La famille de l’enseignant poignardé puis décapité par un jihadiste d’origine tchétchène en octobre 2020 accuse les pouvoirs publics de dysfonctionnements et de ne pas avoir pris suffisamment de mesures de protection. Elle a déposé plainte pour “non-assistance à personne en péril” et “non-empêchement de crime”.
Nous allons sûrement avoir quelques candidats et journalistes qui vont crier à la récupération politique.