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international - Page 949

  • Mgr Reig Pla accuse le Nouvel Ordre mondial de promouvoir l'avortement et l'idéologie du genre

    Cette dénonciation de la culture de mort dans son ensemble, et de ceux qui la fomentent et la servent, a paru sur Infocatolica. Mgr Reig Pla est coutumier de la parole claire et de la dénonciation sans compromissions. Il explique pourquoi Rajoy et l'Espagne ont renoncé à revenir même timidement sur le « droit à l'avortement », et pourquoi ils iront toujours plus loin pour promouvoir l'homosexualité et la « culture » LGBT. Je vous propose ici ma traduction de ce texte revigorant.
    Il y a quelques jours l'Eglise célébrait la solennité de l'Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie, patronne de l'Espagne. Dimanche prochain, en pleine Nativité, nous célébrerons la fête de la Sainte Famille et nous nous souviendrons également de la fête des Saints Innocents. A cette occasion me sont revenus en mémoire les belles paroles du saint pape Jean XXIII à notre patrie en 1960, que je transcrirai par la suite. Ce message du bon pape m'a fait penser à l'énorme multitude d'Espagnols, et des autres fils de nos nations soeurs, qui le 22 novembre dernier élevaient la voix pour demander la fin du grand massacre des enfants innocents à naître qui se produit depuis deux décennies en Espagne et dans le monde. Dans le respect de tous et par amour pour chacun, je crois qu’il est nécessaire, non seulement de décrire la réalité, mais aussi d'analyser les causes de ce qui se produit. Ce sera la seule façon possible de proposer des solutions vraies, et non seulement de poser des pansements pour maîtriser les symptômes d'une pensée débile, qui est comme une maladie et qui rabaisse le niveau éthique général de telle sorte qu’au nom d’un faux concept de tolérance on finisse par persécuter tout ceux qui défendent la vérité sur l'homme et ses conséquences éthiques (cf pape François, 20-6-2014).
    L’histoire que raconte la Bible
    Le livre de la Genèse (25, 19-34) raconte comment Esaü a vendu son droit d’aînesse pour un plat de lentilles, à son frère jumeau Jacob. L’aînesse entraînait certains droits, et surtout, de la part du père, la transmission d’une bénédiction spéciale et de promesses (GN 28, 13 et ss.). Analogiquement, cette histoire s’est répétée une infinité de fois au long de siècles, tant pour ce qui concerne les personnes que pour les institutions et les nations.
    Un fait récent
    Récemment le président du gouvernement espagnol et du Partido Popular a retiré la réforme de la loi de l’avortement qui prétendait « limiter » quantitativement l’horrifique saignée des « enfants assassinés avant de naître » (pape François, 25-11-2014), certainement un crime abominable (Concile Vatican II, Gaudium et Spes, 51), un holocauste continu de vies humaines innocentes (saint Jean-Paul II, 29-12-1997). Sur tout cela je me suis déjà exprimé dans un message du 24 septembre dernier : « Appeler les choses par leur nom. Une véritable tâche pour les catholiques. » Mais quels sont les véritables motifs de ce retrait ?

  • Puissant clip du chanteur vedette australien, Ramos Jakob, sur la tragédie des Chrétiens d’Irak: « Under fire »

    Under fire – Sous le feu

     

    Élu « vedette de l’année » 2013 en Australie, Ramos Jakob est d’origine chrétienne assyrienne d’Irak. Il chante la tragédie des chrétiens d’Irak, dans une puissante mise en scène. Il est l’auteur des paroles de sa chanson Under Fire, signalée sur l’Observatoire de la christianophobie. Son clip est en ligne depuis le 22 janvier de cette annéealors que la tragédie vécue par ce peuple n’intéresse plus grand monde.

    Les communautés chrétiennes assyro-chaldéennes en Australie, comptent plus de 60 000 personnes.  Le chanteur a su combiner la violence des danses guerrières rituelles aborigènes avec la violence subie par les chrétiens face à l’Etat islamique tout en dressant la Croix et arborant le célèbre signe par lequel les maisons assyriennes ont été marquées du « noun » qui les désigne à la vindicte islamique, que les danseurs de cette chorégraphie échevelée portent aussi sur  le dos de leurs vareuses militaires.

    Noun under fire

    Photo extraite du clip « Under fire »,

    avec le « noun » sur les pancartes, cette lettre arabe qui désigne les chrétiens à la vindicte de l’Etat Islamique

    http://www.medias-presse.info/under-fire-puissant-clip-du-chanteur-vedette-australien-ramos-jakob-sur-la-tragedie-des-chretiens-dirak/24184

  • La Mafia rouge : la mafia de la pêche

    Vers la fin des années 1970, alors qu’une pénurie de viande sévit en URSS, le gouvernement décide de miser sur le poisson pour nourrir sa population. Une flotte de pêche nationale est créée et très vite, l’industrie génère des milliards de roubles, attirant inévitablement les esprits criminels. Une économie clandestine se développe au sein de l’industrie de la pêche, sous la surveillance d’un ministère des Pêches tout aussi corrompu.

     


    La mafia rouge : "Les dessous de la mafia de la… par stranglerman

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Le début de la fin pour l'islam

    Lu ici :

    "Malgré ce que l'on peut en voir superficiellement, l'islam vit ses dernières heures. Il est entré dans sa phase d'apocalypse.

    L’actualité met l’islam dans toutes les conversations et toutes les préoccupations. Attentats, djihad, « islamisation », polémiques et coups littéraires masquent cependant une réalité fondamentale de cette religion.

    Un cataclysme de proportions bibliques se déroule en effet sous nos yeux sans qu’il n’y soit prêté attention. L’islam est entré dans sa phase d’apocalypse, et qui sait, peut-être d’effondrement, malgré ce que laisse à penser le raidissement des forces islamistes dans le monde entier. L'apocalypse, c'est étymologiquement la « révélation ». L’eschatologie musulmane veut croire qu’il s’agira du « jour du jugement », lorsque Jésus reviendra sur terre aidé du Mahdi pour triompher des infidèles et établir l’islam à tout jamais.Dans le monde réel, le « jour du jugement » est déjà arrivé pour l’islam, en catimini : c'est la mise à jour récente par la recherche historique des origines véritables de cette religion, bien loin des présupposés de la légende islamique. Le visage du monde en sera bientôt transformé.

     

    Des publications d’une portée historique quasiment sans précédent ne cessent de se succéder depuis les années 2000, dans l’indifférence du grand public. Des sources nouvelles y sont étudiées, des documents mis à l’écart au cours des siècles y sont redécouverts, des hypothèses nouvelles quant aux origines de l'islam sont avancées. Ces travaux démolissent peu à peu la validité du discours musulman et la cohérence de l’histoire sainte musulmane, (voir par exemple Le Grand Secret de l’Islam, synthèse de quelques unes de ces recherches parue cet automne). Le colosse islam vacille. Il ne le sait pas encore.

    Ainsi, le caractère nouveau et inédit de la « révélation coranique » a été balayé (Edouard-Marie Gallez, Mehdi Azaiez, Manfred Kropp, Guillaume Dye) : le consensus des chercheurs établit désormais que le coran s’inscrit dans la continuité du milieu judéochrétien qui l’a accouché. C’est cette « antiquité tardive », travaillée par des courants juifs et chrétiens hétérodoxes - les spécialistes parlent de « judéo-nazaréisme ».

    On a établi l’impossibilité physique de l’existence de la ville de La Mecque au temps de Mahomet selon ce que prétend le discours musulman (Patricia Crone). Les « Mecquois » que décrit le Coran, et donc les origines de l'islam, sont à chercher ailleurs, probablement en Syrie (Robert Kerr, Edouard-Marie Gallez).

    Le texte coranique lui-même, soumis pour la première fois à une étude informatisée systématique (Jean-Jacques Walter) a révélé de tout autres fondements que ceux que le discours islamique lui attribue : il n’a pas été composé entre 610 et 632, mais par une cinquantaine d’auteurs différents sur une période de plus de deux cent ans ; Mahomet ne s’est jamais prétendu le prophète d’un monothéisme nouveau, mais a prêché l’antichristianisme du milieu nazaréen dont il était issu (Christoph Luxenberg a prouvé par ailleurs que le texte coranique provient pour une part de traductions directes de l’araméen). Il n’a été intronisé fondateur d’une religion nouvelle qu’au moins 60 ans après sa mort.

    Les travaux en cours des projets Coranica et Corpus Coranicum laissent supposer d’autres publications tout aussi renversantes. Ils convergent et renforcent la lame de fond qui risque bien d’emporter cette religion.

    Et que font les musulmans face à cela ? Ils s’écharpent l’un l’autre au nom du « véritable islam » qui doit selon eux prévaloir sur toute la terre. Ils continuent de le faire aujourd’hui comme ils le font depuis 1400 ans, et ce alors même que le tapis vient d’être tiré sous leurs pieds. Leur écrasante majorité ignore tout de ces découvertes. Elle se braque dans le refus dogmatique de considérer les origines de l’islam dans une perspective historico-critique. Que fera-t-elle lorsque ces travaux atteindront la conscience du grand public ?"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Irak : une province autonome pour les chrétiens ?

    C'est ce que demandent 17 sénateurs américains, qui estiment que la situation de souffrance vécue par les chrétiens et par les autres minorités contraintes à fuir la plaine de Ninive rend urgent un engagement direct du Département d’Etat américain pour

    « soutenir l’institution de la part du gouvernement irakien, d’une province administrative autonome dans la plaine de Ninive ».

    Michel Janva

  • Nous sommes tous bastiais ! La banderole qui fait enrager Nicolas Sarkozy

     

    Lors du match de foot Bastia-PSG, des supporteurs corses ont déployé une banderole affirmant que le Qatar finançait le PSG… et le terrorisme. Ce qui a mis en boule Nicolas Sarkozy, fervent supporteur du PSG et grand ami du Qatar. Toutefois, à l’UMP, le député Bruno Le Maire réclame une commission d’enquête sur le Qatar et ses relations avec le terrorisme islamiste.

    La commission de discipline de la LFP (Ligue de football professionnel) a convoqué les dirigeants du SC Bastia pour sa séance du jeudi 5 février. Objet de cette « invitation » qui pourrait se solder par une lourde sanction pour le club corse : le déploiement d’une banderole le 10 janvier au stade Armand-Cesari. Ce samedi-là, trois jours après le massacre de « Charlie Hebdo » et au lendemain de la tuerie du supermarché casher de la porte de Vincennes, le SC Bastia, dans le cadre du championnat de France de football, recevait le Paris-Saint- Germain qui est la propriété du cheikh Al-Thani, l’émir du Qatar. Au moment de la minute de silence pour rendre hommage aux victimes des attentats, des supporteurs corses ont déployé une banderole où l’on pouvait lire: «Le Qatar finance le PSG… et le terrorisme ».

    Après la rencontre, les dirigeants du PSG ont annoncé leur intention de porter plainte pour diffamation. Ils n’en ont pourtant rien fait. Officiellement, les avocats du PSG ont expliqué que leur action ne pourrait pas aboutir : c’est le Qatar qui a été diffamé et c’est à lui de porter plainte s’il le souhaite. Mais il ne le souhaite pas… Car l’émir n’est pas très chaud à l’idée que d’éventuels liens entre son pays et le terrorisme islamiste soient évoqués devant un tribunal français…

    Nasser Al-Khelaïfi, président qatari du PSG, a refilé la patate chaude à Frédéric Thiriez, le patron de la LFP : « J’attends que la Ligue prenne des décisions et des sanctions. » La Ligue a donc convoqué les dirigeants du SC Bastia qui risquent une sanction sportive.

     

    Cette banderole, mieux que les abêtissants « Je suis Charlie », était pourtant un réel hommage à « Charlie Hebdo » et à sa liberté d’expression. Car le journal satirique n’a jamais épargné l’émirat. Dans un tweet posté le 23 septembre dernier, l’équipe de « Charlie » donnait ainsi un précieux conseil: « Peur d’un attentat à Paris? Réfugiez-vous au PSG. C’est le seul endroit que n’attaqueront pas les djihadistes financés par le Qatar. » Hélas, ils n’ont pas suivi eux-mêmes ce conseil. S’ils avaient tenu leurs conférences de rédaction au camp des Loges, là où s’entraîne le PSG, les membres de « Charlie » seraient toujours en vie.

    La boulette de Sarko

    Bien qu’ils aient décidé de ne pas porter plainte, le PSG et le Qatar se sont trouvé un solide avocat. Il s’agit d’un fidèle supporteur du PSG, qui assiste à tous les matches au Parc des Princes, assis dans la loge d’honneur aux côtés du président Al-Khelaïfi. Et d’un amoureux du Qatar où il s’est encore rendu en décembre dernier, invité par la Qatar National Bank à donner une conférence rémunérée. Accessoirement, il a également été président de la République française et est le nouveau président de l’UMP. Grâce à ces indices, vous aurez reconnu Nicolas Sarkozy.

    Le lundi 12 janvier, il était l’invité de la matinale sur RTL. Jean-Michel Aphatie, l’intervieweur politique maison, lui a bien évidemment demandé ce qu’il pensait de la banderole déployée à Bastia. Sarko l’a pris de haut: « Monsieur Aphatie, je ne viens pas au micro de RTL pour commenter les banderoles dans les stades. » Il a toutefois tenu à balayer les doutes concernant le Qatar et le financement du djihad: « Le Qatar est un pays ami de la France, pas depuis moi, M. Aphatie… Est-ce que vous croyez que M. Mitterrand, que M. Chirac, que moi-même hier, que M. Hollande aujourd’hui, vous croyez qu’on aurait cette politique d’amitié avec le Qatar si nous pensions que le Qatar, c’était uniquement le financeur du terrorisme ? » Oh la bévue! Au moment même où il le disait, Sarko a saisi que cet « uniquement » laissait entendre que, pour le Qatar, financer le terrorisme était une activité parmi d’autres. Immédiatement, il a repris la fin de sa phrase ambiguë en supprimant la mention litigieuse: « si nous pensions que le Qatar, c’était le financeur du terrorisme? »

    Et Sarko se lançait alors, tel l’employé zélé d’un office du tourisme, dans un éloge du Qatar, un pays qui concilierait islam et modernité, et qui permettrait à des architectes et artistes du monde entier « Français, Américains, étrangers, par ailleurs juifs ou non juifs » de venir exercer leurs talents à Doha, la capitale de l’émirat. Bref, selon Sarko, le Qatar finance le PSG et les beaux-arts, mais jamais, au grand jamais, le terrorisme islamiste.

    Pour Sarko, les rapports américains, c’est de l’intox !

    Mais depuis, à l’UMP, on a entendu un autre son de cloche. Le 19 janvier, le député de l’Eure, Bruno Le Maire (candidat malheureux à la présidence de l’UMP en novembre dernier) était reçu sur BFM TV par le journaliste Jean- Jacques Bourdin. Interrogé sur les doutes planant sur le Qatar, Le Maire a estimé qu’il fallait tirer l’affaire au clair: « Je ne peux pas accepter qu’il y ait le moindre double jeu de la part de pays qui sont censés être nos alliés. J’ai fait une proposition en 2012, j’ai demandé qu’il y ait une mission d’information parlementaire sur les liens entre le Qatar et les réseaux islamistes. Cette mission d’information parlementaire, elle m’a été refusée. Je refais ma proposition. » Et le député de s’inquiéter d’« un éventuel double jeu du Qatar, de l’Arabie saoudite, d’un certain nombre d’états du Golfe dont on nous dit, rapports à l’appui, qu’ils pourraient tolérer le financement de réseaux islamistes. »

    D’où sortent ces rapports? Ils émanent de l’administration américaine. Le 30 septembre dernier, le journal anglais « The Daily Telegraph » s’en faisait l’écho: « Alors que le Qatar affirme combattre l’extrémisme et a rejoint la coalition contre l’Etat islamique, différents rapports sur le terrorisme du département d’Etat américain montrent que des Qataris financent, avec l’aval de l’émirat, le mouvement djihadiste en Irak et en Syrie. »

    La presse anglaise n’invente rien. Il suffit de consulter le site internet officiel du département du Trésor des Etats-Unis. Le 24 septembre dernier, il a diffusé le portrait de douze terroristes à surveiller comme l’huile sur le feu. Parmi eux, un certain Al-Harzi, qui recrute des combattants pour le jihad : il est financé par un Qatari, basé au Qatar, à condition que les fonds soient utilisés pour des opérations « militaires ».

    Un président islamiste pour le PSG ?

    Il y a pourtant un supporteur du PSG qui n’y croit pas. Nicolas Sarkozy. Lors de son passage sur RTL, alors que Aphatie évoquait ces rapports américains, Sarko a, à demi-mots, parlé d’intox, en déclarant qu’en matière de renseignements il était « partisan de l’indépendance de la France ».

    Et puis, c’est vrai, même s’il y a au Qatar des gens qui financent le terrorisme, l’émir Al-Thani n’est pas censé les fréquenter. Sauf que. Le 18 décembre 2013, le département du Trésor américain publiait la fiche d’un certain Al Nu’aymi, ainsi présenté: « Nu’aymi est un financier du terrorisme basé au Qatar qui a fourni de l’argent et un soutien matériel à Al-Qaïda et ses affiliés en Syrie, en Irak, en Somalie et au Yémen depuis plus d’une décennie. Il était considéré comme parmi les partisans les plus en vue, basé au Qatar, des extrémistes sunnites irakiens. »

    Et ce financier du terrorisme, l’émir Al-Thani ne peut pas ne pas le connaître. Les deux hommes partagent le même amour du ballon rond. Nu’aymi a même été président du Qatar Football Association, la fédération de l’émirat! Reste à souhaiter qu’un jour l’émir ne nomme pas Nu’aymi président du PSG. On imagine, comme première étape, le Parc des princes transformé en arène islamiste à l’image de ce qui est arrivé ce 18 janvier au Qatar où se déroule le Mondial de handball. Alors que l’équipe de France affrontait l’Egypte, des supporters égyptiens ont déployé deux banderoles en écho aux événements parisiens: « Je suis Mohamed » et « Nous sommes avec notre prophète Mohamed »

    Pierre Tanger

    http://fr.novopress.info/181697/sommes-bastiais-banderole-fait-enrager-nicolas-sarkozy/#more-181697

  • Des menottes pour les avortueurs

    Lu dans Présent :

    "En Amérique les avortements sont très majoritairement effectués dans des avortoirs privés dont les médecins sont animés d’un sentiment de lucre; ils exercent ainsi le plus souvent dans des conditions absolument sordides. Des centaines de cliniques ont été fermées par décision administrative et des dizaines de médecins se sont retrouvés en prison. Pour saluer la 42èmeannée de la légalisation de l’avortement par l’arrêt de la Cour Suprême Roevs Wade, la ligue pour une action Pro-life a envoyé à chaque directeur une paire de menottes. Les scandales liés aux avortements ont contribué à retourner l’opinion publique contre cette pratique « médicale »."

    Michel Janva

  • Chronique des temps présents : la lente descente aux enfers des peuples d’Ukraine

    Au cours des 3 dernières semaines, on a pu observer dans le Donbass une dégradation significative des conditions du conflit qui oppose les forces loyalistes Ukrainiennes (FU) aux forces séparatistes du Donbass (FD). Le point de rupture de cette dégradation fut la perte par l’armée ukrainienne de l’aéroport de Donetsk entre le 18 et le 21 janvier, qui porta un coup très rude au moral des FU et qui entraina une contre-attaque des séparatistes dont l’issue reste encore incertaine.

    Dans l’état actuel de l’information, il est hasardeux de produire une analyse équilibrée tant les sources d’information se sont polarisées, au point de n’appréhender les évènements que de manière exclusivement téléologique – l’ennemi est coupable des pires crimes par nécessité, car il est l’ennemi – et cela au mépris des règles les plus élémentaires d’objectivité ou de vérification des sources. On peut toutefois observer les faits suivants.

    La perte de l’Aéroport de Donetsk

    Dans les deux premières semaines de janvier et après 4 mois d’une trêve fragile imposée tant bien que mal à la suite de la première débâcle de l’armée ukrainienne de l’été dernier à Ilovaisk et des accords de Minsk du 5 septembre 2014, les autorités de Kiev semblèrent décidées à reprendre l’offensive. En déclarant une nouvelle mobilisation de 65.000 hommes supplémentaires afin de remplacer les forces positionnées dans le Donbass – plus spécialement autour de l’aéroport de Donetsk – et en focalisant sa rhétorique sur une reconquête du Donbass, le président Poroshenko commença à envoyer des signaux clairs : l’option militaire était de retour.

    Parallèlement à cette intensification des préparatifs militaires du coté ukrainien, le groupe de contact de Minsk (France, Allemagne, Russie, Ukraine) continuait la préparation du sommet d’Astana des chefs d’États concernés pour le mois de février, et ce, afin de cimenter une solution négociée à la crise. Les déclarations relativement conciliantes de Mme Mogherini, le Haut représentant de l’UE pour la politique étrangère et de sécurité commune, ainsi que l’initiative de 7 pays de l’UE – dont la France – de proposer une atténuation des sanctions contre la Russie, tout cela pouvait laisser espérer des signes de bonne volonté de la part des deux parties en présence. La reprise intensive des combats dans la semaine du 12 Janvier a mis un terme à la voie diplomatique dans l’immédiat.

    L’Ukraine lança à partir du 18 janvier une “opération militaire massive” qui se solda par la perte de l’aéroport de Donetsk après 242 jours de combats de plus ou moins grande intensité. À la suite d’intenses tirs d’artillerie ukrainiens sur le centre de Donetsk et d’une petite percée vers le centre de la ville d’une colonne de blindés ukrainiens dont la progression fut stoppée par l’explosion du pont de Putilov, les forces séparatistes lancèrent une contre-attaque vers Piske la base arrière du bataillon du Pravii Sektor (son chef Dimitri Yarosh y fut d’ailleurs blessé au bras et au visage) et de l’armée régulière à l’Ouest de l’aéroport. À l’heure qu’il est les combats s’y déroulent toujours.

    La reprise de l’aéroport par les FD a sérieusement mis à mal des troupes ukrainiennes toujours mal préparées, mal équipées et mal coordonnées. Les chefs des Bataillons Donbass (Semenchenko) et Azov (Beletskii) ont d’ailleurs déjà fait savoir publiquement leur écœurement vis-à-vis de la hiérarchie militaire ukrainienne, ce qui laisse présager des débats à venir houleux à la Rada.

    Le nombre de victimes, tant du côté séparatiste que du côté loyaliste, se chiffre en centaines ou même peut-être en milliers de morts avec la majorité des pertes (morts, blessés, prisonniers) se comptant du coté ukrainien. [....]

    La suite sur realpolitik

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Chronique-des-temps-presents-la

  • Le 20 novembre 2013, à la Rada (parlement) le député Oleg Tsarev faisait d’étonnantes révélations…

    TRANSCRIPTION :
     
    - Le député Oleg Tsarov a la parole! 
     
    Honorables collègues,
    Honorable Vladimir Vasilievitch,
     
    Dans mon rôle en tant que représentant du peuple ukrainien, des militants de l’organisation se sont adressés à moi et m’ont fourni des preuves claires que sur notre territoire, avec le soutien et la participation directe de l’ambassade américaine à Kiev le projet « TechCamp » est mis en place en vertu duquel des préparatifs sont en cours pour une guerre civile en Ukraine. 
     
    Le projet « TechCamp » prépare des spécialistes pour une guerre de l’information utilisant les médias modernes pour discréditer les institutions étatiques et des révolutionnaires potentiels pour organiser des manifestations et le renversement de l’État de droit. 
     
    Le projet est actuellement supervisé et sous la responsabilité de l’ambassadeur américain en Ukraine: Geoffrey R. Pyatt. 
     
    Après ma conversation avec l’organisation « Volya », j’ai appris qu’ils ont réussi à accéder aux installations du projet  » TechCamp » en se faisant passer pour une équipe de spécialistes de l’informatique.À leur grande surprise, des séances d’information sur les particularités de l’utilisation des médias modernes ont eu lieu.
     
    Des instructeurs américains leur ont expliqué comment les réseaux sociaux et les technologies de l’Internet peuvent être utilisés pour la manipulation ciblée de l’opinion publique ainsi que pour activer le potentiel de protestation et pour provoquer des troubles violents sur le territoire de l’Ukraine par la radicalisation de la population et le déclenchement de luttes intestines.
     
    Les instructeurs américains montrent des exemples d’utilisation réussie des réseaux sociaux pour organiser des manifestations en Égypte, Tunisie et Libye.

     

    Les représentants de « TechCamp » délivrent actuellement des conférences à travers toute l’Ukraine.

    Un total de cinq événements ont eu lieu jusqu’à présent.

    Environ 300 personnes ont été formées comme agents, et sont maintenant actifs dans toute l’Ukraine.

    La dernière conférence « TechCamp » a eu lieu les 14 et 15 Novembre 2013 en plein cœur de Kiev sur le territoire de l’ambassade des États-Unis!

    Vous me dites quel pays dans le monde permettrait à une ONG de fonctionner à l’ambassade des États-Unis? C’est irrespectueux envers le gouvernement ukrainien et envers le peuple ukrainien !

    Je lance un appel aux autorités constitutionnelles de l’Ukraine avec la question suivante:

    Est-il concevable que des représentants de l’ambassade des États-Unis organisent les Conférences « TechCamp » en abusant ainsi de leur mission diplomatique ?

    Laissez-le parler!

    continuez!

    La Résolution de l’ONU du 21 Décembre 1965 réglemente le caractère inadmissible de toute ingérence dans les affaires intérieures d’un État de façon à protéger son indépendance et sa souveraineté conformément aux paragraphes un, deux et cinq.

    Je vous demande de considérer cela comme une requête de mener une enquête sur cette affaire.

    Merci!

    Source -