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international - Page 269

  • Face à la guerre, les Français doivent être écoutés, par Ivan Rioufol

    refugiés ukraine

    L’Europe, c’est la guerre. Ceux qui louangeaient la paix édifiée par l’Union européenne en viennent à souhaiter l’affrontement avec la Russie, sans égard pour les peuples et leurs avis. Une même inconséquence dicte le comportement des européistes les plus fanatiques. D’un coté, ils avalisent l’importation du wokisme et l’islamisme, deux idéologies qui ébranlent la société occidentale ; de l’autre, ils s’aveuglent dans une russophobie qui risque de conduire à une troisième guerre mondiale. Vladimir Poutine est assurément l’agresseur de l’Ukraine, comme l’Azerbaïdjan est l’envahisseur de territoires arméniens.

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  • Les routes de l'esclavage

    230131

    En cette journée où certains Français persistent à défiler aux côtés des communistes, il n'est pas inutile de revenir sur les brillantes performances de leurs prédécesseurs du XXe siècle. Car  les gens qui parlent le plus bruyamment d'Égalité, d'Humanisme et de Progrès se trouvent, quand ils accèdent au pouvoir, au premier rang de ceux qui, dans la pratique, contribuent aux formes modernes de l'esclavage.

    Cet apparent paradoxe s'explique peut-être par la croyance en l'Homme-Machine, chère à un matérialiste comme La Mettrie, car dès lors que l'homme se réduit à une force de travail et que son esprit peut s'incarner dans l'intelligence d'un robot rien n'interdit de le ravaler au rang de bête de somme au service de la Déesse Raison.

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  • Si la troisième guerre mondiale éclate, les chars ou les avions de chasse n’auront pas d’importance : Kremlin

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    Après avoir obtenu l’accord de l’Occident pour les chars de combat qu’il demandait depuis longtemps aux États-Unis et à l’Allemagne, le président ukrainien Volodymyr Zelensky fait déjà pression sur ses bailleurs de fonds extérieurs pour obtenir des systèmes avancés supplémentaires et spécifiques.

    Dans son discours de samedi soir, il a plaidé en faveur de la livraison du système de missiles tactiques de l’armée américaine, connu sous le nom d’ATACMS, afin de protéger les villes éloignées de la ligne de front. « Il ne peut y avoir de tabou dans la fourniture d’armes pour se protéger de la terreur russe », a-t-il déclaré.

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  • L’UE va commencer à fournir de la « chair à canon » à Zelensky

    Par rapport à ce que décrit cet article et la vraie question qu’il pose : à savoir si les pays d’accueil vont livrer au recrutement forcé leurs réfugiés ? Cela semble concerner plus précisément ceux dont les gouvernements ne masquent pas leur volonté d’entrer en guerre, comme les pays baltes et la Pologne. Si pour le moment, on considère l’accueil des réfugiés ukrainiens en France, non pas ceux dont une vidéo récemment racontait les agapes à Courchevel ou dans les belles villas de la côte d’Azur (ceux-là risquent d’avoir longtemps un traitement de faveur) mais ceux que je vois à Marseille : personne n’a encore fait le lien entre ces « patriotes et leur volonté de fuir les combats », le maire Payen, qui manifeste un enthousiasme en faveur de l’engagement français, poursuit sa prodigalité, la nôtre avec nos impôts. Après les avoir accueillis dans un navire de croisière, ils sont désormais dans des hôtels et bénéficient d’un traitement de faveur par rapport aux autres migrants, 40 euros par personne et par jour, logés et ayant à leur disposition un centre spécial à Velten où tous les jours un traiteur livre des repas de qualité, et où à l’inverse des SDF dont la ville regorge, ils sont accueillis par un personnel dévolu à leur seul usage. Ce sont pour la plupart des gens jeunes, il y a des enfants, des femmes mais beaucoup d’hommes en âge de faire l’armée et dont la police se plaint comme des individus ingérables. Mais effectivement si la guerre par procuration s’accélère est-ce que l’idée viendra de joindre au matériel létal cette chair à canon pour le moment à l’abri, ce que je ne saurais regretter, seulement qu’ils soient les seuls à être considérés comme des êtres humains alors que s’entassent dans des conditions inhumaines des réfugiés provenant de pays dans lesquels nos armées sont directement impliquées.

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  • L’armée ukrainienne risque d’être encerclée à Bakhmout sous peu

    Dans l’article précédent, j’ai écrit que l’armée russe a pris deux mesures importantes pour modifier l’équilibre des forces en Ukraine. Le premier fut le retrait de la région de Kherson, au sud du Dniepr (sur une ligne qui ne peut être franchie par les Ukrainiens) et la stabilisation de la ligne de défense sur l’axe Kupyansk-Kreminna.

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  • Un Empire paniqué tente de faire à la Russie une « offre qu’elle ne peut pas refuser »

    Conscients que la guerre entre l’OTAN et la Russie risque de se terminer de manière défavorable, les États-Unis testent une offre de sortie. Mais pourquoi Moscou devrait-il prendre au sérieux les propositions indirectes, surtout à la veille de sa nouvelle avancée militaire et alors qu’il est dans le siège des vainqueurs ?

    Ceux qui sont derrière le Trône ne sont jamais aussi dangereux que lorsqu’ils ont le dos au mur.

    Leur pouvoir s’éloigne, rapidement : Militairement, via l’humiliation progressive de l’OTAN en Ukraine ; financièrement, tôt ou tard, la plupart des pays du Sud mondial ne voudront plus avoir affaire à la monnaie d’un géant voyou en faillite ; politiquement, la majorité mondiale prend des mesures décisives pour cesser d’obéir à une minorité de facto rapace et discréditée.

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  • Moscou interdit l’exportation aux pays qui plafonnent les prix à partir du 1er février.

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    La Russie va interdire, à partir du 1er février, la vente de son or noir aux pays qui ont décidé de plafonner le prix du pétrole russe à 60 dollars le baril.

    Une décision qui intervient après l’entrée en vigueur, le 5 décembre dernier, de l’embargo européen sur le pétrole brut russe, en plus de la mesure concernant le plafonnement du prix du pétrole russe.

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  • Avec ou sans chars Abrams et Leopard, l’Occident envoie l’Ukraine droit dans le piège russe

    L’armée russe a pris deux mesures importantes pour modifier l’équilibre des forces en Ukraine. Le premier fut le retrait de la région de Kherson, au sud du Dniepr (sur une ligne qui ne peut être franchie par les Ukrainiens) et la stabilisation de la ligne de défense sur l’axe Kupyansk-Kreminna.

    Dans un deuxième temps, le PMC Wagner a pris l’initiative de lancer une offensive de moyenne envergure dans la région de Bakhmout. Peu après, des offensives plus modestes des forces opérationnelles russes « Sud » et « Est » ont eu lieu au sud de Bakhmut dans 5 directions entre Donetsk et Ouglidar1.

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  • La Russie obtient le plus grand dépotoir d'Europe

    Un soldat russe observe les ruines de Marioupol alors que le terrible siège de la ville semble toucher à sa fin.

    Par Peter Haisenko 

    La guerre et la protection de l'environnement sont incompatibles.

     Même en temps de paix, les armées sont parmi les plus gros pollueurs. Mais s'il y a un conflit armé, la zone touchée devient un immense dépôt de ferraille, de déchets toxiques et d'héritages meurtriers.

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  • Mourir pour Kiev et l’Amérique ? Vers la guerre totale et nucléaire

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    Marc Rousset

    Le 14 janvier 2023 est une date qui représente un tournant dans la guerre en Ukraine, les forces Wagner s’étant emparée de la ville de Soledar, ce qui pourrait entraîner une vaste offensive vers l’Ouest. Depuis lors, les Russes ont enregistré victoire sur victoire tout au long de la ligne de front. La Russie s’attaque maintenant d’une façon concomitante à douze points sensibles dont Vougledar, ville de 15 000 habitants à proximité de Donetz ; Moscou cherche à disperser les forces ukrainiennes afin de créer les conditions d’une offensive décisive. Face à l’échec de plus en plus visible de l’OTAN, les Européens atlantistes se déchaînent et n’ont trouvé rien de mieux que de fournir des chars lourds et des avions américains F16 à l’Ukraine, la course aux armements prenant un rythme effréné !

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