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Zemmour : “Quand les Biden auront dégagé, il restera l’Amérique de Trump contre l’Amérique de Kamala Harris”
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La postmodernité, nouveau cadre du Système ? 4/4
À l'instar de la techno-utopie et du mythe scientiste qui servirent d'arme idéologique à la modernité, le relativisme et l'hyper-individualisme sociétal et culturel continuent d'homogénéiser et de naturaliser la vision libre-échangiste de l'ordre mondial, la théocratie libérale. Dans le même sens, Fredric Jameson met l'accent sur la signification du moment historique de la pensée postmodern(4). Tout en y recherchant une « logique » centrifuge, il inscrit le postmodernisme dans la dynamique culturelle du capitalisme tardif. La postmodernité serait l'avatar du consumérisme culturel qui correspond bien, depuis la phase fordiste et postindustrielle de l'économie mondiale, à l'accomplissement de la phase du capitalisme tardif, cognitif, voire de séduction évoquée par Michel Clouscard en s'appuyant sur les ressorts culturels et la société de spectacle(5) pour mieux se reproduire en tant que système d'exploitation.
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Coup d’Etat aux Etats-Unis
Dans Les 4 Vérités, Guy Millière dénonce le coup d’Etat en cours :
[…] Le coup d’État vient de loin. La gauche américaine a tenté de prendre le pouvoir dans les années 1945-1950 sous le visage du parti communiste. Elle a échoué. Ses agents ont été démasqués et condamnés. Pendant une décennie aux États-Unis, être communiste a été une marque d’infamie. Se dire socialiste impliquait de se trouver marginalisé.
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La postmodernité, nouveau cadre du Système ? 3/4
États-Unis, puissance postmoderne de tutelle
Comme on l'a vu lors des émeutes interraciales de Ferguson, les États-Unis, puissance postmoderne de tutelle, est elle-même confrontée à des replis et des lignes de fractures raciales et communautaristes que la postmodernité croyait avoir proscrits, grâce aux bienfaits pacificateurs du marché et de la société de consommation. Il serait loisible de vérifier la pertinence de la thèse postmoderne de l'écroulement des systèmes de pensée modernes dans le cadre de l'outillage conceptuel contemporain des relations internationales. Si l'on parle volontiers, parfois trop aisément, de l'archaïsme du fait national, de la fin du modèle moderne de l’État-nation, le débat postmoderne sur le pouvoir politique porte toujours sur la capacité d'exercer la souveraineté, la capacité d'exercer une action sur la scène internationale.
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Covid-19 : confinés, masqués et bientôt vaccinés ! – JT du mardi 10 novembre 2020
Au programme ce soir, retour sur la nouvelle providence… Depuis lundi, l’annonce d’un vaccin contre le Covid-19 est sur toutes les lèvres… Est-ce vraiment le début de la fin de l’épidémie ? Réponse dans quelques instants.
Nous repartirons ensuite aux Etats-Unis pour en savoir un peu plus sur celui qui semble être le prochain président américain. Qui est Joe Biden ? A quoi s’attendre ? C’est ce que nous allons voir.
Et puis un point d’économie pour terminer. Avec la crise sanitaire, les entreprises en difficulté sont nombreuses mais le nombre de faillites reste plutôt faible. Les mesures gouvernementales pourraient bien être à l’origine d’une nouvelle bulle…
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La postmodernité, nouveau cadre du Système ? 1/4
Forgé par le philosophe français Jean-François Lyotard, le mot de « postmodernité » entendait résumer le désenchantement suscité par notre époque en même temps que l'hédonisme nihiliste. Auteur de La modernité à l'épreuve de l'image. L'obsession visuelle de l'Occident (L'Harmattan), l'écrivain franco-croate Jure Vujic voit dans la postmodernité une nouvelle arme idéologique au service de la théocratie libérale.
L'histoire des civilisations et l'anthropologie culturelle ont plus d'une fois démontré que chaque civilisation s'enracine dans une certaine vision du monde, une Weltanschaung singulière, qui repose sur un système de croyance, idéologique ou religieux. La culture d'une nation, son système d'éducation, son système juridique et politique spécifique sont indéniablement imprégnés par son héritage culturel et historique. Afin de mieux comprendre une société, on se réfère à la vision du monde qui la fonde, qui lui donne un sens. Au Moyen Âge, la religion chrétienne était le système de pensée dominant, alors que le siècle des Lumières et l'avènement de la modernité rationaliste et scientiste ont ouvert la voie aux grands systèmes de pensées idéologiques totalitaires et matérialistes du XXe siècle, qui s'appuyaient sur les fameux récits de la modernité, en tant que grands modèles de compréhension et d'interprétation de l'histoire.
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« Et si Trump était élu, et si le vaccin ne marchait pas ! » L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Je sais, je sais, vous allez me dire mais Charles « cessez toujours de broyer du noir », « Charles laissez nous fêter l’élection de Biden, et l’arrivée du vaccin », « laissez-nous souffler un peu » !!
Je veux bien vous laisser souffler, mais dans votre masque histoire que vous ne contaminiez pas, et en restant bien sagement confiné chez vous ! Tout de même restons sérieux.
Au delà de la plaisanterie, il s’est passé deux choses hier.
Les marchés ont commencé à fêter la victoire de Biden et… une promesse de vaccin qui fonctionnerait dans 90 % des cas a été rendue publique.
Le résultat a été immédiat.
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À l'heure Biden
La victoire du candidat démocrate paraît désormais, après quelques jours de flottement, politiquement acquise. Les bons esprits de l'Hexagone restent, en général, hostiles au mode fédéraliste d'élection du président des États-Unis. Dogmes jacobins obligent. Ils nous ont ainsi habitués à ne considérer comme légitimes que les suffrages directs. Raisonnons un instant comme eux et retenons les chiffres globaux : 75 millions de voix pour le ticket Joe Biden-Kamala Harris, 71 millions pour Trump, lequel en avait obtenu 63 millions en 2016. Tout, par conséquent sauf le raz de marée annoncé par les sondeurs et attendu par la plupart des commentateurs.
La carte des États ayant voté respectivement pour les deux camps souligne la différence des deux implantations : en rouge, au centre l'Amérique profonde autocentrée vote majoritairement républicain, en bleu l'Amérique côtière, de Wall Street, de Hollywood et de la Silicone Valley, maritime et mondiale vote démocrate.
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Les fausses nouvelles volent en escadrille
Toute la presse relaie une “fake news” de CNN, selon qui Mélania Trump tenterait en privé de convaincre Donald de reconnaître sa défaite à l’élection présidentielle.
Celle-ci a publié un tweet de démenti, mais la presse continue de répandre l’intox.
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Accord universel pour le laxisme monétaire : « tempête parfaite » à l’horizon, par Marc Rousset.
La Bourse de Paris a clôturé, vendredi, en baisse de 0,46 %, mais a affiché sa meilleure performance depuis cinq mois en bondissant de 7,98 % sur la semaine, suite à la perspective d’une entrée de Joe Biden à la Maison-Blanche avec une majorité sénatoriale républicaine pour paralyser ses actions malfaisantes en économie. Une victoire à la Pyrrhus avec retour au blocage qu’a connu Obama.
Trump a perdu, avec un très faible pourcentage d’écart, Biden ayant axé sa campagne sur le thème du Covid-19, de faible importance pour l’avenir d’une nation : la peur de mourir des Occidentaux individualistes.