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international - Page 797

  • 8 mars : « journée internationale de la femme »

    « Ou plus exactement la journée marxiste-léniniste de la femme, puisque c’est Lénine qui a décrété en 1921 que le 8 mars serait la journéeinternationale de la femme.

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    « 8 mars, jour de rébellion des travailleuses contre l’esclavage de la cuisine », peut-on lire sur l’affiche soviétique ci-dessus : une « travailleuse » tend la main à une femme écrasée par les tâches domestiques (et par une icône de la Théotokos) pour la « libérer »,  en l’envoyant travailler à la chaîne en usine…

    Malgré la propagande communiste et libérale, malgré l’obligation qu’ont beaucoup de femmes d’avoir un travail rétribué pour subvenir aux besoins de la famille, malgré l’idéologie dite « féministe » qui fait partie de l’idéologie officielle, un sondage de 20 minutes montrait récemment que la loi naturelle ne se détruit pas si facilement qu’on le croit, et constitue une claque retentissante pour tous les valets du politiquement correct :

    82% des femmes jugent plus important d’être mère que d’avoir une carrière professionnelle. »

    Source Y. Daoudal

  • Le président irakien salue l'efficacité des frappes russes contre Daech

    Le succès de la campagne des Forces aériennes russes en Syrie favorise la lutte contre le terrorisme en Irak, a confié aux médias russes le président irakien Fouad Massoum.

    "Toute frappe contre Daech, même effectuée au Maroc, nous aide à lutter contre les djihadistes. Le danger extrême que représente le groupe terroriste concerne non seulement la Syrie et l'Irak, mais aussi beaucoup d'autres pays. Les attentats perpétrés à Paris, ainsi que pléthore d'autres attaques partout dans le monde en constituent des exemples évocateurs", a-t-il souligné.

    ​La Syrie est le théâtre d'un conflit armé depuis mars 2011. Selon l'Onu, dont les dernières statistiques remontent à 18 mois faute de données, cette guerre a déjà fait plus de 250.000 morts et poussé des millions de personnes à l'exil. Les troupes gouvernementales syriennes combattent des groupes terroristes dont les plus dangereux sont l'Etat islamique et le Front al-Nosra.

    En l'absence d'un front unique anti-Daech, plusieurs forces luttent contre ces groupes djihadistes, qu'il s'agisse des troupes gouvernementales syriennes et irakiennes, de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis (qui se limite pour le moment à des frappes aériennes) et des combattants kurdes Peshmergas, ainsi que des milices libanaises et irakiennes.

    Les forces aériennes russes ont lancé une opération militaire contre les terroristes en Syrie le 30 septembre 2015, à la demande du président syrien Bachar el-Assad.

    https://fr.sputniknews.com/international/201603081023196394-president-frappes-daech-irak-lutte-aide/

  • Soutien inattendu à Apple contre le FBI

    Apple et le FBI se livrent une bataille sans merci autour du décryptage d’un iPhone utilisé lors de l’attentat de San Bernardino. Le constructeur à la pomme a reçu le soutien de l’ONU

    C’est un soutien de poids qu’a reçu Apple dans sa bataille juridique et communicationnelle contre le FBI. Il n’est en effet pas courant que les Nations Unies se positionnent en faveur d’une entreprise privée contre un État.
    Bref rappel des faits pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire : le FBI demande à Apple de concevoir un procédé permettant d’accéder aux données cryptées contenues dans l’iPhone d’un des terroristes musulmans auteur de la tuerie de San Bernardino, en Californie (14 morts). L’agence fédérale accuse le constructeur californien de faire obstruction à une enquête pour terrorisme et met en avant la sécurité des Américains.
    Outre une base juridique mince et qui a été depuis invalidée, Apple craint que cela ne crée un dangereux précédent, permettant non seulement aux USA, mais aussi à tous les régimes autoritaires de la planète, d’exiger le « déplombage » des téléphones à la pomme, compromettant gravement le respect de la vie privée et les libertés publiques. Le FBI a d’ailleurs fini par admettre qu’il comptait bien s’appuyer sur le succès de la requête de San Bernardino pour pousser d’autres demandes similaires.

    L’affaire a fait pas mal de bruit jusque sur notre rive de l’Atlantique, avec notamment l’amendement Ciotti au projet de loi de réforme pénale, qui prévoyait des amendes allant jusqu’à 2 millions d’euros et d’interdire la commercialisation de produits ou services dont les concepteurs refusent de coopérer avec la justice. Il a été rejeté d’une courte tête.

    C’est donc l’ONU, par la voix de son haut-commissaire aux droits de l’homme, le prince Zeid bin Ra’ad, qui vient de prendre position dans le débat qui oppose Apple au FBI. En l’espèce, l’organisation internationale plaide en faveur de la firme de Cupertino au motif que permettre aux autorités fédérales américaines d’accéder aux données chiffrées d’un iPhone reviendrait à, pour reprendre les termes du prince, « ouvrir la boîte de Pandore » et faire un cadeau aux régimes autoritaires et aux pirates informatiques.

    Le chiffrement et l’anonymat sont nécessaires pour préserver la liberté d’expression et d’opinion, ainsi que le droit à la vie privée. Il n’est pas exagéré de dire que, sans outils de chiffrement, des vies seraient en danger. […] Les autorités risquent d’ouvrir une boîte de Pandore, et cela pourrait avoir des conséquences extrêmement graves pour les droits humains de millions des gens ainsi que pour leur sécurité financière et physique.

    Quoi que l’on pense de l’ONU, de la présence à la tête de la commission aux droits de l’homme d’un prince saoudien et de ses éventuelles arrière-pensées, force est de reconnaître que cet avis est frappé au coin du bon sens. Il est faux de croire que nous sommes placés face à un dilemme entre nos libertés civiles et notre sécurité. Si Apple cède, nous ouvrons effectivement la boîte de Pandore, mais, au-delà de la seule affaire de San Bernardino, nous ne gagnerons rien : qui peut croire, en toute honnêteté, que les terroristes sont assez stupides pour continuer à utiliser des iPhone s’ils savent que le FBI dispose d’un moyen d’accéder à leurs données ?

    En revanche, il est certain que si le constructeur à la pomme cède au FBI, c’est un clou de plus dans le cercueil de nos libertés publiques et de notre droit à l’intimité. Une fois de plus, le terrorisme est une merveilleuse occasion pour nos dirigeants de réduire nos libertés au nom de la sécurité. Et la citation de Benjamin Franklin qui circule beaucoup n’en reste pas moins pertinente :

    Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.

    http://fr.novopress.info/199138/soutien-inattendu-apple-contre-fbi/#more-199138

  • 30 mille combattants irakiens pour chasser Daech de Mossoul

    Trente mille effectifs des forces armées irakiennes planifient de prendre d'assaut la ville de Mossoul au nord de Bagdad pour en expulser Daech", a déclaré le colonel Christopher Garver, un porte-parole du commandement de la coalition américaine, cité par le journal al-Qods al-Arabi.
    Selon Garver, "huit à 12 bataillons de l'armée irakienne et deux bataillons des peshmergas kurdes s'apprêtent à reconquérir Mossoul où se trouvent près de dix mille miliciens appartenant à Daech".
    S'exprimant au cours d'un point de presse devant des journalistes à Washington, il a prévu que "la ville de Mossoul sera récupérée vers la fin de l'année en cours", ajoutant que "les forces US devront également dresser leur bilan et leur évaluation de la situation".
    D'après ce colonel, les Irakiens sont toujours "en phase de préparation du plan", expliquant que le rôle américain sera "d'accélérer le délai prévu pour les opérations militaires".
    Auparavant, le commandant des opérations al-Anbar, le lieutenant Ismaïl Mahallaoui, a indiqué que "des renforts militaires formés d'une brigade blindée, des commandos de la huitième division de l'armée et des bataillons de combattants de tribus sunnites sont arrivés ce samedi à l'Est de Ramadi, sur la route internationale".
    Selon Mahallaoui, ces renforts sont équipés de tous les équipements et armes nécessaires, et participeront avec la dixième division de l'armée pour reconquérir d'autres régions dans l'ile de Khaldiya à l'Est de Ramadi. L'objectif en est de déloger Daech et de lever le siège imposé sur la population".
    Fin des opérations militaires à Samarra
    Dans la province de Salahedine, à Samarra, les forces irakiennes conjointes ont achevé les opérations militaires après avoir libéré plus de 50 villages. Ces forces ont réussi à évacuer 300 familles détenues par Daech et à désamorcer des dizaines de charges explosives dans les régions libérées.
    Par ailleurs, un dirigeant des forces de la mobilisation populaire, Jabbar Maamouri a confirmé la mort du responsable de la brigade de soutien logistique de Daech au nord de Salahedine avec trois de ses compagnons, alors qu'ils tentaient d'acheminer une importante cargaison de vivres.
    Selon lui, "une force conjointe des forces sécuritaires et des forces de la mobilisation populaire a tendu une embuscade au cœur de l'ile de Sharqat (40 km au nord de Tikrit), à un convoi de camions sur lesquels étaient inscrits "la wilaya de Ninive". Des affrontements ont alors éclaté entre les deux parties, au cours desquels le responsable du soutien logistique à Daech, Abou Hafsa le Marocain a été tué avec trois de ses compagnons".

    Traduit du site alAlam

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVZkuuEFZclZdfZIy.shtml

  • En remettant la Légion d’honneur, Hollande légitime les abominations de l’Arabie saoudite…

    Dans un communiqué publié le 4 mars par l’agence de presse saoudienne SPA, les autorités saoudiennes ont annoncé que le chef de l’Etat, François Hollande, avait remis la Légion d’honneur au prince héritier Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, lors de sa visite à Paris.

    « François Hollande a souhaité la bienvenue au prince héritier et s’est félicité des fortes relations entre le royaume d’Arabie Saoudite et la France », explique le communiqué.

    « Au terme de leur entretien, le président français a remis vendredi 4 mars à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme », ajoute le communiqué.

    Déjà le lundi 21 septembre 2015, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU avait nommé l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite auprès des Nations unies, M. Faisal Trad, à la tête de son Comité consultatif, lequel est notamment chargé « de sélectionner les rapporteurs en charge de thématiques précises comme les camps de travail en Corée du Nord ou les violences faites aux femmes », ainsi que le rapporte l’ONG UN Watch. D’ailleurs, l’Académie saoudienne d’éducation prend son rôle très au sérieux puisqu’elle vient de lancer un cycle de conférences autour de la question « La femme est-elle un être humain ? ». Pour répondre aux nombreuses réactions enflammées sur les réseaux sociaux, l’Académie précise sur son compte Facebook que ce thème de conférence doit être interprété de la manière suivante : soit la femme est à un niveau élevé, soit à un niveau moyen, soit à un bas niveau. Malheureusement, beaucoup ont commencé à interpréter l’intitulé en limitant la compréhension au niveau bas de la femme — notre mère, épouse, sœur ou fille… alors que l’intitulé n’osait pas rabaisser le rôle de la femme. » Malgré ces explications et les efforts de l’Académie, les réseaux sociaux ont été inondés de divers slogans et appels sous le hashtag #femme_être_humain. La conférence, prévue le 1er mars 2016, a été annulée.

    Mais voilà, plutôt que de s’indigner devant cette tentative de l’Arabie de dénaturer et limiter la notion même des Droits de l’Homme, le président français a reçu en toute discrétion vendredi 4 mars le prince Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, prince héritier d’Arabie saoudite, également vice-président du Conseil des ministres et ministre de l’Intérieur. Le site internet de l’Elysée mentionne bien cet entretien, mais a semble-t-il « oublié » de préciser que suite à cet entretien, François Hollande a remis à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrêmisme.

    C’est le moment de rappeler que l’Arabie Saoudite est l’un des premiers pays au monde par le nombre de peines de mort prononcées par la justice conforme à la Charia. La moitié des exécutions concerne des affaires de stupéfiants, mais outre les meurtres et les viols, la peine capitale s’applique également à l’adultère et à l’apostasie. Alors, il faut croire que Hollande a considéré que tout cela méritait bien une médaille… et vous ?

    Sources :

    https://infocomnet.wordpress.com/2016/03/06/en-remettant-la-legion-dhonneur-hollande-legitime-les-abominations-de-larabie-saoudite/

    https://francais.rt.com/

    http://www.atlantico.fr/

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/en-remettant-la-legion-d-honneur-178508

  • L’art de faire porter un chapeau ukrainien à la Russie

    Au vu de ses conséquences économiques, l’Europe veut la levée de l’embargo russe.

    Au vu de ses conséquences économiques, l’Europe veut la levée de l’embargo russe. Cet embargo est la réponse aux sanctions européennes prises contre la Russie. L’Europe exige l’application intégrale des accords de Minsk pour lever ses sanctions et demande à Moscou de faire pression sur les autorités ukrainiennes bien que celles-ci soient en pleine hystérie russophobe.

    Le 17 février dernier, lors de la conférence de presse commune avec le Premier ministre hongrois, Vladimir Poutine a précisé la position russe.

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  • La Chine en action: vers la chute du dollar

    Auran Derien, enseignant

    Ex: http://metamag.fr

    Pour un monde dé-dollarisé

    Depuis le début de 2016, la Banque Centrale de Chine a mis en fonctionnement un système interbancaire de ventes et d’achats d’or. Deux institutions, filiales de la Banque Centrale, se partagent les responsabilités.

    Le marché interne de l’or est sous la responsabilité de la Shanghai Gold Exchange (SGE) ; le marché interbancaire est administré par le China Foreign Exchange Trading System (CFETS). Si on sait que la Chine est le principal pays détenteur d’or dans le monde, la quantité exacte n’en est pas connue, de sorte que les nouvelles institutions vont améliorer la liquidité interbancaire de l’or tout en favorisant la création de nouveaux marchés pour le métal.

    Jusqu’alors, les banques chinoises ne pouvaient négocier de l’or entre elles. Chacune avait seulement la possibilité d’acheter du métal au Shanghai Gold Exchange, institution monopolistique par laquelle passaient toutes les demandes. Désormais, dix banques vont intervenir sur deux niveaux. Quatre banques, associées au groupe Australia and New Zealand Banking group (ANZ) feront fonctionner le marché primaire. Six autres banques participeront à un marché secondaire. Il est toujours interdit d’exporter de l’or mais en même temps la Banque Centrale en achète en moyenne 20 tonnes chaque mois depuis 2015.

    Fin de la confiance dans le dollar

    De telles manœuvres renforcent l’analyse selon laquelle les gens civilisés de par le monde se lassent des transactions liées au dollar. Depuis 2014, les contrats entre la Chine et la Russie ont éliminé l’usage du dollar. Les Chinois ont réduit leurs énormes réserves de cette monnaie en achetant, à travers le monde, des actifs de toutes sortes. Ils se paient l’Europe, notamment les entreprises utilisant une technologie qui les intéresse, tant en France qu’en Allemagne.

    De plus, en France ils cherchent à installer une tête de pont à partir de laquelle déverser leurs produits sur toute l’Europe, bénéficiant d’une part des mêmes avantages que les multinationales (pas d’impôts, etc.), d’autre part en utilisant le label “made in France” sur l’essentiel de leur production importée qu’ils revendraient dans le monde comme si elle était locale. La City de Londres, depuis octobre 2014, coopère avec la Chine pour émettre des obligations libellées enRenminbi, et de nouvelles institutions bancaires, telles la Banque Asiatique d’Investissement pour les Infrastructures (AIIB) vont permettre à divers pays de s’éloigner peu à peu des voyous de la Banque Mondiale.

    On peut donc déduire que les Chinois veulent garder une porte de sortie au cas très probable où les bulles gigantesques construites par la finance globalitaire se dégonfleraient plus ou moins rapidement. L’or serait une base de négociation monétaire face à l’incertitude qui suivrait la chute du dollar ou de l’Euro. Les titres publics américains sont déjà considérés comme sans valeur car Janet Yellen, qui parle au nom de la Réserve Fédérale américaine prétend que les taux d’intérêt seront maintenus ou augmentés alors que chacun constate le délabrement de l’économie américaine et de l’occident en général. Tout y est faux, mensonger ; ce spectacle incarne parfaitement la révélation monothéiste : le réel n’existe pas, seule la parole  doit s’imposer ici, les indices officiels trafiqués.

    Dans une situation de déliquescence de l’économie occidentale et de perte de prestige des financiers transcendentaux, l’or retrouvera la fonction qu’il eut depuis l’origine du monde : être une référence, un soutien, une forme de richesse. La Chine, achetant de l’or, se sépare de dollars pourris tout en laissant se dévaluer sa monnaie car toutes les monnaies se dévaluent au temps de la création monétaire débridée imposée par la finance mondialiste. Mais le mécanisme est innovateur. Le prix de l’or est déterminé en yuans, il existe un commerce interbancaire pour le métal, de sorte que le yuan dispose d’une cotation “absolue” en or, indépendante de celle en dollar. Les changes flexibles demeurent puisqu’il n’est pas possible aujoud’hui de fixer des règles équitables pour le système monétaire international. Reste que le prix du yuan en or est un meilleur indice de la valeur du yuan que le cours du yuan en dollar.

    Stimuler les exportations en changeant les flux

    Cette nouvelle chinoiserie entre aussi en concurrence avec une institution dépendant des démons financiers de Londres. Le pouvoir financier a toujours voulu le monopole de l’émission de monnaie. La Chine offre une alternative : le prix de l’or en renmibi plutôt que celui fixé à Londres en dollars. Selon la logique de l’arbitrage, il pourrait en résulter assez rapidement un transfert des transactions vers la Chine qui, offrant un meilleur taux, inciterait la plupart des agents à vendre leur or contre yuans. L’expansion du yuan permettrait d’acheter plus de biens et services et donc, peu à peu, stimulerait le commerce extérieur chinois.

    Le « goldman sachs » a testé sa capacité de nuisance le 16 février de cette année en attaquant le prix de l’or et en reprenant son discours éculé sur le manque d’avenir d’un métal que par ailleurs ils achètent systématiquement. Le système bancaire des « criminels en col blanc » promeut une escroquerie permanente, les certificats d’or (un bout de papier) aussi bons que l’or physique. Cette petite crapulerie touchera à sa fin si le système chinois fonctionne bien, permettant l’achat / vente d’or physique plutôt que les confettis papier de goldman sachs et cie.

    La guerre monétaire fondée sur la création ex nihilo va-t-elle finalement favoriser la Chine dont la monnaie est désormais liée au cours de l’or que les démons de Londres ne seront plus les seuls à déterminer selon leurs intérêts ?

    Chacun espère que la voie vers la dé-dollarisation du monde soit sans retour et que ceux qui ont créé cette arme de destruction massive cesseront peu à peu de nuire.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/03/05/la-chine-en-action-vers-la-chute-du-dollar-5768436.html

  • Des élèves entendus par la gendarmerie pour savoir ce que leur prof avait dit "au sujet de la Russie et de Vladimir Poutine"

    Oui, nous sommes dans la France sous Hollande :

    "Ce professeur d’histoire et de langue bretonne du collège Sainte-Anne à Sainte Anne d’Auray – en Bretagne – n’en revient toujours pas. Revenant de vacances, Pascal G. a appris avec stupéfaction que ses élèves de troisième année de collège avaient été auditionnés par la gendarmerie. Motif de l’enquête ? La façon dont l’enseignant aurait présenté la Russie contemporaine durant ses cours".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La fermeture de cliniques d’avortement atteint un rythme sans précédent aux Etats-Unis

    Ne boudons pas cette bonne nouvelle :

    « Depuis 2011, pas moins de 162 cliniques d’avortement ont fermé leurs portes ou cessé de procurer des avortements pour se concentrer sur d’autres activités, tandis que seuls 21 nouveaux établissements ouvraient leurs portes aux Etats-Unis. Les fermetures ont été enregistrées dans 35 Etats, aussi bien dans des petites villes que dans de grosses agglomérations. C’est une tendance sans précédent depuis la légalisation de l’avortement par l’arrêt Roe v.Wade, rendant la procédure d’« IVG » de plus en plus difficile d’accès dans certaines zones des Etats-Unis.

    Bloomberg commente la fermeture de cliniques d’avortement

    La tendance est notamment imputable aux lois des Etats cherchant à restreindre les possibilités d’avorter ou à mieux contrôler les normes sanitaires imposées à ces cliniques. Ainsi le Texas, qui a imposé de nouvelles exigences aux cliniques d’avortement, obligées de passer des accords avec des structures hospitalières pour éviter des tragédies en cas d’urgence vitale pour les femmes, a-t-il enregistré au moins 30 fermetures. L’Iowa et le Michigan suivent avec 14 et 13 fermetures respectivement, puis la Californie (avec 12 fermetures), alors même que cet Etat a un gouvernement démocrate.

    Aux Etats-Unis, ce sont des structures dédiées qui dans l’immense majorité des cas proposent l’avortement, et leur nombre décroît régulièrement depuis la fin des années 1980 :

    il en existait 705 alors à pratiquer au moins 400 avortements par an, selon l’Institut Guttmacher (organisme de recherche pro-avortement lié auPlanned Parenthood américain), contre 553 en 2011. Depuis lors, la chute a été encore plus rapide, à raison de 31 fermetures par an en moyenne.

    Aux Etats-Unis, moins de demandes d’avortement et moins de médecins avorteurs

    Si les nouvelles réglementations, qui pèsent sur la rentabilité des cliniques, sont responsables de nombre d’entre elles, d’autres sont dues à des concentrations d’activité ou une baisse démographique dans la région concernée. Mais Bloomberg fait également état d’une baisse de la demande des avortements, du départ à la retraite de médecins disposés à éliminer des enfants in utero, et des mesures prises contre des établissements insalubres. Selon LifeNews, le déclin de la demande de la procédure a pour corollaire sa moindre rentabilité

    Au Texas, pionnier des mesures anti-avortement, de nombreux établissements ont fermé faute de vouloir respecter des normes hospitalières imposées pour recevoir des femmes en vue d’avortements chirurgicaux ; en juillet dernier, le taux d’« IVG » dans l’Etat avait déjà chuté de 13 %. Dans cinq Etats, il ne reste désormais qu’une seule clinique d’avortement.

    Si le Planned Parenthood a participé au mouvement de fermetures – 30 % des établissements fermés depuis 2011 appartenaient au groupe – il est loin devant pour ce qui est des créations d’établissements depuis cette date, soit 75 % (sur 21…).

    Troy Newman, président d’Operation Rescue, souligne que la fermeture des avortoirs, notamment les plus dangereux d’entre eux, « est une excellente nouvelle pour les femmes et pour les bébés, car lorsque des cliniques d’avortement ferment, des vies sont sauvées ».

    Anne Dolhein sur reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/la-fermeture-de-cliniques-davortement-atteint-un-rythme-sans-precedent-aux-etats-unis#more-41186