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international - Page 1077

  • Boko Haram : une opération secrète de la CIA?

    Auteur : Réseau International 

    Ex: http://www.zejournal.mobi

    Depuis 3 ans, le Nigeria semble être la proie d’une insurrection croissante et ingérable qui se manifeste par des attentats dans les lieux publics et des attaques sporadiques sur les institutions publiques ainsi que des massacres de civils et enlèvements de masse.

    On pouvait s’y attendre, il y a eu une panique et une tension croissante dans le pays et de plus en plus de personnes commencent à penser que le pays pourrait se diriger inévitablement vers une insurrection de longue haleine qui conduirait à une scission du pays. À l’exception du 1er attentat à la bombe en Octobre 2010 à Abuja, un groupe obscur qui porte le nom de Boko Haram a revendiqué la plupart des attentats ultérieurs qui ont eu lieu dans le pays.

    Selon la Coalition GreenWhite, la campagne actuelle Boko Haram est une opération secrète organisée par la Central Intelligence Agency américaine, la CIA et coordonnée par l’ambassade étatsunienne au Nigeria.

    Depuis quelque temps, la CIA a été en charge des camps d’entraînement et d’endoctrinement secrets le long des régions frontalières poreuses et vulnérables du Niger, du Tchad et du Cameroun. Lors des entraînements dans ces camps, des jeunes issus des milieux pauvres et démunis sont recrutés et formés pour servir les insurgés. Les agents qui instrumentalisent ces jeunes les attirent avec la promesse d’une meilleure vie et sont en outre endoctrinés pour leur faire croire qu’ils travaillent pour installer un ordre juste islamique contre l’ordre impie actuellement au pouvoir au Nigeria .

    Les agents étatsuniens de ce projet de la CIA restent prudemment en arrière-plan, organisant les camps grâce à des superviseurs originaires du Moyen-Orient spécialement recrutés à cette fin. Après plusieurs mois d’endoctrinement et de formation sur le maniement des armes, les tactiques de survie, de surveillance et les techniques d’évasion, les insurgés sont maintenant mis en stand by pour la prochaine opération terroriste.

    - Source : Réseau International

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    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Morts en Turquie et en Centrafrique ? Moins grave que le foot !

    En Turquie, près de deux cents êtres humains sont en train de mourir dans une mine de charbon. Germinal à Istanbul…   

    Plus belle la vie ? Pas pour tout le monde. En Turquie, près de deux cents êtres humains sont en train de mourir dans une mine de charbon. Germinal à Istanbul… Les sauveteurs se battent comme des chiens pour sauver ce qui peut encore l’être. Leurs compatriotes retiennent leur souffle. Et ça prie à n’en plus pouvoir dans les mosquées et les églises.

    En Centrafrique, Camille Lepage, journaliste de 26 ans, vient d’être tuée. Pourquoi ? Allez savoir. Par qui ? On ne le saura sûrement jamais. Cette demoiselle faisait seulement son métier. Certes, il est de bon ton de railler les journalistes, les « journaleux », les « plumitifs », tous plus ou moins « bobos ». Mais certains d’entre eux prennent plus de risques à exercer leur profession que d’autres, ceux qui les insultent et dont la seule occupation plausible consiste le plus souvent à éructer sur leur clavier, de jour comme de nuit.

    Ce mercredi matin, il aurait été licite d’estimer que ces informations fassent la une des gazettes. Eh bien, non. La jolie Camille, fauchée en pleine fleur de l’âge, et les gueules noires ottomanes, c’était juste bon à passer entre tiercé et météo. Car il y avait bien plus important : la sélection de l’équipe française de football.

    La quoi ? Si si, vous savez bien. La horde de gugusses qui, en Afrique du Sud, a ridiculisé la France en marchant derrière le ballon – alors qu’il est plutôt conseillé de courir après –, en refusant de chanter « La Marseillaise » pour finir par une grève de milliardaires, grande première en la matière.

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  • A l’ONU : Nouvelle défaite des anti-familles

    La Commission des Nations Unies sur la population et le développement s’est réunie à l’occasion des 20 ans de la Conférence internationale sur la population qui s’est tenue au Caire en 1994.

    La « célébration » a commencé très fort. Une majorité s’est dégagée d’emblée pour rejeter le projet de définir et donner « des droits spécifiques pour les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes » (sic). Par un curieux raccourci un représentant du Fonds de l’ONU pour l’aide à la population (UNFPA) a protesté en disant que ce rejet était une atteinte aux droits sexuels de la femme. A priori on aurait plutôt pensé le contraire. Il y eut bien sûr un délégué pour affirmer qu’il y avait une confusion manifeste. En réalité la jonction était faite par le regard LGBT : au nom de la promotion de l’homosexualité on passait des hommes aux lesbiennes puis aux droits des femmes. D’autres délégués ont argué qu’il y avait plus urgent à s’occuper que de ce genre de débats : ceci nous rappelle le cas de la France avec Hollande préférant s’occuper du « mariage gay » que du chômage.

    Finalement, samedi dernier, la conférence n’a pas reconnu l’avortement comme un droit non plus que des « droits sexuels », l’orientation et l’identité du genre. Il faut dire que cette affaire dure depuis 20 ans ; et régulièrement les pays riches considérés comme de gauche (même s’ils sont politiquement « de droite ») se voient battus à plates coutures. Un certain nombre de pays comme la Norvège se sont lamentés de cet échec.

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  • Le but de la construction de l'UE n'est pas la paix mais l'argent

    De Guillaume de Prémare sur Liberté Politique :

    "A quoi sert la construction européenne ? La déclaration Schuman du 9 mai 1950 avançait la paix comme justification principale. Nous l’avons eue. Mais cette paix — ou plutôt cette absence de guerre — a été obtenue par l’équilibre de la terreur nucléaire, laquelle n’a rien à voir avec la construction européenne. Quant à la paix entre la France et l’Allemagne, elle était faite en 1950. Ce n’est pas la construction européenne qui a permis cette paix, c’est cette paix qui a rendu possible la construction européenne, laquelle l’a renforcée bien sûr.

    En réalité,les motivations de la construction européenne sont fondamentalement économiques. Dans le préambule du Traité de Rome, les Etats membres assignent « pour but essentiel à leurs efforts l'amélioration constante des conditions de vie et d'emploi de leurs peuple ». [...]

    J’invite chacun à apprécier les résultats par rapport aux objectifs. Où sont les emplois de nos enfants ?Cette seule question suffirait à caractériser le bilan. Sauf à considérer que la maîtrise de l’inflation soit principale et l’emploi accessoire,la construction européenne a échoué dans ses missions essentielles : « Les performances économiques de la zone euro sont dramatiques en termes de chômage et de croissance », souligne Jean-Claude Guillebaud dans son bloc-notes de l’hebdomadaire La Vie.

    L’union économique et monétaire devait pourtant nous donner la taille critique pour "peser" dans l’économie mondiale, pour "gagner la compétition" : « On est plus fort à plusieurs ; chacun de nos pays est trop petit pour exister dans la mondialisation ; on ne peut vivre isolé, » etc. Ceux qui ont contesté ce discours ont été maintenus à l’écart de la crédibilité publique. Parlant des "dissidents" de l’Europe, Guillebaud écrit : « On traitait alors volontiers ces impertinents d’oiseaux de mauvais augure ou d’ignorants. Ce n’est plus possible. 

    Revenir aux faits

    Ce n’est plus possible, en effet, d’écarter les faits. Ce n’est plus possible de faire croire que nous n’aurions le choix qu’entre toujours plus d’intégration européenne et l’isolationnisme, le repli sur soi ; qu’entre l’euro et la banqueroute. Les faits : l’Union européenne est seule en son genre ; etles pays qui ne disposent pas d’un tel modèle ne vivent pas isolés en autarcie économique.

    Un autre fait : il y a, dans le vaste monde, et même en Europe, des pays qui n’appartiennent pas à une union économique et monétaire, qui pèsent d’un poids marginal dans l’économie mondiale, et qui vivent cependant une relative prospérité et fournissent des emplois à leurs enfants.

    Bonne conscience

    Ce n’est plus possible, non plus, de se réfugier dans la justification morale et les bons sentiments, fussent-ils chrétiens, avec d’un côté la générosité communautaire et de l’autre l’égoïsme national. [...]"

    Michel Janva

  • La Syrie honore ses martyrs

    Alors que la France et les autres pays valets du sionisme et des monarchies pétrolières arment et soutiennent en notre nom les terroristes takfiristes en Syrie, le gouvernement syrien rend hommage à ses morts.

    Le président et Madame Al-Assad reçoivent les familles dont le fils unique est mort pour la patrie. En Syrie les fils uniques sont dispensés de service militaire, mais si ils le désirent, ils peuvent néanmoins intégrer l’armé pour servir leur pays. Le fait que ces jeunes homme aient fait don de leur vie pour leur patrie de manière totalement volontaire, rend leur sacrifice et celui de leur famille d’autant plus admirable. Un article de Al-Manar donne plus de détails.

    (La musique de fond est l’hymne aux martyrs de la diva nationaliste libanaise Majida El-Roumi)

    Dans la 2eme vidéo le président et son épouse reçoivent de jeunes Syriens ayant perdu un parent mort pour la patrie.

    Dans la 3eme vidéo on peut voire la première dame Asma Al-Assad réconforter des mères syriennes qui ont perdu un fils ou proche dans cette guerre.

  • L’Europe existait avant l’UE et pourrait exister sans elle

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    "François Hollande a publié, dans le « Monde » du 8 mai, une tribune solennelle (et même un tantinet grandiloquente !) intitulée : « Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’histoire ». Pour une fois qu’un dirigeant politique français nous présente sa vision de l’Europe, ne boudons pas notre plaisir. Malheureusement, cette vision est totalement déconnectée de la réalité et repose sur des principes mortifères pour la France comme pour l’Europe elle-même.

    Le premier principe erroné et mortifère est contenu dans le titre. Soit ce titre ne veut strictement rien dire, soit il signifie que la « construction européenne », telle qu’elle est aujourd'hui pratiquée, obéit au « sens de l’histoire ».Mais cette vieille lubie des marxistes et des progressistes de tout poil n’existe tout simplement pas : l’histoire est ce que font les hommes. D’ailleurs, l’histoire du marxisme elle-même prouve l’absurdité de la théorie (qui aurait prophétisé la victoire de Lénine au début de la funeste année 1917 ?). Au demeurant, c’est d’autant plus absurde que l’on nous assène à longueur de journée que « l’Europe, c’est la paix » et qu’elle nous conduit à une « fin de l’histoire » merveilleuse où, enfin, la démocratie représentative et l’économie de marché fleuriraient partout. Vous pouvez tourner les yeux dans toutes les directions, rien n’indique que cette « fin de l’histoire » se rapproche. Mais, enfin, c’est bien « l’argument » principal des européistes. Or,on voit mal comment François Hollande peut à la fois reprocher aux « populistes » de vouloir « sortir de l’histoire », tout en leur proposant la « fin de l’histoire »!

    Le président croit pouvoir justifier par le passé l’Union européenne telle qu’elle est. Je trouve déjà surprenant que le chantre de la repentance permanente nous invite à faire mémoire d’un passé glorieux qui nous vit renverser le totalitarisme nazi. Mais, surtout, le raisonnement a beau être très répandu dans l’oligarchie, il me reste particulièrement incompréhensible : si je comprends bien,M. Hollande nous explique que, puisque la CEE s’est créée après la chute du nazisme, elle serait le meilleur rempart contre tout totalitarisme. Mais rien n’est moins sûr : le plus sérieux adversaire du national-socialisme fut le stalinisme, qui fit encore plus de morts.

    Et puis comment ne pas voir que François Hollande nous vante la volonté d’union de citoyens, de peuples, de nations ? Précisément, cela même qu’il ne veut plus regarder. D’ailleurs, le président nous ressasse le vieux slogan : « Le nationalisme, c’est la guerre ». Slogan qui n’a que l’apparence du bon sens.On pourrait dire, avec beaucoup plus de certitude, le socialisme, c’est la guerre, puisque ce sont des socialistes qui nous ont entraînés dans la guerre en 1914, en 1939, sans parler de la plupart des guerres coloniales et des conflits récents.

    Comme tous les démagogues, François Hollande fait mine de s’opposer à un monstre. Mais ce monstre n’a aucune réalité. Il dénonce ceux qui voudraient « sortir de l’Europe », alors que la plupart des eurosceptiques demandent simplement à sortir de l’actuelle Union européenne. Que je sache, l’Europe existait avant l’UE et pourrait exister sans elle. Ils demandent à ce que l’UE soit subsidiaire, c’est-à-dire qu’elle soit au service des nations et des peuples.

    On peut choisir l’Europe fédérale. C’est manifestement le cas de François Hollande. Mais il faut avoir l’honnêteté de dire que l’on pense que la France, c’est de l’histoire ancienne.D’ailleurs, à supposer que l’Union européenne s’effondre, croit-on vraiment qu’il n’y aurait plus de coopération entre nations européennes ? Même entre 1870 et 1945, les coopérations entre l’Allemagne et la France ont toujours existé. A fortiori aujourd’hui. Les échanges internationaux ne doivent tout de même pas tout à l’Union européenne! Même en Europe, beaucoup de coopérations n’ont rien à voir avec l’UE, comme Ariane que l’on prétend mettre au crédit de Bruxelles et qui doit tout à la coopération de nation à nation!

    Là où cette tribune devient une sinistre farce, c’est lorsqu’il ose nous dire – après des décennies où la volonté populaire a été piétinée – que « les Français peuvent décider et imposer souverainement leur préférence ». Ils le peuvent peut-être, mais, quand ils le font, on ne les écoute pas ! Il ose même nous dire que l’Europe qu’il veut protégerait les frontières, alors qu’il n’a cessé de militer pour toujours plus d’immigration ! Ces grands démocrates qui détestent le peuple, ces grands Européens qui détestent la civilisation européenne, ces grands Français qui ne supportent pas la grandeur de la France, décidément, nous en avons soupé !"

    Michel Janva

  • Boko Haram ? 10 % d’islam et 90 % de coutumes tribales…

    Entretien avec Xavier Raufer réalisé par Nicolas Gauthier.

    Qu’est-ce que Boko Haram ? Une secte religieuse ? Un gang de voyous évoluant sous cache-sexe religieux ? Ou les deux à la fois ?

    D’abord le crucial : les récents méfaits de Boko Haram sont un signe de plus de l’évidente dégénérescence du courant jihadi qui sombre dans une orgie de sang, de l’est à l’ouest de l’Afrique :

    - Somalie/Kenya : les shebab massacrent en septembre 2013 les clients d’un supermarché, 40 morts et 150 blessés ;

    - Nigeria : des lycéennes sont enlevées par dizaines et sans doute vouées à la mort ou au « repos du guerrier ».

    Des bandits de grand chemin kidnappant des touristes, des contrebandiers de cigarettes au Sahel, des assassins tribaux illuminés et défoncés de la Somalie au Nigeria : voilà tout ce qu’il reste, en Afrique, des impeccables et pieux « soldats de Dieu » rêvés par Ben Laden.

    Revenons au Nigeria : à l’origine, Boko Haram est un groupe islamique voulant rétablir l’éducation religieuse au Nord-Nigeria. Dans la langue locale, de type tchadique – le haoussa –, Boko Haram signifie quelque chose comme « éducation à l’occidentale religieusement interdite » (halal/haram).

    Dans la décennie 2000, Boko Haram s’en tient à son projet initial puis verse dans la violence, d’abord artisanale puis, à partir de 2009, de plus en plus effrayante, sous l’influence d’un second gourou, ou chef messianique, Abubakar Shekau.

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  • Ukraine, acte II du démembrement ?

    Le présent de l’Ukraine commence à ressembler à la fin de l’Union soviétique. Les périphéries s’éloignent, le pays se déchire, le centre se crispe. L’Ukraine a certainement laissé passer le moment où jouer la carte du fédéralisme aurait suffi à garantir ses frontières actuelles.

    Près de 90 % des votants au référendum de la région de Donetsk, et 96 % pour la région de Lougansk ont opté pour l’indépendance. Sept millions d’« Ukrainiens » étaient concernés. Mais il faut prendre en compte un autre critère : la participation. Or, les anti-sécessionnistes, c’est-à-dire les partisans de l’unité de l’Ukraine, récusaient ce référendum et appelaient à l’abstention. Selon les « rebelles », comme dit le gouvernement de Kiev, en d’autres termes selon les pro-Russes, la participation a été de 75 %, non sans fraudes massives, comme toujours, aussi bien en Ukraine qu’en Russie, et ce, depuis des décennies. Dans le Donbass, ce qu’on a vu, ce n’est pas la quasi-unanimité de la population, comme en Crimée, basculant du côté russe. Mais la tendance est incontestable : la majorité de la population de ces régions est pro-Russe. Son cœur, mais aussi ses intérêts économiques, notamment ceux des ouvriers, la poussent vers la Russie.

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  • Des policiers chinois en France pour protéger les touristes

    La France étant incapable de faire respecter l'ordre et la sécurité, elle fait appel à la police étrangère :

    "Chouchouter les touristes de l'empire du Milieu. Cet été, des policiers chinois seront présents dans les sites touristiques les plus fréquentés de l'Hexagone. C'est la nouveauté d'un plan plus vaste, lancé comme tous les ans au début de l'été pour la sécurité des visiteurs étrangers. Ces «patrouilleurs» chinois effectueront des rondes afin «de faire de la prévention» auprès de leurs compatriotes face au danger des pickpockets. Un enjeu de taille car les touristes chinois sont, chaque année, de plus en plus nombreux à visiter la capitale et ses enseignes de luxe. Paris, première destination touristique au monde, fait toujours rêver malgré la multiplication des vols et des agressions à leur encontre, Réputés pour avoir d'importantes sommes en liquide sur eux, les Chinois sont une cible privilégiée des pickpockets. Un phénomène qui inquiète les autorités chinoises."

    Michel Janva