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international - Page 949

  • Ukraine: les insurgés hissent le drapeau de Novorossia à Debaltsevo

    Les forces des républiques populaires de Donetsk (DNR) et de Lougansk (LNR) ont symboliquement hissé le drapeau de Novorossia sur un immeuble de Debaltsevo, en Ukraine, écrit jeudi 19 février le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

    Sur le toit de ce bâtiment de neuf étages se trouvait un poste de tir de l'armée ukrainienne. Mercredi soir, les autorités de la DNR avaient annoncé que la situation à Debaltsevo serait bientôt normalisée — la ville était pratiquement sous le contrôle des insurgés.

    Le chef de la DNR Alexandre Zakhartchenko a nommé le nouveau maire de Debaltsevo, Alexandre Afendikov, et un groupe de travail a également été formé pour la reconstruction de la ville et le retour à la vie normale. Les insurgés de la DNR ont commencé mercredi à retirer l'artillerie et le matériel lourd de la ligne de contact avec la partie ukrainienne. Des obusiers automoteurs ont été retirés d'Elenovka. Le matériel a également été évacué de Telmanovo et d'Iassinovataïa. La veille, les unités de la LNR avaient fait reculer les armements lourds: les chars et l'artillerie n'étaient plus sur les postes avancés. Cependant, une grande partie du personnel restait sur ses positions.

    "Pour l'instant, nous retirons unilatéralement les armements dans les régions calmes, mais si les bombardements et les opérations reprenaient dans cette zone, notre matériel reviendrait immédiatement sur ses positions", a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense de la DNR Edouard Bassourine.

    Il a déclaré dans une conférence de presse d'hier que Debaltsevo était entièrement contrôlée par les troupes de Novorossia, et que seuls quelques groupes éparpillés se trouvaient encore dans le sud de la ville et tentaient d'opposer une résistance.

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  • Le Qatar en froid avec l'Egypte à cause des raids contre l'Etat islamique

    Le Qatar, à qui la France envisage de vendre des Rafales, vient de rappeler son ambassadeur d'Egypte en raison des raids aériens déclenchés par le président Sissi contre des positions de l'Etat Islamique en Libye :

    "Le Qatar a rappelé jeudi son ambassadeur en Egypte à la suite d’un différend survenu lors d’une réunion de la Ligue arabe sur les raids aériens égyptiens contre des positions du groupe Etat islamique (EI) en Libye (...)

    L’agence qatarienne n’a pas donné de précisions sur la teneur de la déclaration du délégué égyptien. Mais la chaîne de télévision qatarienneAl-Jazeera a affirmé que les Egyptiens avaient accusé le Qatar de soutenir le terrorisme.

    Le ministère qatarien des Affaires étrangères a confirmé dans un communiqué que le Qatar avait émis dans le cadre de la Ligue arabe des réserves sur une approbation des raids égyptiens en Libye, soulignant la nécessité de «consultations avant toute action militaire unilatérale contre un autre Etat membre» de l’organisation panarabe"

    Deux questions me viennent à l'esprit. Le Qatar pourrait-il préciser si il s'agit de la Libye ou de l'Etat Islamique dont son ministre parle dans la dernière phrase (en gras) car l'Egypte n'a pas bombardé la Libye mais seulement les positions de l'Etat Islamique... A ma connaissance, l'EI ne fait pas partie de l'organisation panarabe.

    Et qu'en pense le grand ami du Qatar, Nicolas Sarkozy ?

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Irak : une milice chrétienne attire des "cowboys"

    Lu dans Direct Matin :

    "Après avoir servi l'armée américaine en Irak entre 2006 et 2007, celui qui se fait appeler Brett y est de retour, cette fois comme volontaire pour soutenir une milice chrétienne.

    Composée d'une centaine d'hommes, la milice Dwekh Nawsha a été formée dans le but de défendre les chrétiens d'Irak des persécutions de l'organisation Etat islamique (EI).

    Brett, 28 ans, incarne un mouvement émergeant d'Occidentaux qui abandonnent tout pour venir défendre les Assyriens, l'une des plus anciennes communautés chrétiennes du monde. 

    Brett se décrit comme un "croisé"

    Un tatouage de mitrailleuse sur le bras gauche et de Jésus dans une couronne d'épines sur le droit, il se décrit lui-même en plaisantant comme un "croisé".

    "Le terroriste des uns est le combattant de la liberté des autres", explique Brett. "Ici, nous nous battons pour que les gens puissent vivre en paix, sans persécution, pour que les cloches de l'église continuent de sonner". [...] Brett explique que l'un de ses objectifs est la création d'une "légion étrangère" en Irak.

    Grâce à ses talents de recruteur, il a convaincu cinq autres volontaires d'Amérique du Nord et du Royaume-Uni de le suivre. Ils ont tous, selon lui, une expérience dans l'armée ou avec des sociétés militaires privées. Et il prétend avoir 20 candidats de plus en attente.

    La première recrue de Brett est Louis Park, qui a quitté les Marines en décembre.

    "Je ne me suis pas bien habitué à la vie en temps de paix", explique ce Texan, en chiquant du tabac. "Je voulais revenir". [...]

    La milice attire aussi les déçus d'autres groupes armés, comme ceux qui s'étaient initialement enrôlés auprès des combattants kurdes. Scott, un vétéran qui a servi dans l'armée américaine pendant sept ans, explique qu'il souhaitait rejoindre les Unités de protection du peuple (YPG), jusqu'à ce qu'il découvre qu'ils étaient "un tas de foutus gauchistes". D'autres étrangers de Dwekh Nawsha affirment qu'ils ont été rebutés par ce qu'ils considèrent comme la fibre socialiste des kurdes des YPG, dont la résistance dans la ville syrienne Kobané face aux jihadistes de l'EI a séduit de nombreux volontaires."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La politique américaine en Ukraine va-t-elle entraîner une nouvelle guerre froide ?

    Au cœur du glacial hiver russe de l‘année 1990, le très républicain et très texan secrétaire d’état américain James Baker a fait à Moscou une bien étonnante promesse.

    Présent au Kremlin, il a juré la main sur le cœur pendant une discussion avec Mikhaïl Gorbatchev, que l’Alliance militaire occidentale ne s’étendrait pas vers l’est si Moscou acceptait que l’Allemagne réunifiée intègre l’Otan.

    Plus largement, cela voulait dire que les occidentaux ne chercheraient pas à profiter de la dissolution du pacte de Varsovie, et du retrait des troupes soviétiques d’Europe centrale. Ceci fut confirmé par le ministre des affaires étrangères allemand qui s’adressait à son homologue soviétique, Edouard Chevardnadze.

    Plus tard c’est Bill Clinton lui-même qui raconta dans un ouvrage qu’il avait écrit qu’en 1997, Boris Eltsine lui avait demandé de limiter une éventuelle extension de l’OTAN aux anciens membres du pacte de Varsovie mais d’en exclure les états de l’ex-Union Soviétique, comme les pays Baltes et l’Ukraine.

    Alors que la nouvelle Russie était promise à l’effondrement, le sursaut russe avant le chaos s’est traduit par l’élection d’un inconnu: Vladimir Poutine. Pendant les 15 années suivantes, (de 2000 à nos jours) il s’est attaché à rétablir non seulement l’ordre et la stabilité intérieure mais aussi à préserver autant que possible la complexe relation qui existe entre Moscou et ses marches depuis l’effondrement de l’Union Soviétique.

    Etrange naïveté postsoviétique, les Russes en général sont restés longtemps médusés en constatant que les élites américaine ne tenaient absolument pas leur parole, et que la promesse: « L’OTAN ne s’étendra pas à l’Est », qui résonnait encore à leurs oreilles, n’avait aucune valeur. Bien au contraire, la pression américaine n’a fait que s’accentuer.

    Il y a eu tout d’abord le bombardement de l’allié serbe en 1999 et l’adhésion à L’OTAN des Polonais, des Tchèques et des Hongrois la même année. Puis la création d’une force de réaction rapide à Prague en 2002 suivie en 2004 d’une vague d’extension de l’OTAN a 7 états supplémentaires: l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie, amenant ainsi l’Otan aux frontières russes.

    N’oublions pas la mise en place qui se poursuit en Pologne, de missiles américains soit disant installés là pour intercepter des missiles intercontinentaux qui pourraient être lancés par l’axe du mal (Iran — Corée du Nord).

    Dans le même temps, d’étranges révolutions démocratiques managées par des ONG américaines se sont produites sur les marches russes, en Ukraine et en Géorgie. Dans le cas de la Géorgie, la situation a débouché sur des opérations militaires. La Russie et l’Ouest se sont affrontés dans une guerre indirecte et asymétrique, par l’intermédiaire d’un état fusible interposé.

    En 2009 c’est la France, via Nicolas Sarkozy qui opère son retour dans le commandement intégré de l’OTAN, fermant ainsi la fenêtre historique qui avait été ouverte en 1966 par le Général de Gaulle et achevant ainsi la mainmise de l’OTAN sur l’Europe.

    L’emprise de l’OTAN s’est en effet fortement accentuée sur l’Europe, il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas en être conscient. L’Amérique est plus unilatéraliste que jamais, les décisions de l’Union Européenne sont de plus en plus alignées sur les décisions de Washington, c’est ce que constatent et ressentent les élites russes, qui voient que la Russie est progressivement cernée par des pays qui abritent des bases de l’OTAN.

    La politique extérieure de la Russie s’attache pour sa part à faire émerger un monde multipolaire. Dans ce contexte, les évènements qui secouent l’Ukraine prennent une importance particulière, et ne peuvent que détériorer gravement les relations entre l’Ouest et la Russie.

    En novembre 2013, un député ukrainien du nom d’Oleg Tsarev, lors d’un discours à la Rada ukrainienne (l’assemblée nationale locale) dénonce clairement l’implication directe de l’Amérique dans la préparation d’un coup d’Etat et le déclenchement d’une guerre civile en Ukraine.

    Selon lui, ce ne sera pas une révolution de couleur « pacifique » comme en 2004 mais bel et bien une opération sanglante visant à faire de l’Ukraine une zone d’affrontement entre la Russie et l’Ouest dominé par l’OTAN. Oleg Tsarev sera après ce discours brutalement agressé pendant que sa tête et celle de ses proches seront mises à prix par l’un des oligarques qui ont émergé après les évènements du Maïdan de Kiev.

    18 mois plus tard on ne pourra que constater la justesse des propos d’Oleg Tsarev alors que l’Ukraine plonge dans une guerre civile dont on se demande bien comment elle va en sortir, et alors qu’OTAN et Russie s’y affrontent de nouveau en sous-main et de façon indirecte, comme ils l’ont fait en 2008 en Géorgie, mais d’une manière beaucoup plus radicale cette fois-ci.

    Sur ce point on peut clairement réaliser que les élites russes ne se sont pas trompées: l’accord d’association de l’UE à l’Ukraine visait bien à accélérer l’intégration de l’Ukraine à l’OTAN pour permettre à la coalition d’achever la réalisation d’un axe Berlin-Varsovie-Kiev, nouvelle colonne vertébrale de l’OTAN au sein du continent. 

    Les Occidentaux ont beaucoup de mal à percevoir que le printemps russe de 2014 en Crimée est un miroir du printemps allemand au moment de la réunification. Les manifestants qui ont traversé le mur les 9 et 10 novembre 1989 n’étaient sans doute pas si différents de ceux qui ont chanté à Sébastopol le 18 mars 2014 lors du retour de la Crimée au sein de la Fédération de Russie. Comme en Allemagne, il y avait bien sur l’espoir d’un avenir meilleur, mais aussi et surtout le retour au sein de la patrie historique.

    A la pression militaire déclenchée par l’ingérence occidentale en Ukraine s’est ajoutée une guerre économique visant à étouffer la Russie financièrement et économiquement, en profitant de la baisse du pétrole ou par l’escalade malsaine des sanctions. Ce n’est pas une surprise, la Russie opère donc en retour de grandes manœuvres de ré-réorientation économiques et stratégiques qui l’éloignent encore plus d’une Europe de l’Ouest toujours plus dominée par l’OTAN.

    Un divorce total est donc en train d’émerger, qui risque de replonger le monde dans une quasi guerre froide et de scinder à nouveau l’hémisphère nord en deux blocs. Cette fois-ci le mur ne serait pas au cœur de l’Allemagne mais vraisemblablement quelque part au cœur de l’Ukraine.

    http://alexandrelatsa.ru/2015/02/la-politique-americaine-en-ukraine-va-t-elle-entrainer-une-nouvelle-guerre-froide/

  • Uraine/Novorossia : Déroute ukrainienne totale à Debaltsevo

    Le drapeau de Novorossia flotte sur Debaltsevo
    Selon l'agence RIA Novosti, des centaines de militaires de l'armée ukrainienne qui se trouvaient encerclés à Debaltsevo dans l'Est de l'Ukraine ont commencé à rendre leurs armes.

    «Les militaires de l’armée ukrainienne rendent leurs armes massivement. Le nombre de ces soldats s’évalue par centaines», a déclaré le président de l’administration du chef de la République autoproclamée de Donetsk, Maxime Leshenko. (Source : RT)

    Derniers rapports publiés par mes sources préférées :

    1. Il semble maintenant que les forces ukrainiennes ont commencé à se retirer de la section sud-ouest de la pocheLes villages de Kolonia EniakievoAleksandrovskoe et Olenovka sont maintenant entre les mains des séparatistesCe matin, les troupes ukrainiennes ont commencé à se retirer des villages restants dans les secteurs du sud et du centre de la pocheBoulavinskoe,KamyshatkaOlkhovatkaKamenkaDanilovoPolovoe et IlynkaKamyshatka est déjà passé dansles mains des FANUn journaliste polonais à Artemovsk a observé quelques troupes ukrainiennesqui avaient trouvé moyen de sortir de la poche pendant la nuit sous le couvert de l'obscuritéLa plupart avaient du fuir à piedbien que certains véhicules ont également été observésDans les conditions actuelles dans la pocheil est douteux qu'ils puissent sauver quoi que ce soit de leur artillerie, de leur matériel lourd ni de leurs réserves de munitions. Les FAN ont dégagé lesdistricts de l'Estet le district de Konaev à DebaltsevoLes combats se poursuivent dans le secteur des usines et dans les quartiers centraux.
    source : "Skob" 

    2. "La nuit à Donetsk s'est déroulé calmement. Je ne me souviens pas que si c'était aussi paisible pendant la dernière trêve, si le troisième jour, il y avait un tel silence. Les civils paraissent relativement calmes, beaucoup osent même marcher dans les rues. Mais tant dans la milice que parmi les civils, tout le monde pense que cette situation ne durera pas longtemps. En ce qui concerne ceux qui sont revenus de la zone des combats, notamment de Debaltsevo, ils disent que le chaudron n'existe plus".
    Source : Cyril Romanowski
     
    3. Selon une autre source (
    "Yana") des combats acharnés se poursuivent dans certains secteurs de Debaltsevo. Depuis deux jours, l'ennemi a perdu au moins 400 hommes tués, et plus de 300 ont été fait prisonniers. 



    4. Zakharchenko blessé sans gravité à Debaltsevo. Selon LIFEnews, Zakharchenko traversait une des rues principales au milieu des tirs nourris et a été blessé à la cheville. La Sécurité du chef de la RPD lui a donné les premiers soins. Zakharchenko a été ensuite emmené à l'hôpital de campagne d'Alchevs'k avec trois miliciens blessés. La vie d'Alexandre Zakharchenko ne court aucun danger, le chef de la DNR était conscient durant le transport et se porte bien.


    Zakharchenko à l'hopital d'Alchevsk (RPL) reçoit la visite de son homologue Plotnisky, leader de la RPL, hier soir (ce mec rigole avec du shrapnel de mortier dans la jambe! Je sais pas si tout le monde se rend bien compte...)

    5. Du coté ukrainien, Porochenko a annoncé qu'il se dirige vers la ligne de front, je présume que c'est pour observer la situation, pas pour se battre. La plus grande partie du district central deDebaltsevo a été défrichée et les combats se déroulent actuellement dans le quartier Ryzantsev(dans  le coin SE). Les FAN sont maintenant à environ 500 mètres de l'intersection desimportantes autoroutes M03 et M04 sur la lisière sud de la villeLes Ukrainienscependant, ont mis en place plusieurs postes renforcés dans ce secteur.

    Porochenko en plein délire sur twitter : "Nos soldatsbraves défenseurs de notre terreont donnéun coup dans les dents à ceux qui tentaient de les encercler et se sont retirés de Debaltseve" 
    Réponse de Sergei Bar : "Donc, avons-nous déja gagné la guerre ou devons-nous encore attendre que vous ayez réussi a perdre Kharkov pour célébrer vos dons de stratège ?"

    6. Une info originale pour changer : Un rapport des garde-frontières biélorusses fait état d'un groupe de 20 hommes armés à cheval (!) qui ont tenté de traverser la frontière de la Biélorussiedepuis l'UkraineLes assaillants se sont enfuis après un échange de coups de feu, en abandonnantquatre chevaux et en emmenant plusieurs blessés avec eux. (source)

    Vidéos :


    Le drapeau de Novorossia flotte sur Debaltsevo


    Combats de rue, hier, à Debaltsevo


    Troupes ukrainiennes prisonnières des FAN dans le chaudron de D.

    + de vidéos à suivre...

    http://gaideclin.blogspot.fr/2015/02/urainenovorossia-deroute-ukrainienne.html

  • Vengeant les chrétiens égyptiens décapités, un maréchal Al-Sissi impérial !

    Les Français n’ont pas à regretter d’avoir vendu des Rafale au chef d’État égyptien : en attaquant les terroristes islamistes pour avoir décapité des coptes (chrétiens égyptiens), lui, musulman fervent, prouve qu’il est à nos côtés. Envoyons-lui immédiatement plusieurs Rafale et leurs instructeurs pour le remercier !

    Homme d’État ayant la réputation d’être un croyant, pratiquant avec dévotion voire passion sa religion, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi est à la tête de la République arabe d’Égypte depuis juin 2014 après des élections contestées lors desquelles il a officiellement obtenu 96 % des voix face à un seul autre candidat « autorisé », M. Hamdine Sabahi, poète, journaliste de gauche. Depuis les imposantes manifestations populaires et la destitution, en juillet 2013, du président Mohamed Morsi, soutenu par les très influents Frères musulmans opposés à tout État laïc, ceux-ci sont fortement combattus par les nouvelles autorités du pays : en décembre 2013, ce mouvement est d’ailleurs déclaré « terroriste ». La répression sera impitoyable.

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  • Les séparatistes investissent la ville de Debaltsevo

    La guerre dans le Donbass a connu un nouvel épisode avec l’entrée des combattants rebelles dans la ville de Debaltsevo, où la garnison de Kiev est encerclée.

    D’après Kiev, il s’agit d’une infiltration terroriste, mais pour les séparatistes, 80 % de la ville seraient déjà tombés, notamment la gare et la banlieue-est, après des combats de rues. Environ 300 soldats fidèles au régime de Kiev auraient été fait prisonniers. Cette localité étant considéré comme faisant partie de leur « territoire intérieur », un représentant des rebelles, Denis Pouchiline, a déclaré :

    « Nous n’avons pas le droit [d’arrêter les combats à Debaltsevo]. C’est une question morale. »

    Le cessez-le-feu appliqué dans la nuit de samedi à dimanche est globalement respecté sur le reste de la ligne de front, bien que les armes lourdes n’aient pas été retirées comme le prévoyaient les accords de Minsk 2. La chancelière allemande, Angela Merkel, et le président ukrainien, Petro Porochenko, ont appelé Vladimir Poutine afin qu’il fasse pression pour obtenir un arrêt total des combats et que l’OSCE puisse se déployer partout pour faire respecter le plan de paix.

     

  • Le lobby sioniste en action, par Nick Griffin

    Comment les neoconservateurs américains ont fait pression sur les partis nationalistes britanniques pour les convertir au sionisme – Traduction E&R

     


    Nick Griffin révèle une tentative de corruption… par ERTV

     

    Nick Griffin, homme politique britannique et leader du British National Party (BNP), a été député au Parlement européen de 2009 à 2014. Dans cette allocution de janvier 2013, il révèle comment, en 2007, les officines néoconservatrices étasuniennes ont fait pression sur les nationalistes britanniques pour leur demander deux choses : qu’ils attaquent l’islam et cessent de critiquer le système bancaire…

    Source: Egalité et Réconciliation