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islamisme - Page 428

  • Si la France est en deuil, c'est à cause de la complaisance des politiques vis-à-vis de l'islam radical

    Communiqué de l'Action française :

    6a00e008d99039883401b8d17642fe970c-200wi.png"L'Action française pense d'abord, aujourd'hui, aux victimes, aux blessés, à leurs familles et à leurs proches. Elle pense aussi aux prochaines victimes, qui ne manqueront pas hélas : si la France est une fois de plus en deuil aujourd'hui, c'est à cause de la complaisance coupable des politiques vis-à-vis de l'islam radical : fermons les mosquées salafistes ! Refusons que les États étrangers financent l'islam de France ! Rétablissons l'ordre et la justice dans les quartiers perdus de la République ! Si la France est encore et toujours en deuil aujourd'hui, c'est parce que les gouvernements successifs n'ont pas voulu écouter l'Action française, qui a mis en garde le pays contre le danger du multiculturalisme, l'absurdité de renoncer à l'identité française et la folie d'une immigration massive.

    Aujourd'hui il ne suffit plus de dénoncer l’immigration massive, ni la politique étrangère désastreuse de la République, ni la violence islamiste, ni les discours inconséquents. Il faut engager une guerre contre les soldats de cette armée sans nom, sans loi et sans pitié. Expulsons immédiatement de notre territoire tous les étrangers ayant une fiche S ! Dénonçons Schengen et son idéologie de la libre circulation des personnes ! Donnons à l'armée française les moyens d'intervenir dans ce qui est désormais, à l'évidence, et malgré les déclarations imbéciles et irresponsables des politiques et des médias, une guerre civile, menée contre les Français, par des fanatiques qui haïssent la France !

    Les Hollande, Valls et Cazeneuve doivent prendre leurs responsabilités et utiliser enfin leur autorité pour mener les vrais combats, tout en arrêtant d'accuser les patriotes et les nationalistes. Ils doivent faire enfin le choix de la France. L'Action française leur demande solennellement de prendre la mesure de leurs fonctions."

    Michel Janva

  • Face à la tragédie du vendredi noir, savoir raison garder.

    C’était un vendredi soir d’automne comme on les aime : il faisait doux, et les terrasses étaient pleines, à Paris comme à Versailles ou ailleurs. Certains s’étaient regroupés autour des écrans de télévision qui retransmettaient la rencontre de balle-au-pied entre l’équipe de France et celle d’Allemagne tandis que 60.000 personnes remplissaient l’enceinte du Stade de France ; d’autres étaient au cinéma, d’autres encore dans une salle de concert, dont plus d’un millier de jeunes et de moins jeunes au Bataclan. C’était un vendredi 13, et c’était la « journée de la gentillesse »…

    En quelques minutes, cette belle soirée a basculé, et ce jour-là restera désormais comme un « vendredi noir », comme un « 13 sanglant » : la terreur a frappé Paris, et les corps déchiquetés par les balles des djihadistes nous rappellent que, désormais, la France est une cible et qu’elle est engagée, qu’on le veuille, le regrette ou non, dans une guerre qui, à défaut d’être mondiale, est mondialisée, frappant indistinctement militaires et civils, et plus encore ces derniers car, dans nos sociétés de communication, le sang des civils effraye plus sûrement que celui des soldats. Les terroristes connaissent bien le fonctionnement de nos sociétés car, souvent, ils y sont nés et en connaissent tous les rites, toutes les fragilités, toutes les peurs…

    Carlos, ce terroriste désormais emprisonné dans les geôles françaises, avait froidement déclaré : « il n’y a pas de victimes innocentes », formule qui glace le sang mais qui résume bien l’état d’esprit des actuels djihadistes. Pour eux, frapper au hasard, c’est « viser juste », au cœur de nos sentiments, de nos amitiés, de notre nation… C’est toucher la France en son âme, à travers ses jeunes visages déchirés par la mort brutale donnée par des tueurs fanatisés par le nihilisme islamiste. Les corps allongés sur le trottoir, les draps blancs qui tiennent lieu de linceul, les flaques de sang qui s’étendent jusqu’aux rigoles : c’est la France souffrante, celle qui pleure ses enfants morts sur son sol, sur ses champs de macadam qui sont les nouveaux champs d’horreur, un siècle après la Grande boucherie que l’on espérait, au soir de l’armistice de 1918, la « der des ders »…

    Nous entrons dans le temps du deuil et du recueillement, et nous n’y manquerons pas. Mais cela ne doit pas nous empêcher de réfléchir, quand il faut et faudrait que l’Etat, dans son rôle régalien, agisse et réagisse. Réfléchir aux causes de ce désordre et de ce désastre, et ne pas hésiter à remonter aux sources et à ceux qui, par leur aveuglement ou leur (fausse ?) candeur, ont permis, sans doute bien malgré eux, que ce pire-là arrive : néanmoins, l’heure n’est pas à les accabler, mais plutôt à les conseiller. 

    Devant les cercueils alignés dans notre conscience nationale ; devant les larmes qui, désormais, sont celles de tous les hommes et femmes de bonne volonté et de grande humanité, et de tous ceux pour qui le mot France est cette forte réalité d’unité ou cette belle inconnue dont ils ne connaissent parfois que la silhouette ; devant les questions inquiètes que nous posent nos enfants, nous avons le devoir de ne pas flancher, de ne pas nous abandonner à de vaines colères ou à des vengeances désordonnées (et parfois injustes), de ne pas donner raison à ceux pour qui le chaos est le moyen d’établir ou de renforcer leur règne infernal, mais aussi de ne pas tout accepter d’un Pouvoir aux abois prêt à tout pour se survivre à lui-même ; nous devons relever la tête et, séchant nos larmes, retrouver ce sourire calme et digne qui est aussi celui de l’ange de la cathédrale de Reims, et qui est la meilleure réponse à la grimace des Maudits. 

    Devant cette guerre qui est déjà là et qui est aussi la conséquence tragique des inconséquences des dernières décennies, il nous faudra, malgré tout et sans oublier nos devoirs d’union sacrée, poser « l’immense question de l’Ordre » : en ce sens-là, notre action est aussi politique, éminemment française et capétienne…

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Petit résumé des évènements

    Vu ici :

    CTyIePrWIAAV5DLPour la dernière case, l'intégralité est ici.

    Michel Janva

  • Une « troisième guerre mondiale par morceaux »

    Communiqué de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre :

    En juin dernier, à Sarajevo, ville martyre du conflit des Balkans, le pape François a employé l’expression de « troisième guerre mondiale par morceaux » pour caractériser l’actuel climat de guerre qui secoue de nombreuses parties du monde (Moyen-Orient, Afrique…), et qui atteint durement la France aujourd’hui.

    Bouleversé devant de tels actes d’une barbarie extrême, j’invite les catholiques à prier avec ferveur durant les assemblées de ce dimanche pour les victimes décédées ou blessées, pour leurs familles  douloureusement atteintes.

    Prions aussi pour notre pays et nos concitoyens, qu’ils puissent garder le souci vigilant de la cohésion sociale, de la solidarité fraternelle, et la confiance en l’avenir.

    Prions aussi pour nous-mêmes, afin que le Seigneur nous fasse la grâce de ne pas nous laisser succomber à la tentation de la haine et nourrir en nous des sentiments de vengeance. Que l’Esprit du Christ affermisse en nous la foi et la confiance en Dieu. Qu’il continue à entretenir en nos cœurs la volonté de coopérer à la construction d’une société plus équitable, plus humaine et plus fraternelle. Les heures tragiques que notre pays vient de vivre révèlent la pertinence et la dimension prophétique de l’invitation du pape François à vivre une Année de la Miséricorde.

    Chrétiens, osons répercuter en ces heures difficiles auprès de nos contemporains, cette parole de confiance que le pape adressait au monde à Noël dernier : « Combien le monde a besoin de tendresse aujourd’hui ! Patience de Dieu, proximité de Dieu, tendresse de Dieu ».

    http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/immigration/une-troisieme-guerre-mondiale-par-morceaux

  • Robert Ménard demande la fermeture immédiate de toutes les mosquées mêlées à l’activité islamiste radicale et l’expulsion des imams

    Interview sans concession ni langue de bois de Robert Ménard donnée à bvoltaire.fr :

    Robert Ménard, maintenant, on fait quoi ?

    François Hollande a dit hier soir que la France allait être« impitoyable ». J’aimerais que ce soit le cas. Qu’on ne reste pas dans le commentaire, dans le pathos. Un chef d’État, lorsqu’il parle à la nation au lendemain d’un massacre comme celui d’hier, n’a pas le droit de tromper ses concitoyens.

    Alors, que faire ? D’abord, nous avons des services secrets. Il faut leur donner le feu vert : élimination systématique n’importe où dans le monde des islamistes directement mêlés aux attaques d’hier soir. Il ne faut pas « neutraliser » ces gens. Il faut les abattre.

    Ensuite, il faut vider l’eau du bocal. Que les commandos islamistes ne soient pas comme des poissons dans l’eau. Arrestation immédiate de tous les islamistes fichés S. Pas de places en prison ? Ce n’est pas le sujet. Nous sommes en guerre. Création de camps de prisonniers.

    Fermeture immédiate de toutes les mosquées mêlées à l’activité islamiste radicale. Expulsion des imams et des fidèles étrangers liés à ces mosquées radicales. Surveillance ou arrestation de ceux naturalisés ou convertis.

    Lire la suite

  • Un médicament pour lutter contre « les mauvaises pensées »

    C’est reparti pour un tour ! Après les attentats de janvier (12 morts) ce fut un marée médiatique en faveur de l’islam, pour plus de 120 victimes, ce sera un déluge… Afin de lutter contre nos capacités à raisonner, le gouvernement met à votre disposition le médicament suivant :

    Pas d'amalgame !

    http://www.contre-info.com/

  • Djihad à Paris : Conséquence de la trahison du gouvernement et de la gauche islamo-immigrationniste

  • EDITION SPECIALE SAMEDI 14 NOVEMBRE 2015 : "LA FRANCE EN GUERRE"

  • Manolo, tu n’es qu’un dégonflé !

    Tu me déçois, Manolo ! Tu me déçois beaucoup. Rappelle-toi ce que je t’ai dit le 8 avril 2014, sur RMC, alors que tu venais d’être nommé Premier ministre :

    « Tout d’abord, Manolo, comme on t’appelle en Espagne, on va se tutoyer, comme on le fait en Espagne. Ecoute, Manolo, tu as une seule grande décision à prendre, et tout de suite : annoncer officiellement la fin du monopole de la sécurité sociale. Et d’un coup d’un seul, tes 50 milliards, tu les as.

    A l’heure où je te parle, Manolo, plus de 300 000 Français se sont assurés en dehors de la Sécu. Et ils s’en portent merveilleusement bien. Mais les autres, ceux qui ne savent pas, ou qui ont peur, est-ce que tu y penses, Manolo ? Il y a en France 15 millions de personnes qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts, 8 millions de pauvres, 5 millions de chômeurs. C’est la Sécurité sociale avec ses charges monstrueuses qui est responsable de ce désastre.

    On peut s’assurer mieux et pour beaucoup moins cher qu’à la Sécu, et on y gagne beaucoup de pouvoir d’achat. Et les entreprises, Manolo, tu y as pensé ? Il y en a trois millions, des petites, des moyennes, des commerçants, des artisans, des professions libérales. Toutes pourraient embaucher un ou deux salariés si le chef d’entreprise était libéré des charges insensées du RSI. C’en serait fini du chômage de masse en France !

    Alors, Manolo, tu sais ce qu’il te reste à faire : montre-nous que tu as des cojones, pas comme les bataillons de couilles molles de la classe politique. D’ailleurs, rappelle-toi, tu étais à Matignon avec Lionel Jospin en 2001, quand il a pris l’ordonnance qui a abrogé le monopole de la sécurité sociale.

    Alors à toi de jouer, Manolo. Hasta luego, hombre ! »

    Cela fait dix-neuf mois que tu es Premier ministre, Manolo. Dix-neuf mois de perdus ! Les entreprises continuent de crever sous le poids des charges sociales, et toi, tu passes ton temps à te montrer partout en France et à ne rien faire, à crier comme un perdu à l’Assemblée nationale contre tout le monde sans jamais rien proposer de concret.

    Pourtant, le 31 mars dernier, sur RMC et BFMTV, tu as déclaré : « Le RSI est un désastre. Ca ne marche pas ! » Et qu’as-tu fais face à ce désastre ? Rien. Ou plutôt si : tu as nommé une commission qui finalement considère que le RSI ne marche pas si mal ! Tu as l’air de quoi, Manolo ? Il y a un désastre, et toi tu laisses le désastre continuer. Manolo : tu es coupable de non -assistance à pays en danger, à Français en danger ! Tous les jours, des travailleurs indépendants se suicident, et toi, Manolo, tu t’en fous !

    Je vais te donner un dernier conseil, Manolo. Un dernier, parce qu’après tu n’auras qu’à te débrouiller tout seul. Supprime le RSI, Manolo ! Tout de suite ! Il ne pourra jamais s’en sortir, non seulement parce qu’il est structurellement déficitaire, mais aussi parce que les indépendants le quittent en masse. Le RSI est foutu, Manolo. Rien ne le sauvera. Alors colle-lui une balle dans la tête, par charité et surtout par souci d’arrêter les tortures qu’il inflige à ceux qui n’ont pas le courage de le quitter. Les indépendants qui le peuvent contracteront des assurances privées, et ceux qui ne le peuvent pas auront la CMU, comme n’importe quel étranger qui arrive en France.

    Voilà mon plan, Manolo. Adopte-le d’urgence. Parce qu’après, je ne réponds plus de rien, tant je sens la fureur monter dans le pays. Tiens, je vais te dire, Manolo. Quand Franco est mort, un ministre s’est écrié : « Oui, il est mort. Mais qui va aller le lui annoncer ? » Tu le sais aussi bien que moi, Manolo : la Sécurité sociale est morte. C’est ton boulot d’aller l’annoncer !

    Adios !

    Claude Reichman

    http://francelibre.tumblr.com/