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islamisme - Page 446

  • 910 Français ont rejoint l'Etat islamique en Syrie

    Lu dans Le Monde :

    E"Depuis le début du conflit, 910 Français ont été séduits par ce discours apocalyptique et ont rejoint la Syrie. Selon le dernier bilan du ministère de l’intérieur, fin juillet, 494 sont toujours sur place et 126 y ont perdu la vie : un djihadiste français sur sept est mort en Syrie.

    Pour l’essentiel, ces « martyrs » sont des hommes. Sur les 158 Françaises actuellement sur place, une seule aurait succombé des suites d’une maladie. Ce sont paradoxalement les mineurs qui payent le plus lourd tribu. Cinq des seize adolescents français partis combattre sont morts, soit près du tiers. On estime par ailleurs que plusieurs dizaines d’enfants français en bas âge, pour lesquels n’existe aucun chiffre officiel, ont été emmenés par leurs parents pour peupler le « Califat »."

    Et les Français qui ne sont pas morts en Syrie vont-ils pouvoir rentrer en France ?

    Michel Janva

  • Dispute à trois voix autour de nos églises

    C'est une dispute non pas à deux, mais à trois voix qui s'est engagée à la suite du vœu formulé par Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman, de transformer des églises « désertes » en mosquées. Dans Valeurs actuelles, l'écrivain Denis Tillinac lui a répondu par un appel à « préserver ces sentinelles de l'âme française » que sont nos églises, dans un style qui évoque Barrés : « Croyants, agnostiques ou athées, les Français savent de la science la plus sûre, celle du cœur, ce qu'incarnent les dizaines de milliers de clochers semés sur notre sol par la piété de nos ancêtres : la haute mémoire de notre pays. Ses noces compliquées avec la catholicité romaine. Ses riches heures et ses sombres aussi, quand le peuple se récapitulait sous les voûtes à l'appel du tocsin. Son âme pour tout dire. (...) Inscrits au plus profond de notre paysage intérieur, les églises, les cathédrales, les calvaires et autres lieux de pèlerinage donnent sens et forme à notre patriotisme. »

    Il n'y a pas trace de haine, ni de racisme dans ces lignes. Tout au plus, en réponse aux propos tenus par Dalil Boubakeur, qui, interviouvé par Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, le 15 juin, avait déclaré « C'est le même Dieu, ce sont des rites qui sont voisins, qui sont fraternels, je pense que musulmans et chrétiens peuvent coexister ensemble », Denis Tillinac observe qu'« une église n'est pas une mosquée, et prétendre que les rites sont les mêmes relève d'un déni de réalité scandaleux. »

    C'est alors que s'élève la troisième voix, qui n'est pas celle des musulmans, mais de la confrérie laïque des Flagellants, dont les adeptes n'ont de cesse de dénigrer l'héritage qu'ils ont reçu et de cultiver la détestation de soi - étant entendu qu'il s'agit du soi collectif, jamais de leurs aigrelettes petites personnes. Avouerai-je que je leur préfère le musulman Boubakeur ? Celui-là avance son idée ça passe ou ça casse , s'il rencontre une opposition, il en sera quitte pour un recul tactique et déclarera, dans le numéro de Valeurs actuelles du 16 juillet, qu'il n'a « jamais eu les intentions qu'on [lui]prête », qu'« il n'est pas question pour [lui] de transformer les églises en mosquées », qu'en évoquant ce sujet dans son dernier livre, Lettre ouverte aux Français, il a simplement rapporté la suggestion d'un député , et même, tiens, qu'il aurait pu « signer des deux mains » l'appel de Tillinac - mais que, cela dit, la France manque décidément de mosquées... Hélas, le message passe et l'idée fera son chemin.

    Nos flagellants, eux, n'envisageraient certainement pas de signer l'appel de Tillinac, fût-ce du bout des doigts. Ils s'avancent et le mot « haine » leur pend au bec comme le clope à la lèvre du fumeur impénitent. Ils en ont fait leur principal argument, la sempiternelle accusation dont ils accablent leurs contradicteurs.

    Démagogie ou pas, Boubakeur professe son amour de la France traditionnelle. Eux, la vomissent. La nation, c'est « la haine », affirment ces haineux. L'amour de la patrie n'est que le déguisement de la détestation et de la peur de l'autre - en l’occurrence, de l'islam - et ceux qui confessent ce sentiment sont des salauds et des imbéciles méprisables. Le flagellant Bruno Roger-Petit ne voit ainsi, parmi les signataires de la pétition de Tillinac, que « le ban et l'arrière ban du réac bien de chez nous, baguette, béret et saucisson. Ce n'est plus une pétition, c'est le train fantôme de la ringardise franchouillarde, le grand huit des Bidochon, le Space moutain des Super-Dupont ». Dans son éditorial de Libération, le flagellant Laurent Joffrin, veut « Des mosquées dans les églises, n'en déplaise aux prêcheurs de haine ». Et sur le site internet Slate, le très progressistement correct Henri Tincq, qui tint longtemps la chronique religieuse du Monde, même s'il convient que Tillinac « n'a rien d'un réactionnaire », soupçonne qu'il « se trouve aujourd'hui emporté, plus qu'il ne le voulait, dans un tourbillon où dominent les vents mauvais de la droite décomplexée et extrême », après avoir trop légèrement rédigé un texte qui « joue sur la menace de l'islam ».

    La haine de la France traditionnelle

    Les confrères auraient toutefois intérêt à mettre leurs lamentations au diapason. Ainsi, lorsque Tincq déclare que nul ne pense à transformer les églises en mosquées, Joffrin ne voit pas « quel scandale [il y aurait ] à les voir cédés à d'autres cultes présents en France, comme le protestantisme ou l'islam »... Quand le directeur de Libération, néo-théologien diplômé par le Café du commerce, déclare qu'« après tout, il s'agit du même Dieu, croit-on savoir », l'ex-chroniqueur du Monde, qui connaît mieux sa matière, répond qu'en l'occurrence son bon confrère croit mal et que, « Non, musulmans et chrétiens ne prient pas le même Dieu ». Il pourrait ajouter, pour achever de détromper son confrère qui glose sur les « religions du Livre », qu'il ne s'agit pas non plus du même Livre et que les personnages d'Ibrahim ou d'issa tels qu'ils sont dépeints dans le Coran n'ont que peu de choses à voir avec ce que la Bible dit d'Abraham, dans l'ancien Testament, et de Jésus, dans le Nouveau.

    Henri Tincq, répudiant la « confusion de type syncrétiste », contredit même Mgr Dubost, révoque d'Evry, qui a déclaré dans La Croix du 9 juillet « J'aime mieux qu'une ancienne chapelle devienne un lieu de prière musulman qu'un lieu de débauche », sans vraiment imaginer, j'espère, le spectacle qu'offriraient nos églises de campagne si le croissant y remplaçait la croix, et sans non plus envisager qu'elle pourrait tout simplement rester une chapelle catholique, pour peu que les évêques catholiques, y compris celui d'Evry, s'attachent à remplir leur mission - qui consiste à remplir leurs églises, pas à les fermer.

     

    Eric Letty monde&vie juillet 2015

  • Ancien patron du renseignement militaire du pays du goulag levant: « créer et soutenir l’EIIL est une décision de Washington »…

    Qui eut encore être surpris par quoi qu’il puisse se passer ? Le système est au delà de toute rédemption ! Grand temps de faire passer tout cela à la trappe et pour les peuples de reprendre les commandes du bateau ivre…

    — Résistance 71 —

    D’après l’ancien patron du renseignement militaire des Etats-Unis les Etats-Unis ont pris la décision de créer l’EIIL/EI

    url de l’article original:

    http://www.presstv.ir/Detail/2015/08/08/423762/US-ISIL-Syria-terrorist-group

    ~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

    L’ancien patron du renseignement militaire américain, Michael Flynn de la DIA (Defense Inteliigence Agency) a dit que la montée du groupe terroriste de l’EIIL en Syrie a été une “décision sciemment prise” par Washington.

    Une étude interne de la DIA récemment publiée montre que Washington savait que les actions de “l’occident, des pays du Golfe et de la Turquie” en Syrie pouvait créer un groupe takfiri comme l’EIIL.

    Michael Flynn a décrit l´étude comme étant importante et a confirmé les conclusions.

    Dans un entretien avec la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera, il a dit avoir étudié un mémo de la DIA en 2012 prédisant la soutien de l’occident à l’EIIL en Syrie, ajoutant que cela provenait d’un renseignement parfaitement clair.

    Quand le journaliste a demandé si l’administration avait plutôt détournée son regard de son analyse, Flynn a dit: “Je ne sais pas s’ils ont fait l’aveugle, je pense que ce fut une décision prise. Je pense que cela a été sciemment décidé.”

    Lorsqu’il lui fut demandé si cela représentait une décision volontaire de soutenir une lutte armée il a répondu: “Ce fut une décision sciemment prise que de faire ce qu’ils font.”
    Il a aussi dit qu’il avait contesté le soutien de militants étrangers en Syrie afin de mettre la pression sur Damas.

    Des observateurs disent que les Etats-Unis et leurs alliés ont aidé à créer et à entraîner les organisations terroristes afin qu’elles sèment le chaos dans les pays musulmans.

    Les militants de l’EIIL ont saisi de larges territoires en Syrie et en Irak. Ils ont perpétrés des crimes haineux contre toutes les communautés dans les deux pays arabes voisins.

    Ailleurs dans ses remarques, Flynn a admis que Washington était parfaitement au courant du chaos auquel l’Irak devrait faire face après son retrait de 2011.

    Les avions de combat américains ont mené des raids aériens contre l’EIIL en Irak depuis le début du mois d’Août 2014. Quelques pays occidentaux ont aussi participé à certains raids aériens en Irak.

    Depuis la fin Septembre 2014, les Etats-Unis et quelques-uns de leurs alliés arabes ont bombardé des positions de l’EIIL en Syrie sans aucune autorisation de Damas ni aucun mandat de l’ONU.

    Note de Résistance 71: Des témoignages de terrain confirment en fait que ces “raids contre l’EIIL” sont plus en fait des attaques pour soutenir les terroristes mercenaires de l’EIIL, surtout plus récemment dans les régions autonomes kurdes en Syrie et en Irak. En cela, les US, la Turquie et Israël agissent comme l’armée de l’air d’appui de l’EIIL/EI…

    https://resistance71.wordpress.com/

  • L’armée syrienne et le Hezbollah avancent à Zabadani en Syrie

    L'armée syrienne et la résistance libanaise ont réussi à avancer à l'intérieur de la ville de Zabadani dans la province de Damas, après de violents affrontements avec les groupes armés.

    Des sources militaires ont rapporté que l'armée et la résistance ont pris le contrôle de la place al-Corniche, après avoir mis la main sur le quartier de la mosquée Barada au sud-ouest de Zabadani. 

    A Alep, l'armée syrienne a pris le contrôle de nouvelles parties du quartier de Souleiman l'Aleppin, faisant plusieurs morts et blessés dans les rangs des miliciens dans le village de Foro et les alentours du village al-Bahsa dans la plaine d'al-Ghab dans la province ouest de Hama.

    De plus, l'armée syrienne a progressé sur l'axe de la place de Shrida à Daraya, après la reprise aux terroristes d'un nombre de bâtiments clés.

    L'armée a détruit plusieurs lance-roquettes utilisés par les miliciens contre des quartiers de la capitale. 

    Les affrontements de Daraya ont éclaté suite au lancement d'une bataille de la part des rebelles terroristes dans le but d'alléger les pressions sur les groupes rebelles à Zabadani.

    Par ailleurs, à Homs, des unités de l'armée syrienne ont éliminé 30 terroristes de Daech, la plupart de nationalité saoudienne et tunisienne. L'armée a bombardé un dépôt de roquettes dans la ville al-Qaryatayne.

    Roquettes sur Damas

    Cinq personnes ont été tuées et 37 blessées samedi à Damas par des tirs de roquettes provenant des secteurs contrôlés par les rebelles autour de la capitale syrienne, a rapporté l'agence officielle Sana.

    "Cinq morts et 37 blessés dans une agression terroriste au moyen de roquettes, qui sont tombées sur les rues Al-Thaoura et Bagdad ainsi que dans le quartier de Bab Touma à Damas", a indiqué l'agence.

    Le bilan des morts a été confirmé par l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH qui a fait état d'un nombre de blessés dans un état critique.

    Les quartiers résidentiels de la capitale sont régulièrement la cible de tirs de roquettes des rebelles positionnés dans la région de Damas, alors que les forces gouvernementales mènent des raids aériens et des bombardements à l'artillerie sur les secteurs contrôlés par les rebelles.

    Le 28 juin, quatre personnes avaient été tuées dans le centre de Damas par le tir de roquettes provenant des zones contrôlées par les rebelles. Et le 17 juin, des tirs de roquettes sur le centre de la capitale avaient fait neuf morts.

    La guerre en Syrie a fait en quatre ans plus de 240.000 morts, selon un nouveau bilan de l'OSDH.

    source : Al manar  lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFAEFElAlZcepcxqQ.shtml

  • Comment peut-on encore être Charlie ?

    Décidément, je ne serai jamais Charlie !

    Que le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, perpétré à l’aube de l’année 2015 par des terroristes islamiques, ait pu susciter l’indignation quasi unanime des Français soucieux de défendre la liberté d’expression, rien que de très légitime dans le feu de l’action, si j’ose dire, bien que la manifestation officielle organisée par les plus hautes instances de l’État apparût alors quelque peu démagogique.

    La caricature constitue en effet, comme naguère le pamphlet – genre littéraire aujourd’hui étouffé par les multiples ligues de vertu qui pourchassent toutes formes de satires un peu « viriles » -, un mode d’expression qu’il faut résolument défendre avant qu’il ne disparaisse à son tour.

    Depuis ce sinistre épisode, non contente d’avoir expressément renoncé à représenter Allah ou son prophète, capitulant ainsi devant la menace des « barbus » auxquels, ce faisant, elle donne gain de cause, la nouvelle équipe du journal a, semble-t-il, décidé de ne plus s’attaquer qu’à ses cibles favorites et bien moins dangereuses : la famille Le Pen, l’Église catholique, quelques politiciens classés à droite et les intellectuels « réactionnaires » (comprendre : ceux qui refusent la pensée unique et obligatoire en vigueur).

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  • Il joue le déséquilibré : "Non, moi, je ne décapite personne"

    Un homme de 34 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Versailles, à une peine de 2 ans de prison dont 6 mois avec sursis. La justice lui reproche d’avoir menacé de mort deux éducateurs d’une association et un agent de l’aide sociale à l’enfance du conseil départemental.

    Lors d’une visite avec sa fille de 18 mois, placée depuis sa naissance dans une famille d’accueil, le papa les a menacés de les égorger et les décapiter avec son sabre alors qu’une éducatrice venait de prendre l’enfant dans ses bras. Cet homme d’origine portugaise, converti à l’islam, a également traité une fonctionnaire de police de « sale chrétienne » avant de lui conseiller d’avoir peur des musulmans.

    Dans le box des prévenus, il joue le malade mental et se veut rassurant :

    « Oui, j’ai dit tout cela mais sans jamais avoir eu l’intention de le faire. Non, moi, je ne décapite personne. Vous pouvez demander à mon boulanger ».

    L'individu a déjà été condamné 16 fois.

    Michel Janva

  • Un recruteur islamiste français, « opposant modéré à Bachar el-Assad » cher à la Coalition, a été éliminé par les forces syriennes régulières

    Omar Diaby, classé au Grand banditisme, auteur d’un assassinat -pour lequel il n’avait écopé que de 5 ans de prison-, recruteur en France pour Al Qaïda et sa branche Al-Nosra, avait été arrêté en 2014 par la Division des investigations criminelles (Dic), son passeport confisqué. Mais il avait été très vite relâché, son passeport rendu et son autorisation de quitter le territoire accordée. Ce qui lui avait permis de rejoindre les « opposants modérés à Bachar el-Assad » en Syrie, d’où il allait recruter par Internet en France. Il se vantait de se trouver à la tête d’une bande de 80 combattants d’Al Nosra.

    Omar Diaby était par ailleurs, une célébrité, il faisait la Une de la presse et des télévisions.

    Voilà un aspect du curriculum vitae de ce chouchou des médias, que la presse préfère passer sous silence depuis l’annonce de sa mort.

    Omar Diaby était une célébrité, de grand quotidiens l’avaient suivi, interviewé, il faisait la Une de la presse, malgré son passé et en dépit de son présent, ou plutôt grâce à son passé et à son présent croustillant de criminel barbare.

    C’est l’Armée régulière syrienne de Bachar el-Assad qui a enfin mis un terme à la carrière criminelle de ce propagandiste de l’Islam en France.

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