En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pour la première fois, la Fédération de Russie a utilisé ses forces de missiles stratégiques – et ce n’est que le début de l’escalade.
Le 21 novembre 2024 restera dans l’histoire militaire russe comme la date du premier véritable déploiement au combat des légendaires et redoutées Forces des fusées stratégiques de la Fédération de Russie (RVSN).
C’est sûr que ce n’est pas chez nous que cela arriverait qu’une région, un canton ou un département nous rende de l’argent car les dépenses ayant été maîtrisées les impôts prélevés auraient été trop importants.
Chez nous depuis le Covid c’est une épidémie de poches vides, de frigos vides et de caisses vides !
Boualem Sansal est l’un des écrivains les plus importants de la littérature contemporaine algérienne. Depuis son premier roman, Le serment des barbares (1999), dans lequel il dénonçait les militaires « criminels qui fabriquent l’histoire », jusqu’à des œuvres aussi marquantes que 2084 : La fin du monde, description d’une société aux mains d’une dictature militaire absolue, Sansal s’est imposé comme un intellectuel courageux, osant critiquer un régime devenu une oligarchie jalouse de son pouvoir autocratique, militaire et politique. Il n’a de cesse de dénoncer la corruption endémique, la censure des voix dissidentes et l’oppression des libertés individuelles.
Depuis plusieurs années on se désole de la piètre qualité de nos dirigeants politiques. Le jeunisme qui a prévalu jusque là devait assurer un renouvellement salutaire et nous conduire à découvrir de nouveaux génies, qui devaient nous emmener vers une ère de prospérité jamais rencontrée. On allait même se délecter de leurs analyses et façons de penser… le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on a vu le changement ça c’est indéniable. On nous a fait croire que l’énergie de la jeunesse pourrait remplacer l’expérience et en fait, ils n’ont ni expérience, ni énergie. L’originalité qui devait nous séduire n’a pas supporté le mur du réel. Dernier haut fait d’un de ces représentants, l’interview de notre ministre des affaires étrangères Jean-Noël Barrot sur Cnews. Interrogé sur la situation en Ukraine et la Russie, le ministre de ces Affaires étrangères qui semblent lui être effectivement très étrangères, adopte un regard d’acier et se perd dans son propre néant. Il s’est livré à une analyse des plus romanesques, pour rester courtois. Selon lui, La Russie est exsangue, un déficit abyssal conduirait le pays au bord de la faillite, la pénurie de main-d’œuvre le prouve et Poutine est obligé de demander l’aide aux Coréens pour soutenir le front. Il n’est quand même pas allé jusqu’à nous dire que les Ukrainiens volaient de succès en succès, mais on en n’était pas loin.
Le tir d’un missile IRBM (jusqu’à 5 000 kilomètres de portée) russe de type nouveau, dit ‘Orechnik’, produit un formidable effet de communication aux multiples nuances, – mais en aucune façon le silence dont nous savons tous qu’il est l’arme principale du simulacre. Donc, ‘Orechnik’ existe et l’on en a grand’peur. Il faut dire aussi que, pour la grande presse, dite presseSystème, c’est une “première” des barbares de l’Est.
Des messages ont été reçus de personnes résidant à Dnipro (Dnipropetrovsk) et dans ses environs, en Ukraine, décrivant ce qu'il s'est passé pendant et après l'attaque ICBM russe. Selon les messages, l'usine Yuzhmash a été attaquée. Il s'agissait d'un géant industriel, leader dans la production de fusées dans l'ex-URSS. Cette usine fabriquait de nombreux missiles spatiaux et intercontinentaux pour l'URSS.
Les États-Unis ont perdu la capacité de produire les outils de guerre nécessaires pour gagner en Ukraine, et ils manquent de ce dont ils ont besoin pour défendre le territoire national. En même temps, leur armée manque de recrues et la corruption au sein du complexe militaro-industriel est si importante que même avec le plus grand budget militaire de l’histoire, le pays peut à peine maintenir sa présence mondiale. Que s’est-il passé ? Eh bien, des décennies de mauvaise gestion et d’excès prennent enfin un tribut que même une superpuissance ne peut ignorer.
Les forces russes ont détruit du matériel occidental, amélioré leur position sur la ligne de front et détruit 44 drones en 24 heures, selon le bilan quotidien de la Défense russe pour l'opération spéciale au 24 novembre.
Points clés du bilan de la Défense russe:
Le groupement Nord a frappé deux brigades ennemies et repoussé une contre-attaque. Les pertes ukrainiennes s'élèvent à 50 militaires.
Comment un Occident qui se pensait tout-puissant et irrésistible a-t-il pu subir la défaite à laquelle il est désormais confronté ? Les États-Unis, les membres du G7, l’OTAN, l’Union, mettant bruyamment baïonnette au canon se sont lancés imprudemment en Ukraine dans une guerre contre la Russie. Dont quiconque voulait bien se pencher sur le réel tel qu’il apparaissait, savait bien qu’elle n’était pas gagnable. Comment les dirigeants des pays théoriquement les plus riches, les plus développés, les mieux éduqués, persuadés d’être les meilleurs ont-ils pu tomber aussi stupidement dans le piège qui leur était tendu ? Et comment expliquer qu’ils continuent à s’agiter, à gesticuler comme des animaux pris dans un marécage, continuant à s’enfoncer et à amener tout l’Occident à une défaite qui va signer la fin de la «globalisation» comme forme moderne de sa domination ?
Aurélien, que nous avons déjà publié ici, utilisant la méthode de Marc Bloch analysant la défaite française de 1940, en décortique les raisons.