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international - Page 911

  • Neutraliser l'Etat islamique dans les plus brefs délais

    Communiqué de Mgr Pascal Gollnisch, Directeur Général de l'Œuvre d'Orient :

    "Une fois de plus, le DAECH manifeste sa cruauté en assassinant 28 chrétiens éthiopiens.

    L’Œuvre d’Orient  appelle solennellement la Communauté Internationale à prendre les moyens  voulus pour neutraliser le DAECH dans les plus brefs délais.

    Tout retard ne fait qu’encourager de nouveaux actes barbares et nuit à la pacification de la région."

    Michel Janva 

     http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Assad s’explique sur l’impossible coopération avec la France dans le renseignement

    Dans un entretien accordé à France 2 et diffusé, lundi 20 avril, dans le journal télévisé de 20 heures, le président syrien, Bachar Al-Assad, indique que des « contacts » ont eu lieu entre les services de renseignement français et leurs homologues syriens sans préciser la date ou le nom des organes en question.

    Il précise, cependant, qu’il n’y a pas eu pour autant « de coopération ». Les conditions d’un éventuel échange d’informations entre la France et la Syrie dans la lutte antidjihadiste, a-t-il précisé, n’étaient pas réunies. La France, a-t-il expliqué, ne voulait rien donner en échange et continuait de soutenir « les terroristes » [terme employé par Damas pour désigner l’opposition modérée à son régime].

    De fait, M. Al-Assad confirme, ainsi, côté syrien, les informations du Monde, publiées le 7 octobre, révélant que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait tenté, à la fin du premier trimestre 2014, de rétablir un lien direct avec les services de Damas afin d’obtenir des informations sur les djihadistes français présents en Syrie.

    Exigences inacceptables

    Le régime de Bachar Al-Assad avait répondu à ce souhait en indiquant qu’il était prêt à coopérer dès lors que la France déciderait de rouvrir son ambassade en Syrie, fermée depuis le 6 mars 2012. Cette éventualité a été rejetée par le président français, François Hollande, qui reste très engagé contre le régime de Damas tout en ayant rejoint la coalition internationale contre l’organisation Etat islamique (EI), la principale force djihadiste en Syrie, opposée tant à l’Occident qu’à Bachar Al-Assad.

    Après les attaques de janvier à Paris, les responsables des services de sécurité en France, lors de réunions interministérielles auxquelles participait l’actuel patron de la DGSI, Patrick Calvar, ont, de nouveau, mis sur la table la question de la reprise de la coopération avec la Syrie en matière de renseignement pour optimiser la lutte antidjhadiste. Mais le pouvoir politique français n’a pas modifié sa ligne de conduite. [....]

    La suite sur Le Monde

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Assad-s-explique-sur-l-impossible

  • Afrique du Sud : violences contre les immigrés africains

    La nation arc-en-ciel est-elle au bord de l’implosion ? Toujours est-il que les Sud-Africains ne veulent pas de leurs « frères noirs » chez eux. Reportage sur place de France 3.

    http://www.contre-info.com/

  • Réunion de l’ONU sur des robots capables de prendre la décision de tuer sans intervention humaine…

    Le moment approche où les armes décideront elles-mêmes de tuer. Genève a abrité la semaine dernière un débat sans précédent sur le sujet.

    Les robots se développent si vite sur les plans physique et intellectuel qu’il n’est plus temps de se demander s’ils vont se multiplier sur les champs de bataille. C’est déjà le cas.

    Il s’agit dorénavant de déterminer quel degré d’autonomie ils posséderont, et notamment s’ils pourront choisir seuls de tuer un être humain. Un débat sur la question a réuni durant cinq jours Etats et ONG, la semaine dernière à Genève, dans le cadre de la Convention sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi de certaines armes classiques (CCAC).

    Les drones, qui ont été tant décriés ces dernières années, ne représentent qu’une ébauche des robots à venir. Ils dépendent toujours étroitement de pilotes qui, s’ils ne sont pas embarqués, n’en continuent pas moins à prendre les décisions essentielles, à commencer par celle de tirer. Les machines dont il est ici question, les « systèmes d’armes létaux autonomes » (SALA), sont beaucoup plus sophistiquées dans le sens où elles sont susceptibles de sélectionner et de frapper des cibles toutes seules. L’unique intervention humaine est leur programmation initiale.

    Les SALA s’annoncent plus performants que les drones, plus fiables et plus rapides. Ils ne dépendent plus d’opérations de télécommande et donc d’infrastructures de communication susceptibles de connaître des perturbations. Ils n’ont plus à attendre l’arrivée d’un ordre lointain, et s’émancipent du temps de réaction de l’homme, un acteur à la lenteur désespérante comparée à la vélocité des robots.

     

    Guerre entre robots

    Ce genre de systèmes automatiques existe en fait depuis de longues années dans quelques unités militaires, et il est prévu que certaines situations alarmantes déclenchent automatiquement le feu.

    Cette perspective suscite de vives inquiétudes, qui se sont abondamment exprimées à Genève. A l’instar d’autres ONG, l’International Committee for Robot Arms Control (ICRAC) assure qu’il est politiquement plus facile de mener des guerres avec des machines qu’avec des hommes et que l’usage de robots-soldats débouchera dès lors sur une multiplication des conflits. Pour la même raison, il assure que les belligérants seront moins pressés de conclure des trêves et que les hostilités risqueront de s’éterniser…

    Le président de l’ICRAC, l’informaticien irlandais Noel Sharkey, a dénoncé un autre danger. A partir du moment où un Etat se sera doté de SALA, il ne fait aucun doute selon lui que certains de ses rivaux l’imiteront, ce qui rendra possibles des affrontements entre ces « systèmes d’armes ». Or une telle interaction serait si complexe et si rapide qu’il est absolument « impossible de prédire scientifiquement » comment elle tournerait. A ses yeux, une guerre entre robots est même susceptible de se déclencher, de se mener et de s’achever avant que quelque être humain que ce soit ait le temps de réagir.

    Et le droit international ?

    Une troisième grande crainte concerne le droit de la guerre. Peut-on attendre d’un robot qu’il le respecte ? Et même s’il est programmé à cette fin, aura-t-il la capacité de procéder à certaines opérations mentales essentielles, comme celle de distinguer un combattant, qu’il est en droit de tuer, d’un non-combattant, qu’il est censé épargner ? Certaines machines sont aujourd’hui dotées d’une capacité d’observation beaucoup plus poussée que les hommes, répondent certains informaticiens. Et puis, un robot ne connaît peut-être pas la compassion mais il ignore pareillement la haine. Et certains crimes de guerre, comme le viol, lui resteront sans doute à jamais étrangers.

    Plusieurs ONG présentes à Genève militent pour que les SALA soient purement et simplement interdits, à l’image d’autres armes « inutilement cruelles » tels les mines antipersonnel ou les lasers aveuglants. Le directeur de la division armement de l’ONG américaine Human Rights Watch, Steve Goose, a ainsi proposé que les Etats parties à la CCAC nomment lors de leur prochaine conférence, en novembre, un comité d’experts chargé d’organiser dans les plus brefs délais des négociations visant à la prohibition des « robots tueurs ».

    Cet appel a peu de chances d’être suivi cependant. De nombreux Etats souhaitent poursuivre l’étude du dossier, afin d’en avoir une vision plus détaillée et de trancher au cas par cas. Et puis, beaucoup considèrent que le droit international humanitaire constitue la référence essentielle dans le débat. De ce point de vue, les SALA capables de le respecter n’ont pas à être interdits…

    Source

    http://www.contre-info.com/reunion-de-lonu-sur-des-robots-capable-de-prendre-la-decision-de-tuer-sans-intervention-humaine#more-37614

  • Radio Courtoisie en couleurs, c'est sur Le Salon Beige !

    Le Salon Beige est heureux de vous présenter cette première émission filmée et réalisée en commun avec Radio Courtoisie. Voici en exclusivité un extrait du dernier Libre journal de Lumière de l’Espérance, la Radio du dimanche de Radio courtoisie, dirigé par Grégoire Boucher.

    Émission du dimanche 19 avril 2015, consacré au thème d’actualité : être missionnaire de la Miséricorde divine face à la montée de l’Islam. Grégoire Boucher reçoit :

    • L’Abbé Fabrice Loiseau, Fondateur et supérieur de la Société des Missionnaires de la Miséricorde divine
    • Virginie de Préval, Mère veilleuse, catholique et missionnaire
    • Mgr Dominique Rey, Évêque du Diocèse de Fréjus-Toulon

    Nous espérons que vous apprécierez ce nouveau format d’émissions réalisées en collaboration avec radio Courtoisie. N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques et vos suggestions. Nous travaillons sur l’amélioration de ces entretiens originaux, et nous espérons pouvoir vous proposer très rapidement ces émissions en direct sur votre Salon préféré !

    Durée 27mn :

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Qui est derrière Boko Haram et l'Etat islamique? Réponse du président du Tchad

    La France sous Sarkozy n'est naturellement pas épargnée : 

    Id"Jusqu’en 2013, les actions de Boko Haram visaient le Nigeria. A partir de fin 2013, Boko Haram a commencé a étendre ses actions au-delà, en particulier au Cameroun et au Niger. Et Boko Haram a fini évidemment aussi par s’attaquer au Tchad. C’est une organisation extrêmement dangereuse, qui a eu le temps de s’organiser, de recruter des jeunes qui n’ont pas de travail. Elle a aussi des liens très étroits avec Daech et avec AQMI (...)

    Je crois qu’il faut bien comprendre que cela fait 60 ans – depuis pratiquement les indépendances des pays africains – que nous devrions être capables de nous prendre en charge, de gérer nos crises et de faire face à des mouvements terroristes en unissant nos efforts, les efforts africains (...)

    Boko Haram n’est pas, comme on le dit, une organisation locale au niveau de l’Afrique, au niveau du Nigeria, mais une organisation qui a des liens avec d’autres organisations terroristes de par le monde, en particulier l’EI. Voilà son visage réel. Il faut se demander qui est derrière Boko Haram (...)

    Boko Haram est soutenu, Boko Haram est financé, Boko Haram a reçu du matériel, y compris du matériel blindé sur le terrain. De qui ? Je ne le sais pas. Mais ces soutiens sont puissants, c’est une certitude (...)

    Comment pouvez-vous imaginer qu’une organisation terroriste arrive à conquérir aujourd’hui un tiers d’un grand pays comme le Nigeria avec une armée organisée, avec des blindés, avec des modes d’action qui ressemblent à ceux d’une armée régulière ? On ne fabrique pas de blindés au Nigeria, on ne fabrique pas d’armes. Donc, tout ça n’est pas tombé du ciel, et tout cela ne vient pas non plus des populations pauvres et paysannes (...)

    En 2011, quand l’Occident et l’Otan ont déclenché leurs opérations militaires en Libye, j’avais mis en garde. Je n’avais pas un amour particulier pour Kadhafi, mais on n’a pas pris la précaution de gérer l’après-Kadhafi de telle sorte que les armes ne sortent pas de la Libye. Or, ce pays était super équipé du point de vue militaire, super armé. Donc, depuis l’assassinat de Kadhafi, nous sommes sur le pied de guerre, au Nord comme à nos autres frontières. Les armes circulent en Libye, l’EI s’y développe. Il y a réellement une menace physique sur les pays africains au sud du Sahara".

    Lahire  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • En attendant le matin du grand soir...

    Tout d'abord je vous prie d'excuser ce moment de silence indépendant de ma volonté, mais engagé avec 2 camarades au sein d'une unité de reconnaissance depuis 2 semaines, mais il me fallait d'abord retourner à Donetsk pour faire l'acquisition d'une clé 3G permettant de maintenir le contact. C'est maintenant chose faite, et malgré une connexion poussive la communication est désormais rétablie.
     
    Les français déployés dans la région de Donetsk ont été engagé la semaine dernière sur des missions opérationnelles. 
     
    - Le premier groupe, intégré dans une unité de mêlée, bataillon des cosaques du Don, a été engagé dans le secteur Nord de Donetsk. 
    - Le deuxième groupe, dans une unité de reconnaissance dans le secteur Ouest, a réalisé des missions d'observations d'objectif, de sécurisation de zone et d'intervention rapide en protection rapprochée. 
    - La dernière équipe intégrée dans une unité humanitaire en formation a déjà commencé son travail d'évaluation sanitaire sur le front. 
    - Et il ne faut pas oublier non plus Cécile, notre volontaire infirmière qui à l'hôpital a vu son travail s'amplifier suite à la reprise des bombardements ukrainiens notamment sur les secteurs Nord et Ouest de la cité républicaine assiégée.
     
    Comme déjà évoqué précédemment, les Républiques naissantes du Donbass sont progressivement en cours de structuration et modernisation et ceci est d'ailleurs un sujet passionnant, car nombre de responsables cherchent ici au coeur de la tourmente, à imaginer une nouvelle vision sociétale, adaptée aux défis du présent et évitant les erreurs du passé. 
    La Novorossiya est à ce titre le laboratoire d'une organisation métapolitique novatrice articulée autour de la réalité et résolument tournée vers l'avenir. Un défi à relever et un exemple pour les peuples d'Europe désirant se libérer de l'hégémonie étasunienne.
     
    Coté militaire, au moment où la menace d'une nouvelle offensive ukrainienne se confirme chaque jour un peu plus (hier par exemple des colonnes importantes de matériels ukrainiens ont été observés à Vinnitsa progressant vers Dniepropetrovsk, à l'Ouest du Front) les unités se restructurent également pour répondre plus efficacement à la menace de l'OTAN.
    Si le temps des milices autonomes est achevé, l'esprit populaire et rebelle qui animait les premiers volontaires sortant des mines et défendant l'orée de leurs villages reste comme une flamme qui rayonne les coeurs et les regards. 
     
    Aujourd'hui  les unités d'autodéfense se structurent sur un modèle conventionnel, tant dans les organigrammes, les réseaux de commandement unifiés, que dans les équipements, procédures et instructions. 
     
    Les Forces Armées de Novorossiya, défenseurs des jeunes Républiques de Novorossiya, sont à leur image : 
    fidèles au passé et exemples pour l'avenir...
     
    Erwan Castel

  • La France annule 43 milliards de la dette malienne

    Cette annonce a été faite par Michel Sapin, ministre français des finances lors de sa présence à Bamako pour participer à la réunion des ministres de la zone franc.

    « La France apporte son soutien au Mali pour lui permettre de lutter contre le terrorisme et d’affirmer son intégrité territoriale dans le dialogue. On le fait pour l’aider à satisfaire les impératifs de développement », a expliqué le ministre français lors d’une conférence de presse vendredi après-midi.

     

    Cette dette qualifiée de «  dette monétaire » remonte depuis 1984 pour un montant initial de 229 millions d’euros qui faisait suite à la réintégration du pays dans l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA).

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