Cette infographie fournie par la BBC concernant l’enrichissement des politiciens ukrainiens entre la seule période de février 2022 à décembre 2022 est très révélatrice.
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Cette infographie fournie par la BBC concernant l’enrichissement des politiciens ukrainiens entre la seule période de février 2022 à décembre 2022 est très révélatrice.
Donc, on parle d'un corps expéditionnaire, en Ukraine.
Et pas qu'un peu, pensez, 2000 hommes. "Poutine" va avoir peur de ces français de la Légion des Volontaires Français.
Côté russe, on parle de la légion étrangère, donc des mercenaires dont la perte pour Paris ne serait donc pas si grave, et tenir, pour les troupes occis-dentales, soit la frontière biélorusse, dont on sait de source sûre qu'elle va être franchie, mais on ne sait pas dans quel sens.
En effet, un mouvement populaire "spontané"pourrait avoir lieu en Biélorussie, renversant le gouvernement, sans penser, bien sûr que l'armée Biélorusse est loin d'être négligeable dans un premier temps et qu'une toute petite armée russe, de quelques 300 000 hommes est aussi massée sur sa frontière. Armée, dite "de la garde", donc, armée d'élite.
Les néoconservateurs ont lancé leur probable dernière tentative pour sauver leur projet en Ukraine.
Sous l’impulsion de Luttwak, un larbin néoconservateur du Sénat est intervenu :
«Le sénateur Lindsey Graham (R-S.C.) a appelé lundi les législateurs ukrainiens à adopter rapidement un projet de loi de mobilisation qui rendrait davantage de citoyens éligibles à l’enrôlement dans l’armée, et il a vivement remis en question le fait d’exempter les hommes de moins de 27 ans du combat.
Février 2024 : Accord de coopération en matière d’insécurité entre la France et l’ex-Ukraine
par Mendelssohn Moses
Pour nous mettre dans l’état d’esprit : Frank Middlemass en Maréchal KUTUZOV
BBC, «Guerre et Paix», 1972, Episode 13 –
De 16 mins. à 18min50, arrivée de Kutuzov qui prie sur le champ de bataille
• https://www.youtube.com/watch?v=bn76jtlMHfo
• et pour la version de Bondarchuk (URSS) https://www.youtube.com/watch?v=bIij-KQ0jYU
Attention : Ainsi qu’indiqué dans son précédent article, Mendelssohn Moses n’ayant aucune formation en droit constitutionnel ou droit interne français, il espère des avis qualifiés.
Cependant et en se basant sur les seuls principes généraux, il se permettra ici de relever la farfouille, la mauvaise foi et l’étrangeté transparaissant dans ce prétendu Accord de sécurité (ci-après, l’Accord), qui pour ses rédacteurs manifestement américanophones, se résume à une liste d’emplettes passée par le complexe militaro-industriel US (MIC) à la Micronie. Tout parlementaire français ayant lu cet Accord aurait refusé de l’approuver, ce qui tend à prouver que rares sont ceux qui l’ont lu. Après tout, il n’est question que de mort d’homme.
Ainsi, vouée à la destruction à l’instar de l’ex-Ukraine, la France est désormais le «proxy» désignée à se sacrifier pour que Vive la MIC éternellement.
La guerre en Ukraine est sans aucun doute la plus filmée. Filmée par les satellites, filmée par les drones russes comme ukrainiens, filmée par les téléphones portables des civils comme des militaires. Filmée aussi ce qui est nouveau par les « bodycam » ces caméras comme le GoPro que vous pouvez porter sur vous pour filmer votre guerre.
Jamais une guerre n’a été aussi filmée.
Pourtant, jamais vous n’en avez vu si peu.
Et pour cause.
Cette guerre est effroyable. Terrifiante. Pour les Russes, comme pour les Ukrainiens.
Ces vidéos ne sont pas diffusées sur les grands médias, et pour cause, elles seraient de nature à calmer les ardeurs guerrières de tous nos bellicistes de plateaux qui sont si prompts à nous envoyer à la boucherie.
Le président russe Vladimir Poutine après avoir pris un vol à bord d'un avion militaire, le 22 février
Perturber l’élection présidentielle russe et créer une atmosphère de faiblesse autour de Poutine est précisément ce que les services de renseignement américains chercheraient à engendrer.
Le but de ces attaques était clair : perturber les trois jours de l’élection présidentielle russe en créant autour du président Vladimir Poutine une atmosphère de faiblesse et d’impuissance destinée à saper son autorité, sa légitimité et son attrait dans l’isoloir.
L'opération a duré des mois de planification et a impliqué le Corps des volontaires russes (RDK), la Légion de la liberté de Russie (LSR) et le bataillon de Sibérie. Ces trois organisations sont contrôlées par le GUR, dont le porte-parole a annoncé les attaques.
par Ekaterina Blinova
Lors d’un point de presse sur le résultat de l’élection de 2024, Vladimir Poutine, fraîchement réélu, a affirmé que la Russie pourrait être contrainte de créer une «zone tampon» dans les territoires actuellement contrôlés par le régime de Kiev.
Le président Vladimir Poutine a déclaré dimanche aux journalistes qu’une éventuelle «zone tampon» pourrait être créée pour empêcher Kiev de bombarder les territoires russes avec les armes de l’OTAN en sa possession.
Plus tard dans la journée, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a précisé que la mesure proposée par le président serait nécessaire pour contrecarrer les frappes continues d’artillerie et de drones menées par le régime de Kiev contre les zones résidentielles et les installations civiles de la Russie.
par Jacques Martinez
Si 8 généraux parmi 12 signataires, certes proches de la retraite, se permettent de déclarer au grand jour leur totale opposition à la position réitérée jeudi soir par le président de la République, combien y-a-t-il, dans notre pays, de dizaines de généraux ayant le même point de vue dont un nombre important de hauts gradés eux en activité et surtout, certains, à la tête de régiments les plus en pointe en cas de conflit, régiments essentiels à une guerre telle celle souhaitée par l’occupant élyséen !
Cour Internationale de Justice : Double retour de bâton pour l’Ukraine suite à ses plaintes contre la Russie
Entre le 31 janvier 2024 et le 2 février, l’Ukraine et ses soutiens occidentaux ont dû essuyer les contre coups juridiques infligés par la Cour internationale de Justice (CIJ)(1).
Le 31 janvier tout d’abord, la CIJ a statué sur une affaire intentée par Kiev contre la Russie en 2017, qui accusait Moscou de présider une campagne de « terrorisme » dans le Donbass, y compris la destruction du MH17 en juillet 2014. La Russie était en outre accusée d'avoir exercé une discrimination raciale à l'encontre des résidents ukrainiens et tatars de Crimée après sa réunification avec Moscou. La CIJ a dans un premier temps rejeté sommairement la plupart des accusations.