
Toulouse, bastion historique du radicalisme et du socialisme jaurésien, est aujourd'hui devenu un foyer du gauchisme (Mélenchon y frôlait les 40 %, il y a un an) et de l'islamisme. L'islamisme ? La preuve par Mohammed Merah, en 2012, qui a marqué un changement d'époque, le passage d'un islamisme à bas bruit au djihad sanglant, sur le sol français. Il y a un espace, une institution où ces deux radicalismes (gauchisme et islamisme) se rencontrent et où le second poursuit son entrisme avec la bénédiction du premier : l'école, de la maternelle à l'université. Dernière preuve éclatante de cette collusion dite islamo-gauchiste, éphémèrement reconnue il y a quelques années par un ministre des Universités : l'annulation, par la Sorbonne, d'une conférence de la chercheuse Bergeaud-Blackler sur les Frères musulmans.