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islamisme - Page 443

  • Quand l’État impose une mosquée (Présent 8426)

    Présent nous a autorisé à reproduire l’intégralité de l’interview de Cyril Nauth, maire de Mantes-la-Ville, parue dans son édition de ce jour. Nous les remercions d’autant plus que nos lecteurs connaissent bien cette affaire et les différentes actions menées par le Bloc Identitaire pour lutter contrel’implantation d’une mosquée dans cette commune des Yvelines.

    27/08/2015 – FRANCE (NOVOpress) Dans notre précédente interview du maire FN Cyril Nauth (Présent du 19 mai), la question qui se posait était : y aura-t-il deux mosquées à Mantes-la-Ville ? La bataille juridique évolue, puisque désormais la question est : y aura-t-il un commissariat ou une mosquée ? Opposé au maire, le préfet des Yvelines lui-même, à qui la justice a donné raison vendredi. Une décision qui n’est pas définitive, comme le souligne Cyril Nauth.

    Que répondez-vous à l’accusation de « détournement de pouvoir », expression employée par le juge ? 
    Pour être précis, c’est le motif invoqué par le préfet des Yvelines, Erard Corbin de Mangoux – c’est-à-dire l’État. Dans ce dossier, il ne pouvait guère évoquer que ce motif-là. Ce qu’il faut noter, c’est que cette décision du tribunal administratif de Versailles de suspendre la préemption d’un local, telle que nous l’envisagions, n’est pas définitive. Certains de vos confrères semblent ne pas l’avoir compris. La décision suspend la préemption, ce qui est logique puisque, si elle ne le faisait pas, la mairie ferait sans tarder l’acquisition de l’ancienne trésorerie pour y installer un commissariat. Cette décision provisoire du tribunal n’a donc pas été une grande surprise.

    Avez-vous bon espoir de la décision judiciaire qui sera rendue ultérieurement ? 
    Oui, puisque la décision du 21 août ne préjuge en rien de la décision à venir – sauf si on considère que la justice française, administrative ou pas, est du même acabit que l’État. Je veux croire, encore, qu’il existe une justice indépendante et qui saura prendre de la hauteur par rapport à la position du préfet, qui me semble politique. Il s’est substitué à l’association musulmane pour attaquer ma décision. Je trouve cela regrettable. En ces temps difficiles, l’État n’a rien de mieux à faire que de chercher des poux dans la tête d’un maire ? D’autant que j’ai été élu en partie sur cette opposition au projet de mosquée. Les Mantevillois m’ont confié cette tâche et je suis là pour tenir mes engagements. À la place du projet de mosquée, j’ai proposé un vrai projet d’intérêt général et local de transfert de poste de police municipale.

    Est-ce habituel qu’un préfet s’immisce à ce point dans les projets d’une commune ? 
    En faveur de la création d’un lieu de culte musulman, je ne sais pas si c’est une première ; mais cela doit être peu fréquent. La jurisprudence fait état de cas concernant les Témoins de Jéhovah… En se mêlant de cela, le préfet commet une erreur, voire une faute, puisque c’était à l’association musulmane de contester ma décision, pas à lui. Elle en avait tout à fait le droit : quand un acquéreur potentiel voit s’annoncer une préemption par une collectivité territoriale, il a le droit de contester cette décision. Je m’attendais à une contestation de l’association musulmane, mais elle n’a pas eu à le faire : l’État a mis à sa disposition, en quelque sorte, des avocats et des moyens financiers pour s’opposer à un maire. C’est le plus scandaleux de l’affaire.

    Mi-août, le préfet de l’Hérault s’en est pris à Robert Ménard, maire de Béziers. Ce préfet est un ancien directeur de la DST. Le préfet des Yvelines, lui, a été directeur général de la DGSE. Faut-il y voir un « flicage » à l’égard des maires Front national ? 
    Les préfets, nommés par l’État, sont nécessairement proches du pouvoir. Dans les Yvelines, qui sont un département francilien, on place des gens particulièrement « choisis ». Corbin de Mangoux était présenté comme un « très proche » de Nicolas Sarkozy, qui l’avait nommé à la DGSE alors que sa carrière ne le prédisposait pas à ce type de haute fonction. Il a été nommé préfet des Yvelines par François Hollande en 2013. Pour le coup, la volonté d’imposer des mosquées en France appartient autant à la droite sarkozyste qu’aux socialistes. La question est : dans le cas qui nous occupe, le préfet agit-il de manière autonome ou est-ce un ordre qui vient d’en haut, voire de très haut ? Je n’ai pas la réponse.

    Les Yvelines connaîtraient-elles la tentation de la dhimmitude ? 
    Pierre Bédier, président LR du conseil général des Yvelines, est une personnalité importante des Yvelines, or il a toujours joué le jeu du communautarisme et de l’électoralisme avec les musulmans. D’où les deux grandes et « belles » mosquées de Mantes-la-Jolie… Il est tout à fait possible que le préfet joue le même jeu. Depuis le mois de juin, le département a même un CIMY, c’est-à-dire un Conseil des institutions musulmanes des Yvelines ! C’est une première en France, et ce conseil a été créé à l’instigation du préfet. Sans surprise, figure dans ce CIMY Abdelaziz El Jaouhari, qui n’est autre que le président de l’association musulmane avec laquelle je suis en conflit, la MMS. Or le préfet a publié sur son compte Twitter officiel, le 9 juillet dernier, une photo qui le montre partageant le repas de rupture du jeûne avec… Abdelaziz El Jaouhari, à la même table. Un nouveau préfet des Yvelines, Serge Morvan, a été installé tout récemment, le mardi 25 août précisément. Le départ d’Erard Corbin de Mangoux va-t-il modifier la donne ? L’affaire est très engagée et je ne vois pas pourquoi le nouveau préfet irait à l’encontre de son prédécesseur, d’autant que lui est un proche des socialistes. Mon espoir est que Serge Morvan soit moins proche de Pierre Bédier, avec lequel je suis en conflit sur d’autres sujets, notamment sur des subventions dues par le département à Mantes-la-Ville, qui s’élèvent à trois millions d’euros et que Pierre Bédier bloque. Il se croit tout permis depuis que l’UMP a fait un grand chelem électoral dans les Yvelines aux élections départementales.

    La procédure judiciaire va donc suivre son cours ? 
    Nous attendons une décision en première instance. Si elle nous est défavorable, nous ferons appel, mais cela ne laissera que peu de répit. La procédure choisie par le préfet est celle du référé, qui est une procédure d’urgence : non seulement on veut imposer quelque chose aux Mantevillois, mais on veut l’imposer de manière rapide. Si la justice allait dans le même sens que l’Etat, l’association musulmane acquerrait sans tarder le local, peut-être avant la fin de l’année 2015. Nous nous lancerions alors dans une autre bataille, celle du permis de construire. Les questions urbanistiques que soulève le projet de mosquée sont nombreuses, nous ne ferons pas de cadeaux. Il faut bien comprendre que, dans le droit français, il n’y a aucun moyen de s’opposer à la construction d’un lieu de culte, quel qu’il soit. Le domaine urbanistique est le seul sur lequel on puisse se battre.
    Je précise cela pour ceux qui seraient tentés d’accuser les élus du Front national d’être trop tendres vis-à-vis de l’islam : nos moyens d’action sont limités.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/191440/letat-impose-mosquee-present-8426/#more-191440

  • Le héros de l’ombre

    Nous nous souviendrons de lui comme un vrai jeune de France, un de ceux qui ne fuient pas, un de ceux qui résistent.

    C’est ce jeune Français inconnu qui, le premier, est intervenu physiquement contre le terroriste du Thalys Amsterdam-Paris.

    Il a souhaité garder l’anonymat, pour bien des raisons que l’on peut comprendre facilement, et le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, n’aurait même pas dû en informer les médias, car il serait sans doute très facile de découvrir son identité.

    Âgé de 28 ans, employé dans une banque des Pays-Bas, il se rendait aux toilettes de la voiture 12, vers 17 h 50, lorsqu’il s’est trouvé face à un individu qui en sortait, portant une kalachnikov en bandoulière.

    Il a tenté de le maîtriser avant qu’il ne s’en serve pour tirer.

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  • Il n'y aura pas toujours des héros

    Un article lu sur le blog de Mathieu Bock-Côté, sociologue, repris sur le site deCauseur, sur la tentative d'attentat dans le train reliant Amsterdam à Paris. Extraits :

    "[...]Comme d’habitude, on nous sort la même excuse: c’était un paumé, un exclu, un taré. Son avocate en a rajouté: c’était un clochard, un pauvre hère qui aurait trouvé un sac plein d’armesdans une gare et qui aurait eu soudainement l’idée de rançonner les passagers. C’est à tout le moins la ligne de défense suivie par son avocate. Un peu plus et elle en fera une victime. Les autorités belges ne se sont pas laissé bluffer par une telle rhétorique: c’est de terrorisme dont il est question. Le pouvoir socialiste, en France, s’est montré plus timoré. On ne feindra pas la surprise.

    On ne semble pas comprendre, dans la société occidentale contemporaine, que la force d’une idéologie radicale comme l’islamisme vient justement de sa capacité à exciter et fanatiser les éléments antisociaux à son avantage, ceux qui cherchent souvent une raison de verser dans la violence. L’islamisme radical, pour emprunter les mots de Jean Baechler, excite la «canaille» et transfigure son nihilisme au service d’une cause. La révolution islamiste n’avance pas en misant sur les classes moyennes bedonnantes. Il suffirait de lire les grands stratèges révolutionnaires pour constater qu’ils en étaient les premiers conscients.

    C’est l’intervention providentielle de trois marines américains qui a permis d’éviter la catastrophe. Ils n’étaient évidemment pas en service, mais manifestement, leur entrainement n’était pas loin. En eux, le ressort civique était bien tendu. Ils ont risqué leur vie pour sauver la vie des autres.[...]

    Une chose est néanmoins certaine : il n’y aura pas toujours des héros.Je devine qu’il faut s’y faire : demain, après-demain ou l’an prochain, un terroriste islamiste entrera dans un wagon de train, ou dans un supermarché, puis il tirera sur tout ce qui bouge. À moins que les services de sécurité ne l’attrapent à temps et s’ajustent pleinement à la menace djihadiste. Et encore là, on sait bien que certains traverseront les mailles du filet sécuritaire, qui par-dessus tout, gâchera surtout la vie de ceux qu’il doit protéger.

    Thibault de Montbrial, dans son livre très convaincant Le sursaut ou le chaos (Plon, 2015), a dit les choses clairement: la France est en guerre. On dira la même chose de toutes les sociétés occidentales. On n’en tirera aucun slogan. Mais on comprend assurément que nous avons changé d’époque et que le sursaut espéré prendra d’abord le visage d’une grande lucidité. Il faudra savoir nommer l’ennemi. Il faudra aussi savoir réveiller les vertus nécessaires aux temps difficiles. Naturellement, personne ne sait vraiment comment s’y prendre. On ne fait pas la guerre paisiblement."

    Marie Bethanie

  • Les socialistes refusent de lutter contre le djihadisme !

    Des 4 vérités : 

    "La France a, à nouveau, échappé de peu à un attentat meurtrier, qui aurait été perpétré avec des moyens dérisoires, puisqu’il s’agissait « simplement » d’un homme armé tirant à la kalachnikov dans un train. L’issue ayant été heureuse, tous les commentateurs se congratulent, encensent les héros et poussent un soupir de soulagement.

    Mais rien n’est résolu. Au con­traire, les mêmes événements risquent de se reproduire à brève échéance – et la chance ne sera pas toujours avec nous. Deux facteurs, au moins, pourraient être traités facilement par un gouvernement désireux de s’opposer au terrorisme, au lieu de flatter démagogiquement diverses clientèles électorales.

    Tout d’abord, arrêtons de con­damner systématiquement les personnes qui s’opposent physiquement aux criminels. La situation est, en effet, paradoxale. Aujourd’hui, on fête les héros qui ont empêché le drame ; mais, si le tireur avait été éborgné dans la bagarre, lesdits héros seraient en garde en vue et menacés de condamnation judiciaire – comme tant de nos compatriotes qui ont refusé de se laisser faire.

    Par ailleurs, rien ne nous impose de garder en liberté des centaines de fanatiques. Une bonne partie de ces personnes, parfaitement identifiées par les services anti-terroristes, pourrait être expulsée (puisque beaucoup des prédicateurs radicaux sont étrangers) et une autre partie pourrait être internée. Car, n’en déplaise à M. Cazeneuve, promouvoir la « guerre sainte » est bel et bien un délit.

    Là aussi, la situation est paradoxale... (suite).

    Lahire

  • Thalys : comment Schengen fragilise les États face à l'«euroterrorisme»

    Selon Alexis Théas, l'émergence d'un nouveau terrorisme est facilitée par l'échec de la libre circulation européenne admise par les traités européens dont l'accord de Schengen.

    Ayoub El Khazzani est l'archétype d'un terroriste d'un genre nouveau, l'euroterroriste. En effet, l'enquête policière a montré le caractère transfrontière et européen du parcours de ce Marocain d'origine. Ayant vécu en Espagne, à Madrid et Algésiras, il a circulé et séjourné, au cours des derniers mois en France, en Allemagne, en Belgique, en Autriche. La cible qu'il a choisie, le Thalys, est hautement emblématique. C'est dans le TGV reliant Paris à Bruxelles, Amsterdam et Francfort, qu'empruntent chaque jours des centaines de fonctionnaires nationaux ou européens pour converger à Bruxelles que le tueur a tenté d'accomplir son massacre. Il est donc le produit non seulement du fanatisme islamiste qui triomphe au Moyen-Orient, mais aussi de l'échec patent de la libre circulation européenne telle qu'elle a été appliquée .

    Ayoub el-Khazzani est le produit non seulement du fanatisme islamiste qui triomphe au Moyen-Orient, mais aussi de l'échec patent de la libre circulation européenne telle qu'elle a été appliquée.

    Au départ, l'accord de Schengen du 25 mars 1985 et sa convention d'application du 20 juin 1990 étaient des solutions pragmatiques, réalistes et intelligentes pour faciliter les mouvements des personnes sur le territoire des Etats volontaires, au nombre de six dont ceux du Bénélux, la France, l'Allemagne, puis l'Italie. Il prévoyaient la possibilité de franchir les frontières sans contrôles entre ces pays, sous réserve de mesures compensatoires pour éviter de mettre en cause la sécurité: le droit de poursuite des polices et le fichier policier commun dit SIS. Ils laissaient surtout la possibilité aux Etats de procéder en toute souveraineté à des contrôles mobiles à l'intérieur des frontières et même, en cas de nécessité, à l'appréciation souveraine des gouvernements, de rétablir les contrôles aux frontières dans les trains ou au passage des frontières terrestres, dans le cadre d'une clause de sauvegarde dite «article 2§2». Ainsi, la France avait décidé à partir de l'été 1995, de rétablir ses contrôles aux frontières avec la Belgique et le Luxembourg, pour lutter contre le trafic de drogue en provenance des Pays-Bas ainsi que contre le risque terroriste à la suite d'une vague d'attentats. Ce dispositif, fondé sur la confiance entre les Etats et le respect de leur souveraineté, fonctionnait correctement.

    Sans être bien évidemment une garantie absolue contre le terrorisme, il aurait pu permettre, dans des circonstances de haute tension comme celles que connaît la France depuis sept mois après les attentats de janvier 2015, de rétablir les contrôles aux frontières, de détecter ainsi les allées et venues d'Ayoub El Khazzani entre les pays européens, et de s'interroger sur son parcours étrange, y compris un passage en Syrie. L'usage, en toute souveraineté de la clause de sauvegarde Schengen, telle qu'elle existait autrefois, n'aurait pas forcément empêché le passage à l'acte du présumé terroriste. Mais il aurait fourni au gouvernement un outil essentiel pour l'éviter et quand des dizaines ou centaines de vies sont en jeu, rien ne doit être négligé. 

    Avec le traité d'Amsterdam du 1er mai 1997, tout a progressivement changé. Les questions d'immigration, d'asile, de frontières, ont échappé pour l'essentiel aux Etats pour devenir des compétences communautaires, européennes, dévolues à la Commission, au Conseil des ministres et au Parlement européen, sous le contrôle de la Cour de justice.

    Car, avec le traité d'Amsterdam du 1er mai 1997, tout a progressivement changé. Les questions d'immigration, d'asile, de frontières, ont échappé pour l'essentiel aux Etats pour devenir des compétences communautaires, européennes, dévolues à la Commission, au Conseil des ministres et au Parlement européen, sous le contrôle de la Cour de justice. La logique initiale de Schengen, fondé sur le respect de la souveraineté des Etats a disparu. Un réglement communautaire du 15 mars 2006 «établissant un code communautaire relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes», applicable à l'ensemble de l'Union (sauf le Royaume-Uni et l'Irlande) a chamboulé le système. Son article 23 n'autorise le rétablissement des contrôles aux frontières que pour une période de 30 jours renouvelables jusqu'à six mois, sous le contrôle de la Commission et de la Cour de justice qui s'assurent que le motif «d'ordre public» est respecté et peuvent sanctionner les Etats en cas d'infraction.

    Dans ces conditions de bureaucratisation et judiciarisation extrêmes, les gouvernements répugnent à prendre leurs responsabilités face à la menace terroriste. En tout cas, en janvier dernier, la France n'a pas utilisé cette possibilité contrairement à 1995. En outre, une jurisprudence rigoureuse de la Cour de justice a sanctionné les Etats comme la France qui procédaient à des contrôles à l'intérieur des frontières (arrêts du 22 juin 2010 Aziz Melki et Sélim Abdeli ) en limitant fortement cette pratique. Quant aux mesures de coopération policière européennes (notamment le SIS), elles viennent de montrer leur inefficacité et leur caractère inadapté à la menace.

    Cette évolution n'est pas la cause de la menace terroriste, mais elle a sans aucun doute fragilisé les Etats face à cette menace. Elle a des raisons profondes idéologiques: sans frontiérisme, rejet de l'autorité et des Nations. Certes, elle émane avant tout de l'eurocratie bruxelloise dans une logique de pouvoir, mais par aveuglement et par lâcheté, tout au long des années 2000, elle a été acceptée, sinon encouragée par l'ensemble des classes dirigeantes européennes. Face au défi mortel du terrorisme, cet abandon généralisé des milieux politiques européens a ouvert un boulevard aux extrêmes droites qui s'en sont emparé. Les dirigeants européens auront-ils la lucidité de reconnaître leurs erreurs, leurs démissions successives face à la bureaucratie bruxelloise et d'en tirer les conséquences en remettant en cause cette construction mortifère, avant qu'une catastrophe de grande ampleur ne se produise? Il est permis hélas, d'en douter... Or, il ne se trouvera pas toujours trois Américains dans le Thalys pour sauver des dizaines ou des centaines d'Européens.

    Alexis Théas

    notes : Alexis Théas est juriste et universitaire.

    source : Le Figaro ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuupVEVVZZoTgfEqBI.shtml

  • Francis Cousin - Comment casser la dynamique de mort de Daesh pour les jeunes en perdition ?

  • Reims : un homme menace « d’égorger les passagers d’un train »

    Selon le site de L’Union , dimanche en fin de matinée à la gare de Reims, un voyageur a été arrêté par la police après avoir tenu des propos quelque peu « inquiétants.
    Le journal rapporte que l’individu, qui était dans un train assurant la liaison entre Strasbourg – Roissy-Charles-de-Gaulle, a verbalement menacé le personnel de bord du restaurant, en affirmant qu’il allait « égorger » des passagers!
    Un contrôleur, qui se situait près de l’homme, lui a demandé son billet. N’étant pas en règle, le jeune homme âgé d’une vingtaine d’années l’a menacé , avant de lâcher  :« Je vais tout faire exploser. La France entendra parler de moi. Je vais tous vous égorger ».
    Quelques heures seulement après le drame évité de justesse dans le Thalys, ces menaces ont été prises très au sérieux.
    L’agent SNCF a réussi avec quelques passagers à le maîtriser et l’isoler. Il n’avait aucune arme sur lui.

    Après avoir été placé en garde à vue au commissariat central de Reims, il aurait été examiné aujourd’hui par un expert psychiatre. Son identité est en cours de vérification.
    Selon les premiers éléments fournis à nos confrères, l’individu « ne jouit manifestement pas de toutes ses facultés mentales. Après son arrestation, le TGV a pu repartir en direction de l’aéroport de Roissy. »

    Le parquet décidera des suites judiciaires à donner en fonction des résultats de l’expertise.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • 4 millions de musulmans liés à l'islamisme radical en France ?

    D'un côté un communiqué de Marine Le Pen :

    "Pourquoi donc la France accepte-t-elle sur son territoire national un ressortissant étranger dont elle sait pourtant qu'il est potentiellement dangereux et lié à une idéologie meurtrière? Marine Le Pen demande à ce que les étrangers connus pour leurs liens avec l'islamisme radical ne soient désormais plus simplement fichés, mais qu'ils soient immédiatement expulsés du territoire français s'ils vivent en France, et dans tous les cas interdits de territoire"

    De l'autre côté, la réaction de Jean-Christophe Cambadélis (PS) :

    "Si le Front national arrivait au pouvoir, il appliquerait son programme, je suppose. C'est-à-dire qu'il raccompagnerait à la frontière 4 millions de Français musulmans."

    A moins que Jean-Christophe Cambadélis possède des statistiques tenues secrètes par le ministère de l'Intérieur, le tweet de Marine Le Pen suffira à commenter ses propos :

     Image1

    Philippe Carhon

  • Un muzz dénonce le racisme anti-blanc: « t’aime pas la France, tu la quittes! »

    Racisme anti-blanc

    « Il faut dire la vérité: 90% des racailles sont des muslims », dit-il…

    Juste une précision: La France est une terre chrétienne.

    http://www.medias-presse.info/un-muzz-denonce-le-racisme-anti-blanc-taime-pas-la-france-tu-la-quittes/37422

  • Terrorisme islamiste : les 9 propositions de Jacques Myard

    Les institutions de la République française se trouvent peuplées d’intrigants dont la seule envergure est celle que confère l’ambition démesurée. Il y a cependant des exceptions et le député LR Jacques Myard est de celles-là. Notre homme est un parlementaire libre.

    Dans les partis de gouvernement, la cooptation est la règle. Chaque ténor jugeant prudent de promouvoir des hommes et des femmes peu susceptibles de lui faire de l’ombre, la qualité du personnel politique s’affaisse peu à peu et les institutions de la République française se trouvent peuplées d’intrigants dont la seule envergure est celle que confère l’ambition démesurée. Il y a cependant des exceptions et le député LR Jacques Myard est de celles-là. Notre homme est un parlementaire libre. Ses récents voyages en Crimée ou à Damas en sont la preuve et son communiqué consécutif à la tentative d’attentat dans le Thalys le confirme. Dans ce texte publié le 22 août, le député des Yvelines fait 9 propositions destinées à lutter efficacement contre le terrorisme islamiste.

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