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Il faut savoir rire de tout surtout lorsque c’est grave, et savoir aussi observer avec humour quelques paradoxes truculents que seule l’actualité est capable de nous fournir.
Par exemple, ces dernières heures avec la dernière décision de Donald Trump de monter les droits de douane pour tout le monde c’est la chute des marchés.
Macron ne vit que pour la guerre, c’est sa seule préoccupation et il s’emploie comme un beau diable, pour justifier d’entrer directement en conflit contre la Russie. La France, ce qui s’y passe, il s’en moque, ce n’est pas, ça n’a jamais été sa priorité. Tout le monde a bien compris qu’il ne voulait pas de la paix, et si en France il bénéficie du soutien étonnant de toute la classe politique, à l’extérieur il n’en est pas de même. Certes il a deux amis, le Britannique Starmer qui est tout aussi obnubilé par ce conflit, seul moyen pour échapper au drame qui se joue dans son propre pays, ainsi que son homologue allemand dont l’économie est en train de sombrer à grande vitesse. Macron est le chef de file de cette coalition qui n’en est pas une mais qui multiplie les réunions pour envoyer des troupes en Ukraine. Mais sous quel mandat ? L’ONU ? Il faudrait une résolution du conseil de sécurité dans lequel siègent la Russie, la Chine, les USA. Il y a fort à parier que l’un des trois, voire les trois utiliseront leur droit de veto.
À l’heure où le quatuor néoconservateur européen Macron, Starmer, Merz et von der Leyen plastronne et tente d’impressionner la population par leur plan d’envoyer des troupes au sol, sans l’accord de la Russie et donc de l’ONU, pour garantir un hypothétique accord de paix en Ukraine, il est bon de rappeler que toutes les Armées de l’OTAN ont aujourd’hui de sérieux problèmes pour recruter et fidéliser leurs personnels militaires.
L'armée russe a frappé la base centrale ukrainienne des armements d'artillerie, annonce la Défense Points clés du bilan quotidien du ministère au 6 avril:
Autres raisons pour lesquelles le libre-échange mondialiste, défendu par les États-Unis pendant 70 ans, n’est pas acceptable :
Les Européens sont en droit de se demander pourquoi il faudrait à tout prix « fourguer » des Mercedes et des produits de luxe aux Chinois, parfaitement capables de fabriquer des produits analogues, tout en acceptant massivement l’importation de produits que les Européens seraient capables de produire en relocalisant ou en lançant des usines nouvelles. Tout se passe comme si le commerce international était devenu l’indépassable horizon des sociétés multinationales. L’avenir s’appelle « juste échange », protectionnisme intelligent et non pas libre-échange !
Le déploiement d’une telle mission est «irréalisable pour des raisons politiques, diplomatiques, stratégiques et pratiques», explique à Sputnik Jacques Hogard, colonel français à la retraite.
Le plus important quotidien américain, le New York Times, a dévoilé un secret de Polichinelle : les généraux américains ont planifié et dirigé la guerre en Ukraine contre la Russie.
Il a dévoilé que c’étaient les militaires américains qui désignaient les cibles à frapper sur le territoire russe et que c’était également les militaires américains qui contrôlaient les armes qui ont été utilisées pour tuer des Russes sur le sol russe.
Entendez-vous sur les télés tous ces analystes qui nous prédisent les pires maux avec la politique de Trump et ses droits de douane qui vont nous ruiner.
En réalité ce qui se passe c’est l’exact inverse.
Mais il ne faut pas que vous vous en rendiez compte ! Si vous le saviez vous rejetteriez cette mondialisation qui nous détruit à petit feu.
Ce ne sont pas les droits de douane qui appauvrissent les peuples.
« Pendant des siècles, l’Angleterre s’est appuyée sur la protection, l’a pratiquée jusqu’à ses plus extrêmes limites, et en a obtenu des résultats satisfaisants. Après deux siècles, elle a jugé commode d’adopter le libre-échange, car elle pense que la protection n’a plus rien à lui offrir. Eh bien, Messieurs, la connaissance que j’ai de notre pays me conduit à penser que dans moins de deux cents ans, lorsque l’Amérique aura tiré de la protection tout ce qu’elle a à offrir, elle adoptera le libre-échange ». Ulysses Grant, Président des États-Unis de 1868 à 1876