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  • Saccages des Champs-Elysées : Delpuech, le fusible idéal ? – Journal du mardi 19 mars 2019

     

    Saccages des Champs-Elysées : Delpuech, le fusible idéal ?

    Après un samedi noir sur les Champs-Elysées, le gouvernement devait montrer des signes de retour aux commandes. C’est le préfet Delpuech qui fait les frais de la démonstration. A quelques jours de sa retraite, il est limogé. Une manière de sauver la place des autres, à commencer par Christophe Castaner.

    Raphaël Glucksmann : le mondialiste qui sent la rose

    Après avoir conseillé la Géorgie et l’Ukraine, après avoir navigué sur l’échiquier politique français, Raphaël Glucksmann a réussi son OPA. Qui est donc cet essayiste tout juste investi pour mener une liste de rassemblement avec le Parti Socialiste, réponse dans cette édition.

    Trump-Bolsonaro : première étape d’une romance ?

    Donald Trump reçoit Jair Bolsonaro à la Maison Blanche. Pour les deux présidents élus contre les médias, c’est la première étape d’un rapprochement.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/saccages-des-champs-elysees-delpuech-le-fusible-ideal-journal-du-mardi-19-mars-2019

  • On est chez nous?

    europe-vue-du-ciel-300x225.jpgIncompétences, dysfonctionnements, jeu trouble du pouvoir instrumentalisant les pillards et autres casseurs pour pourrir le mouvement des Gilets jaunes et apparaître comme les garants de l’ordre ? Les critiques pleuvent sur l’exécutif après l’Acte XVIII de la mobilisation des Gilets Jaunes  qui s’est soldé à Paris par des centaines de blessés chez les manifestants comme chez les policiers et gendarmes, un peu moins de 200 arrestations et par la mise à sac des Champs Elysées. N’en déplaise à la piètre Anne Hidalgo, les exactions de ce samedi ne sont pas à mettre au passif de l’extrême droite  mais aux habituels groupuscules anarchiste et d’extrême gauche. Et ils ont été particulièrement « efficaces » : des dizaines d’enseignes (dont le Fouquet’s) ont été vandalisées et pillées, une banque  (le feu s’est propagé à l’immeuble et  le pire a été évité de  justesse), des kiosques à journaux et des véhicules ont été incendiés. Un bilan 180 millions d’euros de dégâts selon l’estimation des assureurs,  quant aux forces de l’ordre  qui accumulent les heures supplémentaires, elles sont « sur l’os », épuisées par 18 semaines de mobilisation.

    Sur son compte twitter, Jean-Yves Le Gallou a estimé que le «  Chaos sur les Champs Elysées (était la) conséquence de la stratégie du pouvoir : absence de solution politique et mépris des GJ, usage inappropriée de la force contre des manifestants pacifiques délégitimant la police et protection des antifas. » Le criminologue Xavier Raufer l’a dit et de nouveau répété dans l’émission Interdit d’interdire sur RT, et il s’en est « étonné » comme Marine Le Pen, il est en effet pour le moins très « curieux » que les antifas et autres black block, - ceux présents samedi sur les Champs étaient nombreux à venir d’Allemagne, de Belgique ou d‘autres pays limitrophes – puissent agir impunément. M. Raufer a rappelé que les indicateurs de police, les balances et autres toxicomanes sont légions au sein de cette mouvance, que leurs déplacements sont en outre surveillés et signalés à la police française par leurs homologues européens. Il serait donc très facile de les neutraliser, non seulement dans les manifs, mais aussi en amont par des arrestations préventives.

    Un extrémiste  est en tout cas passé sous les radars,  à savoir  l’auteur du massacre des mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande) le 18 mars, l’Australien Brenton Tarrant. A priori un «suprémaciste blanc »  dont le manifeste dans lequel il dénonce « le grand remplacement » a été utilisé chez nous par un certain nombre de commentateurs pour attaquer tous ceux qui, sous nos latitudes, dénoncent pacifiquement,  sans haine, ni violence, les conséquences de  l’immigration massive. Immigration-invasion, celle pour le coup des populations européennes vers l’Amérique,  qui est au cœur des polémiques ces dernières années sur la célébration du Columbus Day, instaurée en 1892 et décrétée « fête nationale » en 1934,  jour férié  l’honneur du marin Génois Christophe Colomb, découvreur (officiel) de ce continent.

    Sous la poussée des revendications des natives american, des peuples indiens autochtones, et plus largement des  opérations militantes d’autre groupes ethniques non blancs, plusieurs villes (Cincinnati, Los Angeles, Phoenix, San Francisco,  Seattle..), mais aussi des États entiers (Arkansas, la Floride, Kansas Michigan, Minnesota, Oregon, Texas, Vermont) ont pris la décision de ne plus célébrer cette journée et de la remplacer par un Indigenous Peoples Day. Mais faut-il en arriver pour autant à chasser la mémoire de  Colomb de l’espace public ? RT rapportait en début d’année que « l’université catholique de Notre-Dame (Indiana) a décidé de masquer douze fresques représentant des scènes de la vie de l’explorateur Christophe Colomb, jugées aveugles, voire humiliantes envers les autochtones. » En novembre,  une statue de ce même explorateur avait été déboulonnée à Los Angeles…

    Alors certes, il est admis par tout le monde que l’arrivée des blancs en Amérique a été une catastrophe pour les peuples indiens, décimés par les envahisseurs et les microbes emportés dans leur bagage, chassés de leur terre, parqués dans des réserves…. Ce qui faisait dire en son temps à Jean-Marie le Pen, défenseur des droits et des libertés des  indigènes français, qu’il se situait plus dans la lignée  du grand Sitting-Bull que d’une tunique bleue …

    Pour autant, les extrémistes et autres contempteurs de ce qu’ils appellent la domination blanche,  poussent toujours plus loin leur avantage et les tensions inter-communautaires, inter-ethniques s’exportent désormais de ce côté-ci de l’Atlantique. On se souvient des polémiques, dans la foulée de la tragique manifestation de Charlottesville le 12 août 2017, « entre partisans et opposants au retrait de statues confédérées », de « la controverse sur l’Histoire coloniale ( qui s’était exportée) des Etats-Unis à destination de l’Europe, et en particulier de la France. »

    Nous nous en étions fait l’écho,  Louis-Georges Tin, à la tête de l’association communautaire dite Conseil représentatif des associations noires (Cran), avait demandé au chef de l’Etat de «lancer une réflexion nationale sur la nécessité de remplacer ces noms et statues de la honte par des figures de personnalités noires, blanches ou autres ayant lutté contre l’esclavage et contre le racisme (…) On ne peut pas être dans l’indignation face à Charlottesville et dans l’indifférence par rapport à la France par rapport à toutes statues, toutes ces rues, qui défigurent nos villes. Il faut décoloniser l’espace, il faut décoloniser les esprits…».

    Bruno Gollnisch l’a souligné, pour les multucultaristes les plus extrémistes, « l’immigration est une fin en soi, qui n’a plus aucun fondement de type économique ou social. La croyance dans ses infinis bienfaits revêt un caractère quasi religieux. En refusant d’imposer leurs valeurs, leurs normes, leurs langues et leur culture sur leur propre territoire, les pays européens contribuent depuis des décennies à la communautarisation de la société, et créent les conditions d’affrontements inter-ethniques et inter-culturels, qui ont déjà lieu dans plusieurs pays. »

    Ce que ne veulent pas voir,  refusent d’admettre ou de comprendre les militants des sociétés ouvertes, de l’immigrationisme,  c’est que les autochtones, les natifs de ce pays,  les Français de souche,  bien qu’accueillants, entendent rester maîtres chez eux de même que les Européens n’entendent pas devenir minoritaires en Europe, dans leur foyer originel. C’est pourquoi nous refusons par principe une repentance qui entend entretenir le masochisme antinational pour mieux préparer les esprits à la dilution-disparition de la France et des nations de notre espace boréal  dans le multiculturalisme.

    https://gollnisch.com/2019/03/18/on-est-chez-nous/

  • Les manipulations du Système nourrissent la bulle boursière et immobilière

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    Marc Rousset Boulevard Voltaire cliquez ici

    Les États-Unis marchent sur la tête avec des actions surévaluées, suite à la politique laxiste de la Fed et aux rachats massifs d’actions. Ces derniers font monter les cours puisqu’ils aboutissent à réduire le nombre d’actions cotées. Au lieu de financer les investissements des entreprises, le marché des actions absorbe leurs ressources puisqu’elles sont amenées à s’endetter d’autant plus que les taux d’intérêt sont bas, ce qui compromet leurs perspectives de croissance. Selon les analystes de la Citibank, les achats d’actions vont dépasser en 2019, le montant des investissements des sociétés du fameux indice S&P 500.

    En dix ans, les sociétés américaines ont acquis pour plus de 4.700 milliards de dollars de leurs propres titres, soit plus que la capitalisation boursière réunie de Paris et Francfort. Les sommes d’argent ainsi restituées aux actionnaires représentent plus de trois fois les dividendes distribués. General Motors va fermer cinq usines et procéder à 3,4 milliards de dollars de rachat d’actions en s’endettant au lieu d’investir pour rattraper son retard dans les véhicules électriques et autonomes. En 2018, les sociétés du CAC 40, moins avides, ont racheté pour 10,9 milliards de leurs propres actions, mais distribué 47 milliards de dividendes.

    Le Système, avec ses taux d’intérêt ridicules, cocufie les épargnants européens, menace le système bancaire et nourrit les bulles boursières et immobilières. Mais le « bouquet », c’est de voir la Banque de France verser 5,6 milliards d’euros de bénéfices à l’État, au titre de l’année 2018. L’institut d’émission affiche, en effet, des bénéfices record en émettant de la monnaie non conventionnelle au coût nul, alors qu’il reçoit les intérêts payés par les emprunteurs des obligations rachetées sur le marché. La Banque de France, avec les scandaleux taux d’intérêt négatifs, perçoit, de plus, des taux d’intérêt des banques qui déposent à la BCE les liquidités qu’elles n’ont pas pu prêter aux entreprises et aux ménages. Le Système triche et tire profit de sa malhonnêteté.

    Le 29 mars 2019, soit la date de mise en place des normes financières de Bâle III par la BRI, l’or physique, par opposition à l’or papier détenu sous forme de certificats, sera remonétisé, c’est-à-dire qu’il sera considéré comme un moyen de paiement au même titre que le dollar ou d’autres devises. Pour la première fois depuis cinquante ans, les banques centrales, surtout celles de Chine, Russie, Inde et Turquie, ont acheté 640 tonnes d’or physique sous forme de lingots, en 2018, soit plus du double qu’en 2017. Moscou a même décidé de liquider ses obligations en dollars, qui représentaient 20 % de ses réserves, pour acheter de l’or. L’ensemble des banques centrales disposent, aujourd’hui, de 33.000 tonnes d’or, ce qui représente une valeur de 1.400 milliards de dollars.

    Les cours de l’or commencent à augmenter légèrement car, ces dernières années, les banques centrales occidentales se comportaient comme de véritables « banksters » en manipulant les prix à la baisse. Elles vendaient à terme sur les Bourses de Londres et de New York, où 90 % des échanges ont lieu, par l’intermédiaire de banques commerciales privées telles que JP Morgan, de l’or-papier garanti par leurs très importantes réserves physiques. Le but était de décourager les acheteurs afin d’empêcher l’or de détrôner le roi dollar. Les velléités du marché à la hausse étaient annihilées par les ventes massives à terme qui occasionnaient de lourdes pertes aux acheteurs.

    Le Système continue donc sa fuite malhonnête en avant et la Bourse monte ! Mario Draghi va refiler la « patate chaude » à son successeur, fin 2019, qui peut être Jens Weidmann, président actuel de la Bundesbank. Il sera amené soit à poursuivre la fuite en avant, effrayé par le risque de krach immédiat, ou à déclarer au contraire que la fête est finie, car plus on persévère dans le mensonge, l’inconscience, le « bankstérisme » et la manipulation, plus on accroît l’importance de l’effondrement monétaire inéluctable à venir du Système.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Attentat de Christchurch : la faute à la presse française, si l’on en croit Najat Vallaud-Belkacem ?

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    Depuis qu’elle a quitté la politique pour l’édition, Najat Vallaud-Belkacem n’imprime plus dans les médias. Doit-on s’en plaindre ? Je vous laisse juge. Il semble, en tout cas, qu’on ne s’en portait pas plus mal. Et puis là, cela a dû être plus fort qu’elle, comme une pulsion, un besoin, un impératif : l’ancien ministre de l’Éducation de François Hollande a dégainé un tweet qui devrait faire date dans les annales de la sottise. « Oui toutes nos pensées vont aux victimes de l’abject attentat de Christchurch, et oui cela devrait tous nous rassembler. Mais découvrir ici des messages d’indignation hypocrite y compris de ceux qui ont contribué, année après année, à promouvoir ça… comment dire ? Nausée. »

    Suit, sur le tweet, un montage de vingt unes de plusieurs magazines qui ont titré ces dernières années sur le terrorisme islamique, le djihad ou l’immigration : évidemment, en tête, Valeurs actuelles (sept fois), Le Figaro Magazine (trois fois) mais aussi L’Express (cinq fois), Le Point (deux fois), Marianne (une fois) et même Courrier international (une fois) et la revue L’Histoire (une fois). « Violence et islam »« Islam, le danger communautariste »« La République face à l’islam »« Le djihad à nos portes », etc.

    Donc, si on suit bien ce qu’il est convenu d’appeler, par convention de manœuvre, un raisonnement, c’est-à-dire un processus qui relève de l’intelligence, pour faire court, Valeurs actuellesLe FigaroL’ExpressLe PointMarianneCourrier international et L’Histoire ont contribué, année après année, à promouvoir « ça », c’est-à-dire, si l’on essaye de comprendre, l’islamophobie et, par voie de conséquence, son expression la plus violente comme l’attentat de Christchurch en Nouvelle-Zélande. N’ayons pas peur des mots : incitation à la haine. Des procès sont possibles…

    Est-ce à dire qu’il aurait fallu passer sous silence, durant toutes ces dernières années, les attentats islamistes en France, les crimes de Daech, le développement du communautarisme sur notre sol ? Un communautarisme, rappelons-le, qui ne doit pas être complètement un fantasme d’extrême droite, si l’on se souvient des propos de l’ancien protecteur lyonnais de Najat Vallaud-Belkacem – j’ai nommé Gérard Collomb – lorsqu’il quitta la place Beauvau en évoquant publiquement, en des mots à peine voilés, le risque de guerre civile en France.

    Madame Vallaud-Belkacem a donc la nausée. En découvrant ce tweet, j’ose à peine évoquer ce qui peut être ressenti par tous ceux qui ont un minimum de sens commun et prennent connaissance de ce tweet. C’est quoi, pire que la nausée ? Madame Najat Vallaud-Belkacem est bien la « digne » représentante de cette classe politique pour qui il ne fallait surtout pas nommer les choses pour ne pas faire d’amalgame, ne pas stigmatiser. On a du mal à réaliser qu’elle ait pu être au gouvernement de la France, cinq années durant, sans discontinuer. Madame Vallaud-Belkacem devrait rester dans l’édition. C’est sans doute là qu’elle fait le moins de mal.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/attentat-de-christchurch-la-faute-a-la-presse-francaise-si-lon-en-croit-najat-vallaud-belkacem/

  • ONU. La France privée de droit de veto par l’Allemagne ?

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Selon les médias subventionnés, c’était hier encore une grossière “Fake news”. Aujourd’hui, la transformation du siège de la France au Conseil de sécurité de l’ONU en un siège partagé est ouvertement évoquée par l’Allemagne.

    On connait depuis longtemps la perfide Albion, égale à elle-même ; mais voici maintenant la perfide Allemagne de Merkel.

    Signé dans une discrétion suspecte, le traité d’Aix-la-Chapelle a été pour les médias du système un moyen d’attaquer les droites souverainistes françaises en les accusant de véhiculer des fake news.
    Il est vrai qu’ annoncer la vente à l’Allemagne de l’Alsace et de la Lorraine au-delà même de la Moselle de 1870 était assez surréaliste.
    Moins évident, le renforcement de l’Allemand sur cette terre française d’influence historique germanique, sur lequel règne un flou inquiétant.

    Mais voila que le dernier point, c’est-à-dire la suppression du siège de sécurité donné à la France à la fin de la Seconde Guerre mondiale, revient en force. Et là, pas d’infox mais une offensive Merkel. Une OPA hostile sur notre statut de grande puissance. Certes, ce n’est pas l’Allemagne vaincue qui va remplacer la France soi disant victorieuse. Mais le siège cent pour cent français depuis 1945 deviendrait un siège européen à la demande de Berlin. Nous risquons de perdre la seule chose qui compte dans le « Machin », le droit de veto. On attend une réaction de Macron.

    La chancelière allemande a en effet apporté le 11 mars son soutien à des propositions pour l’Europe de son parti conservateur, qui se démarquent de celles du président français, prônant notamment un siège européen unique au Conseil de sécurité de l’ONU.
    Angela Merkel a souligné que ce siège devait avoir pour vocation de « réunir les voix européennes au Conseil de sécurité de l’ONU », et donc de faire disparaître le siège dont dispose la France pour elle seule ?
    « Je pense qu’il s’agit d’un très bon concept pour l’avenir », a déclaré la chancelière à Berlin à propos des propositions de réformes de l’Union européenne publiées au cours du week-end par celle qui l’a remplacée en décembre à la tête du parti démocrate-chrétien allemand (CDU), Mme Annegret Kramp-Karrenbauer, surnommée AKK.

    Cela ressemble à une gifle aux propositions européennes du président Macron qui ont été un bide absolu chez nos partenaires d’Ouest en Est. Sa lettre aux Européens démontre finalement que sa stratégie d’être le guide de l’Europe des progressistes est mort-née.

    A cela on peut ajouter que l’Allemagne souhaite la suppression du parlement de Strasbourg si cher aux Français. Emmanuel Macron a quant à lui proposé la création d’un « bouclier social » pour les Européens et évoqué dans ce contexte une (illusoire) « même rémunération sur le même lieu de travail et un salaire minimum européen, adapté à chaque pays ». L’Allemagne est contre.

    Finalement, Angela Merkel apparaît comme plus hostile à Macron que le Hongrois Orban et l’Italien Salvini. On voit bien qu’un siège européen au Conseil de sécurité, dans l’état actuel de division de l’Europe, est une stupidité.

    Les Anglais, grâce au Brexit, ne sont pas concernés et vont sauver leur veto mondial… Mais ils n’auraient de toute façon jamais accepté la proposition Merkel. Espérons que la France aura la fermeté de dire non à un recul supplémentaire de son rôle mondial déjà si affaibli.

    Quand au « renouveau de l’Europe par le couple franco-allemand » que nous avait promis Emmanuel Macron, il est interdit d’en rire.

    Pierre Boisghilbert 12/03/2019

    https://www.polemia.com/onu-la-france-privee-de-droit-de-veto-par-lallemagne/

  • États-Unis : Ilhan Omar et l’implosion du parti démocrate

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    Le parti démocrate est le parti des très riches et des très pauvres, prenant en sandwich le parti républicain, celui des PME et leurs salariés. Cependant que l’establishment des deux partis représente le parti unique de la mondialisation. Ce système est maintenant bousculé.

    Voici la nouvelle génération d’élus démocrates, qui ne respectent pas les vieux : Ilhan Omar, Alexandria Ocasio-Cortez, Rashida Tlaïb virevoltent ainsi d’une controverse à l’autre, avec le soutien de l’ardente féministe islamiste Linda Sarsour. À force de réprimander le « White privilege » et la « White male toxicity », le fantasme s’est implanté dans les têtes nouvelles selon lequel les États-Unis sont un pays illégitime fondé sur l’esclavage et sur le génocide amérindien, formules maintenant exportées par Washington sur la planète avec un complice : Israël. Vision assez parallèle à celle du « nouveau » Labour britannique.

    L’accusation d’antisémitisme n’est d’aucun effet, ou presque, sur les têtes nouvelles. Et, pire encore, elle se retourne contre l’émetteur.

    Ilhan Omar, élue du Minnesota, née à Mogadiscio (Somalie), réfugiée aux États-Unis, imperméable à la culpabilisation, vient de prouver, avec ses amies, qu’elles mènent Nancy Pelosi et les élus juifs démocrates du Congrès par le bout du nez. Ilhan Omar était connue pour son agit-prop, tweetant en 2012 qu’Israël avait « hypnotisé le monde » et invoquant Allah pour « réveiller le peuple et l’aider à voir clair dans les exactions d’Israël » (Politico Magazine, 8 mars). Depuis son élection de 2019, elle a lancé une bombe. Politico Magazine précise : « Argumentant que les élus américains soutiennent Israël à cause des donateurs juifs, la parlementaire tweetait : “C’est le Benjamin, Baby”, faisant allusion au billet de 100 dollars. »

    Protestations unanimes, et demi-excuses (Ilhan Omar y inclut une critique de l’influence du lobbying et de l’argent sur les élus en général). Impavide, elle relance ensuite le thème en présence de Tlaïb : « Je veux parler de l’influence politique dans ce pays qui considère qu’il est OK de pousser [les élus] à faire allégeance à une puissance étrangère. »

    La réaction immédiate des establishments a été de condamner ce propos pour antisémitisme (car reprise de la vieille insinuation selon laquelle les élus juifs ne sont pas patriotes). Puis silence radio. Puis assaut de contre-feu de Linda Sarsour désignant la réaction de la Speaker Nancy Pelosi comme « emblématique du féminisme blanc ». Puis assaut d’Alexandria Ocasio-Cortez pour déplacer le sujet sur le racisme anti-latino. Puis réaction gênée de Pelosi (Ilhan Omar est jeune et ne comprend pas l’impact de ses mots). Puis vote d’une résolution du Congrès sur tous les « -ismes » et « -phobies », défendue par les élus juifs démocrates pris en sandwich, et attaquée par les républicains comme extrêmement dilutive. Trump déclare : « Le parti démocrate est devenu le parti de l’antisémitisme. »

    Mais Ilhan Omar et ses amies ont retourné la situation, replaçant l’islamophobie au premier plan. Et elle resserre d’un cran (source : Daily Mail) : « La séparation des familles et les cages des enfants aux frontières… c’est Obama… comme les drones autour du monde… » Elle poursuit : « Les politiques de Trump sont mauvaises. Mais bien de ses prédécesseurs avaient aussi de mauvaises politiques. Ils étaient seulement plus raffinés que lui […] nous voulons que personne ne soit exonéré de meurtre pour sa belle gueule. » La « jeune » élue sait changer de sujet… Pauvre Obama !

    André Archimbaud

    http://www.bvoltaire.fr/etats-unis-ilhan-omar-et-limplosion-du-parti-democrate/

  • Nouvelle-Zélande : attaque d’une mosquée, près de cinquante victimes – Journal du vendredi 15 mars 2019

     

    Nouvelle-Zélande : attaque de deux mosquées, près de cinquante victimes

    Une attaque visant deux mosquées en Nouvelle-Zélande a fait près de 50 victimes. Le terroriste, âgé de 28 ans, avait publié un manifeste avant de passer à l’acte.

    Gilets jaunes : l’acte décisif

    Pour le 18ème samedi consécutif de manifestations, les gilets jaunes entendent marquer les esprits. Attendu depuis plusieurs semaines, le 16 mars pourrait être le point final de quatre mois de contestation sociale alors que le grand débat national vient de s’achever.

    Immigration : Emmanuel Macron en trompe l’oeil

    Alors que les élections européennes approchent à grand pas, Emmanuel Macron se sait particulièrement attendu sur un sujet : l’immigration. Pour parer les éventuelles attaques, le chef de l’état multiplie les effets d’annonces.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/nouvelle-zelande-attaque-dune-mosquee-pres-de-cinquante-victimes-journal-du-vendredi-15-mars-2019

  • Têtes à Clash n°45 avec Jean Messiha

     

    Franck Tanguy reçoit Laurent Artur du Plessis, Benoît Dumoulin, Olivier Piacentini et Jean Messiha du Rassemblement National. Ils débattent du rôle que doit avoir la France face au printemps algérien, de l’égalité des salaires entre hommes et femmes et du rapatriement des enfants de djihadistes.

  • Au Qatar, on climatise à ciel ouvert et, en France, on sauve la planète !

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    Si les gilets jaunes ne peuvent pas comprendre ça...

    La journée des gilets jaunes, suscitée par le ras-le-bol fiscal, ancien mais exacerbé par les hausses de taxes sur les produits pétroliers, est passée. Le ministre de l’Intérieur nous dit, le lendemain, que le gouvernement a bien compris le message. En fait, non, son collègue, le ministre de l’Écologie, le corrige : la politique du gouvernement ne changera pas. Le Premier ministre nous a assuré ensuite, en quelques minutes de baratin mou, qu’il avait compris que les Français avaient besoin de respect, de compréhension et de protection (?). Mais il a confirmé que la trajectoire de la politique de transition énergétique ne changerait pas, pour le bien de la planète et des générations futures, cela va sans dire. Autrement dit : « Cause toujours ! » On n’est pas loin de la formule de Coluche : « Dites-nous de quoi vous avez besoin, on va vous expliquer comment vous en passer. » Nos chefs confondent ténacité et entêtement.

    En même temps, on découvre sur une chaîne de télé de grande diffusion un reportage très bien fait sur les nombreux sites sportifs en construction au Qatar pour la Coupe du monde de football 2022. Les conducteurs français, c’est-à-dire tous les Français adultes, sont alors ravis d’apprendre que, compte tenu des conditions climatiques extrêmes, températures de 45 à 50 °C, les stades, même ceux à ciel ouvert, seront climatisés. Certains le sont déjà. Grâce, bien sûr, à l’électricité produite par des centrales thermiques. La journaliste de TF1 nous a confié le bien-être ressenti dans un courant d’air frais en plein désert. Et pourtant, oui, le Qatar, partenaire privilégié de la France, est bien un pays signataire de la COP21 dont la conclusion heureuse est un de nos titres de gloire.

    Comment le gouvernement peut-il espérer convaincre les Français que l’urgence de la transition écologique exige que les taxes sur les carburants soient sans cesse relevées envers et contre tout et tous ? Le confetti français, 1 % des Terriens, 1 % de tous les gaz maudits, doit-il payer les extravagances de tous ceux qui font n’importe quoi ? Les Français comprennent l’écologie qui les touche de près, l’écologie raisonnable, c’est-à-dire expurgée des mensonges qu’on leur distille en permanence sur l’éolien, les capteurs solaires et la voiture électrique, l’écologie qu’ils pourront maîtriser à un coût acceptable. Pas celle du GIEC et de nos dirigeants mégalos qui prétendent vainement commander à des éléments planétaires à un coût exorbitant.

    Général (2s) Roland Dubois

    http://www.bvoltaire.fr/au-qatar-on-climatise-a-ciel-ouvert-et-en-france-on-sauve-la-planete/

  • I-Média n°241 : Révolte algérienne ou Gilets Jaunes, les médias ont fait leur choix

     

    Révolte algérienne ou Gilets Jaunes, les médias ont choisi

    Le soulèvement populaire algérien a été salué par de nombreux médias et journalistes qui semblent bien plus circonspects quand il s’agit des Gilets Jaunes.

    Zapping

    David Pujadas découvre ébahi avec le dernier ouvrage de Jérôme Fourquet que le peuple français est en train d’être modifié en profondeur par l’immigration extra-européenne massive.

    Siège à l’ONU : les médias ridiculisés

    Au moment de la signature du traité d’Aix-Le-Chapelle, certains responsables politiques exprimaient leurs craintes de voir la France bientôt céder à l’UE son siège à l’ONU.
    Les médias avaient hurlé à la « fake news ». Aujourd’hui, le débat est relancé.

    Tweets

    Selon une majorité de Français, les médias sont des outils de propagande. Un résultat étonnant quand on sait avec quelle impartialité et avec quel sérieux les médias traitent l’information.

    Racisme. Les médias menés à la baguette

    Une boulangère africaine de Levallois Perret en grave difficultés financières a affirmé avoir été victime de propos racistes. Des propos relayés par une association communautaire violente et par des médias qui ont oublié toute déontologie.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n241-revolte-algerienne-ou-gilets-jaunes-les-medias-ont-fait-leur-choix