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Effondrement de l’Ukraine et Zelensky : les médias crachent le morceau !
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Général Pinatel : «Nous avons une bonne armée, mais elle n’est pas prête à faire la guerre en Ukraine»
par Paolo Garoscio
Entretien avec le Général Jean-Bernard Pinatel.
Quel est vraiment l’état de la Défense française aujourd’hui ?
Il faut tout d’abord commencer par un aspect qui est le point fort et le socle de notre défense depuis sa création : notre force nucléaire stratégique dont la mission est de dissuader tout agresseur potentiel de s’en prendre à nos intérêts vitaux notamment par une attaque directe de notre territoire. Il est important de bien comprendre cela : le risque nucléaire est un risque tellement important qu’il assure pleinement son rôle dissuasif. J’ai personnellement assisté, en tant que chargé de la sécurité des essais nucléaires dans le Pacifique en 1971-73, à cinq tirs aériens d’une puissance à peu près équivalente à Hiroshima. Je peux vous assurer que même à 6 miles du point zéro, l’effet est terrifiant. Et si Poutine, mis en difficulté, utilisait une arme nucléaire sur le champ de bataille la guerre s’arrêterait immédiatement. C’est pour cela que Biden dès le 24 février 2021 a donné à son staff et au Pentagone la consigne suivante : «pour s’assurer que l’Ukraine ne soit pas vaincue et que l’Amérique ne soit pas entraînée dans une confrontation avec la Russie».1.
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Macron champion international de l’impopularité, loin devant Biden
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L’éventualité d’une guerre mondiale est-elle réelle ?
par Serge Marchand et Thierry Meyssan
Une guerre atomique est possible. La paix du monde est suspendue au doigté des États-Unis que les «nationalistes intégraux» ukrainiens et les «sionistes révisionnistes» israéliens font chanter. Si Washington ne livre pas des armes pour massacrer les Russes et les Gazaouis, ils n’hésiteront pas à lancer l’armageddon.
Les guerres en Ukraine et à Gaza ont conduit plusieurs responsables politiques de premier plan à comparer la période actuelle avec les années 1930 et à évoquer la possibilité d’une Guerre mondiale. Ces craintes sont-elles justifiées ou s’agit-il d’une rhétorique visant à faire peur ?
Pour répondre à cette question, Nous allons résumer des évènements ignorés de tous, quoique bien connus des spécialistes. Nous le ferons sans passion, au risque de paraître indifférents à ces horreurs.
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Etats-Unis : Le sénateur Mike McDonnell quitte le parti démocrate après avoir été blâmé pour sa foi catholique
Lors d’une conférence de presse annonçant son adhésion au Parti républicain, le sénateur du Nebraska Mike McDonnell a déclaré que les démocrates l’avaient puni parce qu’il était catholique et pro-vie.
“J’ai demandé au parti démocrate du comté de Douglas de respecter le fait que je suis pro-vie, que je suis membre de l’Église catholique romaine. Mes convictions sont basées sur cela”.
Il a donné des précisions dans une déclaration écrite :
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La Russie a envoyé au président français Macron un ensemble de soldats et de voitures jouets avec ce message
par Tyler
La Russie a envoyé au président français Macron un ensemble de soldats et de voitures jouets.
La garde nationale Russe a apporté un colis à l’ambassade de France, avec des petites figurines de soldats et de petites voitures avec ce message :
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Le plan « secret » (devenu public) de Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine !
C’est un article, très long du très sérieux Washington Post qui publie ses « révélations » sur le plan secret de Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Je vous donne la traduction de cet article, et pour résumer rapidement les choses, disons, que Trump veut négocier la partie russophone de l’Ukraine et de la Crimée pour la Russie et le reste de l’Ukraine soit rester indépendante.
Les « bellicistes », avancent que faire pression sur l’Ukraine pour qu’elle cède ses terres récompenserait Poutine et le pousserait à d’autres guerres, ce qui est vraisemblablement faux. Vu les coûts humains, matériels et financiers de la guerre en Ukraine, où la Russie n’affronte « que » l’Ukraine, je vous laisse imaginer si Poutine devait affronter l’ensemble des troupes de l’Otan. Ce serait pour le moins compliqué.
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Il y a 25 ans, l’OTAN bombardait la Serbie
Par Antoine de Lacoste
Les Américains sont des professionnels de la guerre. Lorsqu’elles sont déclarées légales par l’ONU (c’est rare mais cela peut arriver, comme en Corée en 1950), ils organisent l’intervention souhaitée avec un mandat en bonne et due forme. Le plus souvent, ce n’est malheureusement pas le cas et c’est alors l’OTAN qui organise l’attaque contre la cible choisie. Il y a un savoureux stade intermédiaire qui consiste à obtenir un mandat de l’ONU sur la base d’un but de guerre précis qui est modifié en cours de route. Le cas de la Libye en est le plus bel exemple de ces dernières années.
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Quels scénarios pour l’armée française dans le conflit ukrainien ?
Emmanuel Macron souhaite envoyer des troupes françaises en Ukraine. Mais la France dispose de peu d’options, constate le quotidien suisse Neue Zürcher qui a cité quatre scénarios possibles.
La France ne peut participer au conflit en Ukraine qu’à une «échelle limitée», a annoncé le quotidien suisse Neue Zürcher Zeitung. Deux divisions terrestres de 20 000 soldats chacune sont mobilisables. Avec cette armée «en miniature», les options sont limitées :
• déployer le contingent au nord de Kiev «afin de prévenir une invasion depuis la Biélorussie», l’armée ukrainienne pourrait alors transférer certaines de ses unités sur les fronts Est et Sud ;
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Des anciens de la CIA, de l’armée et du FBI lancent à Biden un appel solennel : Macron peut entrainer les États-Unis et l’humanité dans la guerre nucléaire
La France pourrait conduire le peuple américain sur la voie d’un conflit nucléaire qui ne serait décidément pas dans l’intérêt du peuple américain – ni de l’humanité elle-même, prévient VIPS le président Joe Biden.
MÉMORANDUM D’ALERTE POUR : Le président
DE : Professionnels du renseignement vétéran pour la santé mentale
OBJET : Au bord de la guerre nucléaire
Monsieur le Président :
La France se préparerait à envoyer une force d’environ 2000 soldats – en gros une brigade renforcée construite autour d’un bataillon blindé et de deux bataillons mécanisés, avec des troupes de logistique, d’ingénierie et d’artillerie en soutien – en Ukraine dans un avenir pas si lointain.