Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 292

  • Le Kosovo, citadelle du djihadisme?

    Ex: http://www.decryptnewsonline.com 

    D’après les services de sécurité italiens, environ 400 djihadistes sont entrés en Europe en se faisant passer pour des réfugiés, y compris l’un des recruteurs principaux de l’EI, Lavdrim Muhaxheri.

    Entre 300 et 400 combattants du groupe terroriste État islamique (EI, Daech) ont pénétré au Kosovo depuis la Syrie en se faisant passer pour des réfugiés, écrit le site Daily Mail, citant une source au sein des services de renseignement italiens. Les terroristes, poursuit le média, quittent la Syrie suite à des défaites cuisantes face à l'armée syrienne et ses alliés. Pour passer inaperçus, ils mettent des vêtements civils et essayent de se fondre parmi les milliers de réfugiés. Bien que certains d'entre eux soient interceptés par les services de renseignement, la plupart des djihadistes parviennent toutefois à passer entre les mailles du filet. Il est à noter que parmi les terroristes qui ont pénétré récemment en Europe figure notamment l'un des chefs principaux de Daech, Lavdrim Muhaxheri, alias Abu Abdullah al Kosova. Muhaxheri est connu non seulement comme l'un des leaders des terroristes albanais du Kosovo, mais aussi comme un recruteur émérite de l'EI. Originaire de Macédoine, al Kosova s'est rendu en Syrie fin 2012, a été par la suite repéré dans plusieurs vidéos de propagande de Daech dans lesquelles il appelait les Albanais à rejoindre les rangs des djihadistes. En outre, plusieurs images ont été publiées sur Internet sur lesquelles on voyait Muhaxheri décapiter un otage, ainsi qu'une vidéo dans laquelle il tirait sur un homme avec un lance-roquettes. À en croire les services de sécurité italiens, Muhaxheri et ses acolytes envisageraient de perpétrer des attaques contre des institutions publiques et internationales. Le Kosovo, qui a proclamé son indépendance en 2008, n'a pas été la cible d'attentats islamistes, mais au moins 200 personnes ont été interpellées ou font l'objet d'enquêtes policières pour des activités illicites en lien avec l'État islamique. Environ 300 Kosovars combattent au sein du groupe en Syrie et en Irak.Environ 70 citoyens du Kosovo sont impliqués dans les combats en Irak et en Syrie, contre 300 auparavant, a déclaré le ministre kosovar de l'Intérieur Skender Hyseni. Selon lui, en Irak et en Syrie, il y a également 38 femmes et 27 enfants provenant du Kosovo.

    Le Kosovo est depuis longtemps considéré comme le "bastion européen" de l'Etat islamique (EI, Daech). Le représentant russe au Conseil de sécurité de l'Onu a notamment qualifié le Kosovo de "centre de formation" de Daech, rappelant que cette région avait donné aux groupes islamistes radicaux plus de membres en proportion du nombre total d'habitants que d'autres pays. Cependant, les autorités kosovares sont impuissantes face à ce problème, parce que, tout d'abord, beaucoup de ceux qui sont partis en Syrie et en Irak étaient des combattants de l'Armée de libération du Kosovo, une organisation terroriste dont les soldats sont toujours considérés comme des héros de la guerre de libération du Kosovo de "l'occupation serbe". Les frontières du Kosovo avec l'Albanie et la Macédoine n'existent que sur le papier et les camps de formation des radicaux sont bien cachés. Ainsi, il est presque impossible de contrôler les cellules des islamistes. "Des dizaines de combattants du Kosovo ont lutté aux côtés de l'Etat islamique, et ils sont tous soigneusement surveillés par les autorités compétentes. Mais il est impossible de tout prévoir, et il y a beaucoup cas de ce genre", a indiqué à Sputnik Fadil Lepaja, chef du Centre des recherches balkaniques.  Beaucoup de jeunes, non seulement du Kosovo, mais aussi de la Bosnie-Herzégovine et des régions musulmanes de la Serbie, sont recrutés alors qu'ils suivent un programme éducatif gratuit dans des Etats du monde arabe qui soutiennent les terroristes islamistes. Plus tard, on les retrouve dans des cellules islamistes en Europe, où, le cas échéant, ils sont prêts à prendre part à des actes terroristes. Selon des experts, il est difficile pour les services secrets des pays européens d'identifier les membres de groupes terroristes, car la plupart d'entre eux sont des jeunes bien instruits et dont la biographie ne laisse rien transparaître.


    Ces derniers jours, des nouvelles informations ont déclenché des alertes sur de l'étendue réelle de la présence djihadiste dans le narco-état créé par l'OTAN et par les pétromonarchies. Les camps d'entraînement de l'État islamique dans le Kosovo seraient jusqu'à cinq, et se trouveraient à Ferizaj, Gjakovica, Decani, Prizren et Pejë. Où des centaines d'aspirants jihadistes, la plupart d'ethnie albanaise provenant de divers pays, en plus d'étudier l'arabe et une version paranoïaque du Coran, apprennent à utiliser les armes et les explosifs et différentes techniques  de guérilla, formés par des hommes du Califat et par des 'ex' miliciens de l'UCK, la soi-disant "armée de libération" kosovare qui grâce à la guerre déclenchée par l'Alliance atlantique contre la Yougoslavie en 1999 avait réussi à s'imposer dans l'ancienne province autonome de Belgrade devenu 'indépendante'.

    Tout cela se passe dans un petit territoire qui est en fait encore un protectorat de l'Alliance atlantique et de l'Union européenne, des institutions qui peuvent compter sur la présence au Kosovo de diverses bases militaires, de centres de commandement et de contrôle, de dizaines de milliers de militaires, observateurs et fonctionnaires civils. Par exemple, le camp d'entraînement de Daesh de Ferizaj se trouverait à quelques kilomètres de Camp Bondsteel, la plus grande base militaire que les Etats-Unis aient jamais réalisé en dehors de leur propre territoire après la guerre du Vietnam, qui accueille en moyenne 7.000 soldats et  employés civils. Près de Gjakovica, une autre ville kosovare qui abrite l'un des camps d'entraînement du Califat, siège le détachement aéronautique de l'Amiko (Force italienne de l'Air au Kosovo), ce qui n'a pas empêché que Daesh prolifère à un pas des installations de la mission de la KFOR. Et la même chose arrive à Pejë, où surgit le Village Italia, et à Prizren, où la présence de l'Alliance atlantique est également consistante.

    Lorsque l'État islamique n'était pas encore été considéré comme un problème par les États-Unis, Lavdrim Muhaxheri, le commandant de la malfamée "brigade des Balkans" de Daesh, a travaillé au Camp Bondsteel, et l'on dit la même chose pour Blerim Heta, un kamikaze albanais qui s'est ensuite fait exploser à Bagdad.

    L'histoire a été remontée à la surface par des reportages réalisés par des  médias internationaux après l'arrestation de quatre citoyens kosovars  accusés d'être membres du réseau terroriste de l'Etat islamique. Des nouvelles d'arrestations sont fréquentes au Kosovo, en Macédoine, en Bosnie, en Serbie elle-même. Selon les données fournies dans les derniers jours par le ministre de l'Intérieur du Kosovo, Skender Hyseni, au moins 57 combattants étrangers ont été tués au combat, quarante ont été arrêtés avant de pouvoir partir, 102 ont été arrêtés sur des soupçons d'avoir participé à des activités terroristes.

    Mais à finir menottés ne sont qu'un petit pourcentage des miliciens du Califat ou des aspirants jihadistes, alors que la plupart continuent à agir sans être dérangés dans les enclaves fondamentalistes des Balkans.

    Par Bob Woodward

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2017/01/07/le-kosovo-citadelle-du-djihadisme.html

  • Pour la LDH, ramadan : bien ! Crèches : pas bien !

    Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ?

     

    Pourquoi la Ligue des droits de l’homme ne trouve rien à redire à ce que la mairie de Paris, depuis 2001, se mette en quatre pour fêter des nuits du ramadan à 100.000 euros mais porte plainte pour cause de présence de crèches dans les mairies ? Parce qu’« une crèche de la Nativité, c’est extrêmement marqué religieusement » alors que le ramadan, lui, c’est… « une manifestation festive » ! Ainsi l’explique la présidente de la LDH à Midi libre en réponse aux reproches « d’une partie de la droite » de favoriser l’un au détriment de l’autre.

    Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ? Cette retraitée de l’enseignement qu’est la présidente de la LDH montre pour le moins une ignorance crasse ou une hypocrisie sans nom, quand on sait que le ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam ! Autrefois, les mauvaises langues auraient accusé madame la présidente d’avoir fait ses études chez les Jésuites…

    Mais le cheval de bataille de la LDH, on l’a compris, c’est la religion catholique. Et cette bonne dame Dumont de se féliciter d’attaquer « pratiquement systématiquement » les mairies qui ont exposé des crèches ou rendu des arrêtés contre le burkini. Ainsi, selon sa grille de lecture, crèches et interdiction du burkini – vêtement religieux par excellence ! – représentent toutes deux des atteintes à la laïcité !

    Nous en sommes là. À subir en même temps – au nom de la laïcité – les interdictions de signes chrétiens et les autorisations de signes musulmans.

    Ce qui revient à dire qu’au nom de cette laïcité complètement détournée, l’État français s’entend à implanter la religion musulmane en extirpant petit à petit notre passé chrétien millénaire. En outre, quelle aubaine pour les défenseurs de l’islam : la loi, lit-on dans Le Monde, de toutes façons, ne prévoit rien « concernant le fait, pour une administration publique, d’organiser une fête à destination d’une communauté »

    Non, ce qui l’embête, cette brave dame, c’est que les tribunaux administratifs, à propos de la légalité ou pas des crèches dans les mairies ou sur le port du burkini, « ont à chaque fois une interprétation extrêmement différente ». C’est vrai, ça, sauf qu’à part part semer la zizanie et la confusion partout, voire à rendre tout le monde marteau, on ne comprend pas pourquoi, justement, chacun est autorisé à rendre des verdicts opposés…

    Encore une année à la tête de la LDH et mâme Dumont pourra aller planter ses salades. Une année encore « compliquée » et « malsaine » – c’est ainsi qu’elle voyait son mandat. À cause de quoi, vous demandez-vous ? Mais « en raison de la forte montée de l’extrême droite », pardi ! disait-elle après les attentats de janvier…

    Mais ce qui fait le plus enrager cette ligueuse de fond (depuis 35 ans à la LDH) ? C’est « quand on en rajoute sur les racines chrétiennes de la France ». Qu’on en rajoute ? Mais alors, madame la retraitée de l’enseignement l’avoue : nos racines sont chrétiennes ! Oh ?

    http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/pour-la-ldh-ramadan-bien-creches-pas-bien,304935

  • Un rapport inquiétant sur les enfants enrôlés par l’Etat islamique

    Le quotidien belge Le Soir publie une longue étude sur « les enfants de Daech », d’après « un rapport édifiant dressé pour l’Unesco et l’ONU par la Fondation Quilliam » qui vient de paraître sous la forme d’un ouvrage : Les enfants de Daesh. Nous publions ci-dessous un extrait de ce dossier très étayé.

    Enfants-Daech-Livre-259x350.jpg« Le think tank britannique, qui a travaillé en profondeur sur le sujet, détaille comment l’État islamique forme une nouvelle vague de combattants à moyen terme. Et quels mécanismes l’organisation a mis en place pour s’assurer de la parfaite adhésion de ses « lionceaux » à son idéologie haineuse en leur ôtant toute chance de réinsertion à l’avenir.

    Moins coûteux et plus faciles à endoctriner car dépourvus d’idées préconçues et de croyances à déconstruire, les enfants font presque instantanément preuve de loyauté. Plus ils sont pris en charge tôt, plus ils sont faciles à façonner. « Les enfants peuvent répondre aux besoins présents du «califat», et une fois qu’ils auront grandi, ils continueront à maintenir l’existence et l’expansion de l’idéologie, assurant à ces idées une survie à long terme », relève le rapport de la Fondation Quilliam.

    En Syrie, les enfants de Daesh de 5 à 10 ans sont envoyés dans des camps religieux puis, entre 10 à 15 ans, ils poursuivent leur formation dans des camps militaires.

    Daesh prête aussi une attention particulière aux enfants issus de la région, qui n’auront nulle part où aller, et qui ne risquent pas de renouer un jour avec des origines occidentales. Une génération sacrifiée, condamnée à poursuivre son existence dans ce pays que la guerre a dévasté. « La gestion actuelle voit en ces enfants de futurs combattants bien plus dangereux et déterminés qu’eux, car ils n’auront pas été convertis à des idées radicales mais élevés au cœur de ces valeurs depuis leur naissance. Ils ont pu être exposés à des concepts religieux extrémistes dès le tout début et sont donc considérés comme «purs», et plus enclins au martyre que la génération actuelle.  »

    Drillés dès leur plus jeune âge, les enfants sont de « meilleurs » combattants que la génération actuelle. Plus brutaux aussi puisque élevés dans la violence et la barbarie ambiante. Ils sont par ailleurs souvent moins anxieux que les adultes et posent moins de questions. Ce qui en fait évidemment de bons candidats à l’attentat-suicide.

    Daesh a fait de l’exploitation des mineurs un axe majeur de sa communication. Entre 2015 et 2016, la propagande de l’organisation terroriste a montré douze enfants bourreaux et un enfant participant à une exécution publique. En septembre 2016, le Daily Mail postait sur son site la vidéo d’un petit blondinet, très probablement un Européen âgé d’une dizaine d’années, exécutant un otage à bout portant.

    Quelques mois plus tôt, Daesh avait déjà diffusé deux autres vidéos mettant en scène la mise à mort de prisonniers syriens. L’une par deux ados de 13 ou 14 ans, l’autre par un enfant identifié comme étant un jeune Français. »

    http://fr.novopress.info/202592/un-rapport-inquietant-sur-les-enfants-enroles-par-letat-islamique/

  • Amine, Anis étaient au milieu de nous : 66 millions de Français virtuellement livrés au terrorisme islamiste

    Nous ne jouons pas à nous faire peur ni à chercher à faire peur aux autres ; ni à cultiver une sorte de morbide sinistrose, qui se porte assez bien comme cela pour qu'il soit utile d'en rajouter...

    Nous tirons simplement le constat froid et lucide (on dira clinique, puisqu'Amine était Interne à La Timone, à Marseille !) que deux dangereux terroristes islamistes étaient au milieu de nous, normalement, habituellement :

    - le premier, Interne en Chirurgie orthopédique à l'Hôpital de La Timone à Marseille, était en neuvième année de médecine : il a dû en voir, en soigner des gens, leur parler, avoir accès à toute sorte de locaux plus ou moins « sensibles ». Et voilà que l'on apprend qu'il s'était réjoui des assassinats de novembre à Paris, qu'il tenait des propos ouvertement favorables au djihadisme sur les réseaux sociaux, parlant même de commettre des attentats en France. Disparu depuis la mi-octobre, il a finalement été arrêté en Turquie, alors qu'il se rendait en Syrie : pour y faire quoi ? Devinez ! 

    - le second, après son carnage de Berlin, s'est baladé, il n'y a pas d'autres mots. D'Allemagne il est passé en Hollande puis, via la Belgique en France. Il a pris le train, tout naturellement, a traversé plusieurs gares, et, lui aussi, a côtoyé pas mal de monde dans les rues, les dites gares, les trains...

    Heureusement, dans un cas comme dans l'autre, les deux assassins n'ont pas tué chez nous. Si l'un est passé à l'acte en Allemagne, l'autre est resté « assassin en puissance », mais l'intention - quand elle est aussi froide, résolue, planifiée... - ne vaut-elle pas l'action ?

    Mais ces deux cas troublants nous amènent au seul constat possible : nous sommes toutes et tous livrés, à tout moment, au couteau de l'égorgeur, à la ceinture d'explosif de l'artificier, au véhicule lancé dans la foule... Et les terroristes sont - ou peuvent être - le voisin du dessus ou du dessous ; celui d'en face ou d'à côté ; celui d'en haut de la rue, ou d'en bas, ou du coin : bref n'importe lequel de ces 200.000 entrés par an en France sous Sarko (sans compter les clandestins, évidemment) ; chiffre qui est passé à 300.000 pendant le « quinquenium horribilis » de Hollande.

    Toutes et tous étant parfaitement « normaux » en temps normal, mais pouvant basculer d'un coup, à tout moment, dans ce que l'on appelle maintenant, dans la novlangue idéologique politiquement correcte, la radicalisation : en clair, l'islamisme, le terrorisme, l'assassinat de masse.*

    C'est dans cet esprit que nous dressons notre constat : non pour faire frissonner dans les chaumières, mais pour lancer une accusation frontale contre le Système, que nous accusons d'irresponsabilité et de mise en danger de la vie de la Nation.

    Donald Trump a fait scandale dans la petite bulle des journaleux bobos/gauchos lorsqu'il a déclaré, pendant sa campagne, qu'il voulait interdire l'entrée de musulmans aux Etats-Unis, avant que les autorités compétentes ne se soient renseignées sur les dits musulmans. C'est le bon sens le plus élémentaire : au moins, en savoir le plus possible sur ceux qui veulent venir chez vous. Ce bon sens-là, le Régime, le Système ne l’a pas, car il ne veut surtout pas l'avoir. Ce qu'il veut c'est créer un citoyen nouveau, une France nouvelle, surtout sans contact avec ses Racines et ses Traditions, qui sont gréco-latines, européennes et, bien sûr, chrétiennes. Et, pour effacer ces Racines et ces Traditions, tout est bon, pour le Système, même et surtout l'Islam et les musulmans. 

    Sauf qu'à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler ; à force de manipuler des bombes, elles vous explosent à la figure...

    On en est là. Que ce soit le Régime, le Système qui saute, cela ne nous gêne guère. Mais qu'il nous fasse courir le risque avec lui, alors là, non !   

    * Répétons-le, une fois de plus : nous ne disons pas que tous les musulmans sont des terroristes, nous disons que tous les terroristes sont des musulmans, et pratiquent leur terrorisme au nom de l'Islam.
  • Isabelle Surply, conseiller régional (FN) d’Auvergne–Rhône-Alpes

    92147a43a78b5983afe1a0dfa23dc633_S.jpgLa vidéo de son intervention a fait le buzz : plus de 350 000 vues en quelques heures (https://youtu.be/3BRk1mKgodI) ! Isabelle Surply, conseiller régional FN, était, le 23 septembre, à Valfleury, dans la Loire, à une réunion publique au sujet de l’accueil des migrants. Elle a mis le représentant de l’Etat devant ses contradictions.

    « Minute » : dans quel cadre vous êtes-vous rendue à cette réunion ?
    Isabelle Surply : Dans un premier temps, nous avons appris la tenue de cette réunion publique en même temps que l’arrivée des « migrants » par un entrefilet dans la presse locale. Le mê­me jour, des élus locaux de villages voisins nous ont alertés. Mieux encore, certains habitants de Valfleury ont di­­rectement pris contact avec notre fédération du Front national. Notre présence était donc attendue. Il faut d’ailleurs ajouter que certains habitants m’ont expliqué avoir cherché à contacter des élus « Les Républicains ». Sans succès…
    Pour dresser un tableau rapide, Valfleury, c’est une commune charmante de 732 habitants située sur les hauteurs de la vallée du Gier, dans le département de la Loire. C’est une commune qui abrite un joli sanctuaire marial, mais n’a, par exemple, qu’un seul commerce. De même, la commune n’est desservie par aucun transport en commun.

    Lire la suite

  • Le Parti populaire danois réclame l’interdiction des minarets

    COPENHAGUE (NOVOpress) : Le Parti populaire danois (Dansk Folkeparti) a déposé une proposition de loi établissant l’interdiction des minarets dans le pays, et demande au gouvernement qu’elle soit adoptée au cours de l’actuelle session parlementaire.

    « Il ne devrait plus être possible qu’une grande mosquée soit dotée d’un minaret », explique Martin Henriksen, porte-parole du DF : « Ce style de construction ne correspond pas au style danois et de tels symboles islamiques visibles et importants sont une contribution négative au développement de la société, car ils mettent l’accent sur les différences entre les musulmans et les Danois. »

    Le Dansk Folkeparti réclame aussi l’interdiction des appels publics à la prière au Danemark. « J’ai visité une mosquée à Malmö, qui a appelé à la prière en public, poursuit Martin Henriksen, et il ne fait aucun doute que, dans l’avenir, nous verrons plus de mosquées faire la même chose. »

    Il s’est évidemment trouvé des voix pour s’élever contre ce projet de « limitation de la liberté religieuse », notamment celle d’Eva Maria Lassen, de l’Institut des droits de l’homme : « Si les musulmans ne peuvent pas marquer qu’ils ont une religion et un style architectural différents de ceux de la majorité des habitants du Danemark, alors il s’agit d’une limitation de la liberté religieuse. »

    http://fr.novopress.info/

  • La police allemande assume le contrôle au faciès

    Selon Jeanne Smits dans Minute :

    stories.virtuemart.product.2802_page_01nsp_106.jpg"[...] L’an dernier tout avait été fait pour occulter les centaines d’agressions sexuelles accompagnant le passage au Nouvel An, parce que des migrants extra-européens étaient à l’origine des troubles. Las des critiques, les policiers ont cette fois interpellé, intercepté, contrôlé à tour de bras des hommes « d’apparence nord-africaine » auprès des gares et au pied de la cathédrale de Cologne. Ils ont même vérifié les trois cents occupants d’un train s’apprêtant à descendre sur la ville – tous des migrants.

    La police a été convaincue très vite des intentions peu catholiques des voyageurs et autres « contrôlés au faciès » – 650 au total –, puisque 190 personnes ont été maintenues derrière des barrières et empêchées de rejoindre le centre-ville, en attendant les 92 interpellations qui y ont eu lieu pendant la nuit.

    La police de Cologne a même revendiqué son action en tweetant des images des migrants, accompagnées de ce commentaire laconique : « Des centaines de Nafris passés au crible à la gare principale. Détails suivent. » Des Nafris ? C’est le nom familièrement donné aux Nord-Africains en Allemagne, mais faut-il que l’exaspération soit forte pour que la police s’aventure publiquement dans ce genre de vocabulaire.

    [...] Dès le lendemain, la presse allemande de gauche s’étranglait devant ce « racisme » évident. Mais la voilà prise au piège de ses propres tartes à la crème : vaut-il mieux éviter de peiner les migrants et respecter leurs droits de l’homme au prix de plus de 1 200 agressions sexuelles, ou protéger les droits des femmes des agressions machistes en prenant des mesures fortes et ciblées ? [...]

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html