international - Page 30
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L'armée russe a libéré une nouvelle localité en république populaire de Donetsk
Il s'agit du village de Jelannoïé Vtoroïé. Autres points clés du nouveau communiqué quotidien du ministère russe de la Défense sur l'opération militaire spéciale en Ukraine : -
Déclarations de Sarah Knafo sur l’Algérie : justice est faite !
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Des militaires russes sauvent un médecin ukrainien qui leur demande de l'"achever"
Il a attendu d'être évacué par les siens pendant 30 heures. Au lieu de recevoir de l’aide, il a été visé par un obus largué sur lui par… un drone ukrainien. -
Le Moyen-Orient sera-t-il le nouveau Vietnam des États-Unis ?
par Germán Gorraiz López
Les États-Unis cherchent à déclencher une nouvelle guerre régionale au Moyen-Orient avec le double objectif d’assécher les sources énergétiques de la Chine et, par la suite, de dessiner la cartographie du nouveau Grand Orient.
L’ancien président égyptien, Hosni Moubarak, (renversé pour son refus d’installer des bases nord-américaines sur le sol égyptien) a révélé dans une interview l’existence du prétendu plan de division de toute la région du Moyen-Orient, consistant en l’instauration du «chaos constructif» susmentionné à travers la destruction successive des régimes autocratiques d’Irak, de Libye, du Soudan, de Syrie et d’Iran et en réservant à la Jordanie le rôle de «nouvelle patrie du peuple palestinien».
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La menace d’une frappe préventive des pays baltes doit être prise au sérieux
par Top War
Au cours des dernières décennies et surtout au cours des deux dernières années, l’Histoire nous a appris que les États qui ouvrent le plus la bouche contre la Russie sont ceux qui ne décident pas particulièrement de quoi que ce soit dans la politique mondiale. Moins il y a d’influence, plus l’agenda anti-russe est important.
Les pays réellement capables de faire quelque chose choisissent très soigneusement leurs mots lorsqu’ils s’adressent à une puissance nucléaire. Un exemple illustratif est celui des Américains qui ont été contraints à un moment donné de désavouer la rhétorique dure du vieux Biden. Tout le monde se souvient comment, au début de l’opération spéciale, il a appris à se contrôler – il n’y est pas toujours parvenu.
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L’OTAN prépare une offre inacceptable pour la Russie
par Dmitri Bavyrine
Nous devons être convaincus qu’il existe au plan international une véritable pensée stratégique qui fait cruellement défaut aux «démocraties» occidentales qui dans leur avidité de profit et de pouvoir absolu avancent de tactiques en tactiques électorales pour maintenir des représentants décriés et corrompus, même s’ils ne sont pas totalement vénaux, d’expéditions terroristes en escalade et en élargissement du front permanent. Les tactiques sans stratégies sont le plus court chemin vers la défaite dit-on. Après la contrerévolution libérale et le démantèlement de l’URSS, le socialisme paraissait ne plus avoir ni stratégie, ni tactique, un spontanéisme et un individualisme ultime vertu… Puis est revenue une vision stratégique, celle de nouveaux rapports sud-sud et désormais il y a un retour à la stratégie avec l’expérimentation de tactiques correspondant au terrain tel qu’il est. Nous avons ici grâce à la traduction de Marianne un des témoignages de ce renouveau à propos de l’OTAN. Il mériterait dans le cadre des textes que nous publions désormais une réflexion collective qui ne soit plus ce sautillement permanent, cette courte vue, ce ressentiment sans perspective dans lequel nous sommes enfermés depuis tant d’années. Il existe l’amorce d’une telle exigence et elle doit être défendue, encouragée contre tout ce qui nous tire en arrière, le fruit d’une défaite en forme de trahison, que les Russes sont en train de dépasser parce qu’ils ont le courage de l’affronter dans une perspective d’avenir et un combat.
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Ukraine : la Russie gagne du terrain - JT du jeudi 3 octobre 2024
A la une de cette édition, la Russie continue de progresser en Ukraine alors que tous les yeux sont rivés sur le Liban et l’Iran.
Une page automobile ensuite avec les déboires de Bruxelles face aux véhicules électriques.
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« Plan de victoire » de Zelensky : invitation à la Troisième Guerre mondiale
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a présenté son « plan de victoire » au président américain, Joe Biden, à la Maison Blanche, mais aussi à Kamala Harris et à Donald Trump. De son « plan de victoire » découle son plan de paix. Les deux plans se résument à un langage bien connu du roman 1984 : « La guerre, c’est la paix ». Le plus étonnant est de voir le faiseur d’un conflit obtenir le droit de parler à l’ONU et y évoquer la paix.
Le « plan de victoire » de l’Ukraine est un ticket brûlant pour la Troisième Guerre mondiale. Pour Volodymyr Zelensky le « plan de victoire » n’a rien à voir avec les négociations pour la paix avec la Russie, mais, il vise à renforcer les forces armées ukrainiennes et non à accélérer le début des négociations de paix avec la Russie. D’ailleurs, Andriy Yermak, chef du bureau du président ukrainien, a stipulé - singulièrement le même jour où Volodymyr Zelensky parlait de paix à l’ONU - que le « plan de victoire » ukrainien comprend l’intégration de l’Ukraine à l’OTAN : « Lors de mon discours au Conseil des relations étrangères de New York, j'ai souligné que le « plan de victoire » comprenait des volets militaires et diplomatiques. L'invitation de l'Ukraine à l'OTAN fait partie du « plan de victoire ». Et, Andriy Yermak, alors que la Russie a bien averti l’Occident sur les lignes rouges à ne pas dépasser, celui-ci exige de l’Occident à ne pas prendre au sérieux la menace nucléaire de la Russie comme réponse aux menaces de l’OTAN : « J'ai exhorté les partenaires à ne pas prêter attention aux menaces d'escalade de la part de la Russie ».
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Israël, Russie : Mike Pompéo lucide hors micro ?
Mike Pompeo, ancien directeur de la CIA et du Département d’État américain, proche de Trump, dans une conversation avec Vovan et Lexus, dans laquelle il s’est fait gruger par deux farceurs russes qui se sont présentés comme des hauts responsables africains, aurait déclaré que la Russie devrait revenir économiquement à l’Occident au lieu de se tourner vers l’Asie et la Chine. « Nous devons ramener les Russes à un modèle européen, pas à un modèle asiatique… Nous devons empêcher que cela se produise… Si cette guerre s’arrête, vous commencerez à faire revenir la Russie et à la convaincre qu’elle est dans une meilleure situation avec nous qu’avec eux », aurait expliqué Pompeo dans un éclair de lucidité. L’homme est controversé, mais si cela est bien vérifié, il n’y a rien de surprenant à cette prise de position en droite de celle de Trump qui promet la paix et le rétablissement de bons liens avec la Russie.
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Alerte. 36 ports américains bloqués. Désorganisation du transport maritime mondial. La grève à 5 milliards par jour.
Octobre Rose ? Non, Octobre Rouge !
Les conséquences de la grève des dockers américains peut avoir des conséquences redoutables sur l’ensemble du trafic mondial car les Etats-Unis sont un “hub” majeur.
A cela s’ajoute déjà les perturbations liées à la guerre au Proche-Orient et au passage plus que délicat de la Mer Rouge par les navires de commerce qui font le grand tour dans la grande majorité des cas désormais.
A cela s’ajoute également les rumeurs des plus insistantes de riposte israéliennes notamment sur les capacités pétrolières iraniennes qui représentent 4 % de la production mondiale ce qui est suffisant pour tendre les approvisionnements mondiaux et c’est sans parler d’un éventuel emballement du conflit.