Dans la droite ligne des attentats, l’arrestation d’Abdeslam pose trois types d’interrogations.
Renforcement des contrôles aux frontières, coopération accrue entre les services de police, échange de renseignements entre les pays européens, telles sont les mesures que le président de la République et le gouvernement annoncent aujourd’hui après l’arrestation, à Molenbeek, de Salah Abdeslam. Mais toutes ces actions ne sont-elles pas décidées trop tard ? Ne devaient-elles pas être la contrepartie indispensable à l’ouverture des frontières dans le cadre des accords de Schengen ? Ne s’imposaient-elles pas durablement au lendemain des premiers attentats de janvier 2015 ? Devant leur incapacité à gérer les désordres provoqués par leurs politiques migratoire et sécuritaire, les apprentis sorciers socialistes qui nous gouvernent en sont réduits à des effets d’annonce dont on sait qu’ils seront inopérants à combattre le mal qui nous ronge désormais. Derrière l’arrestation de l’un des instigateurs présumés des attentats de novembre dernier se dissimule, en effet, un fiasco retentissant et lourd de conséquences, celui d’une politique irresponsable qui a fait basculer la France dans un chaos sécuritaire dont on n’est pas près de sortir.
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L’arrestation d’Abdeslam révèle avant tout le fiasco de la politique irresponsable de nos dirigeants
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Etat Islamique et terrorisme : le rôle du wahhabisme (Jean-Michel Vernochet)
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Attentats de Bruxelles : solidarité avec la Belgique, nécessité d’agir avec fermeté
Communiqué de presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Le mouvement que je préside apporte son soutien aux Belges frappés très durement ce matin par la barbarie islamiste. Il a une pensée pour les nombreuses victimes, les blessés et tient à encourager tous les services mobilisés dans cette épreuve.
Dans l’urgence, et pour la sécurité de tous, il est impératif de procéder à la fermeture immédiate de la frontière franco-belge, fermeture réelle et non pas fictive comme depuis plusieurs semaines, et au rétablissement de contrôles sur l’ensemble des frontières nationales de notre pays.
La France n’est pas épargnée par les zones de non-droit du type de Molenbeek. Il faut dès aujourd’hui lancer une vaste opération de police pour investir l’ensemble de ces quartiers en marge de la République et y récupérer enfin toutes les armes, armes de guerre et explosifs qui s’y trouvent. Il faut vider les caves, le laxisme n’a que trop duré.
Face au fondamentalisme islamiste, les Français exigent de l’autorité, de l’action et de la volonté.Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, insécurité, islamisme 0 commentaire -
Une tête de cochon sur une mosquée c’est plus grave que la tête d’Hervé Cornara sur le portail ?
Suite de notre analyse de la démentielle campagne « anti-raciste » du gouvernement contre les Blancs.
On peut ajouter, cerise sur le gâteau, que le gouvernement, avec l’argent du contribuable, est en train de financer une campagne anti-FN (ennemi numéro 1 qui occupe tous les occupants de l’Elysée, de Matignon et des Ministères, comme chacun sait) dans la perspective des élections de 2017. Géant.
On appréciera les videos, preuve par neuf que dorénavant le gouvernement (et les juges ? ) confondent allègrement actes anti-musulmans et actes anti-islam, simples manifestations d’islamophobie.
Bref, le gouvernement est passé à la vitesse supérieure. Le projet de l’OCI de faire interdire toute critique de l’islam sur l’ensemble de la planète prend forme en France.
L’OCI avait perdu une première manche :
Mais ils n’avaient pas dit leur dernier mot. Le travail de fond auprès des élites mondialisées porte ses fruits, aidé par le terrorisme :
Les Frères musulmans et l’Etat Islamique l’ont décidé, Hollande l’a fait.
La première des videos est plus que scandaleuse. A-t-on vu et entendu une campagne du gouvernement montrant la veuve et les enfants de Hervé Cornara en pleurs à côté du grillage où la tête de leur mari et père avait été accrochée pour dénoncer le racisme anti-Français ? Racisme musulman nourri par le coran et les haddith-s ? Pour dénoncer le terrorisme et les terroristes ? La mort de Hervé Cornara n’aurait pas valu la peine de lancer une campagne nationale d’avertissement sur les textes, les mots, les actes anti-Français, anti-non musulman mais une tête de cochon si ? C’est une insulte aux mânes de Hervé Cornara, à sa famille et à tous les Français.
Rien contre le terrorisme à part des dénégations, des menaces, des bougies, des « pas d’amalgame ». Mais une campagne -financée par le contribuable- à propos d’une malheureuse tête de cochon sur une mosquée, oui. On l’a déjà dit et redit. Ceux qui mettent un étron ou une tranche de jambon devant une mosquée ou sur ses murs ne sont pas dangereux, ils se contentent d’envoyer un message à nos gouvernants, ils ont peur de l’islam et voient avec un énorme stress les avancées de l’islam en France. Et ce sont eux qui sont stigmatisés (la véritable stigmatisation c’est bien celle-ci) par ceux qui sont censés les représenter, les défendre. Un scandale.
#TousUnisContrelaHaine. Combattre les actes anti-musulmans 2
Ajoutée le 20 mars 2016En 2015, chaque jour, Plus de 5 actes et menaces racistes, antisémites et anti-musulmans se produisent en France. Le Gouvernement se mobilise pour lutter contre cette haine de l’autre.
Donc mettre une tête de cochon sur une mosquée, est considéré comme tellement grave que cela nécessiterait une video à part entière… Et mettre sur le même plan cette tête de cochon, des crachats, des coups, du sang…fallait oser. Surtout quand on sait qui use à longueur de journée du crachat contre les nôtres. En tout cas la messe est dite. Il y a et il y aura dorénavant en France les nôtres et les autres. Ainsi le veut le gouvernement. Bref, la guerre contre les islamophobes est lancée, bref les islamophobes sont plus que jamais assurés d’avoir raison, on organise sous leurs yeux leur remplacement et leur criminalisation.
Par ailleurs voir les musulmans de la video en train de pleurer, littéralement, pour une pauvre tête de cochon sur la mosquée, alors qu’on ne les a pas entendus quand la tête de Hervé Cornara était sur la palissade… A vomir, à avoir envie effectivement de mettre des têtes de cochon partout, réaction tellement dérisoire et tellement dépourvue de haine, elle…
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LE BELGIKISTAN, SANCTUAIRE DU TERRORISME
Pieter Kerstens - Notre correspondant à Bruxelles
On aura beau dire et répéter que l’Islam « n’est pas radical »,n’importe quel enfant de 8 ans aura constaté que : TOUS LES IMMIGRES NE SONT PAS MUSULMANS - TOUS LES MUSULMANS NE SONT PAS DES TERRORISTES - MAIS TOUS LES TERRORISTES SONT DES IMMIGRES !
Et l’aveu d’Angela Merkel : « le multikulti a échoué, lamentablement échoué », le samedi 10 octobre 2010, devant le Congrès de la CDU confirme aujourd’hui que l’Islam « modéré », version light des prêcheurs de la Nouvelle Religion Droits-de-l’hommiste n’est pas compatible avec nos sociétés. La caste au Pouvoir a beau nous asséner ses délires dogmatiques, la réalité s’impose à elle tôt ou tard et tous les princes qui nous gouvernent ne peuvent plus se justifier par une pirouette ou une habile esquive. La 5ème colonne existe !
TOUT EST POSSIBLE, TOUT EST PERMIS !
On aura beau argumenter, démontrer l’inverse, polémiquer ou démentir les agressions, les attentats, la dérive ou la radicalisation, le constat demeure : c’est bien l’Islam, les musulmans et les djihadistes qui sont responsables et coupables des diverses tueries et attentats depuis longtemps! Que l’on se rappelle donc l’attentat commis par Carlos « Illich Ramirez Sanchez »le 15 septembre 1974 à Paris. Ce jour-là, Carlos en personne attaque le Drugstore Saint-Germain, à « l’algérienne » en lançant 2 grenades au milieu des consommateurs (2 morts et plus de 30 blessés), puis disparaît tranquillement et revendique son action. Cela pour obliger la France à libérer l’un des dirigeants de l’Armée Rouge Japonaise -Yukata Furaya-, laquelle A.R.J s’était intégrée au Front Populaire de Libération de la Palestine « opérations spéciales » (FPLP-OS de Waddi Haddad). Déjà des attentats arabes, sous « faux drapeau ». Et au fil des années, quarante ans plus tard, ce n’est pas en qualifiant les djihadistes de « nazislamistes » ou « islamofascistes » que les politicards, les médias et les analystes vont pouvoir régler le problème de l’invasion de nos quartiers et l’infiltration dans les esprits de l’Islam conquérant.
Mais ce qui est absolument stupéfiant c’est que la plupart des responsables politiques se déclarent choqués, horrifiés et surpris par la répétitions de tueries sanglantes dans les pays européens et organisant de grands rassemblements populaires pour communier dans la sensiblerie, les pleurnicheries et la bouffonnerie.
CHIENLIT, SAUVAGEONS, CRAPULES ET RACAILLES
Depuis des lustres la France, comme ailleurs en d’autres pays d’Europe à l’image de la Belgique, a dépensé des milliards d’euros dans une politique de la Ville pour améliorer l’habitat et les infrastructures sportives, tous azimuts. Ces rénovations n’ont servi à rien et la « culture de l’excuse » disculpant les délinquants a bien au contraire développé chez les immigrés de la 2e ou 3e génération un sentiment d’impunité qui leur permet une répétition de méfaits et de se glorifier d’un casier judiciaire comportant 20, 30 ou 50 condamnations ! Inutile donc de vouloir une politique répressive envers les crapules, alors que la Justice baisse les bras et que par conséquent, la Police ferme les yeux, depuis de longues années.
On comprend dès lors beaucoup mieux pourquoi les petits caïds des Zones de Sécurité Prioritaires se trouvent être également les janissaires attentifs et actifs d’un Islam envahissant. Par contre, alors que le Pouvoir est clairement au courant des agissements de ces racailles, il est inadmissible que les élus communaux ou les fonctionnaires de l’Etat occultent ou cautionnent ces dérives criminelles. Leur obsession de la société citoyenne, du « vivrensemble », du « padamalgam », de la discrimination « positive » et du politiquement « correct » abouti à un déni des réalités et une situation conflictuelle quasi généralisée.
BRUSSELABAD, CAPITALE DE L’EURABIA
Dans une étude du sociologue Jan VERTONGEN, de l’université de Gand, on relève que 66% de la population de Bruxelles est d’origine étrangère et que 33% est de confession musulmane. Ce n’est pas une surprise…il suffit de se promener dans la rue !
Différentes communes de Bruxelles (Anderlecht, Forest, Molenbeek Saint-Jean, Saint-Gilles ou Schaerbeek) ont servi de bases-arrière au terrorisme international depuis fort longtemps. Que ce soit l’ETA, Action Directe, le GIA, les CCC, la cellule qui assassinat le commandant Massoud en septembre 2001 ou Sharia4Belgium et DAESH aujourd’hui, Molenbeek se profile alors comme le FOYER du terrorisme international, avec la complaisance des autorités. En effet, et d’après les déclarations ce 18 mars du député Alain Marsaud, ancien magistrat, chef du service central de la lutte anti-terroriste au parquet de Paris,« on peut se poser des questions quant aux capacités des services de sécurité belges » et il rejoint en cela l’opinion du juge Bruguière, qui eu à traiter du dossier Daoui avec la Justice belge, et doute lui aussi de l’efficacité des responsables de la sécurité. Ce qui est certain, c’est que pour des raisons bassement électoralistes, les partis traditionnels (PRL/MR, PSC/CdH ; ECOLO, PS) ont tous sollicité les musulmans et octroyé des avantages aux maghrébins afin de pouvoir engranger leur voix lors des élections successives, et cela depuis plus de 40 ans ! L’exemple le plus instructif est celui de Philippe Moureaux, sénateur-bourgmestre de Molenbeek de 1992 à 2012 et qui a déclaré récemment : « On encourageait les gens à aller se battre en Syrie (contre Bachar al-Assad –ndlr) comme des héros. ». En 1980, ce fils de l’ex-ministre Charles Moureaux et de Mme Blaton, entre comme ministre dans les gouvernements Martens 3 et 4. Le 30 juillet 1981, il fait voter la loi contre le racisme et la xénophobie qui porte son nom. Il fut ensuite encore trois fois ministre sous Martens 8 et 9 et puis Dehaene. C’est lui qui ouvre les listes du PS aux candidats non européens à partir de 2000. Le sénateur Alain Destexhe lui a reproché d’avoir complètement négligé la question de la radicalisation islamiste de sa commune pour des raisons électoralistes. Ce bourgmestre, cacique du PS, s’était marié en 2010 avec Latifa Benaïcha, marocaine musulmane, de 35 ans sa cadette, collaboratrice du Ministre Président de Bruxelles, Charles Picqué. Franc-maçon déclaré, Moureaux s’est converti à l’Islam, tel que cela a été confirmé par le consulat du Maroc à Bruxelles, parce que l’article 39 du code marocain de la famille n’autorise pas le mariage d’une musulmane avec un non-musulman. Philippe Moureaux a donc été officiellement le 1er Bourgmestre musulman de Belgique, malgré ses pitoyables dénégations de l’époque ! Ceci explique-t-il cela ?
Depuis des années les ministres et politicards belges rivalisent de déclarations hypocrites et mensongères. De Martens à Charles Michel, de Jean Gol à Jan Jambon, de Laurette Onkelinx à Joëlle Milquet, TOUS savaient que des commandos ou cellules terroristes de toutes obédiences résidaient dans la capitale de l’Europe. Par complaisance idéologique et tolérance coupable, ils n’ont pas pu, pas su ou pas voulu combattre et mettre hors d’état de nuire ces assassins barbares. Et que l’on ne me rétorque pas que ce sont des affirmations gratuites. En 2005, la journaliste Hind FRAIHI mène l’enquête sur l’implantation des islamistes à Molenbeek, objet de son livre « Immersion à Molenbeek ». Elle y décrit que les recruteurs des filières djihadistes agissaient ouvertement sur la voie publique et que dans les mosquées les imams prêchaient la guerre sainte. Personne ne l’a soutenu, aucun politicien ne voulait reconnaître les faits. Pire : elle a été critiquée et accusée de mensonges. Seul le Vlaams Blok (V.B), qui comptait des élus communaux à l’Hôtel de Ville, confirmait l’exactitude de son enquête et son constat de la réalité.
Comme on le voit dans les multiples reportages visuels sur l’arrestation de Salah Abdeslam, dans le quartier de Molenbeek, commune qui possède 22 mosquées et 8 centres culturels arabes, on n’aperçoit aucun blanc, hormis dans les forces de l’ordre et parmi les journalistes qui sont persona non grataquand ils enquêtent sans protection policière… Et si la crapule Abdeslam a pu se permettre une cavale de 4 mois, c’est bien parce qu’il avait des complicités dans les milieux bruxellois et pouvait compter sur la protection et l’aide de ses « frères ». Selon l’aveu du Premier mnistre belge, il a fallu plus de 100 perquisitions pour finir par l’arrestation de l’ennemi public n°1 en Europe !
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JT du Lundi 21 Mars 2016 : Terrorisme / S. Abdeslam : une arrestation et des questions
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Invasion : Un congrès islamiste au cœur de l'Auvergne ! (9 mai 2015)
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Les Frères Musulmans dans le texte : ce que veulent les islamistes
“Le but des Frères Musulmans est de créer un état islamique mondial. Nous, les musulmans, nous immigrons partout et il y aura encore un long chemin avant de prendre le contrôle de l’Europe” (Muhammed Mahdi Akef, Guide suprême des Frères Musulmans de 2004 à 2010.)
Le nouveau livre de Joachim Véliocas, auteur du best seller Ces maires qui courtisent l'islamisme, sort aujourd'hui, sous le titre Les Frères musulmans dans le texte : ce que veulent les islamistes, aux éditions Tatamis. L'auteur nous en fait la présentation :
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Franchir le Rubicon
Après quatre mois de cavale c’est à quelques encablures de l’appartement de ses parents, dans « son quartier » (très pluriel) de Molenbeek que la présumée cheville ouvrière des attentats du 13 novembre, Salah Abdeslam, a finalement été interpellé vendredi. Une arrestation tardive qui alimente les critiques sur l’efficacité des services de renseignements et de sécurité intérieure belges. Beaucoup s’interrogent aussi sur les complicités, les solidarités communautaires qui ont permis au terroriste le plus recherché d’Europe d’échapper longtemps à la police. Le gouvernement turc a également mis en cause l’Etat Islamique dans le nouvel attentat suicide qui a tué samedi à Istanbul deux Israélo-Américains, un Israélien, un Iranien et blessé 39 personnes, dont 24 touristes étrangers. La multiplication des attentats attribuées à l’EI en Turquie, alors même qu’Ankara, qui a rejoint officiellement la coalition anti Daech cet été, a longtemps soutenu les islamistes pour abattre le régime laïque syrien, a d’ores et déjà de lourdes répercussions économiques. La saison touristique s’annonce déjà catastrophique.
Autre sujet d’inquiétude, la réactivation du sanglant conflit kurde, du cycle des attentats du PKK (extrême gauche kurde) auxquels répond une féroce répression militaire, menace grandement la stabilité de la Turquie. Les coups portés par les djihadistes sur le sol turc prouve une nouvelle fois qu’on ne joue pas impunément avec le golem islamiste que certains pensaient pouvoir manipuler et contrôler aisément. Les Européens constatent eux que malgré l’accord scellé entre Ankara et l’UE sur les « migrants », l’invasion continue.
Ledit accord, qui entrait en application hier dimanche, octroie à la Turquie une aide financière cumulée de six milliards d’euros, la libéralisation des visas pour les citoyens turcs et une ouverture accélérée de nouveaux chapitres d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. En contrepartie il doit permettre le renvoi en Turquie des immigrés débarquant en Grèce depuis les côtes turques. Mais aussi l’engagement du gouvernement de Recep Tayip Erdogan, de tout faire pour empêcher le débarquement sur le rivage européen des « réfugiés », Maghrébins, Syriens, Erythréens, Somaliens, Soudanais, Afghans, Pakistanais, Irakiens et autres Sri Lankais, sachant que plusieurs dizaines de milliers d’entre eux, désireux de gagner le nord de l’Europe, sont déjà hébergés sur le sol grec. Or une douzaine de bateaux surchargés d’immigrés ont débarqué ce dimanche dans l’île grecque de Lesbos.
Les doutes sur la capacité, voire la volonté de Bruxelles et d’Ankara de stopper ce tsunami migratoire sont partagés par de très nombreux Européens et Français, à commencer par les électeurs du Front National. L’Express expliquait pour sa part hier sur son site, à la lumière de la percée électorale aux élections régionales la semaine dernière d’Alternative pour l’Allemagne (Alternativ für Deutschland, AFD) en quoi « l’AfD est bien un FN allemand. »
Une assimilation rejetée par la co-présidente de l’AfD Frauke Petry, utilisant peu ou prou les mêmes arguments que les dirigeants de UKIP pour se démarquer du FN : »Nous n’avons aucun contact avec le Front national. C’est un parti socialiste ancré à gauche et proche de l’extrême-droite. Alors que nous sommes un parti libéral-conservateur … Le fait que dans la période actuelle, des partis apparaissent en Europe avec des positions euro-critiques communes pour lutter contre les politiques catastrophiques de nos gouvernements, ce n’est pas étonnant. »,
Pourtant affirme ce même article, « les deux partis présentent l’euro et l’Europe comme des carcans économiques et politiques, symboles de la collusion des élites politiques et financières. L’AfD et le FN veulent donc abandonner la monnaie unique et renégocier les traités européens. » « L’analyse rapide des programmes, des stratégies et du profil des adhérents révèlent peu de différences, hormis sur le chapitre économique », l’AfD campant sur une ligne plus libérale.
Tous les analystes soulignent que c’est bien le rejet de l’immigration massive qui explique principalement la montée en puissance des mouvements nationaux, patriotiques, l’Europe de Bruxelles étant aussi perçue comme une entité défendant bien mal l’identité européenne.
C’est pourquoi, la ligne de partage politique reste plus que jamais entre d’un côté les défenseurs des identités et des souverainetés nationales, de l’Europe des patries et de l’autre les dirigeants des partis qui, vaille que vaille, défendent le projet euromondialiste.
C’est-à-dire note Bruno Gollnisch, ceux qui tentent de faire croire aux Français victimes du l‘idéologie sans-frontiériste dans tous les domaines, à nos six millions de chômeurs et huit millions de pauvres, que leur politique inféodée à Bruxelles fera demain ce qu’elle n’a pas su, pas pu, ou pas voulu faire hier.
Nos compatriotes doivent impérativement en avoir conscience. Nous pensons notamment à ceux qui renoncent (pour l’instant?) à utiliser l’arme du vote pour reprendre la maîtrise de leur destin. Hier, les deux candidats LR en lice au second tour dans la 10e circonscription du Nord et dans l’Aisne ont été réélus respectivement face aux frontistes Virgninie Rosez et Sylvie Saillard-Meunier avec 67,92% et 61,14% des suffrages. le PS avait appelé à voter pour le parti de Nicolas Sarkozy. Pour autant, seulement un électeur sur cinq dans le Nord et un sur trois dans l’Aisne se sont déplacés pour voter.
Sans sursaut dans les urnes rien ne sera possible, et il faudra aussi que les patriotes sincères, les personnalités, les élus présents dans des partis dont ils réprouvent les évolutions, aient le courage de rompre avec le petit jeu politicien, de franchir le Rubicon, de rejoindre l’opposition nationale. La campagne présidentielle qui s’annonce doit permettre cette clarification, il en va du salut de la France.
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Djihadistes à Molenbeek : Les musulmans s'en prennent à la police