Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 269

  • Les troupes polonaises entreront dans l’Ukraine

    21.08.2023

    observateurcontinental.fr

    Le parti au pouvoir Droit et Justice (PiS) prépare les Polonais à «mourir pour la liberté» afin de s’emparer du territoire de leurs voisins. 

    Une autre nation est préparée à être envoyée à la guerre. Le gouvernement polonais organise régulièrement des défilés militaires avec des slogans bien connus: la défense de la démocratie et la mort honorable pour la liberté. «Il ne fait aucun doute que le Premier ministre et d’autres décideurs seront prêts à envoyer des soldats polonais sur le front ukrainien au nom de la défense de la patrie contre la menace russe imaginaire. Le nombre de morts ne signifie rien pour eux», a déclaré Michał Radzikowski, un journaliste bien connu. Le budget de la défense du pays pour cette année représente déjà 4% du PIB, et des commandes militaires ont été passées pour 117 milliards de dollars jusqu’en 2035. 250 chars Abrams ont été commandés aux États-Unis et 800 chars de combat K2 à la Corée du Sud. 

    Lire la suite

  • Donald Trump vante son bilan et confirme qu'il ne participera pas aux débats des primaires républicaines

    thumb_25230_article_slider.jpg

    Le show télévisuel sans Trump. 

    Dimanche, l’ancien Président et désormais candidat à la présidentielle a annoncé ne pas participer aux débats des candidats à l’investiture républicaine. Argument avancé : le public le connaît et sait déjà que sa présidence a été une réussite. D’autre part, il affirme ne pas voir l'intérêt de débattre avec des candidats crédités de 1 ou 2%. Il est vrai que Donald Trump est crédité de 62% d’intentions de vote pour les primaires et que même son principal rival, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, est largement distancé avec 46 points derrière.

    Actu en Bref du JT 21/08/2023

    https://tvl.fr/actus/donald-trump-vante-son-bilan-et-confirme-qu-il-ne-participera-pas-aux-debats-des-primaires-republicaines

  • Qui sont ces « inconnus » qui incarnent le nouvel ordre mondial ?

     Par Jean-Yves Jézéquel pour Mondialisation.ca

      

    Dans cet article, je voudrais faire l’effort d’identifier clairement les personnes qui se trouvent derrière ces groupes « tout-puissants » qui prétendent nous imposer leur Nouvel Ordre Mondial.

    Mais avant de savoir qui fait quoi, qui est derrière telle ou telle organisation, commençons tout d’abord par constituer le puzzle de ces organisations afin d’y voir plus clair ; afin de comprendre comment cette toile d’araignée totalitaire s’est tissée tranquillement avec l’approbation ignorante des peuples !

    Première Partie

    1 – Commission Trilatérale

    En juillet 1973, les mondialistes créaient un parti politique transnational, une organisation de contrôle et de décisions politiques, économiques et policières, voire militaires, la Commission Trilatérale. Les fondateurs : David Rockefeller, Henry Kissinger, Zbigniew Brezinski, notamment… 

    Lire la suite

  • Les braves guerriers par procuration occidentaux continuent de se plaindre que les troupes ukrainiennes sont des lâches

    Alors que l’on ne cesse d’apprendre que la contre-offensive ukrainienne qui a débuté en juin ne se déroule pas comme prévu, le New York Times a publié un article intitulé «Troop Deaths and Injuries in Ukraine War Near 500,000, U.S. Officials Say» (Décès et blessures de soldats en Ukraine près de 500 000, selon des responsables américains).

    Le New York Times rapporte que les efforts ukrainiens pour reprendre les territoires occupés par la Russie se sont enlisés dans les champs de mines russes denses sous le feu constant de l’artillerie et des hélicoptères de combat, et que les forces ukrainiennes ont changé de tactique en utilisant l’artillerie et les missiles à longue portée au lieu de plonger dans les champs de mines sous le feu de l’ennemi.

    Ensuite, l’article devient vraiment bizarre :

    Lire la suite

  • [L’œil américain] Donald Trump, Hunter Biden : la bataille des inculpations

    Et de quatre pour Donald Trump avec, cette semaine, une nouvelle inculpation en lien, comme la fois précédente, avec des accusations de tentatives de modification des résultats électoraux lors de la présidentielle de 2020 mais, cette fois-ci, non pas au niveau fédéral mais dans le cadre de l’État de Géorgie.

    Lire la suite

  • Comment l’opération spéciale a fait de la Russie la cinquième économie mondiale

    Selon la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), en 2022, la Russie a dépassé l'Allemagne pour devenir la cinquième économie mondiale. Le fait est que la perte de Moscou en tant que clé pour la prospérité économique de l'Europe a été dévastatrice pour le continent. 

    Lire la suite

  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)

    *

    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    L’alliance occidentale avec le néonazisme

    Il est donc clair que l’alliance scellée entre les Occidentaux et les néonazis ukrainiens va bien très au-delà de ce qu’on appelle généralement une «alliance objective», à savoir la situation où se trouvent  parfois deux forces politiques ou étatiques qui, à un moment donné, peuvent avoir le même but sans pour autant s’être concertées ou officiellement alliées. Avec le néonazisme ukrainien, le camp occidental a été bien plus loin que ce type d’alliance : il a fait de Svoboda un partenaire fréquentable. Et, ce qui n’est guère moins déshonorant, il a menti sur sa nature pour rendre présentable auprès de l’opinion ce rapprochement avec un parti néonazi. Laurent Fabius est à cet égard un cas d’école. Acte un, il a un entretien officiel avec le chef de ce parti, Oleh Tiagnibok, et ses alliés «démocrates ukrainiens» ; acte deux, il prétend que Svoboda n’est pas d’extrême droite alors qu’il s’agit d’un parti néonazi. Politique de dédiabolisation sinon de réhabilitation d’un parti néonazi à laquelle Catherine Ashton, parmi d’autres, a elle-même participé comme nous l’avons vu plus haut. L’Occident a donc très officiellement offert aux forces nazies ukrainiennes cette récompense des plus précieuses en politique : une «respectabilité», autrement dit l’onction que représentent des entrevues officielles avec les grands du monde occidental et une alliance avec des partis que l’Occident présente invariablement comme incarnant les «valeurs européennes». Sans parler des ministères et postes sensibles sur les plans militaire et sécuritaire que le parti néonazi a obtenus une fois la victoire acquise, comme ce sera le cas après le putsch du 20 février. Ajoutons qu’une «respectabilité», ça se traduit tout naturellement par un accroissement du pouvoir politique. Sauf que lorsqu’on offre la première, on est nécessairement complice du deuxième. On nous accordera que lorsqu’un ou plusieurs États font ces faveurs à un mouvement politique, ils vont très au-delà de ce qu’on appelle une «alliance objective». 

    Lire la suite

  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)

    *

    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    Un ballet à Maïdan

    Mais revenons aux évènements tels qu’ils se déroulent à Kiev entre la fin novembre 2013 et le putsch du 20 février 2014. A Maïdan, les manifestations redoublent en effet après le refus du président Ianoukovitch, de signer le plan de l’UE. Si ces manifestations ont un caractère massif incontestable, elles ne signifient pas pour autant que la majorité des Ukrainiens les soutiennent, même si les médias occidentaux cherchent à en donner l’illusion. En fait, seuls 35% désapprouvent la décision de Ianoukovitch de refuser le plan de l’UE. La forte mobilisation est en fait celle d’une partie de l’Ukraine, celle de l’Ouest, qui veut l’emporter contre l’autre, celle de l’Est. Quant à la décision de V. Ianoukovitch de ne pas signer ce plan, contrairement aux dires médiatiques, elle n’était pas définitive. Il s’agissait pour lui de prendre le temps d’étudier un accord complexe pour cerner les risques économiques du plan de l’UE pour l’Ukraine et évaluer les compensations européennes nécessaires pour le démantèlement des industries que le plan de l’UE aurait inévitablement provoqué. Comme l’écrit justement Jean Géronimo dans L’Humanité du 7 février 2014: «Contrairement à la rumeur médiatique, il ne s’agit pas d’un rejet de l’Europe mais d’une demande de reformulation de cet accord (qui est) politiquement non neutre et économiquement suicidaire pour l’Ukraine»1.   

    Lire la suite