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islamisme - Page 367

  • Démence, niaiserie ou machiavélisme monnayé ?

    Dr Bernard Plouvier

    Un certain nombre de dirigeants politiques et religieux font douter le public éclairé ou de leur bon sens ou de leur sincérité. Il en va ainsi de la Chancellière germanique, du locataire actuel du Vatican ou d’une quantité ahurissante de seconds couteaux, comme nos Hollande, Valls et autres Juppé.

    Ne pas apercevoir le danger évident que l’islam conquérant fait courir aux Occidentaux, réfuter la réalité de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale et scandinave, nier la délinquance quotidienne et la criminalité des migrants africains, proche- et moyen-orientaux, en très grande majorité musulmans, peut résulter de diverses raisons.

    En médecine, nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire. Le délire aigu relève dans la quasi-totalité des cas de l’usage des stupéfiants ou d’une encéphalite, souvent virale. Mais nos dirigeants, effectifs ou supposés, délirent de façon chronique, ce qui évoque une démence, une tumeur cérébrale ou les complications cognitives d’une maladie métabolique ou d’une dégénérescence cérébrale, comme la maladie de Parkinson. Bref, il est urgent de faire passer une IRM cérébrale et un entretien psychiatrique aux délirants authentiques. Toutefois, s’agit-il pour tous d’un délire vrai ? On peut en douter.

    Comparer la niaiserie chrétienne de l’agapè à l’islam djihadiste, comme il semble que le pape actuel l’ait fait, relève non pas d’un défaut de connaissances (ce serait une absurdité, s’agissant d’un jésuite), mais soit d’un dérèglement cognitif (la « folie » en terme vulgaire, trop général pour être médicalement satisfaisant) soit d’une subtilité politique, dont le machiavélisme laisse pantois… et pas d’admiration.

    Que la Chancellière teutonne, qu’un scribouillard ou un vulgaire politicien français courent après un Prix Nobel de la paix, cela peut se comprendre. C’est d’un excellent rapport, en publicité et en royalties sonnantes et trébuchantes. Un souverain pontife peut, vanité aidant, ne pas dédaigner non plus ce genre de gloriole… il a bien accepté un Prix Charlemagne.

    Toutefois, les prestations des uns et des autres, si elles ne relèvent pas de la pure psychopathologie – même si les coïncidences existent, l’on a du mal à envisager que plusieurs dirigeants politiques soient atteints simultanément de délire -, font penser à une planification, à une orchestration.

    Certes, aucun complot à l’échelle planétaire n’a jamais existé, n’est même envisageable étant donnée la haine que se vouent mutuellement les Divas de la finance, du négoce, de la production et du maniement des opinions publiques. Tout Pouvoir divisé, réparti sur plusieurs titulaires, est forcément multidirectionnel.

    Toutefois, après l’expérience néoconservatrice et pro-sioniste des USA (soit les règnes des deux Bush encadrant la double prestation de Clinton), il semble qu’une majorité de dirigeants économiques aient concerté la destruction de l’Europe par l’islam, excellent agent de pourrissement des sociétés par sa barbarie et fabuleux outil de déclin scientifique et technique par son obscurantisme médiéval. Il faut croire que l’Europe, dont le déclin paraît monstrueux aux Européens teintés de culture historique, a encore un potentiel qui terrifie les maîtres de la globalo-mondialisation.

    À l’évidence, ce potentiel, c’est la race européenne, qui est à la source de la plus fabuleuse civilisation intellectuelle et technique de l’humanité. Si d’autres ont perçu cette évidence, il serait bon que les autochtones d’Europe se pénètrent de cette réalité, qu’ils reprennent confiance en eux et rien qu’en eux, refusant l’occupation étrangère autant que les charmes pervers du métissage.  

    L’on comprend ainsi qu’un pape latino-américain joue sa partition démagogique, tiers-mondiste, non pas « au service de l’islam » (ce qui est une formulation absurde), mais au service de la globalo-mondialisation, dont l’islam n’est qu’un pion parmi d’autres, mais probablement le plus intéressant pour le moment. Après tout, la pure doctrine chrétienne a toujours été universaliste, antinationale et métisseuse.

    Pour d’autres pitres politiques, l’argent doit jouer un rôle, ou la psychopathologie, ou encore une repentance elle-même pathologique par son intensité et sa durée.

    Plutôt que de surenchérir en qualificatifs injurieux et en habiles paradoxes, il est urgent de réfléchir à ce qu’est notre monde : un peu plus de 7 milliards d’individus, dirigés par quelques milliers de super-hyper-riches et puissants (dont le pape), qui manipulent des dizaines de milliers de collaborateurs du milieu du spectacle : politique, media, et le show-business où le sport de compétition et les religions se disputent la première place. Manifestement, les maîtres n’ont pas encore décidé qui des clergés ou des gladiateurs seront leurs meilleurs agents de propagande.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le djihadisme n’empêche pas les allocations familiales !

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Combien de voyages de djihadistes entre la France et la Syrie les allocations familiales ont-elles permis de financer ? La question peut paraître provocatrice mais on ne peut que se la poser en apprenant que de nombreux djihadistes touchaient ou touchent encore des allocations de la Caisse d’allocations familiales (CAF) !

    La Direction générale de sécurité intérieure (DGSI) a transmis à la CAF les noms de 674 personnes parties en Syrie pour y combattre au nom du djihad. Or, sur les noms transmis, 80 % étaient bénéficiaires d’allocations ! Si le but était de radier ces noms de la liste des bénéficiaires, dans certains cas, les droits ont été maintenus, car « si un parent de trois enfants part en Syrie avec seulement l’un d’entre eux, les prestations continuent d’être versées » aux ayants droit restés en France, « pour ne pas les pénaliser »…

    http://fr.novopress.info/201968/djihadisme-nempeche-allocations-familiales/

  • Poutine à la Nuit aux Invalides pour les chrétiens d'Orient, ce jeudi 23 juin

    Enfin presque... Frédéric Pons a en effet été invité à rejoindre la belle cohorte d'auteurs amis la belle cohorte d'auteurs amis qui viendront signer leur ouvrage. Il signera son "Poutine" paru chez Calmann-Lévy. Cette biographie politique, vous le devinez, n'est pas précisément dans le courant dominant. Mais le livre rencontre un beau succès.

    Frédéric Pons y explique notamment la relation compliquée (mais désormais de plus en plus claire) de Poutine avec la religion, de la petite croix d'argent de son baptême secret à ses retraites spirituelles discrètes dans les monastères de Carélie du nord...

    Programme de la soirée de jeudi :

    • De 20h30 à 22h : dédicaces, expositions
    • 22h15 : intervention de Marc Fromager et Charles de Meyer
    • 22h30 : Show monumental La Nuit aux Invalides

    Pour s'inscrire.

    Michel Janva

  • L’enfer sexuel des enfants dans les camps de migrants en France

    18/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) :Le sujet fait la une de l’hebdomadaireMinute qui s’appuie sur un rapport de l’Unicef, l’agence des Nations Unies qui défend les droits des enfants, intitulé :« Ni sains ni saufs, enquête sur les mineurs non accompagnés dans le nord de la France ». Les enfants migrants, garçons ou filles, vivent un véritable enfer sexuel dans les camps de la Manche, du Nord ou du Pas-de-Calais, où ils devraient être protégés : « Violés, contraints de se prostituer et de voler, ils sont les innocentes victimes d’un monstrueux trafic, ignoré par les pouvoirs publics », écrit Minute, qui a tenu à s’associer à l’Unicef pour dénoncer ce scandale. Extraits.

    Minute-Enfer-sexuel-enfants-migrants-1-251x350.jpgLes chercheurs de l’Unicef se sont particulièrement intéressés au sort qui attend les jeunes garçons venus d’Afghanistan : « Parmi les mineurs afghans rencontrés en entretien, la peur du viol est ressortie comme l’une des craintes majeures. Les témoignages collectés parlent de la nécessité de se laisser abuser sexuellement, notamment quand le passeur et ses amis se sont alcoolisés. »Ali, 15 ans, rappelle qu’il faut serrer les fesses. Il dit que régulièrement, le soir, il y a des viols par des adultes ou d’autres jeunes violents et alcoolisés.

    Le rapport révèle ainsi qu’en février dernier, une sale affaire a été étouffée. Près d’un bar aménagé dans la jungle de Calais, vingt gamins ont été violés !Officiellement, cette histoire n’existe pas. Pourtant les témoignages recueillis attestent qu’elle est bien réelle : « En février 2016, bien que cette information n’ait pu nous être confirmée officiellement, plusieurs sources (policière et associative) ont indiqué que des adultes ont été arrêtés derrière le Kaboul Café suite à un viol collectif d’une vingtaine de mineurs afghans. » Le scandale n’a pourtant pas été révélé et aucune mesure n’a été prise par les pouvoirs publics pour protéger les gamins. […]

    Toutefois, dans la jungle, tous les migrants ne courent pas après les petits Afghans. Une large majorité préfère les filles, jeunes de préférence. Ces dernières en voient de toutes les couleurs. Avant d’arriver à Calais, certaines ont déjà beaucoup payé de leur personne. Exemple avec Winta, qui a quitté l’Éthiopie à 13 ans sans prévenir ses parents pour fuir un mariage forcé avec un homme beaucoup plus âgé qu’elle. Aux enquêteurs de l’Unicef, elle a raconté « avec douleur son parcours, au cours duquel elle a été régulièrement violée et s’est prostituée quelques fois pour gagner plus vite de l’argent ». Une fois dans la jungle, cela a été encore pire : caïds, passeurs et migrants ont abusé d’elle…

    Autre exemple avec Yohanna, 16 ans.Née de père inconnu, elle a quitté l’Érythrée à la mort de sa mère pour rejoindre sa sœur qui vit en Angleterre.Arrivée dans la jungle, elle a trouvé « refuge » sous la tente des hommes. Qui l’ont à ce point « soignée » qu’elle ne veut plus se souvenir : « C’est dur et je ne veux pas raconter. » Alors on imagine… C’est bien simple, toutes les jeunes mineures interviewées par l’Unicef disent craindre de sortir le soir, lorsqu’il fait nuit, de peur de se faire violer. »

    Un article à lire en intégralité dans l’hebdomadaire Minute paru ce matin

    http://fr.novopress.info/201976/lenfer-sexuel-enfants-camps-de-migrants-france/

  • Slogan « fermeture des mosquées » à la manifestation en hommage aux policiers tués à Magnanville

  • La Fin des chrétiens d’Orient ?

    Arte a consacré un documentaire de grande qualité sur les chrétiens d'Orient, rappelant qu'ils étaient là avant les musulmans :

    "Minée par les persécutions, l’exil et le recul de ses droits, la communauté chrétienne va-t-elle disparaître du Moyen-Orient ? Un saisissant panorama de sa fragile condition dans cinq pays : l’Irak, la Syrie, la Turquie, l’Égypte et le Liban.

    Au début du XXe siècle, un habitant du Moyen-Orient sur quatre était chrétien. Aujourd’hui, ils sont largement minoritaires (11 millions parmi 320 millions de musulmans). Chaque année, des milliers d’entre eux sont massacrés, souvent  parce qu’on les assimile à un Occident qui, pourtant, ne les soutient guère. Peu à peu, ils disparaissent de la région qui a vu naître leur religion. Ils descendent en effet des premiers chrétiens qui fondèrent des communautés religieuses au cours du Ier siècle, quand l’Europe était païenne. Au VIIe siècle, ils ont accompagné l’avènement de l’islam. Cet ample et passionnant documentaire explore leur fragile condition dans cinq pays : l’Irak, la Syrie, le Liban, la Turquie et l’Égypte. D’une région à l’autre, leur position minoritaire les conduit souvent à s’allier au pouvoir en place en échange d’une protection incertaine."

    Ce documentaire de 87mn peut être vu jusqu'au 16 juillet.

    Pour soutenir les chrétiens d'Orient, vous pouvez assister à la Nuit aux Invalides jeudi 23 juin.

    Michel Janva

  • Forteresse Europe ! Et après ?

    Confrontée à des vagues migratoires exogènes sans équivalent dans son histoire, l’Europe voit se développer un nouveau courant politique: les Identitaires.

    L’idée est simple : l’Europe est le continent des peuples de race blanche… et doit rester ainsi. Qu’importe le modèle politique adopté. En face d’eux, des Mondialistes changent la population d’origine de l’Europe en en détruisant les fondements historiques, en imposant le métissage et en organisant d’incessantes installations d’allogènes. Le constat est indiscutable et compris par de plus en plus d’aborigènes.

    Aussi, désormais le clivage fondamental en politique oppose des Identitaires en devenir à des Mondialistes en position de force. La montée aux extrêmes ne fait que commencer. Un groupe éliminera l’autre. C’est évident. Le consensus est impossible. Mais qui l’emportera ?

    Pour les Identitaires, la création d’une Forteresse Europe est le préalable incontournable à toute autre démarche. Effectivement, en situation d’urgence, se replier sur des bases consolidées permet de prendre un peu de recul. Mais pas de gagner une guerre. Les exemples abondent où le repli dans une barricade marque le début de la fin.

    Comme Français, nous savons que d’Alésia à la Ligne Maginot, on ne gagne pas une guerre en s’enfermant dans le béton. On pourrait évoquer aussi Constantinople tombée en 1453 sous les assauts turcs ; la Muraille de Chine finalement submergée par les Mongols, etc. Le repli sur soi marque le début de la fin. C’est historiquement indiscutable. En tant que fin en soi, la forteresse préfigure la défaite finale.

    En revanche, quand elle est intégrée à un schéma tactique, opératif ou stratégique, elle a son utilité. On citera comme illustration à ce propos la ville de Stalingrad en 1942 permettant aux Russes d’inverser le cours de la guerre contre l’Axe. Dans des dimensions plus modestes, le réduit de Bir-Hakeim permit aux Britanniques de remporter la bataille d’El Alamein en 1942. Ou encore Fort Alamo (1836) bloquant Santa Anna et ses troupes innombrables pendant que Sam Houston organisait la conquête du nord du Mexique. Ces points de fixation permirent de vaincre l’ennemi.

    Il s’agit donc désormais d’envisager le moyen de reprendre l’initiative dans la guerre actuelle. Dans cet esprit, la forteresse fixe et épuise l’ennemi tout en permettant d’avoir le temps d’organiser la contre-offensive. La forteresse est donc un outil au service d’une ambition plus large; pas une fin en soi. Or, aujourd’hui, la guerre se mène essentiellement sur le front des idées.

    Nous vivons la réalisation d’un monde imaginé récemmment. Il triomphe au prix de nos identités pluri-millénaires. Un autre monde est à envisager pour garantir la survie des lignées ayant fait l’Histoire, en général, et notre histoire, en particulier. Encore faut-il s’armer de visions nouvelles pour aller au front. L’essentiel de ce travail est encore à accomplir. Nous en sommes tous comptables. Il appartient donc à chacun de nous de forger ces armes pour remporter définitivement la bataille des idées. Mais, de grâce, ne restons pas figés dans des forteresses n’offrant que des protections illusoires.

    Cette bataille des idées ne fait que commencer. Une fois gagnée, la victoire politique coulera de source. Dans une prochaine contribution, nous exposerons dans quel cadre pourrait se développer une vision respectueuse de nos lignées et de notre histoire.

    Frédéric Villaret, 17/06/2016

    http://www.polemia.com/forteresse-europe-et-apres/

  • Le massacre des innocents

    par Louis-Joseph Delanglade

    La liste s’allonge des victimes de l’islamo-terrorisme. La question que tout le monde se pose est de savoir que faire. Or, la seule chose inadmissible, c’est de se refuser les moyens de se battre contre l’ennemi. De rester, comme le fait M. Hollande, dans la consternation, la condamnation, la déploration, l’incantation, etc., inventant « un état d’urgence proclamé […] un état d’urgence en caoutchouc, où tout ce qui devrait être dur est mou », selon M. Zemmour (R.T.L., jeudi 16). 

    Comme d’habitude, il y a ceux pour qui l’honnêteté intellectuelle passe après les convictions idéologiques. Qui n’a pas entendu à la radio ou à la télévision, lors des mille et un débats sur le sujet, la petite musique du négationnisme ? Ainsi, moins de deux jours après l’assassinat des deux policiers, M. Wieviorka, éminent sociologue de réputation internationale (et très proche du P.S. dont il est un des inspirateurs), distille d’un ton paterne (France 5, mercredi 15) qu’on ne peut associer les mots islam et terrorisme, au motif que ce serait « stigmatiser » toute une communauté. Il n’y aurait donc que des victimes (des jeunes, des homosexuels, des policiers, des journalistes, etc.) au sort desquelles on daigne compatir, sans craindre la contradiction car ces victimes ont bien été ciblées, c’est-à-dire stigmatisées par les tueurs de l’islamo-terrorisme. M. Onfray, mieux inspiré, répond indirectement le lendemain (R.M.C., jeudi 16) qu’existe bel et bien un islam islamiste et terroriste, que le nier revient à nier la filiation entre stalinisme et goulag et que l’islam n’a pas à bénéficier d’un régime de faveur qui l’exonérerait de ses turpitudes. 

    Il y a aussi ceux qui prêchent l’acceptation, si ce n’est la soumission. M. Legrand, après avoir expliqué qu’au fond on ne peut pas faire grand chose, enjoint, dans sa prédication matinale (France Inter, mercredi 15) « à tous les citoyens de prendre sur eux, de décider collectivement de traverser cette épreuve qui reste numériquement moins meurtrière (et de très loin) que les guerres et les révolutions que nous avons déjà vécues…ou même les accidents de la route ». Donc, pas la peine de s’inquiéter, ça va passer : c’est la « résilience », nouveau terme à la mode. 

    Le gouvernement va plus loin. Tandis que M. Valls prévient que « d’autres innocents perdront leur vie » pendant encore « dix à vingt ans » (France Inter, mercredi 15), M. Cazeneuve (France 2, mardi 14) rappelle que, si tout doit être fait, il n’est pas question de dépasser la ligne rouge, celle des valeurs de la République. Que chacun sache donc que l’assassin des deux policiers, M. Larossi Abballa, mis sur écoute pendant quatre mois, n’a jamais rien dit qui aurait pu inciter, par principe de précaution, à le mettre hors d’état de nuire. Mais pourquoi donc ces écoutes ? Parce que, déjà connu pour de nombreux faits de droit commun (vol, recel, violences), il avait été condamné à trois ans de prison, dont six mois avec sursis, en 2013 pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes ». Evidemment, maintenant que le RAID l’a liquidé, on ne peut plus l’arrêter. Entretemps, il a tué deux policiers. Mais les valeurs de la République sont sauves : périssent les Français plutôt qu’un principe. 

    Jean-Paul Sartre voyait des coupables partout. En tout cas, la responsabilité et la culpabilité politiques de ceux qui nous gouvernent et de leurs inspirateurs est entière : les autres sont les victimes désignées, et en l’occurrence innocentes, de leurs fautes et de leur idéologie. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Mireille Vallette : « L’islam est une religion de conquête que personne ne semble vouloir arrêter »

    Le Point posait récemment la question : « Mosquée de Genève, nid de djihadistes ? » Y répondriez-vous positivement ?

    Non, mais je peux me tromper. C’est une mosquée construite et financée par l’Arabie saoudite via la Ligue islamique mondiale. Elle propage donc — comme celle des Frères musulmans, d’ailleurs — un islam littéraliste. Et c’est cet islam qui peut être le terreau du djihadisme.

    Pourquoi en parle-t-on ?

    Après des révélations fracassantes, il y a neuf mois, sur le radicalisme de cette mosquée et le départ en Syrie de deux fidèles, une délégation de la Ligue islamique mondiale conduite par son secrétaire général Al-Turki vient de passer quelques jours au bord du Léman. Le but, suggèrent les médias, était de « faire de l’ordre ». Ce qui est cocasse, c’est que Al-Turki est lui-même le président du conseil de fondation de cette mosquée dans laquelle il vient « mettre de l’ordre » ! Et c’est un adorateur du régime saoudien qu’il cite en modèle.

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