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insécurité - Page 956

  • « Sale blanc » : conférence-dédicace à Strasbourg

    « Sale blanc » : conférence-dédicace à Strasbourg

    AGENDA – Gérald Pichon, l’auteur du livre « Sale blanc, chronique d’une haine qui n’existe pas », paru aux éditions IDées sera en conférence-dédicace à Strasbourg le vendredi 18 octobre 2013 à 20 heures, à l’invitation du Cercle Eugène Ricklin, créé par le Bloc Identitaire Alsace. Sur inscriptions uniquement, à l’adresse alsace(at)bloc-identitaire.com.

    http://fr.novopress.info/141820/sale-blanc-conference-dedicace-a-strasbourg/

  • La Bulgarie sous pression

    Réfugiés syriens : nouvelle vague de fuyards vers l’Europe.
    C’est par Goliam Dervent, à quelques kilomètres de la Turquie, que passent la plupart des réfugiés syriens qui entrent illégalement dans l’UE à un rythme croissant. La population est plutôt bienveillante à leur égard, mais les autorités sont débordées et craignent une crise humanitaire.
    Gina [prononcer « Djina »] est assise devant une sorte de cabane bleue, qui est en fait un magasin et un bar. Elle est assise sur une chaise, son menton posé dans sa main, et croise les jambes. Elle a une vue sur l’ancien hôtel de ville, un vestige du « temps passé » du communisme, et sur partie de sa maison : une façade en briques, une porte en bois blanc, un jardin.
    Gina nous la pointe du doigt. Elle l’a depuis 20 ans. Elle n’est pas du coin mais c’est comme ça. Elle a un appartement en ville mais préfère passer ses hivers ici, en se chauffant au bois.
    Elle est retraitée à Goliam Dervent, à 20 km d’Elhovo et à 3 km de la frontière turque. Le nom du village signifie « La longue marche ». C’est le premier endroit en Bulgarie que les réfugiés syriens atteignent au cours de leur longue fuite.
    Gina est une sorte de porte-parole des habitants de Goliam Dervent, qui n’ont rien contre les réfugiés, parce qu’ils ne restent pas longtemps. Les protagonistes, ce sont les milliers de réfugiés qui passent par le village.
    « Police, police, Sofia, Sofia »
    « Quand ils arrivent à la source d’eau, ils disent “Police, police, Sofia, Sofia“, et on attend avec eux », raconte Gina. « Ils boivent de l’eau, mais ils ne mangent jamais. Ils ont peut-être peur de se faire empoisonner. On reste avec eux, les pauvres, ils fuient. Il y avait un homme qui est passé dans une chaise roulante. Ils sont gentils. Une fois, il a plu, alors on les a laissé entrer dans le magasin. »
    Le village ne compte plus que 50 habitants, alors qu’il y en avait 1.600 à l’époque communiste. Les jeunes faisaient du troc de bois avec la Turquie. Il n’y a plus de jeunes maintenant, et plus personne ne va en Turquie. Un Russe visite de temps en temps. La plupart des maisons sont délabrées et désertes.
    Au-delà du village, sur le chemin qui mène à la frontière, se trouve une ancienne caserne. La porte y est ouverte. Vesselina Dimova est maire du village. Les drapeaux de la Bulgarie et de l’Union européenne sont à sa fenêtre. Un calendrier avec le portrait de l’ancien premier ministre Boïko Borissov est sur une table, à côté de son bureau, de même qu’un passage de la Bible. Elle montre une pancarte que la police des frontières l’a obligée à mettre : « Fermez en entrant et en sortant ». Elle rit quand on la prend en photo, elle l’appelle « ma petite pancarte ». Elle sourit quand elle regarde le trou dans la clôture.
    « Ils viennent par ici. Si quelqu’un les voit, il appelle la police. Si elle ne les trouve pas, c’est parce qu’elle est trop occupée à les chercher ailleurs (avec des caméras infrarouges, ndlr). Douze personnes sont venues l’autre jour, deux familles avec des petits enfants. »
    Selon Dimova, « ils ne sont pas dangereux, ils ne posent aucun problème. On leur donne de la nourriture et de l’eau » et les gens du village les aident. Pendant qu’elle parle, on aperçoit une voiture de la police des frontières à travers la fenêtre.
    Tout comme le ministre de l’intérieur et les autorités nationales, elle utilise le terme de « vague » à propos des réfugiés. D’après la police, il s’agit de près de 4.500 personnes.. On ne sait plus où les mettre.
    Le chemin des réfugiés
    La plupart des réfugiés arrivent à Goliam Dervent le matin. Il faut qu’ils y attendent la police des frontières, qui les emmène en garde-à-vue à Elhovo. Ils sont alors inscrits dans un registre, ils y passent des examens médicaux, avant d’être relocalisés dans des centres d’accueil temporaire. Ceux de Pastrogor et de Liubimets sont à proximité. Une de ces institutions dépend de l’Agence nationale pour les réfugiés, l’autre de la direction pour la migration. Les centres sont différents : l’un est de type ouvert, l’autre de type fermé.
    Presque tous les réfugiés syriens ont des papiers d’identité. Cela simplifie la tâche aux autorités. D’autres n’en ont pas : ils les ont dû les laisser aux trafiquants pour les racheter plus tard, ou alors ils les ont perdus, racontent les policiers.
    Avant, le point de passage par excellence était le poste de Kapitan Andréevo. Depuis qu’il est équipé d’un système de surveillance intégré qui peut surveiller même le côté turc, les réfugiés ne peuvent même plus atteindre la frontière. Ils sont arrêtés par les autorités turques. Ils préfèrent maintenant passer par Elhovo, qui est au milieu d’une forêt.
    « Pas de problèmes »
    Gina entre dans sa cabane bleue. Elle nous demande si on veut quelque chose pour la troisième fois. « On est content de voir des étrangers » dit-elle. La voiture de la police des frontières était garée devant le magasin, il y a quelques instants. Les agents ne se prononcent pas sans autorisation officielle. Alors officieusement, ils disent qu’il y pas de problèmes. Pas de quoi se plaindre. Ils nous demandent si on sait quelque chose sur le nouveau centre de coordination d’Elhovo. Son ouverture aurait été annoncée le 17 septembre par le ministre de l’Intérieur. Ils sourient quand on leur dit que les travaux devaient prendre 10 jours.
    Gina se penche contre la porte du magasin. Nous lui souhaitons bonne chance. Elle sourit. Elle a envie de parler : « J’espère bien, mais je doute », dit-elle. En partant en voiture, nous la voyons se rasseoir sur sa chaise, et poser son menton dans sa main.
    Lora Fileva, DNEVNIK SOFIA, 26 septembre 2013
    Traduction : Damian Vodenitcharov, http://www.presseurop.eu/fr
    Article originalDnevnik.bg
    Titre original : Дългият проход, или за срещата на едно погранично село с бежанци
     Réactions :
    La Bulgarie ne fermera pas sa frontière
    Le premier ministre Plamen Orecharski a réfuté l’idée de fermer la frontière entre la Bulgarie et la Turquie en raison de l’afflux de réfugiés syriens, écrit le site d’actualité bulgare Mediapool.bg 370 personnes ont passé la frontière entre le 20 et le 23 septembre. Ils sont plus de 4.000 à être installés dans les centres d’accueil dans le pays, alors que plus de 500.000 réfugiés se trouvent actuellement en Turquie. Les autorités s’attendent à ce que le nombre de réfugiés en Bulgarie atteigne 10.000 personnes d’ici la fin de l’année. Le gouvernement compte solliciter l’assistance de l’Union européenne pour y faire face. Selon le premier ministre, Sofia a déjà fait une demande d’aide technique, avant de faire appel à l’aide financière. Celle-ci est estimée à 10 millions de léva (5 millions d’euros) par mois pour les seules aides directes aux réfugiés.
    http://www.polemia.com/la-bulgarie-sous-pression/

  • Berkane Maklouf, assassin de la petite Fiona : une vraie « chance pour la France »

    Le Point dresse un portrait bref mais peu flatteur de Berkane Maklouf, le beau-pière de Fiona qui, après avoir joué une ignoble comédie suite à la « disparition » de la fillette de 5 ans, a été convaincu de son meurtre.

    Petit caïd de banlieue, toxicomane, menteur éhonté, tabassant régulièrement la Française un peu paumée qu’il s’était dégotté comme beaucoup d’autres, « connu des services de police » comme on dit, etc.

    L’article du Point peut donner à croire que la conduite de Maklouf était seulement de « la faute à la drogue », mais cette racaille étrangère était  globalement assez lucide pour, sans officiellement travailler (et donc toucher des aides), acquérir un studio, ou encore pour pousser sa compagne à se convertir à l’islam…

    http://www.contre-info.com/

  • Drogues : “Les banques blanchissent des milliards de dollars provenant des trafics”

    Peter Dale Scott, professeur émérite de Littérature anglaise à l’Université de Berkeley, Californie, a travaillé durant quatre ans (1957-1961) pour le service diplomatique canadien. Expert dans les domaines des opérations secrètes et du trafic de drogue international. Il est connu pour ses positions anti-guerre et ses critiques à l’encontre de la politique étrangère des États-Unis.

    Le premier produit agronome de la Californie est la Marijuana, une culture illégale et donc non-taxée. Les grands profits réalisés par la consommation de l’héroïne sont réalisés dans les pays de consommation (comme les États-Unis) et non dans ceux de production (comme l’Afghanistan)

  • Les Roms, vus de votre village et vus par Bruxelles

    Les Roms, vus de votre village et vus par Bruxelles

    PARIS (NOVOpress/Kiosque Courtois) - « Les occupants de campements ne souhaitent pas s’intégrer dans notre pays pour des raisons culturelles ou parce qu’ils sont entre les mains de réseaux versés dans la mendicité ou la prostitution. » « C’est illusoire de penser qu’on réglera le problème des populations roms à travers uniquement l’insertion. » « Il n’y a pas d’autre solution que le démantèlement des campements et les reconduites à la frontière. » Autant de petites phrases prononcées ces jours-ci par Manuel Valls en réponse aux appels à l’aide de centaines de maires.

    C’est une véritable déferlante

    Le Conseil de l’Europe décompte 20.000 Roms en France, mais l’ONG de défense des Roms, « La Voix des Roms », estime leur nombre à 500.000. Combien seront-ils en 2014, quand la Roumanie et la Bulgarie seront membres de plein droit de l’Union européenne ?

    Les propos de Valls ont néanmoins provoqué l’ire de certains socialistes… Mais le soutien d’autres

    Martine Aubry, Harlem Désir, Cécile Duflot, Anne Hidalgo, Jean-Luc Le Drenn y sont allés de leur couplet, inquiets d’y voir « un tapis pour les thèses de l’extrême droite ». Voire de « mettre en danger le pacte républicain », un comble s’agissant de Valls, un ponte du Grand Orient !

    Mais ensuite seize élus socialistes, tous maires ou premier adjoint (les municipales sont proches !) ont publié une tribune soutenant Manuel Valls. Parmi eux le maire de Lyon, Gérard Collomb et l’ancien ministre, Daniel Vaillant.
    Il faut dire qu’un sondage BVA a trouvé que 77% des Français interrogés, approuvent les propos de Manuel Valls «car il faut dire les choses clairement». Après les municipales ces maires et adjoints socialistes auront 4 ans pour soutenir l’inverse.

    L’agacement de Viviane Reding

    « Si je ne me trompe, il y a de l’élection en l’air en France. A chaque fois qu’on ne veut pas parler de choses importantes comme le budget ou les dettes, on trouve les roms, » a ironisé la vice-présidente de la Commission européenne. Elle a rappelé au ministre de l’Intérieur que la Commission européenne a débloqué 50 milliards d’euros pour l’intégration des Roms – une bagatelle ; elle n’a pas exclu l’éventualité de sanctions si Paris limitait la libre circulation de certains ressortissants de l’Union.

    Crédit photo : Novopress, (cc).

    http://fr.novopress.info/141803/les-roms-vus-de-votre-village-et-vus-par-bruxelles/#more-141803

  • Au Kénya, les islamistes coupables d'actes de barbarie et de torture

    L'horreur absolue

    "Les témoignages publiés par le Daily Mail font froid dans le dos. Yeux crevés, nez et pénis arrachés, des corps pendus à des crochets, des doigts coupés avec une pince : les otages ont vécu un véritable calvaire. Des enfants ont également été retrouvés dans des frigos, au milieu de la nourriture, et... avec encore des couteaux plantés dans le corps. Bref, de la barbarie pure et simple.

    Les terroristes tués ont, quant à eux, été retrouvés en cendres. « Visiblement, les terroristes restants se brûlaient entre eux pour que les enquêteurs ne puissent pas les identifier », indique le Daily Mail, citant de nombreux témoignages".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Grèce : le Système veut éliminer le mouvement nationaliste Aube dorée

    La police antiterroriste grecque a arrêté ce samedi le dirigeant du parti Aube dorée, Nikos Michaloliakos.
    Le député et porte-parole du parti Ilias Kassidiairis et aux moins dix autres membres du parti, accusé pour le coup d’être «une organisation criminelle», ont été également arrêtés, selon une source policière.

    Des mandats d’arrêt concernant 30 autres personnes ont été lancés à travers le pays par la Cour suprême grecque.

    Celle-ci prétexte d’une enquête sur la mort d’un antifa grec. La ressemblance avec les manipulations politiques françaises est patente.

    Le 18 septembre en effet, un activiste d’extrême-gauche, Pavlos Fyssas, trouvait la mort lors d’un affrontement que des groupes gauchistes avaient déclenchés contre des patriotes. L’individu avait participé à l’attaque d’un bar où des Grecs regardaient un match de football et, en agressant quelqu’un, avait reçu un coup de couteau fatal de la part d’un homme voulant défendre sa vie.
    Évidemment, les médias occidentaux ont présenté cela d’une toute autre manière, évoquant les hordes nazies grecques attaquant des innocents…

    Depuis la mort de cet extrémiste belliqueux, les autorités ont lancé une vaste « enquête » sur le parti nationaliste accusé de violences contre des envahisseurs clandestins et des extrémistes de gauche.

    «La démocratie a les moyens de se défendre» (à défaut d’aider le peuple), a indiqué le porte-parole du gouvernement, Simos Kédikoglou, à la télévision Skaï, quelques minutes après l’arrestation de ces députés…

    http://www.contre-info.com/grece-le-systeme-veut-eliminer-le-mouvement-nationaliste-aube-doree

  • Des chrétiens massacrés dans l’indifférence quasi-générale

    Les filiales et les émules de Al-Qaida dans le monde se sont, le week-end dernier, rappelés à notre bon souvenir. Du fait des élections générales en Allemagne et de l’attaque sanglante d’un centre commercial au Kenya (qui présentaient l’avantage de pouvoir être suivies à la télé),...

    ...le carnage perpétré à Peshawar, à la sortie d’un office religieux chrétien, a été relégué au troisième, quatrième ou cinquième plan de l’actualité, quand il n’a pas été purement et simplement occulté par les médias.

    Au Proche et au Moyen-Orient, on peut massacrer des chrétiens en toute impunité et dans l’indifférence quasi-générale. Quel homme politique français, quelle grande conscience pétitionnaire a-t-on entendu à la suite de cette tuerie qui en rappelle, hélas, tant d’autres survenues en Égypte, en Syrie, ou en Irak, sans même parler d’une autre région du monde bien placée, elle aussi, dans ce triste palmarès : le Nigeria ? [...]

    Fabrice Le Quintrec - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Des-chretiens-massacres-dans-l

  • La guerre de l'islam contre les chrétiens

    Chrétienté-Solidarité Persécutions appelle à soutenir Mohamed El Baldi, Marocain de 34 ans, arrêté et condamné à 30 mois de détention au Maroc pour avoir commis le crime de s'être converti au christianisme. Sa famille (qui n’est pas convertie) est traitée comme un groupe de pestiférés dans son village.

    Au Soudan, les actes d’intimidation à l’encontre de prêtres et missionnaires de la part des autorités soudanaises sont en augmentation. Le président Omar el-Béchir avait annoncé clairement qu’après la création du Soudan du Sud, le Soudan deviendrait une république islamique à 100%.

    En Syrie, une fatwa de 36 oulémas rebelles islamistes légitime la réquisition et l’appropriation de biens, maisons et propriétés appartenant à des chrétiens.

    Au Pakistan, après l’attentat qui a fait au moins 85 morts devant l’église anglicane à Peshawar, des représentants de diverses ONG laissent entendre que les morts et les blessés seraient victimes de voleurs d’organes au sein même des hôpitaux. L’Eglise catholique demande une enquête sérieuse.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/