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islamisme - Page 439

  • EI: "Nous avons importé clandestinement 4.000 combattants en Europe"

    L'État Islamique continue à propager la terreur en Europe. Ses combattants se mêlent aux réfugiés pour rejoindre "anonymement" les pays de l'ouest de l'Europe, affirment des sources djihadistes, comme on peut le lire sur Buzzfeed.
    Il a préféré garder l'anonymat mais son témoignage sur Buzzfeed risque de faire couler beaucoup d'encre. "Attendez seulement", menace-t-il. 
    Revanche 
    Selon ce contrebandier de l'État Islamique, des combattants sont envoyés en Europe via la frontière turque. De cette manière, plus de 4.000 personnes "prêtes au combat" ont déjà posé leurs valises dans les pays de l'ouest de l'Europe. Une manière comme une autre pour eux de prendre leur revanche sur les récentes attaques aériennes menées par les Etats-Unis. "Si ils nous attaquent, on leur répond". 
    "On profite de la générosité des pays développés de l'ouest de l'Europe pour infiltrer des combattants parmi les réfugiés. Certains sont passés par Izmir et Mersin pour rejoindre l'Italie. Mais la majorité a choisi l'Allemagne et la Suède. Ils font le voyage comme réfugiés et demandent l'asile dès leur arrivée." 
    Rêve 
    Ce membre de l'État Islamique opère en Syrie. Il martèle que le groupe terroriste ne manque pas d'ambitions. 
    "Notre rêve est d'étendre le califat établi en Syrie dans le monde entier et ça arrivera un jour", termine-t-il.

  • Zoom : Thibault de Montbrial - Face au terrorisme islamiste, l'heure n'est plus au déni

  • Le père du petit Aylan était-il le passeur ?

    AbbasLa photo du petit Aylan, retrouvé mort noyé sur une plage turque, a ému le monde entier. Le témoignage de son père est remis en cause par l'autre famille qui était à bord de l'embarcation. [NB : j'ai remplacé l'article initial par un autre, plus complet.]

    "Le père du petit Aylan, retrouvé mort échoué sur une plage de Bodrum, dans le sud-ouest de la Turquie, et dont l'image a ému le monde entier, est-il responsable de la mort de son fils ? C'est ce qu'affirme une survivante du drame. Selon elle, Abdallah Kurdi était en fait un passeur.

    Zainab Abbas, originaire d'Irak, a raconté à la chaîne de télévision australienne SkyNews qu'Abdallah Kurdi a manoeuvré le bateau tout au long du voyage pour arriver en Turquie. Elle précise qu'Abdallah Kurdi lui avait d'ailleurs été présenté comme étant le capitaine du bateau et c'est à lui qu'elle a versé l'argent pour la traversée.

    Zainab Abbas raconte également qu'il conduisait trop vite et que tout le monde sur le bateau n'avait pas de gilets de sauvetage. « Il est devenu fou », se souvient-elle dans The Sydney Morning Herald, et son mari aurait d'ailleurs demandé à Abdallah Kurdi de ralentir.

    La survivante rapporte même que ce dernier, au moment du naufrage et alors que tout le monde s'était retrouvé à l'eau, l'aurait implorée de ne pas le dénoncer : « J'ai déjà perdu ma femme et mes enfants, s'il vous plaît, ne dites rien à la police », aurait-il demandé.

    Zainab Abbas a perdu deux enfants dans cette traversée périlleuse. [...]

    Abdallah Kurdi s'est défendu dans les colonnes du Wall Street Journal, en maintenant sa version des faits selon laquelle il aurait pris les commandes du bateau après la fuite du capitaine pris de panique."

    L'AFP a consacré une dépêche à l'enterrement des enfants Abbas, sans mentionner les accusations de leur mère contre M. Kurdi.

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Russie prépare le terrain pour frapper l'Etat islamique en Syrie

    Lu ici :

    "Officiellement, il s'agit de 80 tonnes d'aide humanitaire. Mais les deux gros-porteurs russes qui se sont posés samedi à Lattaquié succèdent à au moins cinq autres qui ont atterri cette semaine, sans compter l'arrivée de deux bateaux sur la base navale russe de Tartous, plus au sud, chargés jusqu'au pont supérieur de matériel et de fret. [...] Confirmant les observations du ministre israélien de la Défense, [Pierre Razoux, enseignant à Sciences-Po] estime que les tonnes d'équipement visent à édifier une base aérienne à proximité de l'aéroport international de Lattaquié afin d'y accueillir, en cas de besoin, des avions de chasse et des bombardiers russes ainsi que des hélicoptères de transport et d'attaque. 

    Le tout devant être naturellement sécurisé par des batteries sol-air et des effectifs de protection fournis par des troupes russes d'infanterie de marine. Selon des blogueurs militaires américains et russes, des chars et des blindés légers feraient partie des cargaisons, destinés eux aussi à protéger les extensions de périmètre russe autour de Lattaquié et Tartous.[...]

    "Il est encore un peu tôt pour parler de bombardements russes sur Daech", nuance Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie à l'université de Tours, mais il s'agit de la part de la Russie d'un prépositionnement en prévision des grandes manœuvres diplomatiques à venir visant à élargir la coalition internationale contre l'État islamique.""

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Migrants : "Merkel croit qu'elle devient sourde quand elle n'entend plus les acclamations", dit É...

  • Manifestation anti islamiste à Varsovie

    Plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés samedi à Varsovie, brandissant des banderoles comme «l’islam c’est la mort de l’Europe». Ils se sont réunis dans le centre ville. Ils se sont avant tout présentés comme des catholiques opposés à l’arrivée de musulmans et ont commencé leur rassemblement par une prière à la Vierge Marie.

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    Un organisateur a déclaré :

    «Nous sommes là pour que notre voix d’en bas parvienne au gouvernement et que la décision d’accueillir les musulmans soit abandonnée».

    Le 12 septembre était le jour anniversaire de la grande bataille de Vienne en 1683, lors de laquelle les troupes polonaises du roi Jan III Sobieski avaient repoussé les envahisseurs turcs.

    GDANSK

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    Michel Janva

  • Humanitaires, identitaires, sécuritaires

    Terrible cacophonie de ces derniers jours. Certains parlent comme si le débat se situait en France, alors que les décisions dont on se préoccupe sont prises ailleurs. Nous voici donc, tous, dans l'Hexagone comme dans le Continent, tiraillés entre des références contradictoires.

    Chacun d'entre nous, citoyens, contribuables ou dirigeants, ces jours-ci, s'est vu sollicité sous l'emprise émotionnelle d'une photographie, évidemment affreuse. Révoltante. L'horrible cliché d'un enfant mort noyé a été diffusé en effet par tous les journaux. Il a été rejeté par la mer sur la plage de Bodrum.

    Cet endroit s'appelait Halicarnasse, depuis des millénaires, avant qu'en 1922 des milliers d'enfants chrétiens de cette région, mais aussi des vieillards, des femmes, des prêtres, des infirmes, aient été massacrés dans l'indifférence générale. "N'ayez pas peur" disaient les envahisseurs kemalistes qui allaient détruire Smyrne. Et d'une certaine manière ces monstres avaient raison : il ne faudrait jamais avoir peur, car dans le christianisme le martyre est une couronne pour l'éternité.

    On nous mobilise métaphoriquement aujourd'hui, autour de mots ritournelles, qui ne veulent hélas rien dire de bien précis.

    Au nom de ces principes vagues, on doit tout accepter, ou passer pour un salaud. C'est la règle du jeu selon Volkoff : "premier qui dit fasciste à l'autre a gagné".

    Nos gouvernants prétendent dès lors raisonner en termes exclusivement humanitaires, au nom de ce qu'ils appellent des "valeurs", valeurs qu'ils n'ont jamais vraiment définies, indexées sans doute sur le cours du pétrole.

    Vous avez dit Humanitaire : cent pour cent, vingt sur vingt, tableau d'honneur à celui qui l'invoque.

    Vous avez dit Sécuritaire ? Zéro. Identitaire ? Pouah !

    Et pourtant, dans cette période de jardinage nous pourrions penser à nos buis, menacés par la pyrale et l'armillaire, ces nouveaux parasites venus d'ailleurs.

    Est-il permis de rappeler aussi que les termites, qui rongent silencieusement nos charpentes, se sont développés en France camouflés dans des bois d'importations non contrôlés.

    Est-il permis dès lors de parler de précautions ?

    Précaution : certes, cet étrange "principe" devrait s'appliquer à lui-même. Mais avant d'être dogmatisé par nos ateliers du prêt-à-penser, le mot n'est-il pas le reflet d'une autre règle, plus modeste, vieille comme la terre : la prudence. Il me semble qu'on peut donc s'y référer.

    Pour s'en tenir au droit interne français de l'ère républicaine, c'est la loi Barnier de 1995 qui énonce pour la première fois une nouvelle norme. On peut la qualifier de philosophique, on l'observe en gestation au sein de diverses instances mondialistes. À l'époque on se préoccupait de défendre l'environnement.

    Puis en 1998, c'est le conseil d'État qui empêcha, au nom de cette notion, qui permit à l'administration de bloquer l'introduction certaines variétés de maïs génétiquement modifié.

    Le parlement français s’est réuni en Congrès à Versailles en février 2005. Il a voté l'introduction dans l'article 5 de la Constitution une Charte de l'environnement, ceci installant ainsi dans notre loi fondamentale.

    Inutile de souligner que la jurisprudence de la Cour de Justice de l'Union européenne, laquelle comme chacun devrait le savoir, et comme certains le déplorent, dit un droit qui prime le droit national, considère que ce même principe justifie l’adoption de mesures restrictives.

    Il y a 20 ans encore le législateur employait le mot de "certitudes". De ce terme extrêmement dangereux, il convient toujours de savoir se méfier.

    Humanitaires ? Sécuritaires ? Identitaires ? Les citoyens disposent encore en théorie du droit de choisir lesquels de ces principes doivent prévaloir. Dans la pratique je les sens moins fous que les technocrates qui, incapables de se gouverner eux-mêmes selon la droite raison, prétendent encore nous régenter.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/page/2/

  • Anniversaire du 11 septembre : la menace d’Al Qaeda plane toujours sur les USA

    Les Américains célèbrent le 14e anniversaire des attentats du 11 septembre, avec un pincement de peur au cœur. Si les responsables de la sécurité affirment ne pas avoir identifié de menace précise, Al Qaeda a tout de même diffusé une liste de cibles à abattre.

    Le monde a été sidéré par les attentats du 11 septembre 2001. Pour les Américains, l’attentat le plus meurtrier sur leur sol est toujours un traumatisme et c’est avec appréhension que bon nombre d’entre eux voient approcher cette date. Les terroristes d’Al Qaeda étant friands de symboles, un nouvel attentat à cette date est une hypothèse logique qui ressurgit chaque année outre Atlantique.

    Pourtant, le directeur du FBI James Comey et le chef de l’Agence de sécurité nationale (NSA), l’amiral Michael Rogers, qui intervenaient à une conférence sur le renseignement se sont voulus rassurants. Le premier a déclaré qu’« il n’y a pas de menace spécifique et crédible liée » à cet anniversaire. Il n’a pas été contredit par son collègue de la NSA, qui a simplement souligné combien le 11— Septembre « est clairement une date qui résonne pour beaucoup de gens ».

    Pourtant, Al Qaeda dans la péninsule arabique (AQPA) commémore la date à sa façon, en publiant une « kill list » à la veille du 14e anniversaire des attentats les plus célèbres du monde.
    L’objectif des islamistes est de déstabiliser l’économie américaine en visant ses locomotives. Aqpa appelle à tuer les milliardaires Américains qui font l’économie du pays, tel que le fondateur de Microsoft Bill Gates, l’investisseur Warren Buffet, l’ex-maire de New York Michael Bloomberg, ou encore l’ex-président de la Réserve fédérale des États-Unis, Ben Bernanke. L’organisation terroriste leur promet la vie sauve s’ils fuient les USA avec leurs capitaux.

    Si l’organisation a perdu beaucoup de sa superbe depuis la guerre menée contre elle en Afghanistan et la montée en puissance de l’État Islamique (Daesh), ses menaces ne sont toutefois pas à prendre à la légère.

    http://fr.novopress.info/

  • Serbie : une Syrienne rappelle quelques vérités sur l’invasion de réfugiés en Europe

    Trouvé sur NDF : Voici un discours percutant à faire circuler. Une  prend la parole à Belgrade pour dénoncer les faux réfugiés et l’Occident lors de la manifestation organisée par le Mouvement national serbe « Obraz » de dimanche dernier.

    Extraits : Les personnes que vous voyez dans les rues de Belgrade en route pour l’Allemagne ou la Hollande, ne sont pas de vrais Syriens.

    Laissez-moi vous poser cette question : si l’Occident ne veut pas que ces réfugiés périssent en mer, pourquoi ne lèvent-t-il pas les sanctions qui pèsent sur le peuple Syrien qui ont déjà coûté 143 milliards de dollars à la Syrie ?

    Si ce n’est pas dans l’agenda de l’Occident, pourquoi n’aide-t-il pas les Syriens à rester [chez eux] en aidant l’armée syrienne à se débarrasser des terroristes et faire de la Syrie un pays sûr de nouveau ?

    Pourquoi le reste des Syriens reste et résiste ?

    Il dépouille la Syrie des gens qui peuvent reconstruire le pays. Il veut briser la Syrie et le peuple Syrien. D’un côté, il veut voler les docteurs syriens et leurs meilleurs étudiants et cela entraînera une fuite des cerveaux. Et d’un autre côté, les multinationales veulent une main d’œuvre bon marché de façon à baisser les salaires.

    Jusqu’à maintenant, nous avons perdu cent mille soldats qui se battaient contre les extrémistes. Je n’ai pas entendu l’Occident pleurer sur ceux qui ont donné leur vie pour défendre la nation et laissant derrière eux des familles éplorées qui ont besoin d’aide.

    Et d’un autre côté il s’efforce d’aider des personnes qui fuient leur pays. Beaucoup d’entre eux sont des djihadistes et, qui plus est, ils sont payés des milliers d’euros pour cela.

    Laissez-moi vous dire que l’argent qu’ils dépensent pour venir est suffisant pour acheter une maison dans un endroit sûr en Syrie pour une famille de cinq personnes, et entreprendre un petit boulot et bien vivre.

    Ce ne sont pas des réfugiés. Ce sont des migrants économiques.

    Nos côtes sont très bien gardées, et pas un seul bateau de migrants ne part d’ici. Un autre motif est de faire sortir les chrétiens de Syrie, historiquement, l’une des premières terres chrétiennes. Ce que nous avons aujourd’hui en Syrie est similaire à ce que vous aviez en Serbie avant. Leur but : notre identité, notre unité et notre souveraineté.

    http://www.contre-info.com/serbie-une-syrienne-rappelle-quelques-verites-sur-linvasion-de-refugies-en-europe#more-39195

  • Farage : nous devons être fous de prendre le risque de voir des djihadistes sur notre sol