassaux auxquels il apporte le soutien logistique de pourvoyeur d’armes et de munitions. Nous en connaissons tous les conséquences.

    Mais cela ne suffit pas. Un autre chaos est en train de mijoter.

    2012, Après Sarkozy va-t-en guerre, voilà Hollande et son ministre des Affaires étrangères, Fabius, dont l’obsession est la destitution d’un chef d’État légitime et la guerre à un État membre de l’ONU. La Syrie est à son tour dans le chaos, attaquée par Al-Qaïda, l’État islamique et quelques autres entités baptisées opposition forcément démocratique : guerre médiatique mensongère, diabolisation à outrance, rien n’y fait, l’armée syrienne se bat et résiste, bientôt aidée par l’Iran et le Hezbollah chiites, et la Russie. Washington fait un repli au moins en apparence et la France de Hollande et Fabius se ridiculise.

    C’est le tableau d’un chaos parfaitement organisé que nous avons là pour le Proche- et le Moyen-Orient, conforme à la stratégie d’une Amérique forte d’un dollar qu’elle contrôle et d’une défense à nulle autre comparable, d’une doctrine et d’une idéologie dominatrices : Al-Qaïda, le Daech, ce sont ses enfants nourris aux pétrodollars du Qatar et de l’Arabie Saoudite et armés par eux par délégation de Washington. Quel est dans tout cela le rôle joué par Israël ? De façon directe et indirecte.

    Alors une France qui en bon valet s’engage sur tous les fronts de l’atlantisme, une France faible ou affaiblie, une France laïque aussi, cela fait une belle cible pour l’islamisme, la face sombre de l’islam que la stratégie du chaos a fait ressurgir au sein de ces peuples humiliés, combattus à coups de bombes, ramenés à l’âge de pierre, avec une économie ravagée et un développement forcément négatif, soumis à une guerre de religion où les attentats ô combien meurtriers sont quotidiens et ne réveillent plus l’émotion dans le monde depuis longtemps.

    Ces peuples n’ont plus d’autres références que la religion et la jeunesse s’y précipitent avec toute la violence et le fanatisme, pour ne pas dire la haine de gens qui n’ont aucune autre perspective, loin des promesses de la vraie vie. Ceci n’est pas une excuse mais bien une explication.

    Alors oui, l’islamisme, voilà l’ennemi ! Il est là, ressuscité par le chaos, dangereux, assassin et bien sûr nous n’avons d’autre choix que de le combattre avec fermeté avec toutes les armes dont nous disposons pour ce faire et une volonté clairement affichée.

    Mais je ne peux m’empêcher de penser que l’atlantisme, pour nous Français, c’est aussi l’ennemi, le mal qui a donné libre cours à l’autre mal. Celui dont la politique s’appuyant sur une stratégie limpide et délibérément choisie est celle du chaos. Stratégie dont, qu’importe la majorité aux affaires, la France s’est faite la complice jusqu’en Europe, que ce soit pour le dépècement de la Yougoslavie ou la guerre civile en Ukraine, ignorant le plus généralement le point de vue russe sur ces questions.

    A semer le vent, l’atlantisme de nos dirigeants, atlantisme de conviction ou de circonstance, récolte aujourd’hui la tempête sur le sol de France.

    Aux hommes et femmes politiques et à tous ceux qui disent que la guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée aux militaires, il est permis de répliquer qu’elle est la conséquence de l’incapacité des politiques à la prévenir, et qu’en décider est une chose si sérieuse que cela devrait revenir au peuple, à la nation consultée par référendum et non pas à un parlement dont les membres sont trop souvent soumis au court terme et à une discipline de parti incompatible avec un choix en conscience.

    Contre Amiral (2s) Claude Gaucherand, 16 novembre 2015

    Source : arretsurinfo.ch

    http://www.polemia.com/a-semer-le-vent-latlantisme-de-nos-dirigeants-atlantisme-de-conviction-ou-de-circonstance-recolte-aujourdhui-la-tempete-sur-le-sol-de-france-2/

  • Comité Orwell : ne pas refaire les mêmes erreurs qu’après Charlie

    Après l’émotion légitime suscitée par l’attentat du vendredi 13 novembre, le Comité Orwell appelle à ne pas retomber dans les polémiques stériles qui ont suivi le 11 janvier et à poser toutes les questions qui fâchent. 

    Le drapeau tricolore comme linceul et hommage, partout, sur la toile comme dans nos rues. Des mots de tristesse, de colère, de vie aussi et de fierté partagés sur les réseaux sociaux. L’unité de la patrie, meurtrie par les attentats. Nous sommes encore dans le moment, ô combien légitime, de la stupeur, du deuil et de l’émotion. Une séquence indispensable, vitale même qui doit être respectée. Notre pays est touché au cœur, et doit se recueillir pour se rassembler.

    Mais ce temps de l’émotion ne doit pas durer. La France doit se reprendre. Il y a urgence à assurer la sécurité de nos concitoyens et à cet égard, nous pouvons faire confiance aux autorités professionnelles de l’État. Il y a aussi la nécessité, désormais impérieuse, de dénouer le faisceau de causes et d’effets qui nous ont conduits à voir le sang des innocents couler sur les trottoirs de Paris. Et là, sans vouloir remettre en cause l’unité nationale à laquelle nous appelons depuis tant d’années, nous ne pouvons accorder qu’une confiance très limitée aux autorités politiques et au microcosme encore pétris des préjugés qui nous ont conduit à « ça » .

    Est-il si étonnant de constater que certains de nos enfants finissent par haïr un pays, qui est le leur, mais dont on leur a expliqué au cours des dernières décennies, à eux comme à tous leurs concitoyens, que son visage authentique était celui des corbeaux sous Vichy ou des tortionnaires de la guerre d’Algérie ?

    Est-il si étrange qu’une fraction de notre jeunesse ne souhaite plus partager le destin d’une France que nos dirigeants croient nanifiée par la mondialisation ? [....]

    La suite sur Le figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Comite-Orwell-ne-pas-refaire-les

  • Vendredi 13 novembre: des points de vue militaires sur les événements

    Le GIGN est la force d'action spéciale de la gendarmerie française, une des meilleures forces militarisée, comme le SAS britannique, le Delta Force des Etats-Unis, les groupes Yana huma au Pérou. Ils sont formés au plus haut niveau, psychologiquement, militairement et  sont en particulier spécialistes des prises d'otage, de sauvetage de civils à partir de positions terroristes, de chasses à l'homme, d'assauts contrôlés, et n'excluent jamais l'usage de la haute technologie. In fine, ce sont des as, des pros de l'assaut. Et pourtant ? Avons-nous encore desforces spéciales dignes de ce nom ou sont-elles aussi instrumentalisées par le management de la terreur ? Selon les informations officielles et les prises de parole du procureur de Paris, l'attaque d'un groupe de terroristes retranché dans un appartement de Saint-Denis a fait 2 ou 3 morts et a permis l'arrestation de 8 personnes, mais il aura fallu prés de 7 heures d'assaut pour en venir à bout. Pourquoi d'ailleurs, l'ex-directeur du GIGN a-t-il besoin d'en raconter autant ?  S'adresse-t-il surtout à ses collègues étrangers qui auront du mal à croire à la véracité d'une telle attaque ?
    François Hollande a donc décidé d’envoyer notre groupe aéronaval en Syrie pour officiellement lutter contre l'ISIS mais ce qui est assez curieux et nous nous en faisions l'écho déjà dans une brève cette semaine, c'est la composition du groupe aéronaval qui accompagne le porte-avions Charles De Gaulle. Alors qu’il était prévu que la Task Force 473 (nom du groupe aéronaval français) rejoigne le golfe arabo-persique pour y assurer la permanence aéronavale de la coalition avant l’arrivée, sur zone, du porte-avions américain USS Truman, le programme de la dite Task Force 473 a été subitement modifié suite aux attentats du 13 novembre. Le groupe aéronaval français prendra donc position en Méditerranée orientale, au large de la Syrie. 
    On peut comprendre ce changement, puisque le porte-avions permettra l’utilisation de nombreux appareils de bombardement des positions de l’Etat Islamique sauf que ce bombardement a déjà été effectué et avec quel brio par la Russie cette semaine et on ne voit pas  ce que la France y rajouter. Par contre, la composition du groupe aéronaval pose plusieurs questions. En effet, il est composé, outre du Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne  « Chevalier Paul », de la frégate anti-sous-marine « La Motte-Picquet », du bâtiment de commandement et de ravitaillement « Marne » et d’un sous-marin nucléaire d’attaque. La question est simple et professionnelle : que vient faire ici une frégate anti-sous-marine? Daesh n’a, que l'on sache, pas de forces navales, et encore moins de sous-marins. Même question pour le sous-marin nucléaire d’attaque. Un tel sous-marin sert en principe à la lutte anti-sous-marine et à la lutte anti-navires dans le cas de blocus ou de protection d’une flotte. Daesh a t-il donc des navires et/ou des sous-marins que l'on nous aurait cachés ?
    Il y a deux hypothèses de réponse :  soit le matériel sort « pour sortir », faire tourner les machines en situation de guerre, cela peut se justifier, soit François Hollande a en tête autre chose qu’une « simple » campagne aérienne de bombardements contre Daesh, c'est-à-dire qu'il envisage une confrontation avec la flotte syrienne et donc avec la flotte russe, la Russie étant alliée à la Syrie à la demande du Président Assad. On notera d'ailleurs en passant que Vladimir Poutine a ordonné à l’Etat Major russe de contacter le groupe aéronaval quand il sera sur zone, pour coordonner leurs actions. Vu qu’il était prévu que le groupe se mette sous commandement américain, cela paraît assez surréaliste à gérer pour les Français, pour qui, obéir à Washington ne pose aucun problème de conscience surtout pour le capitaine de frégate, commandant le sous-marin nucléaire d'attaque Améthiste, Philippe Naudet
    Hollande, Fabius, Le Drian ont-ils l’intention d’attaquer les forces syriennes parallèlement à Daesh ? Il va sans dire que dans ce cas de figure, on sortirait complètement du cadre de la large coalition proposée par la Russie depuis plusieurs semaines et on serait finalement en plein casus belli par rapport à Moscou et à la parole donnée en apparence, par les Français. 
    La loi sur le renseignement pour éviter les attentats, vraiment ?
    Jusqu'à présent, des sources non officielles ont indiqué que la France a été avertie quelques jours avant par les États-Unis, la Tunisie, l'Algérie et l'Irak d'une menace imminente pour sa sécurité nationale. Certains des assaillants des attentats de Paris avaient même été signalés et repérés et étaient sous le contrôle tant de la DGSI que de la DGSE, les services de renseignements internes et externes français. Pourtant, la France aurait été prise par surprise. 
    Il y a donc eu forcément des failles dans le système français de sécurité et ce, malgré toutes les réformes mises en œuvre par les gouvernements successifs en vertu notamment de la «loi du renseignement militaire» votée en juin et décrétée en octobre à la suite des fusillades de Charlie Hebdo. Nous pourrions nous demander aussi où se situent ces failles? Trois niveaux existent. 
    La première faille serait politique: le gouvernement n'a pas su attribuer des ressources suffisantes et des mandats clairs à nos services de renseignement dans la lutte externe et interne contre le terrorisme ? Il aurait par idéologie anti-raciste, pro-immigrée et pro-réfugiée délibérément écarté certaines listes (la déclaration de Squarcini à l'hebdomadaire Valeurs Actuelles le confirme, même si ces déclarations semblent être une manoeuvre politique car pourquoi ne pas avoir adressé cette liste à un magistrat et non à un ami d'un ami)). 
    Le deuxième est au niveau logistique et tactique : elle renvoie aux interactions entre les services qui n'ont pas pu ou pas su coopérer ensemble. 
    La dernière faille serait enfin opérationnelle: les agents du renseignement français travaillant sur de multiples cas particuliers ne parviendraient plus à évaluer correctement la menace du point de vue de sa sécurité intérieure, dans un mélange explosif de délinquance de droit commun et de fondamentalisme sur fond de quartiers de non-droit où la police ne rentre même plus ? 
    Depuis les tueries de  "Charlie Hebdo", le nombre officiel de menaces et de personnes à surveiller a en effet fortement augmenté. Plus de 11 000 noms seraient ainsi présents sur les fichiers des personnes possédant des caractéristiques de radicalisation terroriste. C'est beaucoup trop pour pouvoir tout suivre. La DGSI ne dispose absolument plus du personnel suffisant ou des fonds nécessaires pour faire un tel travail de taupe régulière et de maillage intelligent du territoire. Pourquoi le service des renseignements généraux a-t-il été noyé dans la DGSI ? Les ressources et le personnel allouées aux services de renseignement ont été considérablement diminué depuis Nicolas Sarkozy. Il n'y a plus de policiers dans les commissariats à la pause déjeuner. Souvenons-nous de l'esclandre de Madame Morano gare du Nord.
    Enfin terminons sur la COP21 
    Un régiment complet  de sa Majesté serait en France, pourquoi ? Il est là mais son cantonnement est tenu secret. Est-il là pour le G20 mais alors qui est-il censé protéger ? L'armée française est-elle vraiment en sous-effectif pour défendre la France au point d'en appeler à la perfide Albion ? Qui donnera les ordres ? C'est en tout cas une de ses petites révélations métamag que nous aimons souvent, comme cela mine de rien, distiller à nos lecteurs avertis. Vive les Anglais : n'oublions pas qu'ils nous ont donné aussi Charles Morgan à l'Institut avec son Ode à la France qu'un éditeur courageux pourrait rééditer actuellement avec un succès garanti à la clef.  
    Michel Lhomme