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international - Page 32

  • Le choc Bayrou-Le Pen à l’Assemblée : constat de noyade du rêve mondialiste

    Capture écran Le Figaro sur YouTube
    Capture écran Le Figaro sur YouTube
    En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats.

    Le Premier ministre François Bayrou a adressé, ce lundi après-midi, à une Assemblée nationale plutôt clairsemée, des mots révélateurs, des mots de rupture. En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats, avant que Marine Le Pen ne rappelle utilement les bienfaits d’une nation qui s’assume. Scène centrale, qui restera sans doute dans les annales. Le président américain l’avait pourtant annoncé urbi et orbi : il forcerait les belligérants en Ukraine à signer la paix dans des délais record. Les Européens, toujours entre deux états gazeux, y voyaient un bluff, une parole en l’air. Les choix radicaux de Trump en faveur de ceux qui l’ont élu estomaquent toujours, en Europe, les politiciens qui ont pris l’habitude de trahir leurs électeurs, à peine élus. Les écailles tombent ainsi des yeux de François Bayrou tandis qu’il s’exprime au perchoir. Nous vivons la crise « la plus grave et la plus dangereuse que notre pays a connue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale », constate avec raison le Premier ministre, sur le ton du « Que d’eau, que d’eau ! »

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  • L’Europe humiliée et déshonorée face à Trump et Poutine

    Nicolas Bonnal

    Il y a quelques mois Glenn Diesen parlait de cet occident qui vivait sans honte et sans humiliation. A ce jeu il ne reste que l’Europe : comme à l’époque nazie, mais toujours dirigée par des Allemands (Schwab, Leyen, BCE-Francfort, Scholz, en attendant Merz que Vance va essayer de briefer cette semaine), l’Europe se retrouve contre l’Amérique et la Russie, et dans une position matérielle et surtout morale toujours aussi inadmissible : elle est criminellement liée aux nazis de Kiev depuis son non-respect des accords de Minsk, et comme les nazis elle cherche à détruire ses propres populations avec une dictature bureaucratique abominable, des vers et des cafards dans les assiettes, une presse de propagande comme au temps de Goebbels (et ce dans tous les pays), des vaccins meurtriers obligatoires, un racisme à rebours pratiqué contre des populations blanches vieillies, avilies et avachies, et un pataquès de mesures wokistes qui évoquent les personnages nazis sexuellement détraqués des films de Luchino Visconti. Fermez le ban ou plutôt ne le fermez pas, car on n’est pas sortis de l’auberge.

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  • [ÉDITO] Sommet de Londres : des lapins pris dans les phares

    sommet londres
    Après l’entretien musclé dans le Bureau ovale entre Trump et Zelensky, les chefs d’État et de gouvernement européens ainsi que le Premier ministre canadien Trudeau, le Néerlandais Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN, et, bien évidemment, l’incontournable Ursula von der Leyen se sont tous retrouvés, toutes affaires cessantes, à Londres, en ce dimanche 2 mars, autour du président ukrainien. Ce dernier a même eu droit, en fin d’après-midi, à une réception par le roi Charles en son château de Sandringham. Après la dégelée chez le malappris à crinière jaune, une tasse de thé bien chaude dans de la belle porcelaine royale s’imposait. En vrac, pour rester dans l’esprit du moment, que retenir de ce sommet ?

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  • L’économie de guerre, puis la guerre : on y va tout droit, sauf sursaut des Français

    Si les Français ne veulent pas la guerre avec la Russie, leurs dirigeants la souhaitent, pour masquer leur échec dans tous les domaines. La Russie ne souhaite pas la guerre avec l’Europe. Elle entend récupérer les régions russophones de l’est de l’Ukraine. Elle n’a pas le désir ni les moyens de se lancer dans une opération de conquête du Vieux Continent. Après l’entrevue mouvementée entre Trump et Zelensky à la Maison-Blanche, la présidente du groupe Renew au Parlement européen, Valérie Hayer, appelle à une « économie de guerre » en surjouant du péril russe, avec « 250 milliards d’investissements annuels pour se réarmer et ne plus dépendre des États-Unis ». Le ministre de l’Économie Éric Lombard plaide également pour une économie de guerre. À la question de savoir si la situation était celle d’une «économie de guerre», il a répondu : « On n’y est pas mais il le faut. »

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  • Le show de la Maison Blanche

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    par Olivier Perceval

    Trump a humilié son vassal Zelensky en public dans un exercice télévisuel de pseudo-diplomatie où il essayait d’escroquer sa victime de 300 milliards (voire 500) sous forme de terres rares. Quand l’autre a regimbé, il a été tout simplement éconduit, non sans essuyer tous les reproches que peut produire l’arrogance états-unienne.

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  • Sur l’Ukraine, ouvrons les yeux

    olivier-zajec.jpg

    Les alliés de Kiev ont fait « un mauvais calcul stratégique» en ne voulant pas voir que la guerre en Ukraine était «existentielle» pour Moscou, déplore le professeur de stratégie, Olivier Zajec, qui analyse la brutalité inouïe de Donald Trump comme un tournant pour l’Ukraine, mais aussi pour l’Europe.

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  • Pourquoi donc, sont-ils tous pour la guerre ?

    « Quel étonnant paradoxe ! Prêcher la paix, c’est s’exposer à la violence des autres ». Christophe Ferré. C’est tristement la réalité, et nous venons d’en avoir un exemple avec ce qui vient de se passer dans le bureau ovale et les réactions des chancelleries européennes, qui se sont crues presque toutes obligées de se porter au secours de Zelensky, oubliant une fois de plus la réalité des faits. Sans ambiguïté il a traité Vance de « pute » ou « salope », au choix, mais bien entendu la cohorte de va-t-en-guerre qui compose le cénacle de la bien-pensance européenne ne veut pas s’arrêter à ce détail. C’est une trivialité acceptée et cultivée dans les cercles mondains de la vieille Europe, et ils découvrent que ces manières ne sont pas appréciées ailleurs. Il n’y a guère que Meloni, Orban et Fico qui ont eu le courage de faire entendre un autre son de cloche. Mais en France, malheur à celui ou celle qui oserait avancer que la paix c’est mieux que la guerre !

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  • En finir définitivement avec le mensonge du Maïdan !

    PNG

    La guerre a un inconvénient : les mensonges médiatiques s’y font écrémer et en trois ans, un lourd ménage a été accompli. Hélas, au contrôle on s’aperçoit qu’il demeure des éléments pour lesquels les pro ukrainiens continuent à y insister. Parmi eux, le mensonge du Maïdan !

    Cela pourrait-être de l’histoire ancienne, si les dirigeants européens ne s’enferraient pas dans la politique dite pro Ukraine par fidélité à ce narratif.

    Il convient donc de déminer les bases du dogme : Action !

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  • L'UE s'illusionne en croyant pouvoir soutenir Kiev sans Washington, selon un chercheur

    Livraisons d'armes à l'Ukraine  - Sputnik Afrique, 1920, 01.03.2025

    L'UE ne pourra pas combler le vide laissé par Washington pour soutenir militairement l'Ukraine, et encore moins pour la reconstruire, a expliqué à Sputnik le politologue Joseph Siracusa, de l'Université Curtin, en Australie.

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