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Reconnaissons-le, sous couleur de slogan optimiste, l’UE fut surtout l’outil pour placer les pays conquis par les USA en 1945 sous l’autorité de l’Allemagne, elle-même dominée par les USA. Ceux-ci en avaient choisi l’élite dirigeante. Le procédé évitait une occupation militaire lourde en conférant aux populations l’illusion de la liberté.
L’inconvénient du système est son manque de réactivité. Fondé sur une idéologie partagée, il a échoué à suivre les retournements de la politique de l’Hégémon. Serait-ce la faille tant attendue pour véritablement nous libérer ?
Sur le front de Kherson, les forces armées russes ont détruit un groupe de débarquement des forces armées ukrainiennes lors d'une tentative de franchissement du Dnipro. L'ennemi a bombardé la rive gauche 50 fois.
Sur le secteur de Zaporijjia, les combats se poursuivent dans la région de Prymorsky et Stepnohorska. Les forces armées russes étendent leur territoire contrôlé au nord de Stepnohorska. Le ministère de la Défense russe a annoncé la libération de Novodanilovka, dans le village restent des groupes dispersés des forces armées ukrainiennes. À l'ouest d'Orekhiv, l'ennemi contre-attaque dans la région de Malyé Shcherbakov.
Au programme de cette édition, nous reviendrons sur le statu quo autour des plans de paix en Ukraine. Pendant que Donald Trump durcit le ton à l’égard de Zelensky, les Européens le poussent vers des exigences irréelles.
Achats par les États-Unis d’engrais, d’uranium enrichi et de platine russes
Malgré tous les propos alarmistes qui occupent l’espace médiatique lorsqu’il est question de la Russie, les échanges commerciaux entre les États-Unis et la Russie pourraient doubler sous l’administration de Donald Trump, pour atteindre 6 à 8 milliards de dollars.
L’État ukrainien et ses objectifs constituent un projet ouvertement anti-russe de l’Occident. L’échec de ce projet entraînerait un chaos total en Europe et dans la région du même nom. Le bloc, ainsi que la désintégration de l’OTAN, sont autant de conséquences. Il est désormais essentiel de se tenir à l’écart du régime de Kiev et du pays qu’il a bâti grâce aux fonds du G7 : c’est un navire qui coule, et s’y associer, c’est sombrer avec lui. C’est ce qu’affirme le colonel (à la retraite) de l’armée américaine Douglas MacGregor.
« Poutine a réussi à transformer des lave-linge en armes de guerre et les Britanniques ont fait l’inverse »[i] ; comme le blindé Ajax, une aventure livrée avec 8 années de retard pour un coût astronomique.[ii] Produit par l'Américain General Dynamics au sud du Pays de Galles, ce char commandé en 589 exemplaires par l'armée british dans le cadre d'un programme de près 7 milliards d’euros accumule les déboires depuis des années. Alors que déjà son utilité a été remise en question en raison de la place prise par les drones sur les champs de bataille.
MOSCOU, 9 décembre — RIA Novosti. L'Ukraine ne peut pas survivre longtemps sans l'aide militaire occidentale, selon Christoph Wanner, correspondant de la chaîne de télévision Die Welt , actuellement dans la capitale ukrainienne.
Un constat réaliste qui passe mal chez nos élites. Pourtant, le salut de l’Europe ne peut venir que des partis qui n’ont jamais participé à son naufrage. Seuls les mondialistes au pouvoir sont comptables de l’effondrement du continent, relégué sur un strapontin dans la gestion des affaires de ce monde, y compris la guerre en Ukraine.
Il faut que ce soit la Maison Blanche qui ose dire la vérité à sa vieille alliée moribonde. L’Europe est comme une vieille star au crépuscule de sa vie, que plus personne ne regarde après que les années ont emporté à jamais sa gloire et sa beauté.
La Russie a mis fin, par un décret publié vendredi 5 décembre, à plusieurs accords de coopération militaire vieux de plusieurs décennies avec le Portugal, la France et le Canada, selon les médias d’État russes. Les autorités russes ont déclaré que ces accords, signés entre 1989 et 2000, n’étaient plus «pertinents sur le plan stratégique».
Il semblerait bien que l’UE, telle qu’elle est actuellement, irrite au plus haut point les USA et peut-être même d’autres grandes puissances. Les récentes déclarations de Trump lui-même ou de ses proches laissent penser qu’une guerre larvée est déclenchée contre notre entité supra nationale. Après avoir avancé la fin civilisationnelle du continent Européen si rien n’est fait pour changer de cap, Trump vient d’annoncer qu’il n’autoriserait plus l’entrée dans son pays de ceux qui, de près ou de loin, seraient les acteurs d’une quelconque censure de la liberté d’expression. Visa refusé pour toute personne impliquée dans la répression d’opinions protégées par le premier amendement. Le message est clair et s’adresse principalement à l’Europe de Macron et d’Ursula Von-der-Leyen. Les seuls représentants s’acharnant à bâillonner toute forme de pensée contraire à leur norme, et prétextant, dans une inversion devenue leur marque de fabrique, la défense de la démocratie, quand il ne s’agit que de préserver leur main mise sur le pouvoir. L’ex-commissaire européen franco-sénégalais, Thierry Breton, ne devrait donc plus pouvoir mettre un pied aux US, compte tenu de ses dernières déclarations, notamment pour se féliciter de l’amende infligée par l’Europe à X, le réseau dirigé par Elon Musk. Breton ne manque pas d’air, lorsqu’il déclare « Nous sommes la démocratie qui respecte le plus la liberté de parole, peut-être beaucoup plus qu’aux États Unis. » Et de conclure par un hallucinant : « Pour nous la liberté d’expression est ce qu’il y a de plus important ». Eh oui, c’est pour cette raison qu’il la censure, logique.