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international - Page 1141

  • Poutine veut "lutter contre les terroristes jusqu'à leur élimination totale"

    Après les deux attentats suicide qui ont fait 34 morts à Volgograd dans le sud-ouest de la Russie, le président russe a déclaré mardi que la Russie poursuivrait "la lutte contre les terroristes jusqu'à leur élimination totale".

    Deux jours après les deux attentats de Volgograd qui ont fait 34 morts dimanche et lundi, Vladimir Poutine a fait une première déclaration publique.

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  • Bourbier en R.C.A.

    L’erreur de François Hollande est triple
    Avec les socialistes, nous vivons un éternel recommencement : les moyens militaires sont toujours amputés, le réel n’est jamais pris en compte et les interventions sont décidées au pic des crises… L’exemple de la RCA illustre cette constante.
    A l’heure où ces lignes sont écrites, la situation y est la suivante :
    1) La France a contre elle la minorité musulmane vivant dans le sud du pays. Instrumentalisée par la Séléka, elle accuse l’armée française de partialité. Quant à la majorité sudiste chrétienne, elle reproche à nos forces soit de ne pas la protéger, soit de ne pas lui permettre de se venger…
    2) Le conflit qui était ethnique au départ devient peu à peu religieux, engerbant, en quelque sorte, les composantes ethniques régionales avec tous les risques internationaux qu’une telle évolution implique.
    3) Une guerre dans la guerre menace, car le contingent tchadien réprime les chrétiens cependant que les contingents issus d’autres parties de l’Afrique matraquent les musulmans…
    L’erreur de François Hollande est triple :
    1) La nécessaire intervention française devait se faire il y a un an (voir mes communiqués de l’époque), quand, avec peu de moyens, il était possible de « traiter » rapidement et efficacement les coupeurs de route de la Séléka. Au contraire, l’Elysée laissa à ces derniers tout loisir de prendre Bangui. Puis, devant l’ampleur des massacres, le chef de l’Etat ordonna à nos forces d’intervenir. Mais il était bien tard…
    2) Cette décision d’intervenir fut prise au nom de l’humanitaire -comme si l’Elysée craignait d’avoir une approche trop militaire de l’opération-, et sans qu’il ait été tenu compte des réalités ethno-politiques locales. De plus, aucun règlement politique ne fut prévu en dehors d’un mirage électoral pour l’année 2015. Elections qui ne seront d’ailleurs qu’une nouvelle illustration des rapports de force ethniques puisque l’ethno-mathématique électorale montrera ce tout le monde sait : les ethnies qui composent la Séléka ne représentent qu’environ 5% de la population  du pays. Rien n’aura été réglé pour autant.
    3) Pour cette intervention, nos forces n’ont pas eu d’objectif clair. Entre l’humanitaire et le désarmement des milices, quelle était leur mission? De plus, comment prétendre rétablir la paix dans un pays plus vaste que la France avec seulement 1600 hommes dont plusieurs centaines affectés à la garde de l’aéroport ?
    Alors qu’il fallait donner aux militaires les moyens de sidérer l’adversaire et de saturer l’objectif, les chiches moyens qui leur furent alloués ne leur permirent dans un premier temps que de lancer des patrouilles, non de quadriller, donc de tenir le terrain, seul moyen d’empêcher les massacres. De plus, au moment où l’opération était lancée, il fallut sécuriser la visite du président Hollande en ramenant l’essentiel des troupes dans le secteur de l’aéroport. Des quartiers qui venaient de voir passer des soldats français et dont la population pensait qu’elle était désormais sauvée furent donc de nouveau le champ d’action des tueurs…
    L’impression d’impuissance a été accentuée par le fait qu’au lieu d’être désarmée, but premier de l’opération, la Séléka a au contraire bien voulu accepter d’être cantonnée - du moins pour le moment -, mais en conservant ses armes…
    Pour sortir de ce bourbier, il n’y a que trois issues, toutes trois mauvaises :
    1) Un retrait de nos forces ; mais, outre le fait que la France perdrait toute crédibilité, elle sera plus tard accusée d’avoir laissé se commettre un « génocide ».
    2) Le recours à un volapuk militaire international permettant à Paris de « diluer » les conséquences de l’opération. Outre le fait que les massacres ne cesseront pas, la France sera, quoiqu’il en soit, considérée comme la vraie responsable d’un  éventuel échec.
    3) Le choix d’une option résolument militaire avec envoi de renforts, objectif clairement défini, désignation de l’ennemi et de l’ami, donc emploi de la force contre la Séléka à l’origine du chaos. L’inconvénient de cette option est que les islamistes mondiaux parleront d’une nouvelle « croisade » française contre des musulmans. Par ailleurs, étant donné qu’une grande partie de la force de frappe du Séléka est composée des Janjawid soudanais  de sinistre mémoire, les risques de contagion seront réels.
    Le Blog officiel de Bernard Lugan
    23/12/2013
    Relayé par Secours de France
    http://www.polemia.com/bourbier-en-r-c-a/

  • Belgique, plaque tournante des djihadistes tchétchènes

    La Belgique est devenue le premier pays d’accueil des Tchétchènes en Europe. Ils y sont officiellement environ 11.000, sans parler des clandestins. On les retrouve notamment à Verviers, Liège, Eupen et Arlon mais aussi dans le nord du pays.

    Or, parmi les 120 à 130 musulmans partis de Belgique rejoindre les djihadistes en Syrie, une vingtaine d’entre eux est d’origine tchétchène.

    Il faut se souvenir qu’en septembre 2010, c’est un belgo-tchétchène, Lors Doukaev, qui commet un attentat (raté) à Copenhague.

    Quatre mois plus tôt, à Prague, c’étaient déjà trois islamistes tchétchènes venus de Belgique qui avaient été neutralisés alors qu’ils se trouvaient dans l’hôtel où était descendu Dimitri Medvedev, alors président de la Russie.

    Les Tchétchènes figurent parmi les djihadistes les plus menaçants contre la Russie. En Syrie, ils constituent des troupes aguerries parmi les islamistes les plus fanatiques. Leur financement vient en partie de riches familles jouant des rôles importants dans les pays soi-disant « alliés » comme le Qatar, le Koweït et autres émirats arabes.

    http://medias-presse.info/belgique-plaque-tournante-des-djihadistes-tchetchenes/4555

  • Le père Georges Vandenbeusch est arrivé en France

    La bonne nouvelle du jour c'est l'arrivée ce matin du père Georges Vandenbeusch en France :

    G

    Il a été accueilli à sa descente de l'avion par François Hollande, Mgr Daucourt, une dizaine de proches dont ses parents adoptifs et des membres du diocèse de Nanterre, auquel il est rattaché.

    «Je mesure bien la chance que j'ai. Il y a des otages qui sont restés terriblement longtemps».

    «J'étais sous un arbre pendant un mois et demi. Sept semaines ça fait beaucoup d'heures, quand on est otage et qu'on a rien à faire, rien à lire, personne à qui parler.»

    Le père Georges a dit avoir une pensée pour les six autres otages français dans le monde, et il a remercié le président camerounais Paul Biya pour sa libération. Il a également remercié tous ceux «qui ont prié» pour lui. Il doit passer des examens médicaux à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris.

    Les circonstances de sa libération restent floues. Laurent Fabius assure qu'aucune rançon n'a été versée. «La direction de Boko Haram a décidé de libérer le prêtre par compassion», a affirmé ce mercredi une source du groupe islamiste nigérian, responsable de l'enlèvement.

    «Le prêtre a offert ses services médicaux à des membres du groupe malades pendant sa période de captivité. La direction a ressenti qu'il n'y a avait plus besoin de le garder».

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’armée sécurise Volgograd, les terroristes islamistes ont été identifiés

    Depuis les deux attentats commis à Volgograd, la population locale, effrayée, évite de se servir des transports en commun.

    Le régime renforcé a été introduit à Volgograd et dans plusieurs autres régions russes suite à la menace terroriste islamique, a annoncé le chef du Service fédéral de la sécurité (FSB) Alexandre Bortnikov. « Nous avons pris des mesures supplémentaire de sécurité. Il s’agit notamment des troupes intérieures qui patrouilleront à Volgograd conjointement avec la police », a expliqué M. Bortnikov. Des dizaines de camions transportant des soldats ont fait leur entrée à Volgograd.

    Toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des Jeux olympiques d’hiver de Sotchi ayant déjà été prévues, aucune mesure supplémentaire ne sera mise en place malgré les attentats de Volgograd, a annoncé le président du Comité olympique de Russie Alexandre Joukov

    Terroristes identifiés

    L’attentat commis ce lundi matin contre un trolleybus à Volgograd, dans le sud-ouest de la Russie, est l’œuvre d’un kamikaze membre d’un groupe terroriste du Daguestan, Pavel Petchenkin. Pavel Petchenkin aurait adhéré à cette organisation islamiste en 2012 après s’être converti à l’ islam et avoir pris le nom d’Ansar Ar-russi.

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  • La Russie frappée par deux attentats meurtriers

    Deux attentats meurtriers ont frappé la Russie en moins de 24h.

    Dimanche, quinze personnes ont été tuées et 35 autres blessées dans l’explosion qui a frappé la gare de Volgograd, a déclaré sur les ondes de la chaîne « Rossiya 24″ le gouverneur de la région, Sergueï Bogenov.  

    Le délégué aux droits des enfants, Pavel Astakhov, a de son côté indiqué à la presse qu’un enfant avait trouvé la mort dans cette explosion, déjà qualifiée d’attentat par le Comité national antiterroriste.  

    Le porte-parole du Comité d’enquête de Russie, Vladimir Markine a expliqué que le système de barrière installé à la gare a empêché la femme terroriste kamikaze d’avoir accès à la salle d’attente. Sans quoi le nombre de victimes aurait été bien plus important..  

    Selon le Comité d’enquête, la puissance de l’engin explosif était d’au moins 10 kg d’équivalent TNT.

    L’explosion en question s’est produite dimanche à 12h45 (heure de Moscou) au deuxième étage d’une gare ferroviaire de Volgograd.

    Mais ce lundi matin, c’est un trolleybus qui a explosé dans un attentat commis ici encore à Volgograd (sud de la Russie). Le dernier bilan fait étai de 10 morts et 28 blessés, a annoncé le ministère russe de la Santé publique.

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  • Pour terminer l’année en souriant…

    C’est Libération dans son édition du 29 décembre 2013 qui nous l’apprend : le conflit qui ensanglante le Soudan du Sud est « plus une rivalité de mafieux qu’un conflit ethnique ». Nous voilà donc renseignés nous qui avions naïvement cru que les nilotiques Dinka massacraient les nilotiques Nuer et que tous faisaient tomber leurs machettes sur les occiputs des nilo-sahariens Murle cependant que les Nuba en voulaient aux Dinka de ne pas les avoir rattachés au Soudan du Sud …
    Nous voilà d’autant plus informés que c’est un spécialiste de la question qui l’affirme dans les colonnes d’un quotidien subventionné par nos impôts et qui aurait depuis longtemps disparu des kiosques dans une économie concurrentielle. Ce spécialiste qui a pour nom Marc Lavergne et qui est chercheur au Groupe de recherches et d’études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient du CNRS a longtemps vécu au Soudan. Il sait donc de quoi il parle. Comme Jean-Pierre Chrétien, autre éminent membre du CNRS qui, lui, a longtemps vécu au Burundi, et pour qui Tutsi et Hutu sont des fantasmes racialisants inventés par les missionnaires et les colons.  
    En plus de sa profonde connaissance de la région, Marc Lavergne sait ne pas être prisonnier d’un paradigme. Le 16 juillet 2004, il expliquait ainsi que « le conflit du Darfour n’est pas racial ». Quant aux janjawid qui massacraient les populations, ils n’étaient rien d’autre que des victimes. En effet ces « miliciens sont tout simplement des gens prolétarisés. Ils se retrouvent sans travail, le gouvernement  les arme et leur dit vous pouvez faire ce que vous voulez, voler, piller ».

  • Propriété intellectuelle : la Commission outrepasse son mandat en négociant avec les industriels américains

    Aujourd’hui, une nouvelle fuite dans le cadre des négociations commerciales vient nous éclairer sur le travail mené par la Commission européenne en matière de propriété intellectuelle.

    Elle provient du site internet du groupe Core Group des Verts du Parlement européen (chargé des questions liées à l’Internet). Ces derniers rendent publics un certain nombre d’archives électroniques.

    Ce rapport de « première-main », traduit ci-dessous, nous fournit des informations jusqu’alors inconnu de ce que le TTIP pourrait contenir sur les droits de propriété intellectuelle. Alors que la Commission avait jusqu’ici donné l’information que le TTIP toucherait peu à ces questions, les négociateurs travailleraient directement pour les intérêts industriels. A ce titre, ils récolteraient les nombreuses doléances (« Christmas list ») et outrepasseraient ainsi leur mandat. Enfin, les représentants de l’UE conseilleraient que la société civile soit maintenue hors du débat public.

    Lors d’une réunion – non officielle – le 5 décembre, le responsable de la Commission Européenne en charge des question de propriété intellectuelle dans le TTIP, Pedro Velasco Martins, a rencontré des représentants de grandes entreprises afin de proposer de nouvelles règles sur la propriété intellectuelle dans le prochain traité économique entre l’UE et les États-Unis.

    Se tenant dans les bureaux de la Chambre américaine de commerce à Bruxelles, la réunion avait pour objet – durant deux heures – d’élaborer des stratégies entre les entreprises et la Commission afin de veiller à ce que le niveau le plus élevé des restrictions IP soit inclus dans le traité. Étaient présents à la réunion des représentants d’un panel de grandes multinationales. Parmi ceux-ci : TimeWarner, Microsoft, Ford, Eli Lilly, AbbVie (pharmaceutique, anciennement Abbott) et le conglomérat LVMH. La liste des participants comprenait également des représentants de Nike, Dow, Pfizer, GE, BSA et Disney – entre autres. Était également présent Patrice Pellegrino de l’OHMI, l’agence de l’UE responsable des marques dans l’UE.

    C’est un là un point très controversé : le négociateur de la Commission, prétendument neutre, ainsi que le représentant de l’OHMI, se sont non seulement définis comme alliés des lobbyistes, mais ils sont allés bien au-delà et ont commencé à indiquer aux représentants les détails sur la façon dont ils devraient faire campagne pour « éduquer » le public afin de maximiser leurs résultats en matière de « droits de monopole industriel ». En particulier, les préoccupations des élus, comme le Parlement européen – ainsi que de la société civile de plus en plus critiques sur les droits de propriété intellectuelle – devaient être maintenues hors du débat public.

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  • Olivier Delamarche - 30 Décembre 2013 - BFM Business 30 12 2013

  • La Cour européenne des droits de l’homme : on peut contester tous les génocides sauf celui de la Shoah

    Poursuivre en justice une personne et la condamner parce qu’elle a nié le génocide arménien de 1915 est une atteinte à la liberté d’expression, a tranché mardi la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), donnant raison à un Turc condamné en Suisse.

    « Le libre exercice du droit de débattre ouvertement de questions sensibles et susceptibles de déplaire est l’un des aspects fondamentaux de la liberté d’expression », ont rappelé les juges de Strasbourg, qui en conséquence ont condamné Berne pour avoir violé la liberté d’expression du requérant.

    Cet arrêt n’est pas définitif. Les autorités helvétiques ont trois mois pour le contester en demandant un nouvel examen de cette affaire, ce que la CEDH n’est toutefois pas tenue de leur accorder.

    La Cour avait été saisie par le président du Parti des travailleurs turcs, Dogu Perinçek, une petite formation de gauche. L’intéressé avait été condamné à une amende par la justice suisse, en 2007, pour avoir, « animé par des mobiles racistes, nié le génocide arménien à trois reprises, lors de conférences tenues en Suisse en 2005?.

    Dogu Perinçek avait qualifié le génocide arménien de « mensonge international » et avait nié, à propos des massacres et déportations ayant entraîné la mort de centaines de milliers d’Arméniens en 1915, la volonté génocidaire de l’Empire ottoman.

    Suite sur wikibusterz.com

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme-peut-contester-tous-les-genocides-sauf-celui-de-la-shoah_94577.html