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international - Page 651

  • IL EST MINUIT, PRÉSIDENTS MACRON, TRUMP ET DRAGHI

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    La dette publique française s’élève à 2.218,4 milliards d’euros, soit 97 % du PIB ; les intérêts s’élèveront à 42,1 milliards d’euros en 2018. Mais le drame, c’est que la dette réelle, selon la Cour des comptes, est de l’ordre de 6.000 milliards d’euros, soit trois fois plus que le chiffre médiatisé.

    Il convient d’ajouter, en effet, à la dette publique les engagements hors bilan de l’État français, c’est-à-dire l’ensemble des engagements futurs de l’État et toutes les garanties et cautions qui s’activeraient en cas de défaillances ou de krach. Les futures pensions et retraites des agents en exercice de l’État sont estimées à 2.150 milliards d’euros, ce qui fait déjà passer la dette française à 200 % du PIB. Quant aux garanties et cautions accordées par l’État français à, par exemple, la Grèce, Areva, EDF, Dexia et le Crédit lyonnais, elles s’élèvent à 1.920 milliards d’euros.

    La dette réelle publique française est donc bien, en fait, de l’ordre de 6.000 milliards d’euros, soit 300 % du PIB. Si les taux augmentent ou s’il y a le moindre krach, l’État français, et pas seulement l’Italie, sera en faillite pure et simple.

    En zone euro, Draghi n’a fait que pratiquer la politique de la fuite en avant, pour sauver les meubles de la France et de l’Europe du Sud, en gonflant, par sa politique d’assouplissement quantitatif, le bilan de la BCE à 42 % du PIB. Au-delà de l’arrêt, en septembre, de cette politique et de l’inéluctable prochaine augmentation des taux d’intérêt, on comprendra mieux la catastrophe à venir liée à l’interconnexion des banques européennes en prenant pour exemple les conséquences en chaîne d’une simple défaillance italienne.

    De nombreuses banques européennes ont une exposition trop élevée à la dette italienne. La banque publique belge Dexia, déjà sauvée deux fois de la faillite, détient des obligations italiennes qui représentent 320 % de son capital. La banque publique française Société de financement local (SFIL), créée après le sauvetage de Dexia, détient, elle aussi, des obligations italiennes qui représentent 480 % de son capital. D’autres banques européennes sont dangereusement exposées à la dette italienne : la banque portugaise Caixa Central, de Crédito Agrícola Mútuo, détient des obligations italiennes à hauteur de 200 % de son capital ; la banque espagnole Banco Sabadell 102 % ; les banques allemandes Deutsche Pfandbriefbank AG et Commerzbank respectivement 82 % et 42% ; BNP Paribas, 25 %. Le risque de contagion est donc énorme en Europe et dans le monde. 

    Quant à la politique économique de Trump, avec ses colossales baisses d’impôt qui bénéficieront, pour 60 %, aux 1 % les plus riches, avec la folle augmentation des dépenses publiques de 400 milliards en 2018 et 2019 et le resserrement de la politique monétaire, il est fort possible qu’elle entraîne une envolée du loyer de l’argent et un krach obligataire. La Fed réduit la taille de son bilan de 20 milliards de dollars par mois et souhaite passer à un rythme de 50 milliards d’ici septembre, ce qui inquiète les monétaristes. Elle ne pourra plus augmenter impunément à nouveau la taille du bilan de la Fed, sous peine de perte de confiance. Scott Minerd, le directeur des investissements de Guggenheim Partners, vient de mettre en garde contre une chute de 40 % des marchés actions en 2019 avec une grave récession à la clé – doux euphémisme d’un financier plus sincère que la moyenne.

    La vérité, c’est que les actifs cumulés de la BCE, de la Fed et de la Banque du Japon sont passés de 3.000 milliards, en 2007, à 15.000 milliards de dollars. Le comble de la folie contemporaine, c’est lorsqu’on apprend que le bilan de la BNS suisse comprend des dizaines de milliards de dollars d’actions technologiques américaines. La BNS est, en fait, devenue un fonds d’investissement spéculatif à long terme (« hedge fund »).

    Cerise sur le gâteau : Pékin semble vouloir sortir l’artillerie lourde en surtaxant de 25 % 106 produits américains dont le soja et les automobiles, face à l’offensive protectionniste sur 1.300 produits chinois de Trump et son désir de faire respecter la propriété intellectuelle américaine.

    http://www.bvoltaire.fr/minuit-presidents-macron-trump-draghi/

  • Marine Le Pen : «La France contribue à recréer une forme de guerre froide avec la Russie»

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    La députée du Front national Marine Le Pen, interrogée par RT France, a émis l’inquiétude d’une France qui «contribue aujourd’hui à créer ou à recréer une forme de guerre froide avec la Russie».

    Elle met en garde contre l’atlantisme du gouvernement français : «[Cela] n’a aucun sens parce que ce n’est pas du tout l’intérêt ni de la France, ni de son économie, ni des relations internationales que d’être, en quelque sorte, le doigt sur la couture du pantalon face aux Etats-Unis, qui cherchent à souffler sur les braises d’un conflit avec la Russie.»

  • Sur le passé des staliniens

    Pour recevoir régulièrement les liens de L'Insolentil suffit de le demander à son rédacteur en cliquant sur ce lien.

    6a00d8341c715453ef01b7c95f21c9970b-320wi.jpgNous abordons en ce lundi 9 avril un nouveau jour de grève politique à tactique révolutionnaire(1)⇓. Difficile d'esquiver dans un tel contexte le poids des nostalgies et, bien plus encore, des volontés de recommencement. On peut les qualifier de "communistes", s'agissant de la CGT, de "gauchistes", s'agissant de Sud-Rail, voire de "soixante-huitardes" etc. Toutes ces appellations ne doivent pas nous faire perdre de vue que, quand elles réussissent, ces entreprises qualifiées de façons diverses aboutissent aux mêmes résultats, à peu près identiques, de mort, de ruine, de misère, de crasse et d'oppression. Nous pouvons appeler cela "stalinisme", sachant que Staline n'était que le principal disciple de Lénine(2)⇓, lui-même un excellent élève de Marx(3)⇓. Marxisme, léninisme et stalinisme fonctionnent donc pratiquement, à cet égard, comme des synonymes.

    Ceci ne vaut sans doute pas pour une partie des esprits, ceux qui disent, et parfois chantent, "du passé faisons table rase". Ceci, au contraire, s'impose largement si l'on prend au sérieux les enseignements de l'Histoire, si l'on pense, avec Boris Souvarine qu'il "faut connaître la sinistre histoire d'hier pour comprendre la tortueuse politique d'aujourd'hui et de demain."

    C'est donc, si j'ai bien compris, dans cet esprit, qu'une équipe majoritairement composée d'anciens communistes, d'anciens maoïstes, etc., ayant complètement compris les méfaits du marxisme, du léninisme et du stalinisme, travaille, au sein de l'Institut d'Histoire sociale de Nanterre, sous la présidence d'Emmanuel Leroy-Ladurie et la direction de Pierre Rigoulot, à passer au crible le legs actif des totalitarismes, à l'œuvre dans le monde actuel, y compris dans le cadre de la menace islamo-terroriste. Et je considère que c'est pour moi, qui n'ai jamais été de près ou de loin communiste, un honneur de travailler avec eux.

    Sur le site de cet Institut est régulièrement publiée une chronique reprenant des informations de provenance en général très sérieuse, mais qui malgré leur importance passent rapidement à la trappe des mécanismes de la désinformation.(4)⇓

    En date du 5 avril, cette chronique ose s'interroger, sans affirmation péremptoire, sur le rôle d'une personnalité parisienne bien connue, Julia Kristeva épouse à la ville de Philippe Sollers.(5)⇓

    Le Courrier des Balkans résumait ainsi l'état de la question en date du 29 mars : "La Commission pour la Déclassification des documents et l’Annonce de l’affiliation des citoyens bulgares à la Sécurité d’État et aux Services de renseignements de l’armée nationale a révélé mardi 27 mars que Julia Kristeva aurait été une espionne du régime communiste. La philologue, linguiste, psychanalyste et femme de lettres connue pour son engagement féministe était enregistrée en tant qu’agente et associée secrète du Premier département général du bureau de la Sécurité d’État [Dajarna Sigournost]"

    Un lecteur de cette chronique en date du 5 avril 2018, a donc adressé aux administrateurs du site le message suivant :

    … "je souhaite apporter les commentaires ci-dessous -- avec la signature que vous trouverez au bas de mon texte: "Il n'est pas très élégant, ni honnête, ni citoyen, de relayer sans aucun esprit critique les manipulations des services spéciaux staliniens."

    Personnellement, je répondrais volontiers à ce commentateur que, s'agissant du principe qu'il énonce, sur le papier, en s'en tenant formellement à ses trois lignes, il n'y aurait rien à redire.

    Rien à redire si effectivement la mise en cause de Kristeva 1° venait des services staliniens, et 2° si elle était reprise sans réserve par la chronique ainsi incriminée.

    Or, ce ne sont pas de vagues trolls staliniens ou post-soviétiques qui se trouvent à l'origine de l'information : c'est d'abord la Commission de lustration de Bulgarie. Dans son pays d'origine, on se préoccupe, comme dans d'autres pays de l'Est, de mettre au clair le passé des anciens agents de l'oppression communiste et de l'occupation soviétique. Et cette instance éprouve plus que des doutes quant au rôle de Julia Kristeva. C'est elle qui l'a fait savoir.

    D'autre part, en France, le principal relais de cette information ne vient pas de L'Humanité ou de Mediapart, mais du Nouvel Observateur qui, dans ses pages réservées aux abonnés, diffuse des documents très suggestifs venant des archives de la Dajarna Sigournost [Sécurité d’État] du régime communiste imposé à la Bulgarie, qui comptait environ 1 000 communistes en 1944, par l'occupant soviétique.

    Enfin je constate que le titre comporte un point d'interrogation : "Julia Kristeva a-t-elle été ?".

    Non ce n'est pas "élégant", en effet, de mettre en cause d'innocentes brebis. En revanche, à l'heure où les tactiques révolutionnaires cherchent à repartir de plus belle dans notre pays, il est nécessaire, fécond et légitime de chercher à savoir la vérité.

    JG Malliarakis  

    Lien FB de l'insolent

    À lire en relation avec cette chronique

    La Sociologie du communisme de Jules Monnerot à commander sur la page cataloguede l'éditeur ou par correspondance en adressant un chèque de 39 euros pour les trois volumes aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    Apostilles

    1. cf. à ce sujet la chronique des Événements courants du 9 avril
    2. cf. Stéphane Courtois "Lénine l'invention du Totalitarisme" publié en 2017 chez Perrin. 
    3. on doit lire à ce sujet les deux livres d'André Senik "Marx, les Juifs et les droits de l'homme: À l'origine de la catastrophe communiste"" Denoël 2011 et "Le Manifeste du parti communiste aux yeux de l'Histoire" publié en 2015 aux éditions Pierre-Guillaume de Roux.
    4. Pour recevoir régulièrement et gratuitement les liens de ces chroniques, il suffit de Recevoir nos mises à jourle demander sur ce lien à l'administration du site. 
    5. (5) cf. chronique du 5 avril Julia Kristeva a-t-elle été une espionne communiste ?

    http://www.insolent.fr/

  • Troisième guerre mondiale ? Trump et Macron semblent prêts…

    Trump-Macron-300x170.jpgAlors que l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (EASA) a émis le 10 avril un message invoquant «de possibles frappes aériennes en Syrie dans les 72 heures à venir», et tandis que la résolution de la Russie demandant une enquête sur les gaz toxiques en Syrie, prétexte des manœuvres guerrières, a été rejetée par le camp occidental, mais soutenu par la Chine, les manœuvres s’intensifient en Méditerranée, au risque d’une confrontation directe avec la Russie. Emmanuel Macron qui, comme le fit Hollande en son temps, essaye de trouver dans la guerre une diversion à ses problèmes intérieurs, s’est montré résolu à risquer le déclenchement d’une troisième guerre mondiale tout en tentant de se défausser de ses responsabilités par avance:

    « En aucun cas les décisions que nous prendrions n’auraient vocation à toucher des alliés du régime ou s’attaquer à qui que ce soit mais bien à s’attaquer aux capacités chimiques détenues par le régime », a-t-il dit lors d’une conférence de presse commune avec le prince héritier d’Arabie saoudite Mohamed Ben Salmane, qui s’est dit pour sa part, prêt à prendre part à  la curée. Macron a également précisé hypocritement que La France « ne souhaite aucune escalade ».

    Ne reculant pas devant une approximation il a continué:

    « Nous avons obtenu des informations, qui d’ailleurs ont été pour une large partie d’entre elles en source ouverte et donc dont la presse, les organisations non gouvernementales se sont fait l’écho, qui ont montré qu’il y avait bien eu utilisation d’armes chimiques et que de manière évidente l’attribution pouvait en être faite au régime », a-t-il affirmé.

    Or les informations en question proviennent des terroristes islamiques que sont les Casques blancs, rejetés des USA comme indésirables en 2016, les terroristes islamiques du Front Al-Nosra rebaptisé Jaïch al-Islam, et l’Observatoire syrien des droits de l’homme, cette officine londonienne qui travaille ouvertement pour les intérêts occidentaux et qui tire ses informations des mêmes Casques blancs et consorts.

    Macron englué dans les protestations sociales de tous bords

    Le président français, soucieux de faire oublier sa chute dans les sondages de popularité et les multiples conflits sociaux qui se cristallisent en France avec les étudiants, les zadistes de Notre-Dame des landes, la protestation des auxiliaires de justice contre les réformes, la grève des fonctionnaires et celle des cheminots, poursuit:

    « Nous allons poursuivre les échanges d’informations techniques et stratégiques avec nos partenaires, en particulier britannique et américain, et dans les prochains jours, nous annoncerons notre décision », la « réponse (sera) forte et commune (avec Trump) au moment où la décision sera prise », a assuré le président français.

    Il oublie juste de se soucier du refus du Conseil de Sécurité de l’ONU de leur accorder mandat d’agir dans ce sens.  Suite au véto de la Russie contre le projet américain d’enquête sur les prétendues attaques au gaz de Douma en Syrie, Paris et Washington menacent d’attaquer la Syrie et sont en train de disposer leurs batteries d’attaques. Ce projet US était fondamentalement vicié du fait qu’il mettait en préalable à l’enquête, dans le texte-même, la désignation du coupable, par avance et sans discussion, c’est-à-dire, la Syrie. Le projet russe qui ne mettait aucun préalable aux enquêteurs n’a pas pu aboutir non plus, bien qu’il ait été soutenu par la Chine notamment.

    Comme pour l’Irak et pour la Libye, les pays occidentaux prouvent qu’ils ne se préoccupent des décisions du Conseil de sécurité de l’ONU que lorsqu’elles les arrangent, ainsi les autorités françaises, américaines et britanniques [nuancées aujourd’hui de la part des Britanniques] , comme leur projet n’a pas abouti, se moquent des décisions du Conseil de Sécurité de l’ONU dans leur soif d’embraser la planète, leurs forces unies sous commandement américain dans l’OTAN. Cela au profit des armes et pour abattre Bachar-el-Assad et s’emparer des ressources syriennes, comme ils le firent en Irak et en Libye. L’Armée française comme les armées américaines et britanniques deviendraient ainsi des armées privées au service d’intérêts privés, mais entretenues par les contribuables de ces pays respectifs.

    Cependant M. Macron semble engager un peu rapidement les Britanniques à ses côtés, en effet, selon The Times, aujourd’hui:

    «Theresa May a déclaré hier au Président Donald Trump que le Royaume-Uni avait besoin de plus de preuves de l’attaque chimique présumée qui aurait été effectuée par le régime de Bachar el-Assad avant de rejoindre une action militaire contre la Syrie».

    Les vélléités trumpo-macronesques ne seraient que la répétition du scenario irakien mais avec la différence notable qu’à l’époque la France avait refusé de faire le jeu des Américains comme elle le pouvait encore, ne s’étant pas encore soumise à l’Alliance atlantique, de laquelle le général de Gaulle l’avait sortie. Une autre différence très notable est l’implication au premier rang de la Russie au Moyen-Orient, dont elle était encore totalement absente au moment de l’agression américano-britannique en Irak en 2003.

    Depuis Sarkozy, et plus encore depuis Hollande, l’armée française est devenue, à l’instar de l’armée britannique, le bon petit soldat des USA. Regrettant son conflit manqué, François Hollande a soutenu son successeur: « La seule réaction possible est une frappe, ou des frappes ». Toujours aussi nostalgique des vies qu’il a été forcé d’épargner en 2013, il a rappelé qu’à cette époque, la France était prête à l’attaque, mais qu’il n’avait pas été suivi par Barack Obama et par David Cameron, l’obligeant à renoncer. A noter que depuis Sarkozy, les présidents français sont toujours au premier rang des plus déterminés à faire couler le sang au Moyen-Orient, quittes à favoriser le terrorisme et l’immigration islamique en France.

    Le président américain Donald Trump a aussi annoncé lundi une décision « très bientôt », et d’ores et déjà le destroyer lance-missile USS Donald Cook a quitté l’île de Chypre et son port de Larnaca pour se positionner en Méditerranée pour frapper la Syrie, tandis que le porte-avion USS Harry S. Truman a été envoyé en « mission » «au Moyen Orient et en Europe», le 11 avril. Donald Trump, pas à une outrance prés, qualifie le président syrien d’« animal ».

    La Russie prête à protéger la paix mais sans faiblesse

    Ces dernières semaines, Moscou avait déjà mis en garde à plusieurs reprises contre la préparation d’attaques sous faux drapeau dans la Ghouta. Le 17 mars, le général et porte-parole de l’état-major russe, Sergueï Roudsksoï, avait ainsi rapporté que la Russie disposait «d’informations fiables selon lesquelles des instructeurs américains [avaient] formé plusieurs groupes de combattants dans les environs de la ville d’Al-Tanf, pour lancer des provocations impliquant des armes chimiques dans le sud de la Syrie». 

    l’ambassadeur russe à l’Onu, M. Vassili Nebenzia, a mis à jour, hier, à l’ONU, de l’hypocrisie du camp occidental dans son rejet d’une enquête préalable pour connaître les raisons réelles de l’intoxication au gaz qui a eu lieu à Douma prés de Damas, qui pourrait, comme pour l’affaire Skripal à Londres, avoir été fomentée par des agents spéciaux britanniques ou Américains comme cela semble avoir été le cas précédemment:

    «Vous dites que nous sommes bons au jeu. Je n’en suis pas sûr. En revanche, je sais que vous êtes bons dans les menaces. Les menaces que vous énoncez maintenant à l’égard de la Syrie doivent fortement nous préoccuper, parce que nous pouvons nous retrouver au seuil d’événements extrêmement tristes et graves. Je vous demanderai une fois de plus de renoncer aux projets que vous fomentez visiblement à l’égard de la Syrie», a dit le diplomate.

    «Le fait que vous n’ayez pas adopté la résolution témoigne, à notre grand regret, que nos partenaires et collègues américains n’ont besoin d’aucune enquête. Nous regrettons que cette résolution (proposée par la Russie, ndlr) n’ait pas été adoptée. Mais j’espère que la mission de l’OIAC se rendra bientôt en Syrie et s’occupera de ce dont elle doit s’occuper en vertu de son mandat, à savoir l’établissement des faits qui ont eu lieu à Douma», a poursuivi M.Nebenzia.

    L’initiative russe prévoyant l’envoi de spécialistes de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) dans la ville syrienne de Douma, qui avait prétendument subi une attaque chimique samedi dernier, n’a pas obtenu le nombre minimal requis de voix. Deux membres permanents du Conseil, la Russie et la Chine, ont soutenu la proposition, ainsi que trois autres pays: la Bolivie, l’Éthiopie et le Kazakhstan. Les États-Unis, le Royaume-Uni et la France (membres permanents), tout comme la Pologne, ont voté contre le document. Six pays ont préféré s’abstenir.

    Aujourd’hui , face à l’intensification des manœuvres guerrières occidentales, l’ambassadeur de Russie au Liban, Alexandre Zassipkine, a prévenu: «La Russie va exécuter la déclaration de son Président, relative à toute agression américaine contre la Syrie, en abattant des missiles américains et en attaquant les sites de lancement», a déclaré le diplomate à la chaîne al-Manar. Ce qui signifierait, non seulement la neutralisation des missiles mais aussi des frappes en retour contre les sites d’attaques américains.

    De son côté, la Syrie, elle-même partisane d’une enquête sur le terrain se montre quelque peu blasée:

    «Les allégations d’utilisation de produits chimiques sont un vieux refrain que ne croient que certains pays qui commercent avec le sang des civils et soutiennent le terrorisme en Syrie. Chaque fois que l’Armée arabe syrienne avance dans sa lutte contre le terrorisme, des allégations d’utilisation d’armes chimiques sont utilisées comme une excuse pour prolonger la vie des terroristes à Douma», a déclaré le ministère syrien des Affaires étrangères à l’agence Sana .

    Au moment où s’est produite la prétendue attaque chimique dans la Ghouta orientale le 7 avril, plus de 90% de ce territoire avait été repris par l’armée syrienne. Une petite partie encerclée et sans possibilité de secours extérieurs était encore détenue par le groupe islamique soutenu par les Occidentaux, Jaïch al-Islam [ex Front al-nosra]. Celui-ci s’était déjà opposé à une évacuation humanitaire, en pilonnant le 6 avril dernier les couloirs humanitaires. Il est fort probable que les roulements de tambours, les tartarinades de Donald Trump et les déplacements de canons et autres portes-avions sont destinés à protéger et laisser le temps de souffler aux supplétifs islamiques des alliés occidentaux, sans préjuger cependant des suites que tout cela pourrait entrainer. Ces combattants formés et expérimentés sont destinés à servir encore et il ne faudrait pas décourager les bonnes volontés pour d’autres conflits. Car sans conflits comment le complexe militaro-industriel de très loin le plus puissant de la planète, celui des USA, pourrait-il prospérer ? Dans ce cadre une extension du conflit n’est pas à prendre à la légère.

    Bachar-el-Assad a gagné la guerre!

    Il ne faudrait pas se faire une fausse idée d’une Syrie à feu et à sang au vu des images plus ou moins vraies qui sont présentées sur les télévisions dans les petites poches de guerre qui subsistent encore sur son territoire. En réalité au bout de six ans de conflit, la Syrie avec à sa tête Bachar-el-Assad, a gagné la guerre et la grande majorité de son territoire est actuellement en paix et de nombreux Syriens qui étaient partis ont réintégré leurs foyers. Non, Bachar-el-Assad ne sera pas chassé du pouvoir, du moins pas par les armes!

    Même si la Russie, la Syrie et dans une certaine mesure l’Iran, s’efforcent à la modestie dans leur incontestable victoire afin de ne pas exciter les rancunes et les envies, c’est tout-de-même une excellente nouvelle que les États-unis et leurs alliés ont énormément de mal à digérer; malgré leurs énormes stocks de « missiles nouveaux, beaux et intelligents »(dixit Trump), il faudra bien qu’ils finissent par l’admettre.

    Tentative d’intimidation seulement ?

    Il est possible que le retrait amorcé du Royaume-uni ne soit que le prétexte concerté pour renoncer à l’attaque, du fait que la Russie loin de se désolidariser de la Syrie a au contraire manifesté qu’elle ne cèderait rien et même qu’elle était prête à la riposte. Et qu’en plus elle a eu l’appui  à l’ONU de la Chine, deuxième ou troisième grande puissance montante avec ses milliards d’habitants. La Chine, plus l’Iran, plus la Russie et beaucoup d’autres, cela risque de faire beaucoup de monde à affronter, sans compter les risques d’une extermination nucléaire jamais à exclure totalement dans la fièvre d’une lutte à mort… Car en effet, Teresa May semblait très déterminée jusque-là à emboiter le pas des deux va-t-en guerre de France et des USA, l’affaire Skripal ressemblant fort à des prémices. Son brusque rétro-pédalage ne semble donc être qu’une manoeuvre de plus, mais pour ouvrir une fenêtre à un renoncement à la guerre. Les manœuvres guerrières feront-elles flop en Méditerranée ? nous le saurons très vite.

     

    http://www.medias-presse.info/troisieme-guerre-mondiale-trump-et-macron-semblent-prets/90020/

  • Syrie : la ligne rouge sang des Occidentaux - Journal du Mercredi 11 Avril 2018

  • ATTAQUE CHIMIQUE EN SYRIE : LA GRANDE MANIPULATION

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    Cette fois, ça y est : Bachar a franchi la ligne rouge ! Il a bien choisi son moment : l’armée syrienne a repris 95 % de la Ghouta, le dernier carré islamiste contrôle 1,5 km2 et l’assaut final commençait sur Douma. L’issue était certaine, surtout avec l’appui de l’aviation russe.

    Et c’est maintenant qu’il déclenche son attaque chimique… Drôle d’idée !

    Revenons aux faits : les lanceurs d’alerte sont les Casques blancs. Qui sont-ils ? Des islamistes, combattants ou non selon les cas, qui jouent le rôle d’une sorte de défense civile. Ce sont des militants soigneusement sélectionnés : ne devient pas Casque blanc qui veut, en zone djihadiste.

    Les services sanitaires prennent le relais et confirment sur Internet l’attaque chimique. Qui sont-ils ? De vrais médecins, certes, mais islamistes également. Ils ont choisi le camp djihadiste depuis le début de la guerre, dans cette Ghouta sunnite largement acquise aux milices combattantes.

    Puis ce sont les photos et les vidéos : impossible de savoir d’où elles viennent. Le Figaro, en pointe sur le sujet, nous montre la photo d’une fillette qui pleure et d’un petit garçon affublé d’un masque à oxygène. Voilà une preuve ! Et l’ineffable Isabelle Lasserre (la même qui soutenait les islamistes tchétchènes contre les Russes), écrit : « Selon les organisations humanitaires, le nouveau massacre de la Douma, le dernier bastion rebelle dans la Ghouta orientale, aurait fait 48 morts. Sur les réseaux sociaux, les photos des enfants en train de suffoquer sont insoutenables. »

    La messe est dite et l’on appréciera, au passage, le style de cette journaliste militante : « les organisations humanitaires » (nullement islamistes, bien sûr), « le bastion rebelle » (rebelle est plus chic qu’islamiste), « les réseaux sociaux », le conditionnel. Le FigaroLe Monde et Libé devraient faire page commune sur la Syrie.

    Immédiatement, les Occidentaux voient rouge. Rien n’est sûr, pourtant ? Mais si : c’est forcément Bachar, cet « animal », comme dit Trump qui n’en rate pas une.

    Les Occidentaux sont, de toute façon, prisonniers de leur rhétorique manichéenne depuis sept ans. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse un tant soit peu objective ne sont maintenant possibles.

    Alors, que vont-ils faire ? Maintenant qu’ils ont désigné le coupable sans aucune preuve, il faut agir, sinon, que diront les médias et la police de la pensée ? Edwy Plenel et BHL vont s’indigner !

    Et puis, cette fois, 48 Tomahawk lancés un peu nulle part ne suffiront pas à calmer les ardeurs guerrières des faucons de Washington, Londres et Paris.

    Heureusement qu’il y a des Russes sur place, sinon Damas pourrait finir comme Bagdad.

    http://www.bvoltaire.fr/attaque-chimique-syrie-grande-manipulation/

  • La Russie avertit Macron et les USA : Toute attaque de la Syrie au profit des djihadistes entraînera une « riposte russe »

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    Source Breiz Atao cliquez ici

    Alors qu’une nouvelle opération d’intoxication a été lancée par les USA, la France, la Grande-Bretagne et Israël contre la Syrie pour justifier une intervention au profit des djihadistes contre le gouvernement de Bachar al-Assad, la Russie a annoncé que cela supposera de l’affronter militairement.

    « La Russie répondra si son armée est frappée par des frappes US en Syrie » a indiqué un sénateur russe.

    Comme le rappelle le journaliste Elijah Magnier, qui couvre le conflit depuis le début, toute frappe contre l’armée syrienne reviendra à frapper l’armée russe car cette dernière a des officiers dans toutes les unités du gouvernement syrien.

    Mensonge visant à légitimer une intervention au profit des djihadistes

    Malgré l’utilisation frauduleuse et récurrente de mensonges sur l’utilisation « d’armes de destruction massive » par des pays que les USA, Israël ainsi que leurs vassaux veulent détruire, le même motif est utilisé une nouvelle fois par les médias occidentaux et leurs commanditaires.

    Chacun se souvient de ce prétexte à l’ONU pour la guerre d’Irak en 2003 avec pour conséquence la mort d’un million de personnes et l’émergence de l’Etat Islamique. cliquez ici

    Le même scénario s’est reproduit contre la Libye de Mouammar Kadhafi en 2011, avec les conséquences que l’on sait : l’effondrement de ces états laïcs, la montée en puissance de milices djihadistes armés par les pétromonarchies et les états occidentaux et enfin, le chaos migratoire. cliquez ici

    Malgré cette réalité, la propagande néo-conservatrice, qui domine largement les médias occidentaux et français, ont décidé de recourir à la même excuse pour secourir les djihadistes soutenus par les pétromonarchies et Israël, dans la région de Damas.

    C’est une organisation financée par George Soros (source) et affiliée aux Frères Musulmans, les « Casques Blancs », qui ont une nouvelle fois monté une attaque chimique fictive.

    Sputnik News (source) :

    Comme hier, la frappe de ce lundi 9 survient au surlendemain d’une attaque chimique supposée. Si Washington et Paris ont rapidement démenti être à l’origine de ces frappes — les regards se tournant à l’heure qu’il est vers Tel Aviv —, d’autres points de rapprochement entre ces deux épisodes de crise subsistent.
    Comme en avril 2017, les preuves brandies sont les photos et vidéos d’une «ONG médicale» — à savoir les sulfureux Casques blancs — auxquelles s’ajoutent les accusations des «rebelles» — en l’occurrence de Jaych al-Islam, des extrémistes qui n’hésitent pas à exécuter les civils hostiles à leur mainmise dans la Ghouta orientale.
    Rappelons que les Casques blancs ont été créés en 2013 par un ancien officier britannique reconverti dans le mercenariat, présentés par nos confrères français comme une «ONG» opérant en zone rebelle. Ils sont très officiellement financés et soutenus par l’USAID, l’agence gouvernementale américaine pour le développement et le Foreign Office britannique. Cette vidéo de septembre 2016, où l’on voit Boris Johnson évoquer sa «fierté» de prodiguer 32 millions de livres sterling de soutien aux Casques blancs — soit alors la moitié de l’aide qu’ils recevaient — peut en témoigner.

    Macron décide de mentir sciemment

    Malgré cette réalité, Emmanuel Macron a décidé de mentir sciemment à l’opinion publique pour soutenir le principe d’une guerre d’agression illégale contre le gouvernement syrien qui mène une guerre victorieuse contre le djihadisme.

    S’il n’y a eu à ce stade aucune enquête et qu’aucun élément n’a été présenté à l’opinion publique pour étayer ces accusations, le président français a déjà validé les préparatifs militaires sous les ordres des USA.

    Au demeurant, la « sensibilité » de la présidence française sur les quelques morts alléguées par les djihadistes par un « gazage », la même n’a jamais jugé utile de tenir le même discours à l’Arabie Saoudite, elle-même engagée dans une famine organisée contre la population du Yémen.

    Il faut dire que la France vend d’importantes quantités d’armement à la tyrannie wahhabite saoudienne, de quoi acheter le silence de la très droits-de-l’hommiste présidence française.

    En tout état de cause, la France devra affronter la Russie, puissance nucléaire dont les forces sont déployées partout en Syrie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Tribune libre : Pourquoi nos dirigeants mondialistes haïssent-ils leur peuple à ce point ?

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    Victor Hallidée Riposte laïque cliquez ici

    Nombre de personnes se posent cette question qui revient de façon sporadique, obsédante :

    Pourquoi cet acharnement à détruire l’avenir des générations futures et à faire de la France  un futur Liban ?

    Pourquoi les dirigeants des pays d’Europe de l’Ouest ont-ils opté pour le suicide… celui des peuples et des pays dont ils ont la charge ?

    Autre modalité de formuler la question : pourquoi les pays de l’Est résistent-ils ? Pourquoi ont-ils encore l’amour de leur pays et de leur culture chevillé au corps ?

    Ce qui sauve les pays d’Europe de l’Est, c’est qu’ils n’ont pas connu Mai 68, qu’ils n’ont pas été décérébrés par l’idéologie libertaire.
    Tandis qu’en Europe de l’Ouest, la génération soixante-huitarde a déstabilisé notre édifice anthropologique : destruction des valeurs chrétiennes ; destitution du père et de toutes les figures représentatives de l’Autorité ; destruction de la famille ; déni de la différence  sexuelle ; frustrations homosexuelles et post-féministes ; retour du refoulé chrétien : culpabilité, haine de soi.

    On ne peut rien comprendre si on ne prend pas en considération que cette génération parricide soixante-huitarde et post-soixante-huitarde, aux affaires depuis plus de trente ans, constituée en oligarchie euromondialiste, s’est fixée un but qui ne peut être avoué aux populations.

    Si l’on nomme les choses par leur nom, il s’agit d’un COMPLOT élitaire, d’une stratégie, d’un discours public ad hoc, qui ont pour objet de mener ce projet à son terme.

    Ce projet c’est l’objet sacré du fantasme, du désir des « élites » euromondialistes : LE GOUVERNEMENT MONDIAL !

    Pognon et jouissance à gogo ! Vie de nababs… Tout ça vous met en affinités avec d’autres élites et d’autres lois…

    Prenant appui sur ces affinités ploutopornocratiques inavouables, nos « gouvernances » optent pour le semblant, surfent sur un relativisme pervers (pour lequel tout vaut tout, à commencer par le bien et le mal, l’assassin et sa victime) et paradent en humanistes universalistes anti-racistes !

    La haine des dirigeants sans foi ni loi de nos pays se reporte alors, en réflexe de caste, sur les peuples européens qui n’ont que leur attachement à leur mode de vie, à leur culture, leur civilisation. Peuples auxquels ils ne s’identifient plus et qu’ils méprisent.

    Dès lors leur sacrifice devient possible.

    Quelles sont les affinités qui conduisent nos ploutocrates à embrasser les desseins de théocraties archaïques et violentes ?

    La visée des soixante-huitards et post-soixante-huitards – jouir sans limite  n’est-ce pas précisément ce en quoi consiste la tyrannie des autocraties islamiques ?

    Nos soixante-huitards aux commandes en bavent d’envie et de duplicité…

    Esclavage ? Permis ! Profits sans limites réservés aux aristocraties en place ? Permis !

    Pedophilie ? Permis ! Polygamie ? Permis ! Meurtre ? Permis !

    Et bien sûr, des sauf-conduits pour les dirigeants (homosexualité, orgies, consommation d’alcool, etc. – étant seulement interdits aux masses, au bétail humain).

    Un principe de domination dictatorial, autocratique, sans empêchement légal ni culpabilité ! Le rêve pour nos soixante-huitards ! Ah ! Mais c’est bien sûr ! La jouissance est de ce côté ! Détruire, faire disparaître le christianisme et la démocratie, ainsi que ceux qui y sont attachés, voilà la solution ! La submersion islamique fera le travail !

    Le principe de fonctionnement de ce « post-modernisme managérial » repose sur la capacité à faire partie des dominants. Exit les scrupules et la culpabilité. Qu’importe si à  cette aune, les compétences seront en recul et le bakchich en hausse. Bienvenue aux pervers et truands de tous poils !

    Telle est la mentalité des « managers post-modernes », tel Macronus Jupiteribus, qui invitait les jeunes, lors de sa campagne électorale, à avoir un idéal digne de leur époque, celui de devenir milliardaires.

    Ce à quoi aboutit l’idéologie libertaire-libérale – sous couvert d’alibis humanitaires, de l’amour de l’Autre, de l’égalité et de la fraternité avec l’Autre – c’est à la destruction de la société chrétienne égalitaire, son remplacement par une société inégalitaire (inégalités homme/femme, musulman/non-musulman) bien plus propice à la marchandisation du monde.

    Instrumentaliser les principes chrétiens pour faire disparaître le christianisme ! Bien joué ! Pas des demi-pervers les gars ! Sauf que vous êtes en train de scier la branche sur laquelle vous êtes assis ! Quand vous serez convertis à l’islam, vous resterez des Blancs, des Occidentaux,  pour ceux avec lesquels vous aspirez à gouverner. Le racisme et l’ethnocentrisme, le tribalisme  inhérents aux sociétés archaïques, se substitueront au théocentrisme pour vous exclure et mettre votre existence en danger.

    Vous avez joué l’islamisation de l’Europe : malheur aux femmes, malheur aux minorités chrétiennes, juives, athées, etc. Malheur aux faibles, aux vieux sans ressources (l’euthanasie chère à Attali pèse sur leurs têtes). Malheur à  ceux qui ont une éthique, un esprit critique et des scrupules (la fin de la liberté  d’expression est en marche) !

    Ploutocrates-oligarques, vous devrez en rendre compte !

    Au diable la démocratie empêcheuse de jouir en rond ! Telle est la mentalité des soixante-huitards au pouvoir et de la génération inculte qui suit, conservatrice aveugle et abrutie des anti-valeurs soixante-huitardes.

    Ironie  tragique : cette fuite en avant de l’idéologie soixante-huitarde libertaire, aux manettes depuis plus de trente ans, aboutit à l’islamisation de l’Europe !

    Mais il est logique qu’un mouvement qui s’attaque à l’anthropologie d’une société, qui supprime les fondements d’une civilisation, va dans le sens de sa destruction.

    C’est longtemps après, aujourd’hui, que se manifestent les résultats concrets, complètement fous et abjects.

    Les peuples européens vont-ils aller sans réagir à l’abattoir que leur ont concocté leurs criminels dirigeants (l’islamisation sous contrainte de la machette et de la kalachnikov, la menace de l’égorgement, les crimes de masse) comme sont allés aux chambres à gaz – parce qu’ils ne pouvaient y croire –  les juifs qui débarquaient des trains qui les conduisaient dans les camps de concentration ?

    Il n’est pas impossible que les peuples se réveillent et que la peur change de camp. Un signe encourageant : quelques rats commencent à quitter le navire…