Un bien fou ! Voilà notre ressenti en lisant l’interview donnée au New York Post par Muhammad Ali Jr., le fils du célébrissime boxeur. Cela nous change des jérémiades des décoloniaux, des indigénistes et autres prétendus antiracistes de service !
Black Lives Matter (BLM), ce mouvement qui s’est répandu comme une traînée de poudre, c’est de lui qu’il s’agit. En français, ça nous parle mieux : « les vies des Noirs comptent ». Parce qu’elles compteraient moins en Occident qu’en Afrique, en Asie, en Orient, dans toutes ces contrées où vivent plus de quarante millions de personnes toujours sous le joug de l’esclavage ? Pas droit à être défendus par BLM, elles ? Passons. Pour Muhammad Ali Jr., qui perçoit avec acuité la dérive raciale du mouvement, « il n’y a pas que les personnes d’origine africaine qui comptent. Les Blancs comptent, les Chinois comptent. Toutes les vies comptent […] » Un Noir occidental qui n’est pas obsédé par la couleur de peau, quel baume au cœur !