C'est vrai que c'est une drôle d'idée que de bronzer en maillot de bain dans un parc public, mais cela n'excuse en rien le passage à tabac en règle qu'a subi à Reims la jeune fille coupable de ce méfait, par cinq adolescentes qui trouvaient cela "indécent". Curieusement, personne n'indique au nom de quoi ces tigresses trouvaient cette tenue "indécente". Peut-être que si la victime avait porté un "burkini", elle n'aurait pas eu 4 jours d'ITT...
islamisme - Page 442
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Tabassée pour avoir bronzé en maillot de bain
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En Alsace, l’Éducation nationale capitule peu à peu devant l’islam
Au lycée Jean-Rostand de Strasbourg, la direction a aménagé sur le budget de l’établissement, sans concertation, sans passer par le conseil d’administration, un local où les filles de confession musulmane pouvaient arriver voilées et s’ajuster en repartant. On acceptait donc que la loi sur le voile soit violée puisque les élèves entraient avec leur foulard sur la tête dans l’établissement. Je trouve ce fait inouï ! Je sais qu’en Alsace le concordat est toujours en vigueur, mais qu’un proviseur puisse utiliser un budget (qui aurait, sans doute, été bien plus utile ailleurs pour des actions pédagogiques) au bénéfice d’une seule religion laisse pantois !
Devant les réactions des syndicats, le proviseur a fait un demi-pas en arrière. Les musulmanes n’utilisent ce local que lorsqu’elles sortent ! Ce qui, à mon sens, ne change pas grand-chose sur le principe. Et ce chef d’établissement a récidivé lors des épreuves du bac : un examinateur qui est allé se plaindre devant lui qu’une des candidates portait le voile s’est vu répondre que celle-ci n’était pas en infraction car on voyait ses oreilles ! Au mépris, bien sûr, des dispositions de la loi sur la voile qui sont très claires et ne souffrent aucune interprétation personnelle.
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L'argent saoudien pour exporter l'islamisme
Lu ici :
"Selon quotidien américain The New York Times, qui trié et étudié des dizaines de milliers de documents diplomatiques saoudiens révélés par le site WikiLeaks, l'Arabie Saoudite investit "des milliards de pétrodollars dans des organisations islamiques à travers le monde, pratiquant une diplomatie du chéquier". [...]
Riyad a notamment accordé des moyens financiers à des prédicateurs à l’étranger, construit des mosquées, des écoles, des centres et soutenu des campagnes pour contrer des responsables et des médias à l’étranger qui étaient susceptibles de s’opposer à l’agenda du Royaume".
D'après Usama Hasan, chercheur en études islamiques à la fondation Quilliam à Londres, cité par new York Times, "il s’agit de milliers et de milliers d’organisations militantes et religieuses (...) directement ou indirectement financées par eux" à travers le monde.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Enquête – Les Français et leur perception de l’islam
Ifop pour Atlantico a mesuré à travers deux questions où en était le rapport de l’opinion française par rapport à la population musulmane. L’objet de cette enquête était d’observer si une évolution avait eu lieu sur le sujet notamment depuis les attentats du mois de janvier 2015 mais aussi depuis les derniers évènements (démantèlement d’une cellule terroriste et attentat dans l’Isère).
Cette étude révèle que près d’un Français sur deux (44%) pense que la présence d’une communauté musulmane constitue une menace pour l’identité du pays, c’est-à-dire un niveau élevé et très comparable à ce qui avait été enregistré depuis 2010.
Par ailleurs, le nombre de Français considérant que leur présence constitue un facteur d’enrichissement culturel est redescendu à 19%. -
islam/catholicisme : une réponse à un article de Stephan A. Brunel
J'ai effectué naguère, dans le cadre d'un article, ce que l'on peut appeler mon coming out, indiquant que j'adhère aux thèses de la Réaction que certains préfèrent appeler contre-révolution. Empiriste, et par là sensible aux multiples expériences que j'ai eu l'occasion de vivre, j'ai, voici vingt cinq ans, quitté le nationalisme révolutionnaire. Je ne suis pas soucieux de respectabilité et ce n'est pas à mon âge – je suis quinquagénaire – que je vais me ranger ou adhérer à la soft-ideology. C'est ainsi que je suis d'extrême droite. Nulle volonté de choquer : c'est simplement un fait.
On sait l'importance du fait catholique au sein de l'extrême droite même si le fait est moins prégnant que naguère. Et c'est là une des deux différences majeures entre gauche et droite des origines. On sait que la déchristianisation commence en France dès la fin du dix-septième siècle. Le fait est très bien étudié dans le cadre d'un ouvrage de Paul Hazard intitulé « La Crise de la conscience européenne : 1680-1715 ». Pour autant, je crains que les prémisses du grand malheur est bien antérieur au siècle des lumières. C'est ainsi qu'à bien des égards, le protestantisme peut être considéré comme un catholicisme désacralisé, propédeutique au matérialisme. Le mal était donc bien antérieur et les penseurs de l'époque furent bien conscients de la concomitance entre développement accéléré du capitalisme et apparition du protestantisme.
Un aspect me semble certain, c'est que je me reconnais totalement dans la dernière phrase de l'article (1) de Stephan A. Brunel dont il est ici question :
« Il faut une chrétienté de combat, de moine-soldat, de chrétien d’Orient. »
Il n'en reste pas moins que l'article de ce militant-combattant ne me semble pas moins entaché d'erreurs.
1/ « Chassez le christianisme et vous aurez l'islam ». Le christianisme a été chassé depuis longtemps au point que les sociologues des religions considèrent aujourd'hui que seul 1% des catholiques français sont authentiques. Auparavant, l'Eglise eut paradoxalement la chance d'être très attaquée au quotidien. Quoiqu'il arrivait, l'Eglise, attaquée ou défendue, se situait donc au centre des débats. Aujourd'hui, situation autrement plus grave, elle est tout bonnement ignorée. Si l'islam remplaçait le catholicisme comme l'affirme l'auteur, alors fatalement nos compatriotes blancs y adhéreraient. Or, tel n'est pas le cas. L'islam en France progresse, parce qu'il y a une immigration arabe, déjà musulmane, dès l'origine. Mais on ne peut nullement affirmer que les Français de souche disent oui à l'islam en se convertissant en masse. Bien au contraire, l'islamophobie croît en France.
2/ L'auteur de l'article semble critiquer Gabrielle Cluzel au motif qu'elle commettrait une erreur en voulant remplir les églises. Or, des églises pleines ou vides, d'un point de vue pratique, c'est justement la marque d'une bonne ou d'une mauvaise santé du catholicisme : le jour où les églises seront remplies, ce sera alors le signe d'un renouveau du catholicisme en France. Il me semble aussi utile de rappeler que l'accès à ces églises n'est nullement interdit par des musulmans. Autrement exprimé, si les églises sont vides, ça n'est nullement en raison de l'islam, mais bien en vertu de la volonté des Français.
3/ Les églises, et c'est un nouveau désaccord, ont bel et bien une valeur patrimoniale, ce que semble contester l'auteur. Dans une société présentisée, les églises incarnent au contraire la très longue durée. C'est aussi bien vrai du passé que du futur lointains.
4/ L'islam ne remplit nullement un manque : si d'aventure tel était le cas, il labourerait autrement plus loin que ses terres d'origine. Religion, l'islam devrait, s'il avait le vent en poupe, ratisser les populations blanches. En ce sens, l'islam n'est pas l'adversaire majeur du catholicisme. C'est en revanche le matérialisme, plébiscité par nos contemporains, qui se traduit par des églises vides. Encore faut-il noter que le matérialisme n'est que la conséquence de l'individualisme. Le siècle de l'humanisme, encore une fois, est antérieur à celui des lumières. Il a ses corollaires (subjectivisme, intérétisme, relativisme, ..)
5/ Comme exemple de païen qui n'est pas néo, je considérerai Pierre Vial, dirigeant de Terre et Peuple. Evidemment son choix culturel l'oppose au catholicisme et de façon plus générale à l'ensemble des monothéismes. Il n'en reste pas moins que les païens aujourd'hui, néo ou pas, n'ont de cesse de fustiger l'islam et de peu évoquer le catholicisme. En ce sens, l'auteur de l'article se trompe en leur jetant la pierre. Ce que l'on appelle la mouvance, est justement alimentée majoritairement par les islamophobes et arabophobes. Je suis à ce sujet très réservé. On ne va tout de même imposer aux païens le catholicisme au motif de freiner l'islam…
6/ Dernière erreur me semble t-il, qui a trait à la laïcité. Cette dernière est mise en exergue par les politiciens, alors même qu'à bien des égards elle est morte. Elle n'est plus la limitation de la religion à la seule sphère privée, mais l'opposition à la religion pour nombre de Français. Et, en raison des attentats, c'est justement l'islam qui est visé par ces Français. La tolérance de nos « élites » quant à l'islam est électoraliste : le segment musulman est très utile pour vaincre au second tour. D'où la construction de mosquées – construites avec de l'argent républicain et laïc – par des maires non islamophiles, mais très intéressés politiquement.
Un hasard fait que ces derniers temps, je lis beaucoup la prose du colonel Chateau-Jobert, contrerévolutionnaire et catholique convaincu. Je crains qu'il n'y est plus beaucoup d'espoir quant à la civilisation européenne. Rappelons aussi que les politiques menées par les uns et les autres, n'ont pu être mises en oeuvre, qu'avec l'assentiment des peuples. En ce sens, ce qui nous menace n'est pas le virus musulman, mais bien le cancer, pathologie intestine.
Seul le réarmement moral, avec le dévouement prosélyte peut nous sauver. Heidegger avait écrit à ce sujet...http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EuFZuyuZukSSwPsXnD.shtml
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Le texte de Richard Robert, première partie
« Comme annoncé, nous publions le texte que nous a envoyé de sa prison Richard Robert, djihadiste repenti (Cf notre article en date du 19 juillet). Nous laissons à l’auteur la responsabilité de son propos. Nous n’en partageons pas nécessairement toutes les analyses. Mais il a en tout cas un grand mérite : celui de provoquer au débat et d’aller au fond des choses. » D’autres textes suivront prochainement.
L’organisation de l’État Islamique (EI ou Da’ech) et le nombre croissant de jeunes occidentaux qui la rejoignent dominent actuellement le débat politique dans les médias. La quasi-totalité des experts examinent ce phénomène de la hijra (l’émigration des musulmans des pays non-musulmans vers des terres vraiment musulmanes, c’est-à-dire des États qui ressemblent à la société musulmane du temps de Mahomet et des califes « bien-guidés ») sous un angle purement sociologique et social et concluent d’une même voix qu’il n’y a aucune corrélation entre l’islam et l’islamisme radical. Selon cette conception, le véritable islam n’enverrait dans le monde qu’un message de paix et d’amour. Cette perception quasi officielle de l’islam est contestée par certaines voix indépendantes et par une partie des peuples occidentaux. Contrairement aux élites, ils voient dans l‘hijra la preuve des méfaits d’une immigration massive et incontrôlée. L’augmentation du prosélytisme musulman sur le sol français allant de pair avec le nombre croissant d’adeptes de cette religion qui reproduiraient les appels au meurtre contenus dans le Coran.
La question qui se pose est donc : l’islam, est-il vraiment vierge de tout le sang versé, notamment en Syrie et en Irak, ou est-il au contraire la source qui incite nombre de jeunes croyants à faire le djihad ? Le but de cet essai est d’examiner la part de responsabilité de la religion dans le basculement des individus vers le terrorisme.
Tous les prétendants à l’hijra se réclament d’un Islam pur et originel. Pour cette raison, nous avons jugé opportun de nous pencher sur l’argumentation religieuse des candidats au djihad et de la comparer dans un premier temps à l’orthodoxie sunnite, telle que les oulémas (les instances religieuses officielles) l’enseignent. Puis, dans un deuxième temps nous confronterons l’argumentation djihadiste à l’Islam officiel d’État, qui est inculqué aux Musulmans dès leur plus jeune âge par le biais de l’école. À cette fin, nous étudierons le contenu des manuels scolaires marocains.
Nous conclurons l’essai avec l’analyse de l’ensemble des mouvements islamistes pour déterminer si les mouvements opérant en France ont leur part de responsabilité dans l’endoctrinement des jeunes au djihadisme.
Zoom sur la sémantique (le langage) d’une convertie à l’Islam de l’État Islamique
« Maman, quand tu liras ces lignes, je serai loin. Je serai sur la terre promise, le Sham, en sécurité. Parce que c’est là-bas que je dois mourir pour aller au paradis. Je sais que tu ne vas pas comprendre parce que tu n’es pas élue. Mais moi, j’ai eu accès à la vérité. J’ai été choisei et j’ai été élue. Je sais ce que tu ignores : c’est maintenant la fin du monde, maman. Tous les humains vont finir en enfer, sauf ceux qui ont combattu ave le dernier imam au Sham. »
À première vue, les paroles de cette jeune convertie à l’islam qui est partie en Syrie pour sauver son âme ressemblent au délire mystique de certains adeptes de sectes. Mais dans un contexte où des milliers d’Européens ont rejoint les rangs des djihadistes du Levant (totalisant le chiffre global des mercenaires musulmans à 15 000 en juillet et à 30 000 en octobre 2014 selon le dernier rapport de la CIA), il serait trop simple d’en rester là. Il faut donc examiner pourquoi l’EI attire des musulmans du monde entier et sur quelles bases théologiques il fonde sa légitimité à s’autoproclamer « califat » en conformité avec la voie tracée par Mahomet et les « califes bien guidés ».
Les hadiths (récits de la vie du prophète Mahomet) à caractère messianique, qui ont été propagés massivement dans le monde musulman à partir des années 1990 par l’Arabie Saoudite, livrent une première explication du phénomène. On peut résumer la teneur de ces hadiths comme suit :
Vers la fin des temps, l’oumma islamique entrera en guerre contre les Roumis (occidentaux), le Sham (terme arabe correspondant à peu près au terme françaisLevant) sera assiégé et un imam, l’élu attendu pour restaurer la religion dans sa pureté originelle, conduira les croyants à la victoire sur leurs ennemis ; la Perse sera conquise (l’Iran), ensuite la Palestine (Israël), puis viendra enfin le tour de Rome.
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La revue de l’État islamique justifie la dhimmitude des chrétiens ainsi que l’esclavage
Le nouveau numéro du magazine de l’État islamique en français, Dar al-Islam, vient de sortir.
Cette publication justifie la dhimmitude des chrétiens ainsi que l’esclavage dans un article intitulé “La revivification de l’esclavage avant l’heure”.
Voici un extrait :
Les familles yazidites asservies sont maintenant vendues par les soldats de l’État islamique comme les mécréants étaient vendus par les Compagnons avant eux.
Enfin, le numéro 5 de Dar al-Islam contient des consignes opérationnelles destinées aux terroristes.
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« PLUS BELLE LA VIE » : UN FEUILLETON DE PROPAGANDE ISLAMIQUE ! (l’Imprécateur)
La collusion entre la propagande nazie et la propagande islamique a commencé dans les années 30 avec les déclarations de Hadj Amin el-Husseini, Grand mufti de Jérusalem, disant en substance que le nazisme était un modèle pour l’islam et une bonne chose pour le développer dans le monde par l’extermination des Juifs.
Tuez les juifs partout où vous les trouvez, leur sang qui coule réjouit Allah
Aussitôt, Hitler y trouvant un allié susceptible de déstabiliser l’influence anglaise au Moyen-Orient et un moyen d’étendre le nazisme au-delà de ses limites eurocentriques coutumières, les efforts de propagande de l’Allemagne nazie à destination des musulmans du Moyen-Orient furent intensifiés.
Il fallait cependant faire sauter un énorme obstacle, celui de la barrière apparemment insurmontable créée par l’idéologie raciale nazie. Il fut donc décidé d’insister sur le thème « l’ennemi juif » qui trouvait un écho très fort dans le monde arabe, en créant un acteur politique en apparence réel, baptisé « juiverie internationale » tenu pour responsable de tous les malheurs du monde arabe, mais aussi occidental et notamment des causes de la guerre annoncée. Les ministères nazis concernés par la propagande (Affaires étrangères, Propagande, Armée et SS) recrutèrent des collaborateurs musulmans pour que les traductions d’allemand en arabe soient parfaites. Bien que cette collaboration entre l’islam et le nazisme n’ait duré que quelques années, se terminant naturellement avec la fin de la guerre en 1945, elle a laissé des traces qui renaissent aujourd’hui dans la propagande de l’islam intégriste, notamment les principales accusations relevant de l’antisémitisme radical. La haine profonde des Juifs partagée par les musulmans et les nazis ne relevant pas que des circonstances géopolitiques propres à la première moitié du XXème siècle, « elle se nourrit d’éléments de leurs civilisations respectives » (Jeffrey Herf, Hitler, la propagande et le monde arabe, Ed. Calman-Lévy 2012) et nous rappelle que les idéologies peuvent être simultanément des instruments servant des desseins politiques aussi bien que religieux (1).
Dans sa directive n°30 sur la politique à mener au Moyen-Orient, Hitler déclare : « Le mouvement de liberté (Freiheitsbewegung) arabo-musulman est notre allié naturel« , et l’antisémitisme radical nazi trouva aussitôt un terrain d’entente avec l’antisémitisme radical enraciné dans le Coran et les commentaires qui en ont été faits dans les hadiths. Les deux se mêlant dans les émissions de propagande qui furent dès lors diffusées jour et nuit, préparées par des groupes se réunissant à Berlin qui mélaient nazis arabophones et arabes pronazis, essentiellement des Palestiniens et des Irakiens qui ne voyaient qu’une chose : cela leur permettait de trouver un public nombreux (2) et réceptif à la lutte antijuive (Israël n’avait pas encore été recréée) dans leurs pays respectifs. Les nazis apportant leur maîtrise des techniques de propagande moderne au service d’un regain de la version fondamentale de l’islam. Mais ce n’est pas leur habileté technique qui exacerba le plus l’antisémitisme radical musulman, tout leur art consista à comprendre que certains courants de l’islam étaient autant de points d’entrée pour une réception positive du message nazi.
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L'AED dénonce l'existence au Congo de camps d'entraînement au Jihad pour de jeunes enfants
Certaines sources fustigent le rôle de l'ONU dans ce scandale :
Des sources proches de l’AED – qui ne peuvent être mentionnées pour des raisons de sécurité – ont révélé que des jeunes étaient emmenés dans des camps où ils étaient brutalisés et endoctrinés par une milice islamiste. Réagissant à ces révélations, Maria Lozano, vice-directrice des communications de l’AED, déclare : « Nous avons eu accès à un ensemble de documents montrant la nature de ces camps. Les rapports montrent des soldats brandissant des fusils et surveillant des enfants âgés de neuf à quinze ans, habillés en tenues militaires pour effectuer des exercices militaires. Les images que nous avons vues sont très inquiétantes ».
Les garçons sont répartis sur au moins trois camps situés dans les montagnes de Ruwenzori, dans l’est de la RDC. Ils ont été aperçus en tenues de camouflage alors qu’ils faisaient des exercices militaires sous la surveillance de soldats armés. Le rapport décrit comment plus de soixante filles sont entassées dans ces camps, obligées de porter la burqa et préparées à se marier avec des combattants islamiques.
Un des camps est situé à Medina, à environ 80km de la ville de Beni, région dans laquelle près de 500 personnes ont été tuées dans une série de massacres qui ont eu lieu depuis octobre 2014 jusque maintenant. Maria Lozano poursuit: « Nous sommes très inquiets pour les enfants, car ils ont été attirés dans la rue avec la promesse d’échapper à la pauvreté. Certains sont orphelins, mais d’autres ont quitté leurs familles après avoir été trompés par des recruteurs qui leur avaient fait miroiter l’espoir de pouvoir étudier au Proche-Orient, en Europe ou au Canada. Selon les informations dont nous disposons, les filles sont contraintes au mariage ou sont traitées en esclaves sexuelles » (suite).
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Australie : non à l’islam !
Des drapeaux australiens qui claquent au vent, des pancartes « Oui à l’Australie. Non à la charia » brandies ici et là, des manifestants qui défilent au cri de « Pas d’Islam. Pas de charia. Pas de halal »… Répondant à l’appel du mouvement Reclaim Australia (« Reconquérir l’Australie »), ils étaient des milliers à manifester dimanche dans les rues de Sydney, Canberra, Perth, et même de Hobart, sur l’île de Tasmanie, pour dénoncer l’islamisation rampante de leur pays, et ainsi montrer l’exemple aux Européens.
Islamisation rampante
Nous aurions tort de penser, parce que nos médias n’en parlent jamais, que le pays des kangourous n’est pas, comme l’Europe, en voie d’islamisation. À force de laxisme en matière d’immigration, l’Australie se retrouve, elle aussi, confrontée aujourd’hui à une communauté musulmane particulièrement revendicative et virulente. Et si celle-ci ne compte officiellement que quelque 500 000 individus, ce chiffre n’a cessé de croître ces dernières années. Ainsi, le nombre de musulmans âgés de 5 à 14 ans aurait augmenté d’environ 20 % entre 2006 et 2011. Avec toutes les conséquences que cela implique : exigence de mosquées, de plats hallal, port du voile dans les lieux publics, etc.
Au point qu’en 2008, l’ex-Premier ministre John Howard, excédé, devait rappeler aux immigrés que « la plupart des Australiens croient en Dieu », ajoutant que « si Dieu vous offense, je vous suggère alors d’envisager une autre partie du monde comme votre pays d’accueil, car Dieu fait partie de notre culture » !Douloureux réveil
Cependant, la prise d’otages meurtrière du café Lindt de Sydney par l’islamoterroriste Man Haron Monis en décembre dernier, conjuguée aux menaces sur internet d’« Abou Khaled d’Australie » et à la découverte d’une centaine de djihadistes australiens combattant aux côtés de l’EI, devaient provoquer un douloureux réveil chez nombre d’Australiens.
En avril, Reclaim Australia devait ainsi rassembler plusieurs centaines de personnes lors d’une première manifestation sur Martin Place, dans le centre de Sydney, devenue un lieu symbolique de la résistance. Et depuis, le mouvement, qui se veut « une réponse publique à l’extrémisme islamique des groupes minoritaires qui souhaitent changer l’identité de la nation australienne », n’a fait que monter en puissance, recevant même dimanche le soutien du député George Christensen du parti national libéral.
Franck Delétraz
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