
Le président Donald Trump a suspendu le financement et les opérations du National Endowment for Democracy, une entité qui s’immisce dans les pays et les élections partout dans le monde au nom de la «promotion de la démocratie».
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Le président Donald Trump a suspendu le financement et les opérations du National Endowment for Democracy, une entité qui s’immisce dans les pays et les élections partout dans le monde au nom de la «promotion de la démocratie».
Quitter la Bretagne pour fouler les terres argentines n’aurait dû être qu’une formalité, un enchaînement bien huilé de trajets ferroviaires et aériens. Pourtant, le voyage a pris une tournure bien plus rocambolesque. Parti de de Redon, j’atteignis Nantes pour y prendre un vol vespéral à destination d’Amsterdam, première étape avant le grand saut transatlantique.

Trump et Poutine se sont entretenus hier durant une heure et demie, le Tsar profitant de l’occasion pour inviter le président des Etats-Unis à Moscou. Depuis la visite d’Obama en Russie en 2013, aucun président américain n’est revenu dans le pays.
Voici les grandes lignes qui semblent se préciser :
– la paix et la fin du « massacre » sont une priorité pour la Maison-Blanche
– Trump est en accord avec Poutine pour établir les conditions d’une paix durable
– pas de troupes américaines en Ukraine
– pas d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan (Mark Rutte en a avalé son chapeau)


par Pierre Duval
L’appel téléphonique de Trump à Poutine le 12 février a semé la peur et l’horreur à Kiev et dans les capitales européennes. Le président américain a effectivement commencé à normaliser ses relations avec la Russie. Trump a parlé à Poutine au téléphone sans s’entendre au préalable sur les détails avec l’Ukraine, et a annoncé plus tard que les pourparlers pour mettre fin à la guerre commenceraient «immédiatement».

Le 24 février 2025, cela fera 3 ans que le conflit russo-ukrainien a débuté. Un conflit où de nombreuses forces géopolitiques agissent, plus ou moins en sous-main. Mais pour quels motifs ? Quelles sont les véritables raisons de cette guerre en Ukraine ?


par Vladimir Mashin
La stagnation de l’économie européenne au cours des trois dernières années est due à plusieurs raisons, mais le problème principal réside dans l’abandon du gaz russe relativement bon marché et le passage à d’autres sources d’énergie, en raison du ralentissement économique.
Les sanctions antirusses et l’affectation de grandes quantités de fonds pour le soutien financier et militaire à l’Ukraine ont divisé l’Union européenne.
Le second mandat de Donald Trump à la Maison-Blanche s’annonce comme un tournant dans les relations transatlantiques.
L’arrivée d’une nouvelle administration nourrit souvent l’espoir d’un apaisement, notamment dans l’application extraterritoriale du droit américain. Pourtant, la réalité est plus contrastée. Derrière le discours diplomatique, les États-Unis poursuivent leur politique juridique agressive, imposant leur vision du droit au-delà de leurs frontières et mettant sous pression les entreprises européennes. Cette situation pose une question fondamentale : l’Europe est-elle capable de riposter et de protéger efficacement ses intérêts économiques ?

L’ère du vide dont Lipovetsky analysait l’avènement en se montrant inquiet, sans sombrer dans le catastrophisme, est à son apogée. Loin de nous entraîner dans la plénitude d’un individualisme revigorant nous découvrons abasourdis que le vide a versé vers le néant, avec une inversion complète des concepts et des valeurs. Notre société en est malade, et les fossoyeurs sont ceux qui maintiennent l’illusion d’une richesse en devenir, soit par profonde conviction d’être dans le vrai, soit par simple corruption, sous forme d’aides financières, comme les journalistes, ou grâce à des postes, des places, qu’ils s’offrent, en échange d’une servitude volontaire et absolue, à l’instar de Ferrand en passe de diriger le Conseil Constitutionnel. Les premiers, conscients de leur bassesse tentent de retrouver une virginité en faisant la promotion de leur profession comme sur TF1, où nous avons assisté à la pathétique scène du « faites-nous confiance, nous on est des vrais journalistes, des bons », sous l’œil bienveillant, quoique inquiet, du pauvre Gilles Bouleau qui, silencieux, devait penser aux révélations sur les agissements de l’USAID et les fonds versés notamment à l’AFP pour contrôler l’information : entre 2017 et 2024, plus de 8 millions de dollars ont été encaissés.