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international - Page 1008

  • Irak : premières frappes françaises contre Daesh

    Le tempo des opérations militaires est désormais dicté par l’agenda politique de François Holland

    C’était cousu de fil blanc, tant le tempo des opérations militaires est désormais dicté par l’agenda politique de François Hollande. Les premières frappes de l’armée de l’air contre des cibles de Daesh (Etat islamique) en Irak viennent d’avoir lieu au lendemain de la conférence de presse du chef de l’Etat. Un communiqué de l’Elysée précise que les Rafale ont détruit ce matin à 9h40 un "dépôt logistique des terroristes", (véhicules, carburant, armement) dans le nord-est de l’Irak. Cette localisation, vers Mossoul, signifie que le bombardement a eu lieu non loin des lignes de front avec les Kurdes et non sur les arrières de Daesh.

    Deux Rafale, un ravitailleur C-135 FR et un Atlantique 2 ont participé à ce raid, qui sera suivi d’autres. Quatre frappes ont eu lieu avec des bombes GBU-12.

    Lundi, déjà, les premiers vols de reconnaissance avaient été annoncés au moment même de l’ouverture de la conférence internationale sur l’Irak à Paris.

    La suite sur Secret Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Irak-premieres-frappes-francaises

  • "Le Da'esh applique à la lettre l'islam"

    Zemmour sur l'intervention en Irak :

    Marie Bethanie

  • Lourdement armé il voulait “mourir en martyr”, et avait fait partie du groupe qui projetait d’assassiner des dirigeants identitaires

    Deux frères interpellés cette semaine dans la région lyonnaise, dans une enquête sur une filière jihadiste vers la Syrie, «nourrissaient l’ambition de mourir en martyr», a assuré vendredi le parquet de Paris.

    Selon le parquet, «un membre de leur famille» est déjà «décédé dans un attentat suicide en Syrie en juin». Trois membres de la fratrie «combattent actuellement en Syrie au sein de l’organisation terroriste de l’EI» (État islamique).

    Un des frères, âgé de 19 ans, a été arrêté jeudi porteur d’un Smith & Wesson chargé de calibre 38. Cet homme a déjà été mis en examen en novembre 2012 dans le dossier «Forsane Alizza», un groupuscule salafiste radical dissous. A son domicile, les enquêteurs ont trouvé «une kalachnikov approvisionnée de 27 cartouches et d’une cartouche chambrée, le mode rafale engagé», ainsi que «des munitions de divers calibres».

    [Le groupe  Forsane Alizza (Les Cavaliers de la fierté) avait projeté d’assassiner Fabrice Robert, le président du Bloc identitaire.]

    Placée en garde à vue et interpellée lors du coup de filet, une mineure de 13 ans, était mariée religieusement à un des frères. L’enquête a, selon le parquet, également confirmé «l’existence d’une filière d’acheminement de candidats au jihad en Syrie, et notamment de jeunes filles, en lien avec les membres de la fratrie présents dans ce pays».

    Pour lire entièrement l’article du Progrès.

    http://fr.novopress.info/175368/lourdement-arme-il-voulait-mourir-en-martyr-et-avait-fait-partie-du-groupe-qui-projetait-dassassiner-des-dirigeants-identitaires/

  • Les Kurdes contre les jihadistes

    Une nouvelle fois, les Kurdes sont en première ligne. L’Occident et la plupart des pays du Proche et du Moyen Orient leur font aujourd’hui confiance pour juguler l’offensive fulgurante des Djihadistes de l’État Islamique en Irak et au Levant, récemment autoproclamé Califat.

    Et il est tentant d’y voir une sorte de revanche pour un peuple oublié, mais trop souvent divisé, qui a toujours été instrumentalisé par les puissances de la région et qui a payé un prix très cher, et toujours sanglant, dans les nombreux conflits où il a été entraîné, parfois malgré lui…

    C’est si vrai que les Kurdes pourraient même profiter de ces nouveaux affrontements armés pour conquérir une forme d’indépendance, au moins dans deux des pays où il est dispersé : l’Irak et la Syrie. Mais qui sont les Kurdes ? Et d‘où viennent-ils ? Et quelle est l’histoire de ce peuple proche et moyen-oriental dont les sujets sont répartis dans quatre pays, l’Irak et la Syrie, déjà cités, mais aussi la Turquie et l’Iran. Et pourquoi sont-ils appelés à jouer un rôle essentiel face à la barbarie qui monte dans cette région en proie à tous les désordres ?

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-Kurdes-contre-les-djihadistes-28005.html

  • Maurras, l’inégalité et le racisme

    Bainville reconnaîtra un jour que c’est Maurras qui, en 1900, l’avait éloigné de toute tentation raciste, lors de la parution du livre de Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social : « Charles Maurras avait mis le très jeune lecteur que j’étais en garde contre les rêveries de la race pure. » (Lectures, p. 220).

    Dès que le jeune Maurras prit la plume, ce fut en effet pour dénoncer le racisme, qui représentait la négation même de toute civilisation — « folie pure et sans issue » dira-t-il dans L’AF du 15 juillet 1936. « Il n’y a sans doute pas de race latine [...] . L’essentiel est qu’il existe une civilisation latine, un esprit latin, véhicule et complément de l’hellénisme, interprète de la raison et de la beauté athénienne, durable monument de la force romaine » écrit-il dans L’Étang de Berre (1915). Il y reviendra dans Les Vergers sur la Mer, (1937) dans un chapitre intitulé « Que nous reste-t-il de la Grèce ? » : « Les répercussions, les ricochets et les cascades d’influences sont infinies, et leur histoire bien conduite résumerait l’office des traditions et des progrès de la Raison partout vivace, à travers les hautes sciences, les lettres humaines, les beaux-arts universels : sans préjudice de développements ultérieurs possibles dans le monde jaune et le monde noir. Les négrillons hellénisés n’y gagneront pas un nez grec, mais Socrate était bien camus ! ” N’est-ce pas, à l’époque, la meilleure réponse à tout un gobineau-nietzschéisme de mauvais aloi aux sirènes duquel Maurras ne fut jamais sensible ? En 1937, il rapporte un souvenir de 1903 : « Analysant un livre ingénieux et pénétrant que M. Seillière a consacré au comte de Gobineau, M. Paul-Boncour a remarqué à différentes reprises que je ne me référais point à la doctrine de l’Essai sur l’inégalité des races humaines. M. Paul-Boncour m’en a demandé la raison. Elle est très simple. Je n’admets pas cette doctrine. » (Devant l’Allemagne éternelle)

    Ces prises de position ne feront que s’accentuer avec la précision des menaces. Le 30 mars 1933,L’Action Française écrit : « Le racisme et l’étatisme », c’est-à-dire, le national-socialisme et le fascisme, « ne peuvent correspondre qu’à des sociétés imparfaites. Une société dans laquelle la civilisation a atteint ses sommets les plus rares ne peut se contenter de telles significations ; l’édifice des valeurs les plus aristocratiques et les plus rares ne saurait abriter ces religions grossières, dont la pauvreté spirituelle n’a d’égale que la malfaisance et la stérilité. »

    Dans un texte tardif, et d’une émouvante beauté parce qu’il résume une vie d’engagement au service de la civilisation, Soliloque du prisonnier(1950), il insiste sur l’universalité de « [s]a » Méditerranée qui « ne demande pas mieux que de devenir nordique ou baltique pourvu qu’elle rencontre ici ou là, les deux lucides flammes d’une civilisation catholique et d’un esprit latin. » Dès Anthinéa (1901), n’avait-il pas précisé : « Ce que je loue n’est point les Grecs mais l’ouvrage des Grecs et je le loue non d’être grec mais d’être beau. Ce n’est pas parce qu’elle est grecque que nous allons à la beauté, mais parce qu’elle est belle que nous allons à la Grèce » ?

    Il y a du reste pour Maurras une véritable opposition de civilisation entre l’Amérique puritaine et protestante, et les peuples latins et catholiques, et le refus du racisme en est la pierre de touche. En 1928 (L’AF du 25 juillet) il note : « Le Dr R. Greenfield écrit dans l’International civil organisation : “il est un reproche premier que nous faisons nous, les Anglo-saxons, au catholicisme espagnol. Il a produit une race hybride, qui nous a empêchés d’accepter l’union avec des pays, riches il est vrai, mais habités par un peuple que nous estimons de culture inférieure. Le protestantisme, au contraire plus pratique et plus conscient de la liberté a admis comme une nécessité, ou d’exterminer les Indiens, ou de les parquer dans des réserves, afin d’empêcher tout métissage.” Une note appendice à mon vieux livre, Quand les Français ne s’aimaient pas, a jadis rappelé [...] cette politique d’ “extermination” ou de “parquage” infligée aux Indiens du Nord. Ma note réprouvait vivement ce que le docteur Robert Greenfield approuve et recommande. Cette note louait les Latins d’Amérique de ce que leur reproche le protestant anglo-saxon. »

    Aussi, on ne saurait prendre prétexte de la dénonciation par Maurras de l’égalité comme mythe révolutionnaire pour faire de lui le propagandiste d’une quelconque inégalité substantielle entre les hommes. Pour Maurras, que ce soit sur les plans social ou ethnique, il n’y a ni sous-hommes ni sur-hommes : « Tout homme, écrit-il dans sa Politique Naturelle (1937), a « le dépôt des biens spirituels et moraux dont la Raison et la Religion s’accordent à faire l’attribut de l’humanité. Tout homme, ayant cela, vaut tout autre homme, pour cela. »

    Ou comme le conclut encore Pierre Boutang (La Fontaine politique) : « Rien [...] dans l’enseignement contre-révolutionnaire [...] ne suggère que l’accroissement de l’inégalité, ni sa conservation religieuse et sacrée soient des biens. Il y a des inégalités, parce qu’il y a des fonctions et des différences ».

    François Marcilhac - L’AF 2893

    - [1] Il s’agit de Le comte de Gobineau et l’aryanisme historique, Plon, Paris, 1903, 
    - [2] Quand les Français ne s’aimaient pas, Chronique d’une renaissance, 1895-1905, Nouvelle Librairie Nationale, Paris, 1915

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Maurras-l-inegalite-et-le-racisme

  • Elections du 15 septembre en Russie: un grand silence occidental sur les résultats.

    Et ce silence est bien compréhensible, quand on lit l'analyse d'Alexandre Latsa, pour le site Le Saker Français". Rappelons qu'Alexandre Latsa tient le blogDissonance, qui s'illustre notamment par de régulières et très précises analyses de l'évolution de la démographie russe. Alexandre Latsa sera présent à Paris ce lundi 22 septembre pour un débat sur la nécessité d'une politique française indépendante en Europe de l'Est.

    Regard sur les élections du 15 septembre 2014 en Russie

    Ce dimanche 15 septembre 2014 ont eu lieu des élections locales en Russie concernant l’élection des gouverneurs de 30 régions, les députés des parlements régionaux de 14 entités administratives de la Fédération de Russie (Républiques, Oblast, …) ainsi que les maires de trois villes de la Fédération de Russie. Ces élections relativement passées sous silence par les grands médias occidentaux présentaient deux intérêts essentiels.

    Quel bilan tirer de ses élections ?

    • Le premier enseignement était d’estimer le soutien àRussie-unie, le parti du pouvoir, dont la popularité n’a cessé de croitre de 2000 à 2010. Après la crise financière mondiale et, surtout, les élections contestées en 2011, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue, altérant considérablement l’image de Russie-Unie de la population russe.
    • Le second intérêt était de voir la réaction des électeurs de Crimée. En effet, les Criméens ont pu, pour la première fois, participer à une élection en Russie et voter en tant que citoyens russes, la Crimée ayant rejoint la Fédération de Russie en mars dernier.

    Lire la suite "Elections du 15 septembre en Russie: un grand silence occidental sur les résultats."

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Russie envisage de couper son internet du reste de la toile en cas de guerre

    « En raison de l’imprévisibilité totale des États-Unis et de l’Union européenne, nous prenons des mesures pour garantir notre sécurité ». C’est ce qu’a déclaré ce matin le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, annonçant l’intention du gouvernement de couper l’internet russe du reste de la toile mondiale en cas de guerre afin de protéger le réseau russe, ajoutant que « des mesures concernant la sécurité de l’internet russe sont étudiées en permanence à différents niveaux et dans différentes administrations ».

    Un quotidien russe, Vedomosti, rapportait par ailleurs aujourd’hui que Vladimir Poutine tiendrait lundi prochain une réunion du Conseil de sécurité afin d’aborder cette possibilité. Une manœuvre difficile, selon le journal, puisque l’internet russe est, contrairement au web chinois, profondément intégré au réseau mondial.

    Le journal affirme également que d’autres réunions avec des fournisseurs d’accès et des entreprises liées à internet sont prévus pour aborder le « fonctionnement d’un segment russe de l’internet en cas de situations d’urgence ». Un employé de l’un de ces fournisseurs d’accès a expliqué au journal que Moscou envisageait simplement de se protéger en cas de sanctions supplémentaires de l’Occident qui pourraient affecter internet.

     

    « Il ne s’agit pas de déconnecter la Russie, mais de définir comment la Russie va réagir si elle est coupée de l’internet mondial, comment assurer sa sécurité » a expliqué l’expert russe Mikhaïl Gourevitch, spécialiste des médias qui juge une telle menace aussi probable qu’ « une attaque d’extra-terrestres ».

     Pendant que tous ont les yeux rivés sur l’Irak et sa menace réelle, la crise ukrainienne est à l’origine de toujours plus de tensions entre la Russie et les pays occidentaux, mais l’éventualité d’une guerre mondiale aux portes de l’Europe ne semble inquiéter personne…

    http://www.contre-info.com/la-russie-envisage-de-couper-son-internet-du-reste-de-la-toile-en-cas-de-guerre#more-34613

  • « Un démantèlement des systèmes financier et commercial internationaux est en cours. » (Dmitri Medvedev)

    « Il est aujourd’hui évident qu’un démantèlement des systèmes financier et commercial internationaux est en cours, mais il est encore possible de l’arrêter. » a déclaré ce vendredi le premier ministre russe Dmitri Medvedev dans son discours prononcé devant le « Forum international d’investissement » de Sotchi.
    Effectivement, avec ou sans l’Occident qui semble ne rien voir venir tout en étant si satisfait de lui-même, le monde est petit à petit en train de changer.
    On pense inévitablement au méga-contrat de 400 milliards de dollars sur 30 ans conclu entre Gazprom et la China National Petroleum Corporation (CNPC) et dont les transactions ultérieures devraient être libellées en monnaies nationales (russe ou chinoise) plutôt qu’en dollars américains. L’usage du rouble et du yuan est également envisagé plus largement pour tous les échanges commerciaux entre les deux puissances.
    Il y a deux mois, en juillet, la Turquie demandait à son partenaire russe que les deux pays se débarrassent progressivement du dollar dans leur commerce réciproque afin de n’utiliser, à terme, que leurs monnaies respectives.
    Il est également prévu que, dans un proche avenir, les transactions entre la Russie et l’Iran se passent définitivement du dollar.
    Ce jeudi, c’est l’Argentine qui a proposé à la Russie de passer aux échanges commerciaux en devises nationales.
    Pensons également à la volonté affichée des BRICS de s’émanciper du FMI et de la Banque mondiale.
    Enfin, face à la gesticulation du parlement européen ayant voté hier une résolution appelant à exclure la Russie du réseauSWIFT – vote sans aucune conséquence juridique étant donné que SWIFT est une entreprise privée –, la Russie ne manque pas de faire savoir que, quoiqu’il en soit, sa banque centrale se prépare déjà depuis début août à une éventuelle déconnexion des services de SWIFT (à l’instar de ce qui s’est passé avec Visa et MasterCard) en commençant à élaborer un analogue russe de SWIFT.
    Lentement mais sûrement, le monde change et échappe peu à peu à la domination arrogante de l’Occident en déclin.

    Baudouin Lefranc

    http://medias-presse.info/un-demantelement-des-systemes-financier-et-commercial-internationaux-est-en-cours-dmitri-medvedev/15435

  • Assad demande aux États-Unis de cesser d’armer et de financer l’EI

    Le combat contre le terrorisme commence par une pression accrue sur les pays qui soutiennent et financent les insurgés en Syrie et en Irak, a déclaré le président syrien Bashar al-Assad lors d’un entretien avec un responsable de la sécurité intérieure irakienne à Damas.

    Assad

    Les déclarations d’Assad ont été prononcées durant l’entretien de mardi avec le conseiller de la Sécurité nationale irakienne, Falah al-Fayadh, « dans le cadre de la lutte du gouvernement irakien contre le terrorisme. »

    « Ce combat contre le terrorisme commence par une pression accrue sur les pays qui soutiennent et financent des groupes terroristes en Syrie et en Irak, et prétendent ensuite vouloir combattre ce même terrorisme », a déclaré Assad, des propos relayés par l’agence de presse SANA.

    Fayadh s’est « entretenu avec Assad sur les derniers développements en Irak, et sur les efforts du gouvernement et du peuple irakiens pour combattre les terroristes », a rapporté SANA.

    L’entretien s’est focalisé sur « l’importance de renforcer la coopération et la coordination entre deux pays fraternels dans le domaine du combat contre le terrorisme, qui fait rage en Syrie et en Irak et qui menace la région et le monde ».

    Damas a critiqué plusieurs pays qui ont, par le passé, armé l’opposition syrienne, dont les États-Unis, le Qatar, l’Arabie saoudite et la Turquie.

    Mardi, le secrétaire à la Défense des États-Unis, Chuck Hagel, a confirmé que le commandement central des États-Unis a un plan pour « mener des actions ciblées contre l’EI et ses bastions en Syrie », ce qui inclue des frappes sur ses infrastructures. Hagel a également dévoilé un plan visant à renforcer les forces irakiennes en leur adjoignant 1 600 « conseillers militaires » étasuniens.

    Les États-Unis entraîneront et équiperont également 5 000 membres de l’opposition syrienne pour combattre les militants de l’EI.

    Hagel a écarté la possibilité de déployer des troupes sur le terrain pour l’instant, mais a annoncé qu’une partie des 1 600 « conseillers militaires » étasuniens déployés en Irak depuis le mois de juin pourraient être impliqués dans des affrontements directs avec les militants de l’EI.

    Au même moment, les États-Unis ont clairement fait comprendre qu’aucune coopération n’est prévue avec le gouvernement d’Assad dans le cadre du combat contre l’EI. La position d’Obama a longtemps été en faveur d’une destitution d’Assad, surtout après qu’il a été accusé d’avoir employé des armes chimiques contre son propre peuple l’an dernier.

    Plus de 30 pays ont accepté de rejoindre la coalition étasunienne pour combattre l’EI, selon le Pentagone. Cependant, tout semble indiquer que les puissances régionales que sont l’Iran et la Syrie ne feront pas partie de cette coalition.

    Selon des estimations de la CIA, le groupe takfiri de l’EI « compte entre 20 000 et 31 500 combattants ».

    Cette année, les combattants de l’EI ont capturé de vastes territoires dans le nord de l’Irak et la province d’Anbar, à l’ouest, faisant au passage de nombreuses victimes civiles.

    Traduit d’après l’article de Hang The Bankers par Fabio Coelho pour Croah.fr

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/assad-demande-aux-etats-unis-de-cesser-darmer-et-de-financer-lei_117011.html#more-117011

  • Russie : du pétrole, du gaz, et de l’armement

    Par Alexandre Mirlicourtois – Directeur de la conjoncture et de la prévision de Xerfi Canal

    http://fortune.fdesouche.com/