Alep n’est pas tombée mais a été libérée, comme le déclare Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque d’Alep.
Un reportage inédit de Charlotte d’Ornellas.
Pour rétablir une vérité.
À voir absolument.
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Alep n’est pas tombée mais a été libérée, comme le déclare Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque d’Alep.
Un reportage inédit de Charlotte d’Ornellas.
Pour rétablir une vérité.
À voir absolument.
« De Mulhouse à Strasbourg » comme dans la chanson, mais même à Nice ou à Paris, les marchés de Noël sont sous haute surveillance de crainte des attentats djihadistes (dont l’un, prévu pour la période de l’Avent dans la capitale, aurait été télécommandé de Syrie mais déjoué en novembre selon Bernard Cazeneuve, qui a annoncé le démantèlement du réseau), ainsi que les églises où plane l’ombre du père Hamel, égorgé en pleine messe par des fous d’Allah le 26 juillet à Saint-Etienne de Rouvray. C’est dire que, cette année, l’« esprit de Noël » n’est pas, si l’on ose dire, à la fête.
Pour rester dans l’air du (mauvais) temps, et mieux connaître ceux qui nous l’amènent, pourquoi ne pas s’offrir, ou offrir, quelques livres sur la religion dite « de paix et de tolérance » ? Cela tombe bien, les vitrines en regorgent.
« L’islamo-business, vivier du terrorisme », de Jean-Paul Gourévitch
Docteur en sciences de l’information et de la communication, ancien enseignant à l’Université de Paris XII et spécialiste de l’Afrique et des migrations, Jean-Paul Gourévitch est l’auteur de multiples ouvrages sur la question dont le fameux Les migrations pour les nuls, La Croisade islamiste, mais aussi L’Immigration, ça coûte ou ça rapporte et, tout récemment, Les migrations méditerranéennes en 2015 dont il chiffre le coût pour les contribuables français à 1,38 milliard d’euros. Tous ces travaux ont conduit celui qui se définit comme « ni islamophile ni islamophobe » à s’intéresser aux sources de financement du djihadisme, et notamment à l’« économie informelle (« travail illégal + fraudes [sociale, fiscale, dans les transports publics] + contrefaçons et piratages + trafics divers + vol + prostitution) », dont il avait déjà, en 2012, estimé qu’elle « représentait 17% du PIB national, soit 340 millions d’euros… avec une perte pour l’Etat de 60 milliards d’euros ».
Gigantesque business, donc, qui, affirme notre auteur, alimente les filières terroristes dont l’équipement n’est guère coûteux – 1000 euros pour une kalashnikov, trois à quatre fois plus pour un bazooka – et assure « une large redistribution au niveau du groupe, du quartier et des organisations “amies” auxquelles sont octroyés des “dons” ». D’autant qu’au niveau international s’y ajoutent, outre les subsides considérables versés par les régimes musulmans voulant acheter la paix religieuse, telle la famille royale séoudienne qui, à elle seule, allonge « 12 à 15 milliards de dollars, l’argent des rançons, que la France affirme vertueusement ne pas payer, mais on n’est pas obligé de la croire, celui de la piraterie finançant le djihad des shebab somaliens, mais aussi, dans les pays arabes, et comble de cynisme : la jizya, payée par les dhimmis ; censée leur donner droit à la protection, elle est le plus souvent utilisée pour financer les achats d’armes et rémunérer les combattants »… dont l’objectif est l’extermination des chrétiens. Comme on l’a encore vu le 11 décembre au Caire où un attentat à la bombe revendiqué par l’Etat islamique a massacré plus de vingt-cinq Coptes orthodoxes en pleine messe dominicale !
Dans ce livre fourmillant de renseignements et de chiffres puisés aux meilleures sources, Jean-Paul Gourévitch ne se borne pas à disséquer les sources de l’argent sale et surtout salement utilisé par les partisans d’un Califat à vocation universaliste : il étudie également les zones géographiques les plus touchées par l’islamisme de combat, soit l’Indonésie, l’Asie centrale, le Moyen-Orient, la Corne de l’Afrique, l’Afrique subsaharienne et le Maghreb, en particulier l’Algérie, rongée par le chômage et la corruption et « engluée dans une culture de guerre qui conjugue islamisation et moralisation » – mais le Maroc n’est pas indemne, qui serait « le pays le plus vulnérable de l’axe méditerranéen » car « la mouvance islamique s’y nourrit du mal-être d’une population dont près de la moitié vit au-dessous du seuil de pauvreté » et qui est « tentée par le retour au fondamentalisme, surtout dans les villes où la pauvreté attise la haine ».
Or, c’est de la trop prolifique Afrique subsaharienne, du Maghreb et maintenant d’Erythrée ou de Somalie que viennent la plupart de nos immigrés et des actuels migrants qui, déçus dans leurs rêves d’Eldorado européen, se tournent vers les imams exacerbant leurs rancœurs et/ou sombrent dans la délinquance, ce qui les conduit en prison où la propagande ultra-islamiste fait rage. Envoyés au trou pour vols, trafic de haschich ou outrages à « personne dépositaire de l’autorité publique », nombre de petits voyous, à peine élargis, ambitionnent de se sublimer en « soldats du Califat » comme le montre l’auteur en étudiant « les étapes de l’itinéraire » vers le Djihad. Etapes facilitées par le tentaculaire et protéiforme islamo-business et par l’énorme flux de capitaux qu’il engendre.
« J’étais pas au courant que c’étaient des terroristes ! », de Philippe Herlin
C’est cette phrase, on s’en souvient, qui avait rendu célèbre Jawad Bendaoud, logeur à Saint-Denis d’Abdelhamid Abaaoud, le responsable opérationnel des attentats de novembre 2015 à Paris, qu’il prétendait avoir hébergé pour la seule raison qu’on lui avait « demandé de rendre service ». Le bonhomme était-il le crétin qu’il prétendait être ou le complice déterminé des terroristes islamistes ?
Ce qui est sûr, c’est que Jawad avait suivi « l’itinéraire » décrit par Jean-Paul Gourévitch puisque, avant même sa majorité, il avait trucidé en 2006 « d’un coup de tranchoir en plein thorax » un autre jeune pour une sombre histoire de téléphone volé. Après un réquisitoire très mesuré de l’avocat général Haffide Boulakras expliquant que le trancheur avait « porté volontairement un coup », certes, mortel, « mais sans l’intention de tuer », il s’en tira avec huit ans de prison qu’il ne fit qu’à moitié, pour se livrer ensuite à divers petits trafics.
Ce qui est sûr aussi est qu’en jouant les naïfs en 2015, Jawad pratiquait en virtuose la taqiya qui, trouvant sa source dans le Coran, « permet et justifie le mensonge et la tromperie, spécialement quand le musulman se trouve en situation de faiblesse ». Philippe Herlin consacre de longs développements à la taqiya, à juste titre puisqu’elle explique pourquoi tant de terroristes s’étant illustrés ces deux dernières années étaient considérés par leur voisinage comme de bons garçons parfaitement intégrés, levant le coude, courant les filles (ou les garçons, comme le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l’exterminateur de la Promenade des Anglais à Nice) et que nul n’aurait pu soupçonner de radicalisation.
Sur les six à quinze millions de musulmans qu’abrite la France selon les différentes sources, combien cachent ainsi leur jeu de mort ? Notre auteur se réfère à juste titre aux dernières élections tunisiennes, à l’occasion desquelles, dans les deux circonscriptions de France, les Tunisiens installés chez nous et les binationaux ont accordé au parti islamiste Ennahda jusqu’à 33,70% des voix. Il cite également un sondage britannique assez terrifiant selon lequel « quatre musulmans sur dix souhaitent que la charia soit instaurée dans les zones où ils sont majoritaires » au Royaume-Uni.
« Peut-on vivre avec ces gens-là ? », s’interroge-t-il, « La réponse est évidemment négative. » Mais comment, loin « de l’amalgame et de la peur de l’amalgame », régler le problème ? « Par la loi […] Une loi qui criminalise ce qui ne l’est pas, ou insuffisamment, c’est-à-dire tout ce qui relève de l’islamisme au sens large […] Il ne s’agit pas d’une épuration ethnique mais d’une épuration judiciaire, oui », nécessairement à l’échelle européenne puisque le problème se pose à tout le continent. Ce qui est « peut-être un mal pour un bien car voilà qui permettrait de resserrer les liens entre toutes les nations européennes pour en faire une force inexpugnable ».
Utopique ? Irénique ? Chimérique ? Peut-être, mais Philippe Herlin n’est pas un songe-creux. Il est économiste de profession, ce qui ne l’empêche pas d’écrire d’une plume si alerte que ses arguments portent.
Camille Galic 15/12/2016
Jean-Paul Gourévitch, L’islamo-business, éd. Pierre-Guillaume de Roux, 2016, 210 pages.
Philippe Herlin, J’étais pas au courant que c’étaient des terroristes ! Ed. de Paris/Max Chaleil, 2016, 72 pages. Site de l’auteur : www.philippeherlin.com.
Dispersés à travers la France après le démantèlement de la « Jungle » de Calais, les expulsés sont en train de revenir petit à petit. Le quotidien britannique The Independent, qui a mené l’enquête, affirme même qu’il y a au moins six camps sauvages nouvellement installés dans les zones rurales du Nord-Pas de Calais, abritant chacun des dizaines de réfugiés, et attirant chaque semaine davantage de candidats au départ vers le Royaume-Uni.
La presse anglaise est plus libre que la nôtre. On y trouve des informations intéressantes passées sous silence de notre côté de la Manche.
La presse anglaise est plus libre que la nôtre. On y trouve fréquemment des informations très intéressantes qui ont été passées sous silence de notre côté de la Manche, souvent par incompétence et parfois pour des raisons de basse propagande. Quotidien le plus vendu en Grande-Bretagne, de tendance plutôt conservatrice, le Telegraph s’insurge contre la politique dite des « frontières ouvertes » menée par Angela Merkel et appuyée par la Commission européenne, comme je vous le rappelais hier en citant Jean-Claude Juncker, échappé de son asile lunaire.
Reprenant six exemples éloquents d’actes terroristes islamistes perpétrés depuis mai 2014, le quotidien démontre qu’ils sont liés aux déplacements migratoires :
– En mai 2014, Mehdi Nemmouche, binational franco-algérien qui aurait dû être déchu de sa nationalité française fictive, ouvrait le feu sur le Musée juif de Bruxelles. Après avoir combattu un an dans les rangs de l’État islamique en Syrie, l’homme était revenu en Europe en passant par l’Allemagne. Schengen est donc clairement en cause.
– Le 13 novembre 2015, le Bataclan et le Stade de France étaient attaqués par un commando de dix islamistes. Sept d’entre eux avaient des papiers européens, revenant de Syrie.
La Hongrie de Viktor Orbán, l’un des rares pays en Europe à essayer de surveiller ses frontières, avait révélé que ces hommes s’étaient infiltrés en Europe en se faisant passer pour des « réfugiés » de manière à passer sous les radars des services secrets… Deux autres terroristes étaient des Irakiens munis de faux papiers syriens arrivés en Grèce en 2015. Une autre faille béante causée par le laxisme allemand– À Bruxelles, en mars 2016, cinq djihadistes « européens » attaquaient l’aéroport. Encore une fois, il s’agissait de personnes qui avaient combattu en Syrie. Bien sûr, comme l’ont affirmé certains services secrets, au moins un d’entre eux avait réussi à pénétrer incognito en Europe grâce à… de faux papiers !
– Les trois derniers attentats en Allemagne ont aussi été commis par de faux demandeurs d’asile. À Wurtzbourg, l’assaillant du train était un faux réfugié afghan de 17 ans. Idem à Ansbach, où un partisan syrien s’est fait exploser dans un festival de musique après avoir demandé l’asile en Bulgarie, en Autriche et en Allemagne. Quant à Anis Amri, vous connaissez tous son parcours, exemplaire des errements européens…
Qui aura l’outrecuidance de dire qu’il faut continuer à ouvrir les frontières et que Schengen ne doit pas être suspendu un certain temps ? Qui pourra continuer à dire que l’immigration (d’aujourd’hui et d’hier) est une chance pour l’Europe ? Lénine disait que les faits sont têtus…
Communiqué de la Dissidence Française
Lundi dernier, un homme à bord d’un camion a foncé dans la foule d’un marché de Noël à Berlin, faisant 12 morts et près de 50 blessés (dont on ignore d’ailleurs le nombre d’enfants, soigneusement dissimulé par les médias).
L’attentat a depuis été revendiqué par Daesh et est attribué à l’un des quelques 1 200 000 « réfugiés » entrés légalement en Allemagne entre 2015 et 2016, à l’invitation d’Angela Merkel et des élites cosmopolites « allemandes ».
Cet attentat n’est pas sans précédent. On se souvient évidemment de l’attentat de Nice, de celui du Bataclan ou de Saint-Etienne du Rouvray, et des autres actes terroristes qui ont endeuillé notre pays ces derniers mois, ces dernières années. En Allemagne comme ailleurs, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Loin d’être isolé, cet attentat fut précédé par d’autres drames et épisodes traumatiques, systématiquement liés à l’immigration légale ou clandestine, et au multiculturalisme promu par des élites irresponsables.
Si le lien entre terrorisme, délinquance et immigration est désormais évident, les élites européennes et leurs chiens de garde médiatiques continuent de promouvoir le multiculturalisme envers et contre tout. Mais ce totalitarisme idéologique n’est pas sans conséquence, et la réalité rattrape toujours les utopies. La preuve, une fois encore, à Berlin il y a deux jours.
Combien de morts innocentes sur l’autel du cosmopolitisme ? La destruction des nations et l’arasement des spécificités ethno-culturelles des peuples européens sont au coeur du projet mondialiste, quel qu’en soit le prix à payer.
Quelques policiers de plus ou de moins dans les rues ne changeront évidemment rien au problème et n’éviteront pas un nouveau drame. C’est vers une guerre civile à l’échelle continentale que nous nous précipitons, et que seule une réaction radicale pourra permettre d’éviter.
La Dissidence Française a formulé depuis des mois ces propositions radicales, des propositions de bon sens qui, tôt ou tard, seront rendues incontournables par les circonstances. Seule une politique de remigration, ferme, ordonnée, mais pacifique, pourra permettre d’éviter le pire. Et si nos propositions sont systématiquement occultées, caricaturées ou tournées en dérision par les tenants du Système, il n’en demeure pas moins que si elles avaient été mises en oeuvre en Allemagne, cet attentat n’aurait tout simplement pas eu lieu.
En Allemagne comme en France, appliquons le principe de précaution : une solution, remigration !
https://la-dissidence.org/2016/12/21/multiculturalisme-terrorisme-principe-precaution/
La traque est terminée. Angela Merkel, comme toute l’Allemagne, est soulagée : Anis Amri, le terroriste recherché par toutes les polices d’Europe pour l’attentat du marché de Noël de Breitscheidplatz, à Berlin lundi, a été abattu vendredi près de Milan.
Des hommes de la police italienne s’affairent près de la dépouille mortelle dAnis Amri, dans la nuit de jeudi à vendredi, à Sesto San Giovanni, près de Milan. Crédits photo : STRINGER/REUTERS
« Le danger immédiat est écarté », a annoncé la chancelière lors d’une déclaration officielle. Quelques heures auparavant, elle s’était entretenue avec le président du Conseil italien, Paolo Gentiloni, qui lui avait confirmé l’identité de la personne tuée par des policiers à Sesto San Giovanni, vers 3 heures du matin.
L’islamiste a été interpellé lors d’un contrôle de routine. Il a ouvert le feu. Les forces de l’ordre ont riposté. L’un des deux policiers en action a été légèrement blessé. Les services italiens ont ensuite rapidement identifié le corps : Anis Amri avait passé quatre ans en détention en Italie, et ses empreintes digitales étaient enregistrées. « Plus que jamais nous sommes engagés sur le front de la sécurité », s’est félicité Paolo Gentiloni lors d’une déclaration.
Un centre commercial visé
À Berlin, l’heure n’est pas au triomphalisme. « Le danger terroriste dans son ensemble demeure présent, comme depuis plusieurs années », prévient Angela Merkel. Comme pour confirmer que la menace est partout, une opération de police, sans lien avec l’attentat de Berlin, a conduit à l’arrestation de deux personnes à Oberhausen. Ces deux frères originaires du Kosovo sont soupçonnés d’avoir préparé un attentat contre un centre commercial.
L’affaire Anis Amri n’est pas non plus terminée. L’itinéraire du terroriste qui, au volant d’un poids lourd, a tué 12 personnes lundi et blessé 48 autres au nom de l’organisation État islamique, doit encore être éclairci. L’enquête se concentre maintenant sur les complicités dont il a pu bénéficier. Les policiers « ne se reposeront pas tant qu’ils n’auront pas découvert qui avait connaissance des actes (d’Anis Amri), qui l’a aidé, qui l’a couvert », a assuré Angela Merkel. Il reste aussi d’autres questions à éclaircir : avant d’arriver à Milan, via Turin, Amri se trouvait a priori en France. Il serait parti de Chambéry, où se trouvait d’ailleurs jeudi après-midi le président de la République, François Hollande. Comment l’islamiste le plus recherché d’Europe a-t-il pu échapper aux contrôles aux frontières entre l’Allemagne et la France, puis entre la France et l’Italie ? [....]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-la-mort-du-tueur-de-Berlin
Anis Amri, l’auteur de l’attentat de Berlin avait prêté allégeance à Abu Bakr Al Baghdadi, le chef de l’Etat islamique, dans une vidéo en arabe (ci-dessous). Il y jure d’« abattre les infidèles comme des porcs ». La nuit dernière près de Milan, c’est lui qui a été abattu.