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insécurité - Page 960

  • Les Zones de non-loi de madame Fioraso !


    La France, ses vins, ses fromages… et ses lois ! Heureusement qu’on boit et mange à satiété les premiers, car pour ce qui concerne les dernières, constatons que celles qui sont votées ne sont pas toujours appliquées… ou pas partout !

    La loi sur l’interdiction du port du voile, par exemple.

    On croyait l’affaire entendue : pas question qu’une dame déhambule déguisée en Belphégor dans nos rues. Pas plus que les fesses à l’air, la dignité de la femme ne saurait le tolérer. Dont acte. Et d’ailleurs, par-ci, par-là, la police veille… Enfin, plutôt par-ci que par-là, car même si elles sont assez rares, on en croise quand même, certes plutôt dans nos mégapoles cosmopolites qu’au Carrefour de Trifouillis-les-oies et de Pétraouchnok-sur-bettraves, soit comme on l’a vu fin juillet à Trappes : l’interpellation par la police de la famille d’une femme voilée y déclencha une nuit d’émeutes !

    Rien d’exceptionnel car si tous les Français sont censés être égaux devant la loi, on sait bien qu’il y en a qui sont plus égaux que d’autres, mais pas seulement dans nos rues… À l’université aussi, à en croire Geneviève Fioraso, actuelle ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche où le port du voile « ne pose pas de problème. »

    Si elle le dit !

    Toutefois, son collègue Ministre de l’Intérieur Manuel Valls, bien que ne voulant pas « se prononcer à ce stade sur le fond » (Courage, fuyons !), observe néanmoins qu’« il y a des situations qui mériteraient d’avoir plus de cohérence : dans les universités, c’est possible, dans les IUT, c’est interdit… »

    Oui, cela mériterait, incontestablement ! Faudrait-il encore que le gouvernement impose d’abord cette cohérence à ses ministres… et qu’on sache une bonne fois pour toutes si les lois françaises ont vocation à s’appliquer sur l’ensemble du territoire national ou si leurs applications doivent être choisies à la carte, en fonction des endroits où elles posent problème : soit dans certaines banlieues et certaines universités où « leurs droits » prévaleraient et non ceux de la République.

    On pourrait ainsi parler plus justement de « zones de non-lois » comme madame le ministre Fioraso n’hésite pas à le préconiser… et non plus de « zones de non-droit », beaucoup plus stigmatisantes pour les victimes de cette laïcité qui, décidément, n’est pas la tasse de thé à la menthe de tous les Français !

    Philippe Randa

  • La mort silencieuse des enfants de France

    Un de plus. Encore un… Encore un cadavre qui gît dans son sang, sur le bitume d’une rue anonyme. Poignardé, égorgé, fauché à l’âge de tous les espoirs et de tous les possibles. Pour rien. C’est un fait divers, diront les journaux. Peut-être… mais quand un fait divers se répète et se répète encore, cela devient un fait de société. Et les victimes sont trop systématiquement blanches et les assassins trop souvent à prénoms exotiques pour ne croire qu’à des drames du hasard, des tragédies du « pas de chance », des accidents du « mauvais moment au mauvais endroit ». C’est un acte de déséquilibré ? Tout meurtre gratuit ne l’est-il pas ? Et, étant donné la composition ethnique des rues de Marseille, n’est-il pas étonnant et statistiquement curieux que ce soit justement sur un Jérémie que se déchaîne le « déséquilibre » d’Ali ? Si en l’espace de quelque mois, deux ou trois jeunes noirs avait été tués par des adolescents blancs, se bornerait-on à traiter ces faits séparément, comme de vulgaires anecdotes, tragiques certes mais sans portée ni « signification » ? Ne parlerait-on pas d’un « climat » détestable, d’un « phénomène inquiétant » ? Ne verrait-on pas derrière les actes des coupables des « motivations racistes » nourries d’une haine pathologique et nauséeuse ? Les associations et psys ne s’agiteraient-ils pas en tous sens pour « penser » et «juguler » cette « dérive » ?

    Mais aujourd’hui, pour Jérémie comme pour les autres, il n’y aura rien. Pas de minute de silence à l’assemblée nationale, pas de grande marche blanche, pas d’émission spéciale à la télévision… Le racisme d’Etat, le vrai, pathologique, celui qui crée des victimes de second ordre, qui nie les réalités au nom de ses fantasmes, qui excuse les salopards en fonction de leur origine ethnique, en a décidé ainsi. A peine 30 pékins dans la rue pour rendre hommage à Jérémie, la passivité, le renoncement, le haussement d’épaules, le « de toute façon qu’est-ce qu’on n’y peut… »… En attendant le prochain.

    Pour beaucoup moins que cela des quartiers entiers s’embrasent, des centaines de jeunes font pression sur la police et les autorités, sont prêt à en découdre, à se faire justice. La solidarité, la conscience ethnique et l’esprit communautaire ne sont pas chez eux que des mots qui font jolis dans les livres. Mais pour la vie et le mort d’un fils de France, rien. Parce que nous ne sommes pas des voyous et des barbares? C’est vrai. Et tant mieux sans doute. Mais tant pis aussi. Nous continuerons donc à compter nos morts, à étendre la liste des territoires perdus où ne pas sortir après 21 heures et à économiser pour tenter de financer une fuite vers une zone encore préservée. Pour combien de temps encore ?

    http://amoyquechault.over-blog.com

  • Encore : Jérémie, 22 ans, égorgé dans la rue par …

    Jérémie, un jeune homme de 22 ans, est mort dimanche après avoir été poignardé vendredi à Marseille.

    Egorgé, dans la rue, dans le centre-ville, alors qu’il se rendait chez un camarade.
    Ce jeune homme originaire des Vosges a été vraisemblablement tué par un individu de 41 ans, rapidement présenté comme « déséquilibré ».

    Tiens, voilà un mot qui n’est pas anodin : on sait qu’il est de plus en plus employé dans la novlangue du Système pour désigner un immigré tuant un Français, sans motif clair (et sans bien sûr qu’il soit possible d’évoquer la simple haine raciale envers les Français)…
    Les médias sont avares d’informations sur l’identité du tueur. L’express, qui s’étale sur l’affaire, concède que l’homme est « né dans la Drôme ».
    Tout cela sent la diversion et en cherchant bien, on découvre enfin que l’assassin se prénomme Ali.

    La victime n’avait plus son téléphone portable quand elle a été secourue en vain, mais on a retrouvé trace de celui-ci dans les « quartiers nord », zone à majorité afro-maghrébine.

    Bien sûr, nous ne nions pas que « Ali » puisse être mentalement déséquilibré (qui égorge les gens sans l’être ? Question à 1000 francs…)
    Mais il est un fait que ces « déséquilibrés » qui sévissent de plus en plus, chaque année, en massacrant dans la rue, en égorgeant, en poussant sur les rails du métro, sont rarement français contrairement à leurs victimes, et donc que leur folie reste orientée par des critères ethniques.

    Dans un communiqué, Manuel Valls a demandé à l’ensemble des responsables publics « d’éviter les surenchères et les polémiques déplacées » sur la sécurité dans la cité phocéenne.
    Bien sûr, là, surtout pas d’amalgames ! Ce n’est pas le genre de la maison (voir l’affaire Méric et ses conséquences) !
    Et il ne faudrait pas non plus que les gens pensent que Marseille devient un vaste coupe-gorge, symbole de l’échec cinglant et inéluctable du « multiculturalisme », où chacun Français risque, en se déplaçant, d’être mortellement attaqué sans qu’il ne comprenne ce qui lui arrive.

    http://www.contre-info.com/

  • Expulsion d'un islamiste tunisien qui menaçait des journalistes

    Un islamiste tunisien de 36 ans a été interpellé et expulsé vendredi « en urgence absolue pour son implication dans plusieurs projets d’action violente notamment à l’encontre de deux journalistes », a annoncé le ministère de l'Intérieur. Il y aurait donc, semble-t-il, des professions plus protégées que d’autres !
    L'homme, habitant à Gentilly (Val-de-Marne) mais résidant impunément « depuis plusieurs années en situation irrégulière sur le sol français, est proche de la mouvance islamiste radicale », a précisé le ministère dans un communiqué sans donner de précision sur les deux journalistes.
    Le ressortissant tunisien « a également manifesté à plusieurs reprises sa volonté de partir en Syrie pour participer au djihad en combattant au sein du groupe Jabhat al Nursa qui a récemment prêté allégeance à Al Qaïda », a ajouté le ministère de l'Intérieur. Une manière de faire oublier son inaction et sa mansuétude à l’égard de la racaille qui s’est encore récemment manifesté à Trappes et Brétigny.
     
    Mathieu Guidère, universitaire et islamologue, a précisé que ce mouvement est le « principal groupe djihadiste syrien ».
    « Au regard de ces éléments, poursuit l'Intérieur, cet individu représentait une menace réelle pour la sûreté de l’État et la sécurité publique, justifiant une mesure d’expulsion, prononcée par un arrêté ministériel du 15 mai 2013 et selon une procédure d’urgence absolue ».
    Manuel Valls, cité dans le communiqué, a rappelé « l’engagement de la France à lutter contre le terrorisme et qu’il n’y aura tolérance à l’égard de ceux qui prônent la violence et qui s’en prennent aux valeurs de la République ». Ça sonne toujours bien aux oreilles des naïfs !...
    Depuis mai 2012, une dizaine d'islamistes seulement ont été expulsés de France. En octobre 2012, un imam tunisien, Mohamed Hammami, accusé d'appel au « jihad violent », à la violence contre les femmes et à l'antisémitisme par l'Intérieur, avait été expulsé de France.
    Ses avoirs avaient été gelés, ainsi que ceux de l'association Foi et Pratique qu'il présidait. L'association appartenait à la mouvance rigoriste « tabligh ». Hammami officiait régulièrement à la mosquée Omar, dans le XIe arrondissement de Paris.

    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/

  • Le terrorisme sert à terroriser et Obama en est le champion

    On croyait avoir déjà tout connu : Colin Powell et sa fiole de poudre de perlimpinpin à l’ONU, les New-Yorkais calfeutrés chez eux, fenêtres hermétiquement closes au scotch marron dans l’attente d’un attentat à l’arme chimique, des agents de la CIA trahis par leur propre gouvernement pour couvrir ses magouilles… Les sbires de Bush, croyait-on, avaient tout tenté – et peut-être tout fait ? 1 – dans le registre de la trouille au ventre pour manipuler leur opinion publique et nous avec.

    À l’évidence, Barack Obama a bien retenu la leçon. Désigné par les révélations de Snowden pour ce qu’il est, soit un président des États-Unis semblable à tous ceux qui l’ont précédé, n’agissant que pour sa gueule, tout pour sa gueule, rien que pour sa gueule au mépris de tous les accords et toutes les conventions internationales, il choisit pour s’en sortir la méthode habituelle : la trouille.

    Ce bel homme à la peau bronzée et au sourire Ultra Brite qui a reçu en « à-valoir » un prix Nobel de la paix en 2009, ce chantre de la démocratie et des libertés s’assied comme ses prédécesseurs sur le droit international. Avec sa bénédiction, son PRISM nous a tous fichés, enregistrés, traqués. Pour notre bien, assurément, puisqu’il s’agit là encore de « terroriser les terroristes ». Mais Snowden a tout balancé, comme le soldat Manning avant lui, et la planète politique feint de s’offusquer. Alors, pour faire de nouveau briller les étoiles de sa bannière et redorer le S de son caleçon de Superman, Obama nous refait le coup d’Al-Qaïda et de ses attentats géants pour la fin du ramadan. Un piège déjoué par qui ? Par PRISM, bien sûr. Comme ça tombe bien !

    Des preuves ? Pas besoin, puisqu’on nous le dit. Et les copains, les Hollande et compagnie, d’annoncer au porte-voix qu’ils ferment leurs ambassades. Une publicité sans précédent, comme le souligne Le Point, relevant que les États « ne communiquent que très rarement sur les mesures de sécurité qu’ils prennent dans leur réseau diplomatique ». Mais que ne ferait-on pas pour notre grand allié, ange du Bien et parangon de la Vertu ?

    Aujourd’hui, les USA évacuent avec force publicité leurs ressortissants du Yémen, pays dont le président et les forces armées apportent « toute leur coopération » aux États-Unis dans leur lutte contre le Mal. « Nous avons vu Al-Qaïda dans la péninsule Arabique (AQPA) battre en retraite des territoires qu’il contrôlait », a déclaré Obama voilà quelques jours, oubliant de mentionner les pilonnages répétés par des drones américains contre des extrémistes présumés. Oublié de dire aussi que les Yéménites constituent toujours le plus fort contingent des détenus de Guantánamo, détenus jamais inculpés ni jugés et prison dont le président des États-Unis promet depuis plus de quatre ans la fermeture.

    La tricherie et le cynisme sont les maux endémiques des États-Unis. Obama n’est pas pire que ses prédécesseurs, il est juste pareil à eux. La bêtise du monde est d’avoir pensé qu’il pouvait être différent.

    Marie Delarue dans Boulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info/

  • Justice: encore 14 détenus libérés

    Quatorze détenus viennent encore d’être remis en liberté sur décision de la Cour de cassation en raison, dit celle-ci, d’une « vieille erreur administrative ». L’aveu en a été fait vendredi par le ministère de la Justice lui-même.
    Au total, 1.784 des 3.499 condamnations susceptibles d’être concernées par les décisions de la Cour de cassation ont été examinées, a indiqué la Chancellerie dans un communiqué. Sur ces cas, 14 personnes ont été remises en liberté.
    Onze d'entre elles purgeaient des peines inférieures ou égales à 8 mois, deux inférieures ou égales à 1 an et une égale à 3 ans, selon le ministère qui souligne que "14 autres condamnés ont pu être maintenus en détention pour purger d’autres peines d'emprisonnement".
    Le ministère indique qu'un nouveau point chiffré sera fait lundi sur ce dossier, qui a donné lieu à une vive attaque de la ministre Christiane Taubira contre l'opposition UMP, au pouvoir lorsque « l'erreur » ayant conduit à ces libérations a été commise.
    La Cour de cassation, plus haute juridiction française, avait le 26 juin donné raison a un Franco-Arménien, condamné par contumace en 1989, et qui souhaitait regagner la France après la prescription (délai à l'issue duquel la peine ne peut plus être exécutée) de 20 ans en matière criminelle.
    Il lui avait été opposé une série d'actes interrompant cette prescription. Or, la définition de ceux-ci avait été fixée par un décret de décembre 2004 et la Cour de cassation a souligné qu'une telle liste ne pouvait être fixée que par la loi.
    Elle a depuis été transcrite par une loi en mars 2012, mais la Cour de cassation a donné raison au demandeur, qui contestait la validité des actes interruptifs opposés à sa demande de prescription au titre du décret de 2004.
    Le ministère de la Justice a dû vérifier toutes les condamnations dont la prescription avait été rejetée aux mêmes motifs entre le décret de 2004 et la loi de 2012.¢

    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/

  • En Hollandie, l'arbre norvégien a du mal à cacher la forêt de d'jeunes

  • "C'est la dictature ici!" Des paroles qui onf fait fuir François Hollande :

  • Hollande et ses Aliés Terroristes veulent Détruire la Syrie et Imposer la Charia …


    Hollande et ses Aliés Terroristes veulent... par Darwin_Kayser