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international - Page 952

  • Les « docteurs Folamour » du Pentagone ?

    Ca y’est, ils le tiennent leur argument imparable. Vous savez pourquoi la Russie ne fait rien qu’embêter tous les gentils libéraux-démocrates du monde ? Et bien c’est très simple, le président Poutine est atteint d’une sorte d’autisme, c’est un cabinet d’experts très sérieux du Pentagone qui l’a déclaré.

     

    On comprend mieux ainsi que Moscou soutienne de façon absurde les révoltés du Donbass en Ukraine et s’insurge devant les bombardements massifs des populations civiles par l’armée de Kiev. Car il faut être autiste en effet pour ne pas accepter avec reconnaissance l’extension de nouvelles bases de l’OTAN et leur implantation tout autour de la Frontière russe. Eltsine, un ivrogne certes, mais pas autiste pour un sou, avait bien laissé faire la même chose au Kossovo et n’avait pas bronché lors des bombardements américains sur l’armée serbe, ni même sur les colonnes de civils qui avaient l’outrecuidance de fuir. Lui c’était un bon chef du Kremlin, comme les aime l’oncle Sam.

    Autiste, pourquoi n’y avoir pas pensé plus tôt ? C’était une pratique stalinienne assez répandue, au temps de la splendeur des soviets, d’interner en hôpital psychiatrique les opposants politiques. Mais c’est quand même bluffant de voir Washington envisager cette stratégie totalitaire à l’échelle des chefs d’états. Ainsi quiconque maintenant qui ne se déclarerait pas ami servile des Etats Unis serait susceptible d’être déclaré malade de la tête.

    Une récente émission de télévision montrait des journalistes très sérieux se pencher sur la personnalité de Poutine, son enfance, son adolescence, son passage au KGB. On nous dépeignait tous les symptômes de la constitution d’une personnalité plus vraiment humaine, attachée (impensable) à la gloire ancienne de la Russie tsariste.

    Et d’ailleurs, Il faut être un monstre pour ne pas laisser tomber sous la férule de leurs pires ennemis, les résistants du Donbass fidèles à la Russie.

    Réveillons nous un peu, Je ne vois vraiment pas quel est l’intérêt pour l’Europe et pour la France de soutenir le gouvernement de Kiev ou siègent d’authentiques néonazis qui ont exposés leur délicate brutalité à Maïdan et qui aujourd’hui sans soucis de négociation aucune, veulent imposer brutalement l’abandon de la langue Russe à des millions de russophones par la force. [....]

    Olivier Perceval

    La suite sur Le Réveil Français

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  • Ukraine : non, Poutine ne veut pas reconquérir l’Europe de l’Est

    Pour résoudre le conflit ukrainien et éviter une escalade dangereuse qui pourrait mener à un scénario comparable à l’Ossetie, Hadrien Desuin recommande l’instauration d’une autonomie sous surveillance russe et européenne dans le Donbass.

     

    Des tanks ukrainiens patrouillent dans la région de Donetsk. Crédits photo : ANATOLII STEPANOV/AFP

    Les dernières avancées pro-russes dans l’est de l’Ukraine réactivent les craintes de troisième guerre mondiale chez les plus fébriles des atlantistes, de droite comme de gauche. Comme souvent, les comparaisons faciles avec le spectre de l’Allemagne des années 30 fleurissent. C’est plutôt vers la grande tradition de la politique étrangère russe basée sur la conservation des fondamentaux territoriaux qu’il faudrait se tourner : préserver un glacis protecteur à l’ouest de Moscou et un accès maritime au nord comme au sud. Alimenté par la peur d’un encerclement, Poutine cherche simplement à maintenir un contrôle sur l’Ukraine. Mission périlleuse depuis que la révolution de Maïdan s’est jetée dans les bras américains.

    Le soutien, évident mais limité, accordé aux séparatistes du Donbass (leur indépendance n’a pas été reconnue) prouve que la politique poutinienne est au contraire rationnelle. Elle ne cède pas aux fièvres nationalistes de son opinion publique. Elle s’appuie sur un principe central : l’intérêt de la Russie. Il ne s’agit pas de reconquérir l’Europe de l’est comme les pays polono-baltes le craignent, ou de succomber à une crise d’autisme comme le suggère les américains, mais de conserver son influence sur l’« étranger proche ».

    S’il était seulement guidé par une soif de conquête, Poutine aurait en quelques jours enfoncé l’armée ukrainienne et occupé Kiev sans que personne ne bouge en Europe et aux États-Unis. Les successeurs de Staline le firent à Budapest et à Prague et les alliés se contentèrent de protestations verbales. Une occupation militaire sous la contrainte serait stérile. Dans le Donbass, Poutine se contente donc de défendre l’insurrection pro-russe sous la menace de l’armée ukrainienne. L’objectif est de conserver une tutelle et un levier de négociation au sein même d’une confédération ukrainienne. Et surtout d’empêcher son voisin de rejoindre l’Union européenne et l’Otan, deux lignes rouges pour le Kremlin. Or, détacher l’Ukraine de l’Empire russe est une obsession américaine, théorisée il y a déjà quelques années par le brillant stratège et ancien conseiller à la sécurité de Jimmy Carter d’origine polonaise, Zbigniew Brzrezinski, dans Le grand échiquier. Sans l’Ukraine, la Russie cesse d’être un Empire. Elle cesse d’être une menace pour l’hégémonie des États-Unis. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

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  • Etats-Unis : des élèves ridiculisés au collège pour leur opposition au lobbying LGBT

    Il ne faudrait pas prendre l’information que voici pour un incident isolé : il préfigure au contraire ce qui risque de se multiplier à l’avenir, en conformité avec un état d’esprit de plus en plus agressif et partagé.

    La scène se passe dans une école californienne : les élèves, des jeunes de 14 ou 15 ans, ont été ridiculisés et dénoncés pour avoir osé manifester leur opposition à un groupe d’intervenants extérieurs venus exposer leur programme LGBT en cours d’anglais. La « Queer Straight Alliance », spécialiste du lobbying lesbien-gay-bi-trans, avait été officiellement invitée à intervenir, le 29 janvier, dans plusieurs classes de 3ème à Alcanes High School à Lafayette.

    Les élèves ont dû se positionner par rapport aux LGBT
    Le lobbying LGBT, en l’occurrence, passait par la dynamique de groupe. Les élèves étaient priés de se mettre en cercle, puis, chacun devait exposer son opinion et ses croyances sur l’homosexualité, ainsi que celles de ses parents, selon le Pacific Justice Institute (PJI) qui a été saisi par des parents d’élèves outrés pour faire la lumière sur ce scandale. D’autant qu’ils n’avaient pas été tenus au courant de l’intervention de l’association.

    Ridiculisés dans leur collège pour refuser le sexuellement correct
    Les pro-LGBT du Queer Straight Alliance les encourageaient notamment à s’avancer un par un, pour dire si à leur avis être « gay » relève d’un choix, et si leurs parents accepteraient qu’ils se disent eux-mêmes « gays », selon l’avocat du PJI.
    Ceux qui refusaient de s’avancer étaient « ridiculisés et humiliés », assure-t-il.
    Au cours de l’exercice, les intervenants ont en outre révélé les noms des professeurs gays ou lesbiens dans cette école de Lafayette.
    Munis de polycopiés contenant toute la terminologie LGBT, les élèves ont ensuite été priés de se placer dans le « spectre du genre » : cela était présenté comme un exercice de « fluidité de genre », selon un parent d’élève. Les intervenants avaient pris soin d’expliquer aux jeunes qu’ils « pouvaient venir à l’école un jour en se sentant garçon, et le lendemain en se sentant fille ».

    C’est une déconstruction programmée et facilitée par le genre de l’exercice : on sait à quel point la dynamique de groupe peut peser sur les jeunes. Et elle est ici d’autant plus perverse que l’adolescence est précisément le temps des interrogations et des incertitudes sur sa propre identité.

    Dynamique de groupe pour éradiquer l’opposition au lobbying LGBT
    Voilà donc ces gamins qu’on imagine, pour certains, encore au seuil de la puberté, confrontés à des catégories profondément déstabilisantes : étaient-ils des « demi-garçons » ou des « demi-filles » ? Se reconnaissaient-ils dans le « genre gris » – genre flou et indéfini ? Ou étaient-il vraiment « bi-genre », « agenre » (sans genre), intersexe (au sexe biologiquement ambigu), pan-sexuels – attirés par tous ; voire poly-romantiques – attirés par la plupart des genres, mais pas tous ?

    Le cours, a expliqué un responsable de l’enseignement californien selon un avocat de PJI, se voulait un exercice de « tolérance » sous la surveillance des professeurs mais enseigné par des « pairs ».

    Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, toutefois : bientôt, l’« outing »sera imposé à ceux qui s’opposent au lobbying LGBT et pour eux, il n’y aura ni compréhension ni admiration – le pilori.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Reportage : « Encerclés par l’état islamique »

    NDCI : un reportage au plus proche des combats entre Kurdes/Yézidis/chrétiens et les soldats de l’État Islamique. Attentions certaines images peuvent choquer.

    Irak, décembre 2014. Les forces de l’État islamique ont totalement encerclé les montagnes du Sinjar, à l’ouest de Mossoul. Une population de Kurdes yézidis, musulmans et chrétiens se retrouve prisonnière dans les villages. Le réalisateur Xavier Muntz a passé trois semaines avec les combattants kurdes, en première ligne contre les djihadistes. Un document exceptionnel.*

     

    http://www.contre-info.com/

  • TVL : Journal du 13 février, Reportage en Syrie et rencontre avec le curé de Maaloula

  • Ukraine : l'accord de Minsk

    Nous vous proposons une traduction approximative des 13 points de l'accord de Minsk, à partir d'une version anglaise de celui-ci, trouvée ici. A noter qu'au moment où nous faisions cette traduction, il nous était impossible de trouver le même document directement en français, sur la première page d'une recherche "google". "Nos" médias n'en faisaient qu'une vague recension, mais de nombreux commentaires, naturellement tous fortement hostiles à la Russie (pour s'en faire une idée, voir notamment celui-ci).

    Les lecteurs que l'anglais n'effraie pas trouveront ici le commentaire nuancé d'un site pro-russe. A grand trait, l'accord passé est plutôt, voire franchement, favorable aux sécessionnistes et à la Russie. On peut donc s'attendre à ce que de multiples soubresauts conduisent plus ou moins rapidement à l'échec de sa mise en œuvre.

    Prions donc Notre Dame de Fatima qu'il n'en soit pas ainsi, et qu'une paix durable et équilibrée revienne dans ce pays. Sinon, n'éludons pas le pire.

    Mesures de mise en œuvre de l'accord de Minsk

    1. Cessez-le-feu immédiat et complet dans certains secteurs dans les régions de Donetsk et de Lugansk de l'Ukraine et exécution stricte de celui-ci  commençant à 00,00, heure  de Kiev, le 15 février
    2. Retrait de toutes les armes lourdes par les deux parties à égale  distance,  pour créer une zone de sécurité d’ au moins 50km entre eux pour des systèmes d'artillerie de calibre supérieur ou égal à 100mm, une zone de sécurité 70km pour des systèmes de lance-roquettes multiples et une zone de sécurité 140km au loin pour le système de LRM Tornado, Uragan, Smerch et les missiles tactiques Tochka.Pour les troupes ukrainiennes ces distances s'appliquent à partir de la ligne réelle du contact. Pour  les forces armées de certains secteurs des régions de Donetsk et de Lugansk  elles s'appliquent à partir de la ligne de contact selon le mémorandum de Minsk du 19 septembre 2014.Le retrait des armes lourdes ci-dessus commencera pas plus tard que le deuxième jour après le début du cessez-le-feu et sera accompli dans les 14 jours.L'OSCE, avec le soutien du groupe tripartite de contact, contribuera à ce processus.
    3. La surveillance et la vérification effectives du cessez-le-feu et du retrait des armes lourdes seront assurées du côté de l'OSCE dès le premier jour

    Lire la suite "Ukraine : l'accord de Minsk"

    Paula Corbulon

    Posté le 13 février 20

  • Des avions de la coalition largueraient armes et munitions à Daech

    La commission de la Sécurité et de la Défense au parlement irakien, a accusé les avions de la coalition internationale contre le groupe de l’Etat Islamique, à sa tête les Etats-Unis, de larguer des armes et des munitions pour l’organisation Daech, rapporte l’agence de presse turque,Anatolie.

    Le président de la commission de la Sécurité et de la Défense au parlement irakien, Hakem al-Zamli, a déclaré lors d’une conférence de presse en présence des membres de la même commission, que « des documents, des photos et des informations en notre possession confirment que certains avions de la coalition violent la souveraineté irakienne, et les usages internationaux, à travers le largage d’aides à Daech et l’atterrissage des avions dans les aéroports contrôlés par ce groupe. »

    Il a qualifié cette opération « de danger pour la sécurité de l’Irak et, qui plus est, prolonge la guerre », appelant le gouvernement irakien à clarifier sa position à ce sujet.

    Le parlementaire irakien a pressé le ministère de la Défense et le commandement irakien d’intercepter et de faire tomber les avions qui atterrissent dans les régions dominées par Daech, ou lui fournissent de l’aide.

    Ni le commandement de la coalition internationale, ni les Etats-Unis n’ont officiellement réagi à ces accusations.

    http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/des-avions-de-la-coalition-largueraient-armes-et-munitions-a-daech/id-menu-957.html

    Source Article from http://reseauinternational.net/des-avions-de-la-coalition-largueraient-armes-et-munitions-daech/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • LE PEN: Washington essaie de provoquer une « guerre en Europe »

    La présidente du Front National Marine Le Pen a qualifié Bruxelles de « valet des Américains » concernant sa politique en Ukraine. Elle a accusé Washington d’essayer de déclencher une guerre en Europe et d’étendre l’OTAN vers les frontières russes.

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    « Les capitales européennes n’ont pas la sagesse de refuser de dépendre des positions américaines sur l’Ukraine », a déclaré dimanche la présidente du parti français d’extrême droite. « Concernant l’Ukraine, nous nous comportons comme les valets des Américains », a-t-elle souligné en précisant que « l’objectif des Américains est de déclencher une guerre au sein de l’Europe pour pousser l’OTAN jusqu’à la frontière russe ».

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    Elle a également accusé les responsables européens de fermer les yeux sur le fait que le gouvernement ukrainien « bombarde des populations civiles » en ajoutant que les résidents de la Crimée et de l’est de l’Ukraine pensaient que le pays devait être fédéralisé.

    Marine Le Pen a en outre critiqué l’Union européenne (UE) à plusieurs reprises pour son attitude vis-à-vis de l’Ukraine et son prétendu manque d’indépendance à l’égard de Washington. En septembre, elle avait déclaré au quotidien Le Monde que la poursuite de la crise en Ukraine était « une faute de l’Union Européenne » fustigeant le fait que Bruxelles avait exercé un « chantage sur le pays en lui demandant de choisir entre l’Europe et la Russie ».

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  • Les prochaines Marches pour la Vie

    Lu dans L'Homme Nouveau :

    "Les prochaines Marche pour la vie en 2015 auront lieu :

    • à Brisbane (Australie) le 21 février,
    • à Prague (République tchèque) le 21 mars,
    • à Bruxelles (Belgique) le 29 mars,
    • à Palerme (Italie) le 18 avril,
    • à Rome (Italie) le 10 mai,
    • à Ottawa (États-Unis) le 14 mai,
    • à Varsovie (Pologne) le 31 mai,
    • à Dublin (Irlande) le 4 juillet,
    • à Berlin (Allemagne) le 19 septembre,
    • à Zurich (Suisse) le 19 septembre,
    • à Bratislava (Slovaquie) le 20 septembre,
    • à La Haye (Pays-Bas) le 12 décembre.

    Sont prévus également : Lima (Pérou), Stettin (Pologne), Guatemala City (République du Guatemala) et Bordeaux."

    Michel Janva