Après avoir copieusement tiré parti de la guerre d’Ukraine, et des sanctions qu’elle contourne, la Turquie d’Erdogan traverse ces temps-ci une mauvaise passe à l’international.
Le plus récent a été connu ce 24 avril. Il s’agit de la réponse de la vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas dans le cadre des travaux du parlement européen. Au sein de celui-ci la Commission UE-Turquie est plus ou moins le dernier reliquat de la candidature turque enlisée depuis l’accord d’Ankara de 1963 et son dépôt officiel par le gouvernement de Turgut Ozal en 1987.