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islamisme - Page 366

  • Xavier Raufer : « Avec les islamo-gauchistes, désigner l’ennemi devient difficile… »

    Durant son audition, le 10 mai dernier, devant la commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale, Patrick Calvar, le patron de la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), a exprimé ses craintes d’un nouvel attentat terroriste sur le sol français. Mais, chose étonnante, il a conclu sur la nécessité de combattre « l’ultra-droite » qui n’attendrait, selon lui que « la confrontation ». Réaction de Xavier Raufer.

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  • Syrie : la phase finale de la libération du pays est engagée...

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    Depuis jeudi, des opérations de grande envergure visant à éliminer définitivement les terroristes islamistes ont  été lancées en Syrie. L'accord conclu récemment entre les deux grandes puissances engagées, la Syrie du Président Bachar al-Assad et la Russie, se traduit, en ce moment même sur place, par des bombardements aériens sans précédent et très efficaces en vue de l'éradication totale des tueurs de Daesh jusqu'ici soutenus par les mondialistes saoudiens, français et américains.

    Des dizaines de bombardiers russes et syriens pilonnent les campagnes des trois districts, Alep, Idleb, et Hama, anéantissant ainsi toutes les fortifications des groupuscules terroristes qui n'ont jamais respecté la trêve décrétée le 29 février dernier. Rappelons au passage que la diplomatie française, incarnée par le sinistre Fabius et dont l'aveuglement est légendaire, considérait jusqu'à peu que Daech "fait du bon boulot en Syrie".

    Mais revenons aux choses sérieuses. L'objectif de ces opérations militaires est de couper toutes les voies d'approvisionnement vers Raqa afin de pouvoir livrer la bataille finale qui tournera la page de Daesh une fois pour toutes en Syrie.

    Contrairement à toutes le tergiversations américaines, cette bataille de Raqa bénéficiera d'une couverture diplomatique et médiatique de la part des deux grandes puissances. La bataille de Raqa devrait débuter à la fin du mois de mai. Elle sera la mère des batailles que livreront les forces nationales syriennes soutenues par leurs alliés. Elle marquera la fin de cette abominable guerre en Syrie.

    Informations : le géopoliticien Mohamad Kamal Aljafa

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    Comprendre la guerre en Syrie :

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  • "À Saint-Denis, l'islamisation est en marche"

    6a00d83451619c69e201b7c85fb6a1970b-800wi.jpgCe n'est pas un communiqué des Identitaires mais un reportage de Nadjet Cherigui dans Le Figaro. Elle y parle de «Molenbeek-sur-Seine», des trottoirs transformés en une mosaïque de tapis de prière...

    Michel Janva

  • Pierre Cassen : une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste

    ierre Cassen est fondateur de Riposte Laïque, et fut co-organisateur, entre autres, de l’Apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays. Il a animé de nombreuses manifestations et des rassemblements. Depuis plus de dix ans, il consacre l’essentiel de son combat à la lutte contre l’islamisation de notre pays et de l’Europe, et anime de nombreuses conférences, souvent tournées vers l’action. À ce titre, il revient de Prague, et répond aux questionsde Philippe Randa, durecteur d’EuroLibertés.

    Vous venez de participer dans les locaux du Parlement tchèque à « une initiative européenne de lutte contre l’invasion migratoire et l’islamisation de nos pays »… Qui l’a organisée ? Quels étaient les participants ?

    Cette initiative a une histoire. Nous avons rencontré Tatjana Festerling, porte-parole de Pegida Allemagne qui revenait d’un entretien à TVLibertés, grâce à l’entregent de Jean-Yves Le Gallou. Le contact entre elle, Christine Tassin et moi a été excellent, et Tatjana nous a demandés si nous serions d’accord pour venir à Prague, le 13 mai, afin de participer à une réunion de résistants européens. C’est le genre de proposition qui ne se refuse pas, et nous nous sommes donc rendus disponibles.

    L’initiative avait lieu au cœur du Parlement tchèque. Les rôles avaient été répartis entre le parti tchèque Usvit (Aube pour la Démocratie directe), qui compte huit députés, et Pegida Allemagne, qui est la tête de pont de la Résistance européenne, surtout à Dresde, d’où est issue Tatjana. La volonté était de créer une structure européenne, « Forteresse Europe », avec tous ceux qui avaient envie de se lancer dans cette aventure. Au total, pour le moment, quatorze pays, majoritairement de l’Est, mais aussi, outre les Allemands, les Anglais, les Espagnols, les Italiens, les Autrichiens et nous, les Français. Notre pays était représenté par Christine Tassin et moi, au nom de Résistance républicaine – Riposte Laïque, et par Karim Ouchikh, président du SIEL (Souveraineté, identité et libertés). Après que chacun a pu prendre la parole, les organisateurs ont proposé à chaque représentant national de signer une pétition s’opposant à la logique des quotas de migrants imposés par l’Union européenne. L’objectif annoncé est de recueillir 1 million de signatures pour contraindre l’UE à ouvrir un débat parlementaire sur cette question. Nous avons respecté cette première initiative, privilégiant le cadre unitaire. Pour nous, l’essentiel était qu’un outil européen se mette en place, et donc que des actions communes, au niveau Vieux Continent, puissent se développer au plus vite. Avec la force militante de Pegida Allemagne aux commandes, et le savoir-faire de chaque pays représenté, il y a un potentiel prometteur, et nous sommes heureux d’avoir été conviés à cet événement.

    Les pays d’Europe de l’Est sont-ils confrontés de la même manière que ceux de l’Ouest aux invasions migratoires et comment appréhendent-ils le danger djihadiste ? Craignent-ils des attentats similaires à ceux qui viennent de frapper la France et la Belgique récemment ?

    Il y avait deux mondes, effectivement, ce vendredi, dans le Parlement européen. Les pays de l’ouest de l’Europe, déjà fortement islamisés, et les pays de l’Est, qui ne sont pas du tout confrontés à cette situation, mais ne veulent surtout pas y être. D’où la pétition pour refuser les quotas. Les pays de l’Est, à ce jour, ne vivent absolument pas dans la crainte d’un attentat. Certains pensent que seul l’Est pourra sauver la culture européenne, et que l’ouest est mal parti, même s’ils sont solidaires de nos combats. Par contre chose inquiétante, nous avons entendu le témoignage d’un militant de l’Usvit, qui a raconté au public l’offensive d’une jeune collégienne musulmane voilée dans une école, à Prague, et les nombreux soutiens dont elle bénéficie, scissionnant la société tchèque. C’est Creil, 27 ans après…

    Quelles sont vos impressions sur la République Tchèque après votre séjour ?

    Nous ne sommes restés que trois jours, et ne pouvons prétendre avoir tout vu de la réalité tchèque, n’étant demeurés qu’à Prague. On voit que la capitale est toujours une ville européenne. Les élèves que nous avons croisés dans les rues sont tous blancs, et par ailleurs paraissent fort bien élevés, et respectueux des enseignants. Naturellement, le centre-ville, autour du Pont Charles, est superbe. Gros point noir, les tags. J’avoue ne pas comprendre que dans une ville aussi touristique, ils soient aussi omniprésents, y compris sur la façade du musée Kafka (voir photo). Peut-être un Jack Lang tchèque ? Vous ne vous sentez jamais menacé, sur le qui-vive, ce qui est loin d’être le cas dans nombre de capitales d’Europe de l’Ouest, Paris en premier. On peut manifester librement à Prague. Nous avons vu un groupuscule nationaliste, un samedi, jour des 700 ans de la naissance du Roi Charles IV, tenir une réunion en plein centre-ville, à cinquante personnes. Pas de policiers, pas de gauchistes, pas de racailles. Il n’y a pas de chômage de masse, et il paraît y avoir du travail pour tout le monde. Nous avons vu de nombreuses usines en activité avec des hautes cheminées envoyant leur fumée dans le ciel, preuve qu’il y a toujours des ouvriers dans ce pays… et pas trop d’écolos ! Le salaire moyen tourne entre 800 et 1000 euros. La situation française passionne beaucoup les Tchèques, admirateurs de notre pays, et désespérés qu’il soit devenu un des maillons faibles de l’Europe. Ils cherchent à comprendre ce qui nous arrive, et paraissent décidés à ne pas se laisser envahir, ni islamisés.

    Source EuroLibertés cliquez ici

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  • Alain Juppé, responsable de l'échec de la libération des moines de Tibihirine ?

    Il y a 20 ans, le 21 mai 1996, le GIA annonçait avoir égorgé les moines de Tibihirine. C'est l'occasion de rappeler le rôle trouble joué par celui qui veut être aujourd'hui candidat à la présidentielle.

    Alors que Marc Trévidic, le juge d'instruction en charge de l'affaire des moines de Tibhirine, avait officiellement saisi trois ministères français d'une demande de levée du secret-défense, l'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua a évoqué les cafouillages franco-français dans la gestion de l'affaire.

    L'ancien ministre de l'Intérieur accuse pratiquement l'ancien Premier ministre, Alain Juppé, d'avoir fait échouer une tentative sérieuse d'obtenir la libération des 7 moines de Tibhirine. Charles Pasqua, qui n'était plus ministre de l'Intérieur au moment de l'affaire des moines, raconte qu'il avait été contacté par Jean-Charles Marchiani, préfet du Var et ancien des services secrets français, qui lui a affirmé disposer des contacts nécessaires pour mener des négociations avec les preneurs d'otages islamistes et que ces derniers étaient prêt à discuter d'une éventuelle libération des religieux. Il rappelle qu'à la même période les «terroristes avaient fait passer un message à l'ambassade de France qui allait un peu dans le même sens». Charles Pasqua dit en avoir parlé au président français Jacques Chirac qui a donné son feu vert. Marchiani qui, à l'époque, n'était plus dans les services secrets a «pris les contacts nécessaires d'une part avec les services algériens et aussi, me semble-t-il, avec les preneurs d'otages». Les choses «semblaient se développer normalement», indique l'ancien ministre de l'Intérieur jusqu'à l'intrusion d'Alain Juppé. Celui-ci, «énervé d'apprendre que Jean-Charles Marchiani» a fait une déclaration publique qui a complètement fait capoter l'entreprise.

    Michel Janva

  • Journal du Jeudi 19 Mai 2016 : Terrorisme / Les djihadistes infiltrent les aéroports

  • Intervention de Louis Aliot à la conférence sur la crise terroriste en Europe

  • En Irak, Daech a perdu la moitié du territoire conquis

    Depuis décembre et la perte de la grande ville de Ramadi, les djihadistes du groupe État islamique (EI) perdaient du terrain face à l'armée irakienne dans la grande province d'Al-Anbar. En fait, selon le Pentagone, Daech ne cesse de reculer sur le terrain : selon le porte-parole de la Défense américaine, Peter Cook, l'EI a perdu « environ 45% » du territoire qu'il avait conquis en Irak.
    Et « le chiffre pour la Syrie est compris quelque part entre 16 et 20% », a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Arlington.
    En juin 2014, le groupe ultra-radical sunnite avait lancé une offensive en Irak qui lui avait permis de s'emparer de vastes pans du territoire irakien à l'ouest et au nord de Bagdad, puis de prendre la capitale de la province d'Al-Anbar, Ramadi, en 2015. L'armée irakienne, les milices et les forces kurdes - encadrés notamment par 400 militaires français - ont repris Ramadi fin 2015, ainsi que la ville de Hit.
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    Les djihadistes ont cependant toujours la mainmise sur Fallouja, ainsi que la grande majorité de la province de Ninive (nord), dont sa capitale et deuxième ville d'Irak, Mossoul. Mossoul est l'objectif de la coalition internationale, qui espère récupérer la ville d'ici à la fin de l'année. Quatre importants centres de commandement ont ainsi été bombardés mi-avril.
    S'il cède du terrain, l'EI reste capable de mener des attentats meurtriers dans les territoires contrôlés par le gouvernement fédéral, comme à Bagdad où trois attentats revendiqués par le groupe jihadiste ont fait près de 100 morts en une journée la semaine dernière.
    Les déclarations du Pentagone sont cependant à relativiser. Le 26 avril dernier, le secrétariat d’État à la Défense affirmait que le nombre de combattants étrangers passant les frontières pour aller aider Daech avait été divisé par dix en 2015, passant de 2 000 à 200 par mois. La semaine dernière, la conseillère en contre-terrorisme de la Maison Blanche affirmait, elle, que « le flux des combattants étrangers est à une échelle jamais vue auparavant ».

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyFuZlpEERPWWnjDt.shtml