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insécurité - Page 824

  • Viols et agressions sexuelles, ces autres conséquences d’une immigration hors contrôle à Calais, Sangatte,…

    Une agression sexuelle commise à Sangatte par un jeune immigré n’a retenu l’attention que de la presse locale et de quelques médias alternatifs. Du côté des journaux télévisés et de la presse nationale, on n’a d’intérêt que pour les « difficiles conditions de vie des migrants » mais on ne s’intéresse pas un seul instant à ce que subissent les habitants des villes submergées par les immigrés clandestins.

     

    « Il était environ 17 h 40 et je venais de passer l’après-midi dans mon chalet sur la plage de Calais. J’étais sur le point d’arriver sur le parking et il m’a demandé où se situaient les douches. Je lui ai répondu. Il est parti dans cette direction puis il a fait demi-tour en arrivant sur moi par-derrière. Il m’a fait une clé de bras, m’a traînée jusqu’à un chalet où il a commencé à me toucher la poitrine puis les hanches. J’ai essayé de me débattre, j’ai appelé au secours. Des gens sont passés mais ils ne m’ont pas aidée. J’ai tenté de me défendre mais j’avais encore mes sacs dans les mains et je tenais mon chien en laisse. Je lui ai demandé d’arrêter en criant, il a eu peur et il a pris la fuite ».

    Si ce récit avait été celui d’une jeune femme égyptienne durant le printemps arabe, il ferait le tour des tabloïds internationaux. Mais c’est le récit d’une jeune femme française, les faits se passent en France, à Sangatte, zone de non-droit, et l’agresseur est un immigré, ce qui rend le sujet tabou pour les médias aux ordres.

    Arrêté grâce au père de la victime, l’agresseur s’appele Nabeel Mohammed Edris, un Érythréen de 29 ans. Lundi dernier, il est passé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.

    C’est l’occasion d’apprendre que « d’autres femmes ont été importunées par monsieur. Il s’est promené tout l’après-midi avec un caleçon de bain en allant voir les jeunes femmes qui prenaient le soleil.»

    Le substitut du procureur trouve scandaleux « que les personnes qui étaient à proximité n’aient même pas levé le petit doigt pour venir en aide à la victime ».

    Le tribunal a condamné le prévenu à trois mois de prison ferme avec maintien en détention. En outre, l’agresseur aura interdiction de se présenter dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais pendant trois ans et le tribunal ordonne son inscription au FIJAIS (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles).

    La vraie question que personne n’ose poser : de Calais à Sangatte, combien de femmes, de jeunes filles, ont-elles été les victimes de viols ou d’agressions sexuelles au cours des dernières semaines ? Entre les faits cachés par les autorités et ceux non déclarés par les victimes, cette conséquence d’une immigration hors contrôle est pourtant bien en augmentation inquiétante.

    Pierre-Alain Depauw

    http://www.medias-presse.info/viols-et-agressions-sexuelles-ces-autres-consequences-dune-immigration-hors-controle-a-calais-sangatte/37030?utm_source=OxiMailing&utm_medium=e-mail&utm_campaign=mpi_94

  • France : vers une guerre civile?

    Le 8 janvier, après les attentats parisiens, Ivan Rioufol écrivait cet article intitulé "une guerre civile menace la France" :

    "Car ce mercredi, la France est en guerre. En guerre civile peut-être, demain. Son ennemi est l'islam radical, l'islam politique, l'islamisme djihadiste. «Nous avons vengé le prophète», auraient crié les tueurs. L'ennemi n'est évidemment pas l'ensemble des musulmans, dont beaucoup sont bien sûr horrifiés par ce carnage contre des journalistes.

    Mais ceux-là doivent, toute affaire cessante, descendre massivement dans les rues pour se désolidariser enfin clairement de ceux qui ont la même religion qu'eux et qui appliquent ses préceptes à la lettre. En 1954, en Algérie, l'Armée de libération nationale ne comptait pas plus de 800 hommes ; ils ont réussi à faire plier la République huit ans plus tard". 

    Le 24 avril, Thierry Baudet à son tour signait dans le Figaro : "Le risque de guerre civile paneuropéenne est réel" :

    "Ce que nous devons retenir de la situation en Irak, en Syrie, en Libye et autres, c'est qu'une unité politique qui n'est pas soutenue par un peuple doté d'une identité nationale commune est intrinsèquement instable. Les différentes factions ou communautés perçoivent alors la politique comme une compétition gagnant-perdant c'est eux ou nous- et sont toujours enclines à prendre le pouvoir quand l'autre est plus faible. C'est ce que nous avons eu à surmonter en Europe lors des guerres de religions aux 16ème et 17ème siècles qui conduisirent en France à l'assassinat d'Henri IV et à la la Fronde, et en Hollande à l'assassinat de Guillaume le Taciturne et à la Guerre d'Indépendance avec l'Espagne catholique pour finalement aboutir à la formation d'une conscience nationale.

    En raison de l'immigration de masse et des aspirations politiques naturelles des musulmans devenus très nombreux, nous prenons le risque d'un retour à l'état de guerre civile paneuropéenne. C'est une raison supplémentaire pour ne pas permettre l'arrivée de ces réfugiés sur nos côtes".

    Ce 17 août, Georges Bensoussan se livre dans ce très long entretien :

    "Toute une partie de la jeunesse de notre pays se reconnaît de moins en moins dans notre culture. Elle lui devient un code culturel étranger, une langue morte et pas seulement pour des raisons sociales. Nous sommes en train d'assister en France à l'émergence de deux peuples au point que certains évoquent des germes de guerre civile.

    Dans le cadre de la préparation d'un nouvel ouvrage, j'ai été frappé en écoutant plusieurs de mes interlocuteurs de voir que l'expression «guerre civile», qui aurait fait ricaner il y a dix ans ou surpris il y a cinq ans, est aujourd'hui dans les bouches d'un grand nombre, tant d'élus de terrain, de policiers, de médecins hospitaliers (service des urgences par exemple) ou de banlieue. Le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd'hui partagé par beaucoup".

    Et la France focalise son attention sur les chats abandonnés sur les routes des vacances...

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Qui sont les racistes ?

    Un voisin policier dans ma résidence de banlieue me disait qu’il recevait la directive verbale de ne pas poursuivre ou verbaliser un jeune faisant de la moto sans casque dans les quartiers sensibles, de peur des réactions.

    Et si le racisme ne se trouvait pas où on le cherche habituellement ?

    Les médias font souvent complaisamment écho aux plaintes de jeunes des quartiers sensibles qui disent qu’ils sont trop souvent contrôlés et sanctionnés par la police pour des fautes mineures. Or, si l’on considère l’état de certains quartiers, les tags, les objets encombrants jetés des immeubles, la dégradation régulière du mobilier urbain, on est très loin du « zéro tolérance » prôné par l’ancien maire de New York qui réclamait une sanction adéquate dès le premier carreau cassé.

    Un voisin policier dans ma résidence de banlieue me disait qu’il recevait la directive verbale de ne pas poursuivre ou verbaliser un jeune faisant de la moto sans casque dans les quartiers sensibles, de peur des réactions.

    Ce genre de conseil a des implications très graves : la loi sur l’obligation du port du casque a été prise en considérant la très forte mortalité des conducteurs de motos par rapport aux automobilistes, et fait partie d’un vaste effort pour protéger particulièrement les jeunes contre un décès prématuré ou un handicap à vie. Il y a eu de nombreuses émissions télévisées sur ce thème avec la rééducation des paraplégiques à Garches ou ailleurs. En n’appliquant que rarement aux jeunes dans certains quartiers cette loi mais en l’appliquant strictement pour les jeunes de Versailles ou des beaux quartiers de l’Ouest parisien, on montre plus de considération pour la vie et la santé des derniers que pour celles des premiers.

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  • De l’Afrique du Sud à la Caroline du Sud, les Blancs, cernés, se battent pour leur survie

    Ces pages consacrées aux tentatives désespérées des plus lucides parmi les Blancs d'Afrique du Sud d'échapper à l'insondable chaos dans lequel leur pays a sombré, n'étaient pas achevées quand ont résonné à travers le monde les coups de feu de Charleston. Or le geste de Dylann Roof est loin d'être étranger à l'Afrique Australe. D'abord parce que le blouson qu'il arbore sur de nombreuses photos porte en réduction un drapeau afrikaner et celui de la Rhodésie. Egalement parce qu'il est rapidement apparu que depuis plusieurs mois le jeune homme avait créé un site Internet sur lequel il diffusait des photos de lui-même et les textes de ce qui est devenu son "Manifeste" Ce site portait une dénomination sans ambiguïté : < lastrhodesian.com >. Pour beaucoup l'expérience rhodésienne, qui ne dura que 14 ans, de 1965 à 1979,aura été la dernière étincelle d'une civilisation européenne en pleine déroute. 80 000 Blancs, cernés de toutes parts, confrontés à une guérilla menée par des dizaines de milliers d'adversaires soutenus par le monde entier, l'Afrique du Sud exceptée, montrèrent ce que le courage, la détermination et l'esprit d'entreprise étaient capables de faire face à la lâcheté, la pusillanimité et l'abdication. Il ne fait pas de doute qu'en plaçant son action criminelle sous les auspices d'une virgule de l'Histoire dont plus personne ne se souvient, il se lançait à lui-même un défi inaccessible. Sans doute importait-il que dans ce dossier sur l'incertitude plus que jamais dramatique à laquelle sont confrontés les Afrikaners de souligner que dans le parcours sanglant qui a mené Dylann Roof au-delà de son destin il y a ces dizaines de milliers de Blancs Sud-Africains massacrés. Pour lesquels des millions de Blancs dans le monde saignent. Et portent en eux une colère inextinguible envers les peuples qui participent à ces pogromes. Notre ami sud-africain Mike Smith (Mike Smith's political Commentary) pose quelques questions intéressantes sur Dylann Roof et sur la fusillade de l'Eglise Evangélique de Charleston. Il trouve en tout cas étrange la diffusion dans le monde entier de son blouson adomé de drapeaux rhodésiens et afrikaners. Lesquels, pour le commun des mortels, dont le cerveau est bourré de bobards médiatiques, sont des représentations lucifériennes du racisme et de la barbarie blanche, à un moment précisément où l'Afrique du Sud plongée dans un chaos inextricable, est le théâtre de réactions identitaires blanches inattendues. Or celles-ci avaient-elles besoin d'un supplément de haine médiatique reprise à tira vers la planète à vitesse électronique ?

    Cela dit, en une sorte de contrepoint aux média haineux qui tentaient d'ajouter F abjection à l'horreur en montrant toute l'obscénité des racistes blancs n'hésitant pas à s'attaquer à une assemblée de prêcheurs réunis dans la maison de Dieu, Mike rappela un autre massacre perpétré le 25 juillet 1993, en Afrique du Sud. Ce jour-là quatre héros de la libération africaine appartenant à l'Azanian People's Liberation Army (APLA) mitraillaient une assistance de fidèles Blancs, dans une Eglise blanche d'un quartier Blanc du Cap, Kenilworth. Arrosant la foule au fusil d'assaut R4 et avec des grenades garnies de clous. La tuerie eût été décuplée si l'un des participants, Charl Van Wyk, armé d'un pistolet, n'avait fait feu sur les assaillants en blessant un et mettant les autres en fuite. Leur projet en effet était de faire sauter l'église dans laquelle se pressait un millier de fidèles. Il y eut 11 morts et 58 blesses. Les terroristes n'en étaient d'ailleurs pas à leur coup d'essai ayant déjà à leur tableau de chasse au moins trois autres attaques de civils Blancs et 13 morts. En tout l'APLA est créditée de 22 morts et de 120 blessés graves. Une majorité des terroristes de cette organisation furent intégrés dans l'armée sud-africaine. Les criminels furent tous amnistiés par la Commission Vérité et Réconciliation du curé Toutou, la même mafia qui maintient toujours derrière les barreaux depuis 22 ans Clive Derby-Lewis et Janusz Walus. Lesquels n'avaient fait qu'abattre le secrétaire du Parti Communiste, Chris Hani, action ponctuelle qui visait un ancien chef de l'organisation terroriste Umkhonto We Sizwe, créée par Mandela. On peut douter que Dylann Roof soit libéré dans les 5 ans, lui ! On rappellera à cette occasion les commentaires dont les membres de la Commission osèrent accompagner leur décision d'accorder l'amnistie aux terroristes : « l'acte lui-même consistant sur les ordres de l'APLA/PAC à attaquer spécifiquement des cibles civiles fut une grave violation des droits humains et de la loi humanitaire interne ». Etaler ainsi son racisme en ne donnant pas plus d'importance à des victimes sous prétexte qu'elles sont Blanches est d'un cynisme d'autant plus intolérable que cette Commission Vérité et Réconciliation est considérée comme un modèle de Justice Internationale par la tyrannie mondiale orwelienne qui domine notre temps.

     

    Jim REEVES. Rivarol du 25juin 2015

  • Le soutien aux chrétiens d'Orient à la Une

    Du Figaro :

    F

    Michel Janva

  • En Catalogne, émeutes africaines et Blancs agressés

    Des affrontements entre clandestins et policiers ont eu lieu mardi dans la station balnéaire catalane de Salou suite à la mort d’un ressortissant sénégalais, qui a sauté d’un immeuble lors d’une opération de police contre les vendeurs de produits contrefaits.

    A 2’10 cela tourne même aux agressions contre les Blancs.

     

  • Un jeune blanc abattu par un policier aux Etats-Unis et personne n’en parle

    D’après une autopsie indépendante commandée par la famille, Zachary Hammond, âgé de 19 ans a été tué par balles dans le dos.

    « La mort de l’adolescent s’est produite une semaine après que Samuel Dubose, un autre jeune homme, a été abattu dans les mêmes circonstances, en essayant d’écraser l’agent de police Raymond Tensing qui a répondu par un tir en légitime défense. Outre le fait que cette histoire s’est produite dans l’Ohio, ce qui distingue les deux cas est que Samuel Dubose était noir, tandis que Zachary Hammond est blanc. Après la publication des images de l’interpellation mortelle, l’officier de police Tensing a été accusé d’assassinat.

    Si l’assassinat de Dubose a attiré l’attention au niveau national, celui de Hammond n’a presque pas été mentionné. Selon the Los Angeles Times, le nom de Dubose a été mentionné dans plus de 43 000 tweets pendant la période entre le 26 juillet et le 4 août alors que celui d’Hammond n’est apparu que dans 289 messages pendant la même période.

    Bland, l’avocat de la famille trouve qu’une telle différence est «très inquiétante». «Un adolescent blanc désarmé qui a perdu la vie par la faute d’un policier trop zélé est égal à un adolescent noir désarmé qui a perdu la vie par la faute d’un policier  trop zélé», a-t-il dit à the Los Angeles Times.

    Alors que Raymond Tensing a été accusé d’assassinat, la police de Seneca refuse de publier les résultats de l’autopsie ou de donner le nom de l’agent, ce qui est étonnant. »

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Vous avez aimé Paris-Gaza, vous aimerez Gaza plage

    L'an dernier, des manifestations (sympathiques au regard des LMPT...) avaient lieu à Paris :

    G

    Europalestine et une dizaine d'autres organisations ont annoncé le lancement d'une opération baptisée "Gaza Plage", qui se tiendra jeudi de 12 heures à 21 heures entre le pont Notre-Dame et le pont au Change.

    Près de 500 policiers et gendarmes vont être mobilisés jeudi à Paris pour assurer la sécurité de l'opération "Tel-Aviv sur Seine".

    Michel Janva

  • Signe des temps : des vendeurs à la sauvette frappent des policiers

    Avant, les vendeurs à la sauvette détalaient devant un uniforme (d’où leur nom) ; maintenant, ces délinquants (probablement clandestins) frappent les policiers.

    La scène a été filmée au Jardin des Tuileries (quartier chic de Paris). On peut y voir plusieurs policiers de la DOPC tenter d’interpeller des vendeurs à la sauvette.
    Mais ces derniers ont décidé de ne pas se laisser faire.

    http://www.contre-info.com/