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international - Page 797

  • Sans être entièrement conspirationniste

    Face à l'affaire des "Panama Papers", j'avoue qu'il m'est difficile de croire à la pureté intégrale de la démarche de cent et quelques grands journaux.

    On nous dit que, coopérant dans le plus grand secret, ils auraient obtenu, on ne sait d'ailleurs comment, les archives d'un cabinet juridique privé dans la république de Panama. Hum ?

    Où mène leur piste nous n'en savons rien à ce jour. Sinon probablement à un plus grand resserrement des mailles fiscalistes dans le monde entier. Avec cette curiosité tout de même que la fiscalité n'est pas uniforme dans le monde.

    Quand on met sur le même plan des comptes off-shores du président du Soudan et de ceux de gens qui, en Europe occidentale disposent d'autres moyens, moins opaques, d'opérer des transactions ou d'intervenir sur les marchés on parle de réalités absolument différentes.

    N'ayant jamais ni acheté ni vendu de contrats d'impresario de football, je crois cependant difficile d'échapper à des circuits financiers imposés par les opérateurs.

    Oui les États ont le droit de se prémunir contre les contribuables qui fraudent leurs législations légitimes et pertinentes, lorsque celles-ci subviennent aux besoins des nations. Mais ce droit lui-même ne saurait s’exercer que dans certaines limites. Surtout quand on mesure la part bien faible, dans un pays comme la France, des dépenses régaliennes indispensables effectives et la part monstrueuse des dépenses démagogiques dans l'intérêt des décideurs, technocrates ou accapareurs.

    Restons donc vigilants dans cette affaire au contenu liberticide probable.

    Mme Lagarde, par exemple, à la tête de sa technocratie mondiale, détournée de ses objectifs statutaires, ne manque pas d'aplomb quand elle se propose d'étendre encore l'intervention du FMI. L'embryon de gouvernance mondiale ne recule devant rien. C'est peut-Être de ce côté-là qu'il faudrait demander de meilleures investigations.

    http://www.insolent.fr/

  • Journal du Jeudi 07 Avril 2016 : Politique / Emmanuel Macron en ordre de marche

  • « Panama Papers » : la riposte de Poutine

    La Russie vit décidément à l’heure des décrets salvateurs. Vladimir Poutine a annoncé qu’il allait déclassifier de nombreuses archives portant des « noms très intéressants » et signer le décret dans la foulée.

    Ces fameux Panama Papers qui n’en finissent plus de faire couler de l’encre ont été accueillis sans broncher par des centaines de médias mondialistes. Ceux qui ont reçu des subventions de la Fondation Soros et de la Fondation MacArthur, leurs propriétaires, et autres parties impliquées pensaient qu’ils participaient à une chasse à la bête. Sans s’en rendre compte, ils étaient en pleine partie de ping-pong, tant était grande leur naïveté. Ils ont diffusé ces documents dans 80 pays via 400 journalistes grassement stipendiés. Seulement voilà, la liste comprend une personne du Foreign Intelligence Service of the Russian Federation (CBP en russe) et plusieurs centaines de membres de la Direction générale des renseignements (GRU) de l’État-Major des Forces Armées russes. Et ils vont être punis, pas eux, mais leurs patrons.

    Le président russe a décidé de frapper en déclassifiant des documents s’étalant entre 1930 et 1989. En ajoutant calmement : « Pour autant que j’en sache, selon les informations fournies par les agences chargées des archives, ces documents font état de noms très intéressants, des documents qui surprendront la société… » Il va y en avoir des cadavres politiques dans notre Vieille Europe…

    Une agression qui se transforme en vraie souricière…

    http://www.fort-russ.com/2016/04/putin-to-declassify-documents-that-bear.html 

  • À Palmyre, les djihadistes pouvaient acheter une femme 3 euros pour six mois

    La bataille pour reprendre Palmyre aux djihadistes s’est achevée, il y a une semaine, mais il y a toujours des explosions. Toute la ville a été piégée par l’État islamique. Des milliers de mines sont disséminées un peu partout.

    Une équipe de France 2, autorisée à accompagner l’armée syrienne, a pu filmer et recueillir un certain nombre de témoignages.

    Derrière eux, les djihadistes ont laissé un tas de documents, des registres qui montrent que tout a été inventorié, noté. On apprend, par exemple, que les islamistes pouvaient acheter une femme 3 euros pour six mois. Par ailleurs, des listes issues du tribunal islamique montrent que toute désobéissance était punie : fumer valait, par exemple, 15 jours de prison.


     

    http://fr.novopress.info/

  • Syrie : les Russes, le Hezbollah et les Iraniens à la porte d’Alep

    La mort du porte-parole de la branche d’Al-Qaïda en Syrie, le dénommé Abou Firas as-Souri (le syrien) semble se confirmer de plus en plus, en l’absence de démenti de la part du front al-Nosra.
    Au moment où se prépare la bataille pour sécuriser la province sud d’Alep, où les miliciens du Nosra et Cie ont multiplié ces derniers jours leurs violations du cessez-le feu, abattant un avion militaire syrien et bombardant les quartiers loyalistes d’Alep.
    Un enfer de tous les côtés
    « Toutes les forces russes, celles du Hezbollah et des Iraniens sont arrivées à Alep et la bataille servira de leçon au front-al-Nosra et Cie », a menacé le commandant des opérations terrestres de l’armée syrienne, dans un ultimatum lancé ce mardi aux miliciens armés, dans lequel il a averti que l’armée allait ouvrir contre eux « les feux de l’enfer » de tous les côtés.
    Selon le correspondant de la télévision al-Manar, il a demandé aux habitants d’éviter de se trouver dans les quartiers où les miliciens sont retranchés et qui seront un champ de bataille dans les heures prochaines.
    Avion abattu, et 14 aleppins tués
    Auparavant, l’agence syrienne Sana a révélé qu’un avion militaire syrien a été abattu via un missile sol-air sur la colline de la localité al-Eis, située à cheval entre la province sud d’Alep et la province nord d’Idleb.
    Alors que l’OSDH a indiqué que le sort du pilote est toujours inconnu, la chaine de télévision pro saoudienne al-Arabiyyat a affirmé qu’il a été fait prisonnier par le front al-Nosra et emmené vers l’un de ses sièges. Elle a néanmoins publié une photo de lui, reprise des réseaux sociaux, et dans laquelle il apparait tué (Photo en bas).
    Cette localité a fait l’objet d’un assaut lancé depuis 48 heures par les milices armées alliés du Nosra, rompant une énième fois la trêve rentrée en vigueur depuis le 8 mars dernier.
    Les miliciens ont également pilonné sporadiquement les quartiers loyalistes d’Alep, et il est question de 14 martyrs et de 50 blessés, parmi les habitants du quartier cheikh Maksoud, durant ces dernières 48 heures.
    Qui a abattu Abou Firas
    C’est alors que la bataille battait son plein dans cette région, dimanche dernier, qu’un important chef du front al-Nosra, Abou Firas as-Souri a été abattu ainsi que son fils et une vingtaine de miliciens du front al- Nosra et de Jund al-Aqsa, dont certains sont originaires d’Ouzbékistan.
    L’information a été confirmée par l’Observatoire syrien des droits de l’homme, instance médiatique de l’opposition pro occidentale, mais qui hésitait pour l’attribution des raids aux avions russes ou syriens, rapporte l’AFP.
    Or, depuis quelques heures, l’agence Reuters a relayé la déclaration du porte-parole du Pentagone Peter Cook dans laquelle il rend compte d’un raid américain qui a visé une réunion d’importants responsables d’Al-Qaïda au nord-ouest de la Syrie et que les responsables américains veulent s’assurer qu’Abou Firas a bel et bien été tué.
    Histoire d'Abou Firas
    Ce dernier, originaire de la localité de Madaya proche de Damas, de son vrai nom Redwane Nammous, est un ancien officier de l’armée syrienne depuis les années 70 du siècle dernier.
    Il a fait défection très tôt, et a été reconnu impliquée dans le « massacre de l’artillerie », perpétré dans le quartier Ramousseh en juin 1979.
    Il avait facilité à la branche armée des Frères Musulmans de Syrie, connue sous l’appellation « l’avant-garde combattante » d’entrer dans une école militaire et d’abattre entre 50 et 82 de ses étudiants, selon la version officielle.
    A cette époque, les Frères musulmans menaient une lutte sans merci contre le pouvoir en place, dirigé par le président syrien défunt Hafez al-Assad, le père de l’actuel. Abattant aussi bien les militaires que des employés du secteur public, ou des membres du parti Baas au pouvoir.
    Au début des années 80, Abou Firas s’est rendu au Pakistan et en Afghanistan pour rejoindre les rangs d’Al-Qaïda et était très proche de Ben Laden.
    Il se trouvait au Yémen depuis 2003, avant qu’il ne décide de se rendre en Syrie, en 2013, au moment de la crise entre Daesh et le Nosra.
    Proche du numéro actuel d'al-Qaïda Ayman al-Zawahiri, il est parvenu à resserrer ses rangs, occupant des postes-clés. Ayant fait partie de son conseil choura, il été désigné comme son porte-parole avant d’être nommé responsable des écoles religieuses.
    Avant sa mort, il s'est fait remarquer par son opposition farouche à la demande de la milice alliée du front al-Nosra, les Ahrar al-Cham, de se démarquer d'al-Qaïda. L'accusant d'être payé par des services de renseignements régionaux et internationaux.
    Sa mort est une perte pour l'aile dure du Nosra, d'autant que sa position n'est pas partagée par l'aile moins dure, celle dirigée par Abou Mariam al-Qahtani , Youssef Arajani, et d'autres, plus enclins à collaborer avec la milice pro occidentale Armée syrienne libre (ASL) et avec l'Occident en général.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EuVAAuAFApMQOGCkAu.shtml

  • « Panama Papers » : l’hypothèse d’une manipulation prend de l’ampleur

    Les « Panama papers » n’ont pas été transmis par une source interne mais obtenus de l’extérieur par effraction.

    C’est une des caractéristiques de notre époque et c’est en passe de devenir un grand classique. Lorsque survient un événement majeur aux répercussions planétaires, les médias donnent le la et le grand public réagit en conséquence comme un chien bien dressé. Puis vient le temps de la suspicion et, au bout, celui de la théorie du complot. Deux jours à peine après la divulgation des « Panama Papers », force est de constater que nous y sommes, à ce fameux complot, ce qui doit constituer un record en la matière. Illustration de ce changement brutal dans la perception de cet événement, les derniers tweets de WikiLeaks, dans lesquels il est désormais question de révélations ciblées à des fins politiques.

    Pourquoi évoquer un complot ? Parce que l’information du jour, relayée d’abord par des blogs généralement bien informés puis sur les chaînes de télévision américaines, est un véritable coup de tonnerre : il n’y a pas eu de fuite (leak, en anglais), les « Panama Papers » n’ont pas été transmis par une source interne comme dans le cas de la NSA avec Edward Snowden, mais obtenus de l’extérieur par effraction.

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  • Gollnisch reçu à haut niveau: retour sur un instructif voyage chinois

    Bruno Gollnisch était en Chine du 17 au 26 mars, répondant à l’invitation de la Fondation culturelle Chine Europe et de Fondation de la promotion de la paix sur la route de la soie. Filip Dewinter député flamand au Parlement de Belgique, et la sénatrice belge (flamande également) Anke Van Dermeersch (ancienne Miss Belgique, juriste spécialiste de droit fiscal) étaient notamment au nombre des membres de la délégation dans laquelle figurait le député européen FN. Nous avons recueilli ici quelques unes de ses impressions.

    Bruno Gollnisch nous l’a confié, ce périple dans l’Empire du Milieu fut marqué « à Pékin comme àShanghai par des rencontres, des réceptions avec des personnalités de poids du monde politique et économique ». « Pour autant les Chinois, fiers de leur patrimoine, ont eu aussi à cœur de nous faire partager leur culture. »

    « A  Shanghai par exemple nous avons certes rencontré le leader  mondial de la fabrication  de container,   un des hommes les plus riches de Chine,  vu une ville dont les gratte-ciels n’ont rien à envier à ceux de New York ou de Dubaï; nous nous sommes même rendus  au sommet  de la Shangai Tower qui culmine  à 632  mètres de haut! Mais nos hôtes ont tenu aussi à nous amener à l’institut culturel où nous avons été initiés à l’art traditionnel de la calligraphie, à celui tout aussi  subtil et délicat du découpage de papier;  nous avons même été priés  de remettre des décorations à deux artistes peintres de grand talent ».

    « Les chinois ont voulu  également nous montrer Xi’an, ancienne capitale au centre du pays,où se trouve l’extraordinaire mausolée de l’empereur Qin, datant de  plus de 2000 ans, et son armée enterrée composée de 6 000 guerriers - dont aucun n’est exactement identique à l’autre- chevaux et chars en terre cuite de grandeur nature. Bien évidemment furent aussi au menu la Cité interdite, le palais impérial de Pékin, la Grande muraille…qui prouve que toutes les civilisations sédentaires, n’en déplaisent à certains, ont toujours  eu à se préserver des intrusions de nomades prédateurs! ».

    « Signe de l’importance que revêtait aux yeux des autorités de Pékin ce voyage, notre délégation a été reçue très officiellement  par des figures de tout premier plan du régime, notamment le vice-ministre des Affaires étrangères, Cheng Guoping, fin connaisseur des questions européennes, et le haut responsable Meng Jianzhu,  chef de la Commission des affaires politiques et juridiques du Comité central du Parti communiste chinois. »

    « Je n’ai pas pour habitude de donner des leçons de démocratie libérale à chacun de mes voyages comme le font habituellement les représentants du Parlement européen » précise Bruno Gollnisch. « Même en désaccord, je préfère dialoguer et d’ailleurs,  si la Chine n’est pas conforme dans son mode de fonctionnement politique avec notre modèle occidental, la situation n’a rien à voir avec celle d’il y a cinquante ans. J’étais un invité et non un otage c’est pourquoi je n’ai tout de même pas manqué d’interroger Meng Jianzhu sur les catholiques chinois fidèles au pape, sur la distinction nécessaire entre eux et ceux qui utilisent  la religion à des fins subversives, voire terroristes, comme le font certains islamistes. »

    « Mon franc-parler sur cette question sensible  a visiblement surpris, mais  il m’a assuré  que la Chine avait  changé et que la liberté de culte était  rétablie. Certes, j’ai constaté par moi même que les temples bouddhistes  étaient très fréquentés;  il en était de même de la cathédrale de Pékin où je me suis aussi  rendu de ma propre initiative,  j’y ai  vu pareillement la ferveur des croyants. Ces deux monuments avaient été fermés pendant la Révolution culturelle, le premier avait même été détruit par les gardes rouges, avant d’être reconstruit à l’identique il y a quelques années, le second avait été transformé en hangar avant d’être rendu au culte catholique. »

    « Je n’apprendrai rien à nos lecteurs internautes,  les libertés économiques ont été aussi rétablies en Chine communiste. Je suis allé pour la première fois en Chine il y a près de trente ans, dans le cadre d’une coopération avec l’université de Wu-Han. Alors professeur de langue et civilisation japonaises à Lyon, doyen de la Faculté des Langues,  j’accompagnai Gérard-Emmanuel Weil, ancien rabbin de Saverne, qui présentait un programme sur la saisie informatique des idéogrammes. »

    « J’ai le souvenir d’une ville universitaire très pauvre, le papier y était rare, la bibliothèque avait été brûlée pendant la Révolution culturelle, des professeurs avaient été défenestrés… Les enseignants de l’université se déplaçaient en vélo dans des costumes Mao élimés. »

    « Quel contraste avec la Chine de 2016! » constate Bruno Gollnisch. « Bien sûr, tous les Chinois ne sont pas riches mais environ 250 millions d’entre eux (sur prés d’un milliard et demi tout de même) ont désormais un niveau de vie comparable à la moyenne de celui des citoyens de l’Union européenne. Une Chine nouvelle où l’on voit des milliers de voitures de luxe dans les rues, principalement de marques  allemandes et japonaises… mais aucune (ou presque) françaises, ce qui ne justifie pas  le salaire exorbitant du PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, mais cela est une autre histoire… »

     « Dans nos discussions au ministère des Affaires étrangères avec Cheng Guoping et des responsables chinois, et à la lumière de ma seule boussole en politique étrangère, à savoir les intérêts de la France,j’ai donné mon sentiment sincère. Notamment qu’il  n’était pas une  mauvaise chose  que l’assomption de la Chine sur la scène internationale puisse faire contrepoids à la superpuissance unique  des Etats-Unis,  dont la direction est trop souvent au service des intérêts mondialistes ».

    « Je milite pour un monde multipolaire  et  je suis content à ce titre que la Russie, la Chine, l’Inde et d’autres s’affirment comme des puissances renaissantes ou en devenir,  capables d’avoir une politique indépendante et souveraine. Je puis vous dire que ce langage tenu par un élu national, membre d’une formation politique dont l’importance n’échappe pas à nos interlocuteurs, est parfaitement audible, respecté et apprécié. De la même façon le refus des patriotes français de l’inféodation de la France  à l’atlantisme nous vaut une certaine estime. » « Chinois   avec lesquels », souligne encore Bruno Gollnisch, « nous partageons encore l’analyse selon laquelle l’Occident dominé par Washington a une lourde part de responsabilité dans l’éclosion du  terrorisme djihadiste du fait de la déstabilisation des régimes laïques des  pays arabes. »

    http://gollnisch.com/2016/04/05/chine/

  • Journal du Mardi 5 Avril 2016 : Immigration / Paris XVI : nouveau centre d’accueil