Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 952

  • Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement

    Les statistiques officielles pour l’Angleterre et le pays de Galles indiquent qu’en 2005, 66 nouveau-nés ont survécu à leur avortement et ont agonisé pendant parfois plus de dix heures.

    Lorsqu’un enfant naît grand prématuré, tout est mis en œuvre pour le sauver. Si ce n’est pas possible, il reçoit des soins de confort et est entouré jusqu’à son décès.

    Tout autre est la situation de ceux qui naissent vivants après un avortement. Il ne s’agit pas de ceux dont on provoque la naissance parce que la poursuite de la grossesse présente un danger majeur, mais bien de ceux qui naissent vivants accidentellement, suite à un « échec » de l’avortement. Une étude publiée en 2007 a conclu qu’environ une interruption de grossesse sur 30 après 16 semaines résultait en une naissance vivante. À 23 semaines, la proportion atteignait 9,7 %, soit presque 1 sur 10. Or, l’avortement est pratiqué sur simple demande jusqu’à 18 semaines en Suède, 24 semaines en Angleterre et aux Pays-Bas, et sans limite légale au Canada. Il est pratiqué jusqu’à la fin de la grossesse en cas de malformation en France et en Angleterre. Le seuil de viabilité fixé par l’OMS est 22 semaines.

    Lire la suite 

  • Sanctions made in USA. Qui donc est le dindon de la farce?

    Auteur : Françoise Compoint

    Le 10 décembre dernier, la Libre Belgique publiait un article reprenant les estimations de Dmitri Medvedev quant aux pertes qu’avait déjà et qu’allait inévitablement essuyer l’UE suite, de un, aux sanctions infligées à la Russie, de deux, à l’embargo qu’elle introduit en réponse.

    On se rappellera que lesdites sanctions avaient été présentées comme une réaction immédiate et nécessaire quoique regrettable à l’annexion de la Crimée et au soutien apporté à la rébellion du Donbass. Moins d’un an plus tard, on s’aperçoit que le dindon de cette éblouissante farce n’est pas vraiment celui que l’on croyait.

    Initialement, l’hystérie médiatique qui accompagna le retour de la Crimée en Russie n’avait d’autre raison objective que la déception des USA d’avoir perdu un point de pivot stratégique donnant accès aux mers chaudes. Trop occupée à traiter ses problèmes internes, l’UE était plutôt à la traîne avant que Washington ne la convainc, avec une maladresse réservée aux dupes, que le même sort – un référendum démocratique faudrait-il croire ( ?) – serait réservé aux pays plus faibles, intégrés ou non à l’UE (et/ou à l’OTAN) qu’importe. Les pays Baltes avaient notamment été mentionnés comme les « prochaines cibles » de Poutine l’impérialiste. Le temps de réchauffer les élites politiques européennes et l’opinion publique à coups de dénaturations factuelles et de mises en garde hypocrites, de réanimer cet alarmisme paranoïaque hérité de la Guerre Froide, les médias en rajoutèrent une couche suite au crash du MH-17 le 17 juillet qui devait montrer à la communauté internationale le vrai visage de cette insurrection dite « pro-russe ». Aucun observateur présent lors du référendum en Crimée ne put ni même n’eut jamais l’envie de prouver que celui-ci se fit sous la contrainte. L’enquête esquissée autour de la tragédie du Boeing ne conduit à rien. Autant dire qu’elle restera sans suite. Néanmoins, les sanctions non seulement n’ont pas été levées mais ont motivé une troisième vague dite sectorielle dont l’UE pâtit autant que la Russie si ce n’est plus.

    En effet, début décembre, les pertes avérées de l’UE s’élevaient à 40 milliards d’euros. Une perte plus importante de 50 milliards d’euros est prévue pour 2015 ce qui nous amène à 90 milliards d’euros de dommage pour cet organisme en crise profonde qu’est l’UE et la zone euro. Les pertes de la Russie sont estimées à quelques dizaines de milliards de dollars, constat qui sans être réjouissant montre toutefois que le sanctionnateur est à peu près dans la même posture fâcheuse que celui qu’il dit sanctionner. Remarquons bien que cela vaut pour l’UE !

    Comme à toute chose malheur est bon, le Kremlin a vite fait bien fait saisi l’occasion. Profitant de la dépréciation du rouble – encore une facette des sanctions que l’on préfère passer sous silence car il faudrait alors analyser les véritables raisons de la chute du baril – il a racheté la quasi-totalité de ses actifs gaziers et pétroliers pour une somme dérisoire récupérant de la sorte près de 20 milliards de dollars en l’espace d’à peine quelques jours.

    Mais il y a mieux ! Premiers promoteurs des sanctions antirusses, préoccupés par l’unité et la sécurité ô combien fragiles de l’UE, les USA ... ont augmenté de 23% leurs exportations vers la Russie alors donc que les exportations européennes ont chuté d’environ 10%.Quid des sanctions et des facteurs qui les auraient motivé ?

    CQFD : l’Amérique a joliment berné le Vieux Continent en le coupant autant que possible de la Russie. Laissant aboyer, passez-moi ce vulgarisme, les élites politiques unionistes, ils n’ont pas arrêté le mouvement de leur caravane en diversifiant leurs échanges au détriment de cette UE dont Mme Nuland avait dit dans un style aussi peu élégant que clair ce qu’il convenait d’en faire. Pour autant, ce fameux traité transatlantique sur le libre-échange, finira-t-il par passer ? C’est certainement l’effet recherché. Entre autres.

    En attendant, on s’aperçoit que la chaotisation de l’Ukraine n’est pas sans engendrer un processus similaire au coeur de l’UE. L’impact des sanctions est tel qu’il a contribué à diviser davantage encore eurosceptiques et euroconvaincus si bien que les contradictions déchirant initialement Kiev sont la tragique quintessence de celles qui déchirent à l’heure actuelle les élites politiques et les populations de l’UE.

    Il en ressort que l’espace européen n’est rien d’autre dans le cas présent qu’un immense terrain d’affrontement économique entre la Russie et les USA tout comme l’Ukraine est un terrain d’affrontement, dans un sens hélas plus strict, entre l’hégémonie otanienne et le souverainisme westphalien du continent eurasiatique. Il faut arrêter de raisonner en termes de sanctions. Celles-ci ne sont qu’un symptôme très secondaire d’une guerre sans merci dans laquelle l’Europe s’implique avec une maladresse suicidaire sans vraiment pouvoir définir son rôle.

     - SourceFrançoise Compoint

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2015/01/21/sanctions-made-in-usa-qui-donc-est-le-dindon-de-la-farce-5541296.html

  • [Lu sur Le Net] De retour du djihad, il vit des allocations handicapé

     PARIS (via l’Observatoire des gaspillages)
    Dans l’édition du « Point » du 16 janvier, un article intitulé « L’histoire funeste des trois tueurs » brossait le portrait du « réseau des Buttes-Chaumont » dont faisaient partie les frères Kouachi et Amedy Coulibaly, les auteurs des récents attentats de « Charlie Hebdo », de Montrouge et du supermarché casher de la Porte de Vincennes à Paris. L’article mentionne le cas d’un comparse, Mohamed el-Ayouni, qui s’était rendu en Irak en juillet 2004. Dans les combats de Falloujah, il avait perdu son bras et son œil gauches. De retour en France, il avait demandé une allocation handicapé… et l’avait obtenue des services sociaux.

    Ce n’est que grâce à une allusion au détour de la deuxième page de l’article (p.44) que l’on découvre que Mohamed el-Ayouni a bénéficié d’une allocation handicapé à son retour d’Irak alors que les services sociaux ne pouvaient ignorer dans quelles circonstances il avait perdu son œil et son bras gauches :

    Mohamed-el-Ayouni-p44

    Une lectrice, membre de Contribuables Associés, s’est émue de cette information et en a saisi le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Marisol Touraine. Cette dernière ne détenait certes pas ce portefeuille en juillet 2004 (à l’époque, c’était l’UMP Philippe Douste-Blazy), mais ce sont ses services qui ont attribué cette allocation handicapé. Vous pouvez lire ci-dessous la lettre de notre membre, ou la télécharger en cliquant ici (nous avons occulté son identité et son adresse pour des raisons évidentes).

    Lettre-Marisol-Touraine-Mohamed-el-Ayouni

    Si, comme cette lectrice, et comme nous-mêmes, vous trouvez choquant que les services sociaux aient pu attribuer une allocation handicapé à un terroriste qui revenait d’Irak avec des mutilations liées à la guerre qui y sévissait, merci de partager cet article par courriel, sur Facebook et sur Twitter. Vous pouvez également écrire au ministre de la Santé afin qu’il fasse toute la lumière sur ce véritable scandale.

    http://fr.novopress.info/181436/lu-net-retour-du-djihad-il-vit-allocations-handicape/

  • Affaire Chauprade: SOS Racisme porte plainte contre la vidéo de la discorde sur fond de réconciliation au FN

    Hier la nièce de Marine Le Pen s’est solidarisée avec la position de son grand-père Jean-Marie Le Pen, contre Marine en un tweet; Ce mardi 20 janvier, Marion Maréchal – Le Pen a relayé la vidéo d’Aymeric Chauprade, intitulée La France en guerre et publiée jeudi 15 janvier:

    « La France est en guerre », l’analyse d’@a_chauprade sur les attaques terroristes : http://youtu.be/aEUruaIUKqI 

    On allait vers le clash entre Aymeric Chauprade et Marine LP, mais les choses avancent très vite, et aux dernières nouvelles, le FN tente de clore l’incident Chauprade: Invité sur ITélé jeudi matin, Florian Philippot a dit qu’Aymeric Chauprade était « un expert brillant » à qui il manquait simplement quelques « réflexes politiques ». Pour lui la vidéo n’est « pas dramatique ». Le recadrage de Marine Le Pen?, « C’est de la cuisine interne! »  Et le tweet de Marion Maréchal-Le Pen ? « C’est un geste de sympathie. »

    SOS Racisme porte plainte contre Aymeric Chauprade

    Mais l’affaire rebondit par l’entremise de SOS Racisme qui a annoncé qu’elle allait déposer plainte contre l’eurodéputé. Dénonçant des « propos particulièrement inacceptables », l’association a demandé à son avocat d’engager une procédure« permettant la levée de son immunité » du parlementaire européen et de déposer une plainte contre des propos qui appellent « clairement à la haine et à la violence contre une partie de la communauté nationale à raison de sa religion ».

    Dans un communiqué, la présidente du Front National a précisé que le parti mettrait, quoi qu’il en soit, à disposition d’Aymeric Chauprade « l’ensemble de ses moyens juridiques afin de l’aider à organiser sa défense »

    Un bon moyen pour le Front de reprendre la main après les pasquinades républicaines suite aux attentats! Marine Le Pen Saura-t-elle saisir l’opportunité ?

    http://www.medias-presse.info/affaire-chauprade-sos-racisme-porte-plainte-contre-le-contenu-de-la-video-de-la-discorde-sur-fond-de-reconciliation-au-fn/23825

  • "Jour du dépassement" : l'humanité vit à crédit depuis le 19 août 2014

    Depuis le mardi 19 août, l'humanité vit à crédit sur sa dette écologique. Le Jour du dépassement est la date à partir de laquelle la consommation de l'humanité excède ce que la nature est capable de générer en un an. Il nous aura en effet fallu à peine huit mois en 2014 pour consommer plus de ressources naturelles que la Terre ne peut en renouveler, selon les calculs du Footprint Network. 

    « Celui qui croit qu’une croissance infinie peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » Kenneth Boulding. 
    Si la terre a pu nous nourrir en abondance depuis l'aube de l'humanité, le "seuil critique" à partir duquel nos comptes avec Dame Nature se sont retrouvés à découvert a été franchi dans les années 1970. Cependant, le plus alarmant, c'est que la date du Jour du dépassement tombe de plus en plus tôt chaque année et progresse avec une vitesse et une régularité implacable. Nous avions franchi la barre fatidique en novembre au cours de l'année 1980, puis en octobre dans les années 1990, en septembre dans les années 2000... 
    Nous sommes de plus en plus nombreux sur terre, et nous vivons de manière de moins en moins soutenable. Notre dette ne cesse donc d'augmenter d'année en année... Pour combien de temps encore ? 
    Selon Footprint Network, il faudrait actuellement une planète et demie pour produire les ressources écologiques nécessaires pour soutenir l'empreinte de l'humanité. L'ONG tire la sonnette d'alarme et appelle au changement : "Même si les chiffres sont mauvais," assure-t-elle, "nous pouvons encore prendre des mesures audacieuses et construire un avenir prospère, fondé sur l'utilisation durable des ressources. Mais il faut agir maintenant"
  • Les rigolos du réchauffement

    40 chefs d'État et environ 2500 chefs d'entreprise convergent vers Davos pour le Forum économique mondial qui se tient depuis mercredi et jusqu'à dimanche dans la très chic station de ski. Ces invités seront responsables d'un trafic aérien intense, avec 1 700 trajets en jet privé au-dessus de la région.

    Le forum est cette année consacré au climat et aux moyens d'enrayer le réchauffement climatique.

    Le prix du billet d'entrée est fixé à 19 000 dollars. Mais il faut ajouter 52 000 dollars pour la cotisation annuelle à la fondation organisatrice.

    Enfin, les pays émergents sont sous-représentés par rapport aux pays riches, Européens de l'Ouest (1 037) et Nord-Américains (833) en tête. Seuls 56 Chinois sont invités.

    C'est un peu comme si on invitait Bernard Madoff pour parler des règles bancaires.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html