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islamisme - Page 428

  • L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 
    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée Eunavfor Med, lancée en mai dernier.
    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (Source)
    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…
    le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)
    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 
    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.
    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?
    Cette invasion est voulue.

  • Invasion choisie, désinformation et guerre psychologique

    Analyse de Carl Lang, trouvée ici. A ceci près qu'elle se termine par un appel à rejoindre un nième parti, le sien. Or la France meurt du régime des partis...

    "La politique de colonisation de la France et de l’Europe occidentale engagée depuis les années 1970 avec la complicité active des dirigeants politiques et économiques européens s’accélère ces dernières semaines avec la ruée vers l’Europe de populations du proche et Moyen Orient.

    Il est utile de rappeler que le chaos en Syrie est largement le fruit des politiques occidentales de soutien aux milices armées qui ont engagé une guerre civile et religieuse contre le régime de Bachar el Hassad.

    Il y a peu, le président de la République dite française souhaitait un engagement armé de la France et de l’OTAN contre les armées du gouvernement légal syrien, alors que l’unique obstacle sur le terrain à une victoire totale de l’Etat islamique en Syrie est justement l’armée de Bachar el Hassad. François Hollande n’est donc pas simplement un incapable reconnu en politique intérieure mais il est de surcroît un irresponsable potentiellement dangereux en politique étrangère.

    Face au présent chaos créé par le flux ininterrompu de centaines de milliers de migrants sur les frontières grecques et européennes, la France, l’Allemagne et le président de la Commission européenne ont fait le choix public et proclamé d’une politique d’ouverture et d’accueil, une politique dite de quotas qui a été entendue en Syrie, en Irak et ailleurs comme un véritable appel à venir en Europe : vous serez chez nous chez vous et vous y trouverez logement, protection sociale, allocations et emploi.Cette politique a un nom : celle de l’invasion choisie.

    Cette capitulation politique s’accompagne du vacarme habituel des grosses caisses médiatiques de la désinformation : on explique ainsi aux téléspectateurs hébétés qu’il ne s’agirait que de 160 000 réfugiés à se répartir dans toute l’Europe et que 24 000  réfugiés pour la France, ce n’est pas grand-chose. Les faits sont pourtant impitoyables et démonstratifs : en une seule semaine 22500 clandestins sont arrivés sur la seule île grecque de Lesbos. L’appel public à l’accueil de certains Etats européens a d’ores et déjà enclenché un processus migratoire massif et supplémentaire de plusieurs centaines de milliers de personnes qui se précipitent vers les frontières européennes. Le nombre des populations candidates potentielles au déplacement est probablement aujourd’hui de 4 à 5 millions de personnes. [...]"

    Paula CorbulonAnalyse de Carl Lang, trouvée ici. A ceci près qu'elle se termine par un appel à rejoindre un nième parti, le sien. Or la France meurt du régime des partis...

    "La politique de colonisation de la France et de l’Europe occidentale engagée depuis les années 1970 avec la complicité active des dirigeants politiques et économiques européens s’accélère ces dernières semaines avec la ruée vers l’Europe de populations du proche et Moyen Orient.

    Il est utile de rappeler que le chaos en Syrie est largement le fruit des politiques occidentales de soutien aux milices armées qui ont engagé une guerre civile et religieuse contre le régime de Bachar el Hassad.

    Il y a peu, le président de la République dite française souhaitait un engagement armé de la France et de l’OTAN contre les armées du gouvernement légal syrien, alors que l’unique obstacle sur le terrain à une victoire totale de l’Etat islamique en Syrie est justement l’armée de Bachar el Hassad. François Hollande n’est donc pas simplement un incapable reconnu en politique intérieure mais il est de surcroît un irresponsable potentiellement dangereux en politique étrangère.

    Face au présent chaos créé par le flux ininterrompu de centaines de milliers de migrants sur les frontières grecques et européennes, la France, l’Allemagne et le président de la Commission européenne ont fait le choix public et proclamé d’une politique d’ouverture et d’accueil, une politique dite de quotas qui a été entendue en Syrie, en Irak et ailleurs comme un véritable appel à venir en Europe : vous serez chez nous chez vous et vous y trouverez logement, protection sociale, allocations et emploi.Cette politique a un nom : celle de l’invasion choisie.

    Cette capitulation politique s’accompagne du vacarme habituel des grosses caisses médiatiques de la désinformation : on explique ainsi aux téléspectateurs hébétés qu’il ne s’agirait que de 160 000 réfugiés à se répartir dans toute l’Europe et que 24 000  réfugiés pour la France, ce n’est pas grand-chose. Les faits sont pourtant impitoyables et démonstratifs : en une seule semaine 22500 clandestins sont arrivés sur la seule île grecque de Lesbos. L’appel public à l’accueil de certains Etats européens a d’ores et déjà enclenché un processus migratoire massif et supplémentaire de plusieurs centaines de milliers de personnes qui se précipitent vers les frontières européennes. Le nombre des populations candidates potentielles au déplacement est probablement aujourd’hui de 4 à 5 millions de personnes. [...]"

    Paula Corbulon

  • Un imam appelle les « migrants » musulmans à la conquête de l’Europe par le ventre de ses femmes

    Dans un discours prononcé à la mosquée Al-Aqsa de Jérusalem, un imam a conseillé aux “migrants” musulmans – qui débarquent en Europe – de faire des enfants avec les autochtones pour “conquérir leur pays”.

    Dans toute l’Europe, tous les cœurs sont imprégnés de haine envers les musulmans. Ils souhaitent que nous soyons morts, mais ils ont perdu leur fertilité, donc ils cherche la fertilité dans notre milieu.
    Nous allons leur donner la fertilité. Nous allons faire des enfants avec eux, parce que nous allons conquérir leur pays.
    Que cela vous plaise ou non, vous, Allemands vous Américains, vous Français, vous italiens et tous ceux de votre espèce, prenez les réfugiés, nous les revendiquerons bientôt au nom du Califat à venir. Nous vous dirons, ce sont nos enfants, donnez-lezs nous ou nous vous enverrons nos armées !

    Cette déclaration n’est pas sans rappeler celle attribuée au dictateur algérien Boumedienne : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

    http://fr.novopress.info/

  • France : un jihadiste de retour de Syrie projetait un attentat dans une salle de concert

    L’homme se prénomme Reda, selon BFMTV qui révèle, vendredi 18 septembre, son arrestation. Agé de bientôt 30 ans, il est soupçonné d’avoir voulu perpétrer un attentat contre au moins une salle de concert en France. Il a été arrêté le 11 août et mis en examen, quatre jours plus tard, pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle », selon une source judiciaire. Voici ce que l’on sait de l’affaire.

    Un bref séjour à Raqqa dans les rangs jihadistes

    Placé en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), l’homme a d’abord refusé de parler. Mais, au troisième jour de sa détention, rapporte BFMTV, il a fini par avouer.

    Le terroriste présumé a séjourné brièvement en Syrie, raconte une source policière. Il n’est toutefois resté qu’une semaine à Raqqa, le fief du groupe jihadiste Etat islamique dans le nord de ce pays en guerre. Son séjour a pris fin lorsqu’il a été blessé à la jambe par une grenade au cours d’un entraînement. 

    Un projet d’attentat commandité depuis la Syrie

    Son engagement dans les rangs jihadistes compromis par sa blessure, un commanditaire l’incite à rentrer en France et à y commettre un attentat. Il lui suggère de viser un concert. Outre la France, d’autres pays européens ont été évoqués comme cibles d’un attentat, indique une source judiciaire.

    Le suspect reconnaît avoir reçu des consignes précises. On lui détaille même l’itinéraire à emprunter pour son retour à Paris : par la Turquie, via Gaziantep et Istanbul, puis par la capitale de la République tchèque, Prague, et enfin par Amsterdam, aux Pays-Bas.

    L’homme conteste toutefois avoir voulu passer à l’action, ajoute cette source. Lors de son arrestation, seule une arme de poing a été retrouvée à son domicile. Et, à ce stade, on ne lui connaît pas de préparation logistique plus avancée, assure une source policière.

    Un ex-jihadiste découvert presque par hasard

    Tout est parti d’une autre arrestation, relate une source judiciaire : celle d’un homme né au Maroc et soupçonné par les Espagnols d’avoir séjourné dans les rangs de l’Etat islamique. Ce suspect est interpellé en Pologne le 15 juin sur mandat d’arrêt espagnol. Après des échanges d’informations entre services, la DGSI apprend qu’il est rentré en Europe en compagnie d’un autre individu, le dénommé Reda décrit par BFMTV.

    Ce dernier n’est pas connu des services de police et n’a pas de casier judiciaire. Les services français découvrent son existence après son retour en France. La DGSI le met alors sous surveillance et l’arrête au bout d’un mois et demi. Selon la police, une nouvelle « action violente » a ainsi été évitée en France, sept mois après les attentats de janvier.

    Source

    http://www.contre-info.com/france-un-jihadiste-de-retour-de-syrie-projetait-un-attentat-dans-une-salle-de-concert#more-39288

  • Bachar el-Assad : «Si vous vous inquiétez des réfugiés, arrêtez le soutien aux terroristes»

    Dans un long entretien accordé aux médias russes, le président syrien Bachar el-Assad donne une leçon de realpolitik à l’occident. L’occasion de revenir sur la situation dans la région et les prises de position de nos hommes politiques sur le sujet.

    Certes, le régime de Bachar el Assad n’a rien de sympathique : c’est une dictature d’un modèle assez « traditionnel », qui a conduit son lot de guerres d’agression, de répression brutale et, à une époque, a soutenu des mouvements terroristes au Moyen-Orient.
    C’est aussi un régime qui permet à ses ressortissants une certaine liberté, notamment religieuse, et qui assurait à son peuple un certain bien-être matériel avant le déclenchement de la guerre.
    C’est surtout actuellement le seul rempart à l’État Islamique sur le terrain et à, ce titre, un acteur incontournable de la région.

    Un point que ne manque pas de souligner Bachar el Assad dans son interview :

    Il n’y a pas le moindre contact ou la moindre coordination entre le gouvernement syrien et son homologue américain ni entre nos deux armées. Et tout cela parce qu’ils ne peuvent avouer, ne peuvent accepter que nous soyons la seule force capable de se battre contre l’État islamique sur le terrain.

    Le bon sens même, une notion qui ne semble pas effleurer Manuel Valls, qui s’enferre dans un discours dicté par les États-Unis

    Bachar al Assad est une grande part du problème, il ne peut en aucun cas être la solution. Transiger, pactiser serait d’abord une faute morale. Et peut-être d’abord une faute stratégique.

    déclarait-il le 15 septembre devant l’Assemblée nationale.
    À rapprocher de la prise de position du département d’État américain, exprimée par son porte-parole John Kirby :

    Il [Assad] est la raison pour laquelle les groupes terroristes comme Daesh sont apparus […] Le régime d’el-Assad a permis aux groupes comme Daesh de se développer et se renforcer en Syrie

    À l’inverse, le Front National, par la voix de Marion Maréchal Le Pen, soutient l’idée d’une coalition contre Daesh qui inclurait Assad. François Fillon est aussi sur cette même ligne, estimant que le régime d’Assad est sur le point de tomber alors qu’il constitue le dernier rempart contre l’État islamique. Une position à laquelle Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense, semble se rallier du bout des lèvres
    Les mêmes regardent aussi la Russie avec sympathie, y compris dans son soutien au pouvoir légal syrien. Il faut souligner que ce soutien n’a rien d’étonnant au vu des traités signés de longue date entre ces pays et qu’il faut la mauvaise foi américaine et la docilité des médias officiels pour s’en offusquer.

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  • IL A VU DES HORDES DE SAUVAGES EN ACTION! UN TÉMOIGNAGE HALLUCINANT!

    Le témoignage brutal sur Facebook d’un voyageur qui accompagnait comme guide un groupe de pèlerins polonais revenant d’Italie est repris par plusieurs médias polonais (comme ici par exemple, où il fait un gros buzz). Auteur du blog « Obywatel Świata » (Citoyen du Monde), Kamil Bulonis se dit lui-même très surpris du retentissement de son histoire. Un retentissement d’autant plus grand qu’il s’agit justement d’un citoyen du monde, grand voyageur et homosexuel revendiqué : « journaliste, globe-trotter, gay », ainsi qu’il se décrit sur Instagram.
    Tandis que sa photo de profil Facebook est bien entendu sur fond arc-en-ciel. Voici donc ce qu’à publié ce parfait gauchiste polonais le 4 septembre dernier au soir :
    « Il y une heure et demie à la frontière entre l’Italie et l’Autriche [sur la route SS621 en direction du Parc national du Hohe Tauern], j’ai vu de mes propres yeux les gigantesques hordes d’immigrants… Malgré toute la solidarité que je peux ressentir à l’égard de gens qui sont dans une situation difficile, je dois dire que ce que j’ai vu inspire la terreur… Cette énorme foule de gens – je suis désolé de l’écrire –, ils sont d’une sauvagerie absolue… Les vulgarités, les jets de bouteilles, les cris « Nous voulons aller en Allemagne » – l’Allemagne est-elle un paradis aujourd’hui ?
    J’ai vu comme ils encerclaient la voiture d’une vieille dame italienne, ils l’ont sortie en la tirant par les cheveux et voulaient partir avec sa voiture. Ils essayaient de faire se balancer l’autocar dans lequel je me trouvais avec mon groupe. Ils nous balançaient de la merde, ils frappaient de toutes leurs forces contre la porte pour que notre chauffeur leur ouvre, ils crachaient sur la vitre…
    Je pose la question : dans quel but ? Comment ces sauvages doivent-ils s’assimiler en Allemagne ? Je me suis senti un moment comme en temps de guerre. Vraiment, je plains ces pauvres gens, mais s’ils venaient en Pologne, je ne crois pas qu’ils trouveraient de la compréhension chez nous.
    Nous sommes restés bloqués trois heures à la frontière que nous n’avons finalement pas franchie. Tout notre groupe a été transporté de retour en Italie sous la protection d’un cordon de police. Notre autocar a été massacré, il est couvert de matières fécales, rayé, avec des vitres brisées.
    Et ce doit être la solution au problème du déficit démographique ? Ces hordes de sauvages ? Il n’y avait pas de femmes ni d’enfants avec eux. La grosse majorité, c’étaient des jeunes hommes agressifs… Hier encore, alors que je lisais les nouvelles sur tous les sites Internet, j’éprouvais inconsciemment de la pitié, je m’inquiétais pour leur destinée.
    Aujourd’hui, après ce que j’ai vu, j’ai peur et en même temps je suis content qu’ils ne choisissent pas notre patrie comme but de leur voyage. Nous, Polonais, nous ne sommes tout simplement pas prêts, culturellement et financièrement, pour accueillir ces gens. Je ne sais pas qui peut être prêt. Ce qui rentre dans l’UE, c’est une pathologie comme nous n’en avons encore jamais vue. Et pardonnez-moi si certaines personnes se sentent insultées par ce que j’écris ici…
    J’ajouterais encore que des véhicules sont arrivés avec de l’aide humanitaire – surtout de la nourriture et de l’eau – et eux, ils renversaient ces voitures… Par mégaphones les Autrichiens leur faisaient savoir que l’autorisation avait été donnée de les laisser passer la frontière. Ils voulaient les enregistrer et les laisser continuer leur voyage.
    Mais eux, ils ne comprenaient rien à ce qu’on leur disait. Et c’était le plus horrible dans tout ça. Sur ces quelques milliers de personnes, aucune ne comprenait, ni en italien, ni en anglais, ni en allemand, ni en russe, ni en espagnol… Il n’y avait que l’usage des poings qui comptait… Ils se battaient pour qu’on les autorise à continuer et ils avaient l’autorisation, mais ils ne comprenaient pas qu’ils l’avaient, leur autorisation ! Dans un autocar avec un groupe français, ils ont ouvert les soutes à bagage. Tout ce qui était à l’intérieur a été volé en un instant, il y avait une partie des affaires par terre… Dans ma courte vie, je n’avais jamais eu l’occasion de voir de telles scènes, et j’ai le sentiment que ce n’est qu’un début. Pour finir, je veux ajouter qu’aider, c’est bien, mais pas à n’importe quel prix. »
    Après les reportages émis par la première chaîne d’information en continue du pays TVN 24 sur le comportement des migrants sur l’île de Lesbos, en Grèce, voilà qui ne va pas inciter les Polonais à accepter les quotas obligatoires de clandestins que l’UE voudrait imposer avec le soutien de Merkel et Hollande. Vendredi, les premiers ministres de Pologne, Tchéquie, Slovaquie et Hongrie ont redit leur opposition à ces quotas et les trois premiers ont exprimé leur solidarité avec Viktor Orbán dans ses efforts pour stopper l’invasion. La Tchéquie et la Slovaquie ont proposé de créer un corridor ferroviaire à travers leur territoire pour emmener en Allemagne les immigrants entrés illégalement en Hongrie, mais ce témoignage montre qu’il faudrait peut-être faire la même chose entre l’Italie et l’Allemagne, puisque celle-ci s’est engagée, sans se soucier de l’invasion et de l’anarchie qui en résulterait sur le territoire d’autres pays européens, à donner l’asile à tous les Syriens et à accueillir dignement tous les immigrants. Ainsi que l’a dit Viktor Orbán à propos de la politique d’accueil et d’incitation à l’immigration de Berlin et de l’UE, ils sont des centaines de milliers cette année, l’année prochaine ils seront des millions.
    source

  • En Syrie, Poutine joue la carte anti-Daech

    En intensifiant son soutien militaire à Bachar el-Assad, la Russie entend signer son grand retour au Moyen-Orient, mais aussi redevenir une puissance globale.

    Les Russes le surnomment le «Syrie express». Dans les grands instituts de la capitale, le corridor aérien qui relie Moscou à Damas est presque aussi connu que la ligne ferroviaire qui rejoint Saint-Pétersbourg. Aujourd'hui les Russes l'utilisent pour envoyer des chars et de l'artillerie, mais aussi des conseillers à leur allié Bachar el-Assad. Une action offensive qui vise à imposer aux puissances régionales et aux Occidentaux une grande coalition anti-Daech. Un coup tactique destiné à pousser même les plus réticents, comme la France, à désigner les djihadistes de l'État islamique comme leur principal ennemi.

    De Catherine la Grande qui voulait étendre son influence au Moyen-Orient à la guerre froide, qui attira dans son orbite plusieurs pays arabes, la Russie a toujours été présente en Syrie. Dans les années 1950, l'URSS a fourni plus de 200 millions de dollars d'aide militaire à Damas. L'arrivée au pouvoir d'Hafez el-Assad, un officier formé à Moscou, a consolidé l'alliance dans les années 1970 et permis à l'Union soviétique de faire de la Syrie baasiste et socialiste l'un de ses principaux clients militaires. Missiles sol-air, roquettes antichar, système de défense antiaérienne: l'armée syrienne a été équipée par le grand frère soviétique, puis russe. Les livraisons d'armes au régime de Damas se poursuivent depuis la chute du mur de Berlin. Environ 25.000 Russes vivent encore dans ce pays.

    Le nouveau renforcement militaire de Moscou en Syrie s'insère donc dans une stratégie de longue date. Il s'appuie sur des réseaux puissants et fidèles en partie installés pour contrer l'influence occidentale. «C'est le retour d'une diplomatie néo-primakovienne consistant à replacer la Russie au cœur du Moyen-Orient avec des cartes limitées mais utilisées sans état d'âme», décrypte Camille Grand, le directeur de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Spécialiste du Moyen-Orient, ministre des Affaires étrangères de Boris Eltsine, Evgueni Primakov fut l'artisan du retour de la Russie sur la scène internationale ainsi qu'un âpre défenseur des intérêts de la puissance russe face à Washington.

    Un partenaire indispensable

    Le «retour» de la Russie au Moyen-Orient s'effectue parallèlement au «retrait» des États-Unis dans la région. Élu pour ramener les troupes américaines d'Irak et d'Afghanistan, hostile à l'idée d'ouvrir un nouveau front au Moyen-Orient, tenté par un pivot vers l'Asie, Barack Obama a créé un vide que la Russie veut aujourd'hui combler. Elle le fait d'autant plus facilement que vis-à-vis de la Syrie, sa politique n'a jamais changé depuis le début de la guerre. Contrairement aux Occidentaux et à leurs alliances hésitantes, les Russes ont toujours soutenu le régime de Damas et leur allié Bachar el-Assad, même dans les périodes les plus difficiles.

    La Russie ne voit que des avantages à ce retour précipité en Syrie. Elle sécurise sa présence dans le port de Tartous, qui lui offre son seul accès à la Méditerranée. Marginalisé après l'effondrement de l'URSS, isolé par son coup de force en Ukraine et les sanctions internationales, Moscou veut revenir au cœur du jeu moyen-oriental. Affirmer ses intérêts de puissance et contrer l'influence occidentale en imposant sa propre voie. Redevenir une puissance globale. En soutenant le régime syrien, Vladimir Poutine prévient aussi qu'il n'acceptera pas pour Bachar el-Assad le destin qui fut réservé à Kadhafi en 2011 après l'intervention franco-britannique en Libye. Le retrait d'un homme fort, selon Moscou, entraîne toujours plus d'instabilité. «Et les Russes n'aiment pas l'instabilité quand ce n'est pas eux qui la provoquent», commente ironiquement un diplomate français.

    11 septembre 2001, lorsqu'il était critiqué par les Occidentaux pour sa brutalité en Tchétchénie, en offrant son soutien à la coalition antitalibans, le Kremlin se présente aujourd'hui comme un partenaire indispensable pour combattre les djihadistes, devenus l'ennemi commun. Pour les Russes, qui s'inquiètent des turbulences dans leurs Républiques musulmanes et du nombre croissant de djihadistes qui partent combattre en Syrie, la lutte contre le terrorisme est une question de sécurité nationale. Elle est aussi un moyen de se réhabiliter aux yeux de la communauté internationale. «Les Russes préfèrent ne combatte qu'un ennemi à la fois. Ils pensent en outre que l'idée d'une coalition anti-Daech peut réconcilier tout le monde», poursuit le diplomate.

    Car le «retour» militaire des Russes au Moyen-Orient se double d'une initiative diplomatique. Vladimir Poutine pourrait rencontrer Barack Obama en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, où il se rendra le 28 septembre pour la première fois depuis dix ans. La stratégie occidentale en Syrie ayant conduit à l'impasse, la Russie devient maître du jeu. Pour mettre fin à la guerre en Syrie, Poutine propose de créer une grande coalition internationale contre les djihadistes, incluant l'armée syrienne, sous parapluie onusien. À charge pour le Kremlin de mener ensuite Bachar el-Assad à la table des négociations et d'imposer à tous une formule de transition politique qui préserverait le régime. Le projet russe assure à Moscou une place de choix à la table des futures négociations. En quelques mois, le Kremlin a réussi à imposer sa vision du futur syrien et à convaincre les Occidentaux, notamment la France, que le départ de Bachar ne devait plus être une condition préalable à des pourparlers mais l'aboutissement d'un processus de transition.

    Le plan russe, qui se nourrit du manque de vision et des incertitudes de l'Occident, a cependant des failles et des faiblesses. «Les Russes ont-ils les moyens de leur politique en Syrie ?» s'interroge Camille Grand, le directeur de la FRS. Comment convaincre, après quatre ans et demi de guerre, les opposants syriens de s'asseoir à la même table que leur bourreau? Comment garantir la survie du régime sans Bachar el-Assad? Autant de questions auxquelles l'initiative russe n'a pas encore répondu.

    Intenses négociations

    Sur la route de Vladimir Poutine en Syrie se lève aussi l'Iran, beaucoup plus impliqué que Moscou auprès du régime de Damas. Le renforcement militaire russe a sans doute été orchestré à l'occasion d'une visite fin août à Moscou de Qassem Soleimani, le général iranien commandant al-Qods, les forces spéciales des gardiens de la révolution. Mais si les Russes ont confié aux Occidentaux qu'ils n'étaient pas mariés avec Bachar el-Assad, aucun signe de cette nature n'est venu de Téhéran.

    Le président russe pourrait aussi trouver sur son chemin les États-Unis. L'Administration Obama acceptera-t-elle l'intervention russe comme un fait accompli, alors que la Syrie est utilisée par Vladimir Poutine comme un nouveau terrain de confrontation entre l'Est et l'Ouest? Elle n'a pas encore répondu à l'offre russe d'ouvrir un dialogue «entre militaires» sur le conflit en Syrie. Tout en estimant qu'une «coopération est possible», le département d'État redoute «que le soutien continu de la Russie à Assad intensifie le conflit et sape (notre) objectif commun de lutte contre l'extrémisme». La communauté internationale est toujours en panne de stratégie face à Daech, qui ne cesse de gagner du terrain, comme l'a confirmé cette semaine le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

    Les intenses négociations autour de la Syrie ont en outre relégué le conflit ukrainien en seconde position. «Grâce à la Crimée, la Russie est parvenue à renforcer sa stratégie d'accès, sa présence en Méditerranée et son ombre portée au Moyen-Orient… Il s'agit désormais de modifier l'ordre de sécurité post-1991, en profitant du retrait américain d'Europe et du Moyen-Orient», écrit le directeur de l'Ifri Thomas Gomart dans Politique étrangère.

    Isabelle Lasserre

    source : Le Figaro ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuukVFkFFASJHKMpQe.shtml

  • Zoom : Général Didier Tauzin - La France est bonne pour la sauvagerie

  • Le chaos

    Près de dix millions de personnes en France sont en situation de grande fragilité par rapport au logement selon la Fondation Abbé Pierre. 700 000 personnes n’ont pas de toit du tout et plus de 200 000 dorment dans la rue. Des centaines de milliers de Français et d’immigrés légaux sont sur liste d’attente pour des logements sociaux. Et là, la présidente du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, Marie-Arlette Carlotti, nous sort de son chapeau 77 310 logements sociaux miraculeusement « vacants »… Précisant qu’en raison de leur statut, les « réfugiés » (comme il convient de les considérer tous) « ne se posent pas en concurrence avec d’autres publics en grande précarité ». Une énormité de plus, on n’est plus à ça près.

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    Depuis des mois, on nous serine que l’austérité est là, que les Français doivent faire des efforts, encore et encore, qu’il n’y a plus d’argent nulle part, qu’on en cherche partout, on divise les allocations familiales par deux, on alourdit les taxes, on rogne sur tout, mais Michel Sapin l’affirme : « C’est juste une question de quelques millions, à la mesure de ce que nous pouvons faire et qui ne se fera pas au détriment du reste. »

    Ils nous disent absolument n’importe quoi.
    Ils nous mentent à longueur de journée, totalement débordés qu’ils sont par la violence de l’invasion, paniqués par les conséquences, ligotés par leur idéologie, totalement à genoux. À l’image de Najat Vallaud-Belkacem qui affirme tout sourire que « c’est une chance pour les communes rurales puisque leurs enfants vont permettre de gonfler les effectifs des classes évitant ainsi la fermeture des écoles ». On sait en effet comme c’est une chance pour les élèves quand 70 % des effectifs d’une classe ne parlent même pas le français. Pierre Bernard le maire de Montfermeil avait témoigné à ce sujet il y a 30 ans appelant les pouvoirs publics à l’aide. À l’époque, le problème ne concernait que quelques rares secteurs en France, dont le sien, on sait comme ça a été une réussite. Là où 100 clandestins de plus posent déjà un problème, ils en font entrer au forcing 20 000, 50 000, 100 000.

    Le gouvernement nous entraîne à court terme vers le chaos social, sécuritaire, terroriste, humain. Avec la complicité de l’intox médiatique quotidienne. Mais la propagande marche de moins en moins. À tel point qu’il se trouve aujourd’hui une courte majorité de Français, 51 % selon OpinionWay, pour déclarer que le Front national a raison dans sa position ferme face aux migrants. Comme le fait justement remarquer un internaute, 51 % osent le dire, mais 90 % sont d’accord. Sur cette question, une consultation nationale est une urgence.
    Hollande qui connaît déjà la réponse, s’en gardera bien.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • Stop immigration

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